Bon courage ma belle,
Nul ne peut décider en ton nom.
Seulement quand tu dis «on avorte», c'est un excès de langage... tu avortes, toi seule.
J'ai deux cas dans mon entourage plus jeune (pas rebeu.)
1) Mais une catho qui a été mise à la porte quand elle a fait part de sa grossesse, 19 ans, premier rapport, bim, bébé ! Elle l'a gardé, a continué ses etudes en parallèle, elle est instit à l'heure d'aujourd'hui et maman d'une petite fille. Le papa n'a pas assumé de suite... disons, il a appris à être papa, mais le couple n'a pas survécu à cette épreuve (il aurait voulu qu'elle avorte...)
2)une camarade d'origine italienne, dont la grossesse a été favorablement accueilli.par sa famille mais pas par son mec dont elle était.folle amoureuse (2/3 ans de vie commune machin couffin) .
face à cette réaction : Douche froide, remise en question, séparation, avortement, reconstruction
Aujourd'hui maman de deux petits pitchounes avec un papa et conjoint présent.
=» les deux sont heureuses...