parce que c'est le sul à qui il ne reste plus d'animal domestique
Et puis si tu veux je te donne toute la liste de qui va avec quoi!
oui je veux que tu m'expliques ce qui t'as amené à trouver ca.....
je suis bien curieuse
Enigmes pour devenir mahboul
- Initiateur de la discussion Youssouf_
- Date de début
oui je veux que tu m'expliques ce qui t'as amené à trouver ca.....
je suis bien curieuse
oui je veux que tu m'expliques ce qui t'as amené à trouver ca.....
je suis bien curieuse
ben le souci c'est que c'est super long à expliquer!
je vois mahlich
je t'accorde le point
bien joué franchement elle est pas du tout évidente en plus.
juste une question vous avez fait quoi a I luv figuig elle ne veut plus quitter ce post
Elle a été ensorcelé mouahaha
Fait attention bientot toi aussi tu le seras!
mostafa012
AgadiRoi
ah je crois ke j'vai vrément devenir mahboul là !
mais quel est le nombre que l'on veu obtenir? quelle est la chaine des nombres
par exemple 11 = 1 12= 2 1112 = 1 2 où on veut en veniiir?? c'est quoi le rapport entre ces bombres obtenus! vous y lisez quelquechose?? sa un rapport avec du Tikchbila ?
??ah je crois ke j'vai vrément devenir mahboul là !
mais quel est le nombre que l'on veu obtenir? quelle est la chaine des nombres
par exemple 11 = 1 12= 2 1112 = 1 2 où on veut en veniiir?? c'est quoi le rapport entre ces bombres obtenus! vous y lisez quelquechose?? sa un rapport avec du Tikchbila ?
Il n'y a pas de nombre qu'on doit obtenir, c'est une chaine qui peut aller jusqu'à l'infinie..
Regarde c'est simple :
On commence par : 1
1
-->(par rapport au nombre d'en haut) un 1...... donc 11
-->(par rapport au nombre d'en haut) nous obtenons deux 1........donc 21
-->(par rapport au nombre d'en haut) nous obtenons un 2 et un 1......donc 1211
-->(par rapport au nombre d'en haut) un 1, un 2 et deux 1 donc......111221
Etc
etc...
bonjour;
vous dites une maison,vous parlez du 1 etage (RDC ,1er) j'en deduit qu'il n'y'a pas d'autre etages. Alors les interupteurs commandent doncEHORS, RDC et LE 1er. En mettant sur on 2, je dois avoir allumé soit RDC et DEHORS, soit dehors et 1er soit 1er et RDC. d'ou je suis ,je peux voir donc RDC et dehors,je n'ai pas besoin de monter pour savoir lequel des interupteur commande le 1er.Besoin d'explication?
merci
vous dites une maison,vous parlez du 1 etage (RDC ,1er) j'en deduit qu'il n'y'a pas d'autre etages. Alors les interupteurs commandent donc
EHORS, RDC et LE 1er. En mettant sur on 2, je dois avoir allumé soit RDC et DEHORS, soit dehors et 1er soit 1er et RDC. d'ou je suis ,je peux voir donc RDC et dehors,je n'ai pas besoin de monter pour savoir lequel des interupteur commande le 1er.Besoin d'explication?merci
bonjour;
vous dites une maison,vous parlez du 1 etage (RDC ,1er) j'en deduit qu'il n'y'a pas d'autre etages. Alors les interupteurs commandent donc
merci
Salam o aleik,
Désolé j'ai rien compris
Naveen
VIB
Salam a tous!
Etant amateur des bonnes petites énigmes, j'ai eu l'idée de créer ce topic pour vous faire partager ce passe temps fort "amusant".
Bien entendu, mieux vaux jouer le jeu et ne pas tricher en allant chercher la réponse sur le net:-D.
(n'hésitez pas a en proposer si vous en avez!)
Enigme:
--> Vous etes au rez-de-chaussée d'une maison, face à vous, 3 interrupteurs murales.
On vous dit : " seul l'un des 3 interrupteurs peut allumer/éteindre l'ampoule qui se trouve au 1er étage!!"
Comment savoir quel est le bon interrupteur??
Sachant qu'une fois monté au 1er (pour voir l'ampoule), vous n'aurez plus le droit de redescendre au rez-de-chaussée.
(attention, les interrupteurs ne sont pas démontables, donc abandonnez l'idée de l'ampèremètre^^)
réponse plus bas.
-------------------------------------------------------------------------------------
Mettez sur ON 2 interrupteurs au hasard (le 1 et le 2 par exemple)...Attendez au moins une minute....
Ensuite, mettez sur OFF le 2.
Et voila! Vous pouvez savoir maintenant quelle interrupteur est le bon...Comment?
C'est simple, montez à l'étage et regarder l'ampoule:
-> si elle est allumé, c'est l'interrupteur 1 qui est le bon (car c'est le seul a être resté sur ON).
->si elle est éteinte mais chauude!! C'est donc le 2! (on l'a allumé puis on l'a éteinte après une minute)
-> si elle est éteinte mais froide...C'est que l'interrupteur numéro 3 était le bon!
Et voila
J'ai trouvé un autre moyen
Je monte
J'ouvre le gaz
Je casse le culot de l'ampoule (sans toucher le filament)
Je ferme la porte, je descends
J'attends 20 minutes
Je teste les interrupteurs un par un: si ça explose, c'est celui-là
J'ai trouvé un autre moyen
Je monte
J'ouvre le gaz
Je casse le culot de l'ampoule (sans toucher le filament)
Je ferme la porte, je descends
J'attends 20 minutes
Je teste les interrupteurs un par un: si ça explose, c'est celui-là
ça c'est la méthode kamikaze mdr
Naveen
VIB
Elle marche oui ou non
La fin justifie les moyens :langue:
Effectivement ça marche, mais par la suite t'as plus de 1er étage...
Naveen
VIB
Mais tu as la réponse à l'énigme. Allez balance-en d'autres, tu es face à un cerveau là
!
Qui a déja entendu parler du trésor de l'Ile-aux-chênes?
C'est la plus bizarre des "îles au trésor" de la planète. D'ordinaire, les chercheurs savent ce qu'ils cherchent: un galion coulé avec telle cargaison. Tout ce qu'ils ignorent, c'est où chercher. Dans le cas de la petite Ile-aux-Chênes, au large de la Nouvelle-Ecosse, c'est le contraire: on sait où se trouve le "trésor". Mais on n'a pas l'ombre d'une idée de ce qu'il contient. Et surtout, on ignore qui a pu construire le système de pièges le plus ingénieux qu'une île au trésor ait jamais renfermé.
Au début, ça semblait facile: en 1795, Daniel McGinnis, un adolescent habitant sur le continent, qui s'amusait à chasser la perdrix dans cette île inhabitée, aperçoit une poulie de navire pendue à une branche de chêne. Juste au-dessous, il remarque une légère dépression du sol, comme si on avait rebouché un trou. Persuadé qu'il s'agit d'un trésor laissé par les pirates, il court prévenir deux copains.
À quelques pieds de profondeur, ils rencontrent une rangée de dalles (flagstones ); ils l'enlèvent et continuent à creuser. À trois mètres (dix pieds), c'est une deuxième plate-forme, faite de billes de chêne (oak ). Ils l'enlèvent et continuent à creuser.
Et ça continue ainsi pendant des jours. A six mètres (20 pieds), nouvelle plate-forme en chêne. À neuf mètres (30 pieds), une autre. Et sous elle, toujours cette terre tassée, avec de l'argile et des roches. Les garçons comprennent que ces plates-formes servent à se partager le poids des tonnes de terre. Sauf que neuf mètres de profondeur, c'est trop pour eux.
Ils abandonnent donc, et les choses en restent là pendant près de dix ans. Jusqu'en 1804...
C'est la plus bizarre des "îles au trésor" de la planète. D'ordinaire, les chercheurs savent ce qu'ils cherchent: un galion coulé avec telle cargaison. Tout ce qu'ils ignorent, c'est où chercher. Dans le cas de la petite Ile-aux-Chênes, au large de la Nouvelle-Ecosse, c'est le contraire: on sait où se trouve le "trésor". Mais on n'a pas l'ombre d'une idée de ce qu'il contient. Et surtout, on ignore qui a pu construire le système de pièges le plus ingénieux qu'une île au trésor ait jamais renfermé.
Au début, ça semblait facile: en 1795, Daniel McGinnis, un adolescent habitant sur le continent, qui s'amusait à chasser la perdrix dans cette île inhabitée, aperçoit une poulie de navire pendue à une branche de chêne. Juste au-dessous, il remarque une légère dépression du sol, comme si on avait rebouché un trou. Persuadé qu'il s'agit d'un trésor laissé par les pirates, il court prévenir deux copains.
À quelques pieds de profondeur, ils rencontrent une rangée de dalles (flagstones ); ils l'enlèvent et continuent à creuser. À trois mètres (dix pieds), c'est une deuxième plate-forme, faite de billes de chêne (oak ). Ils l'enlèvent et continuent à creuser.
Et ça continue ainsi pendant des jours. A six mètres (20 pieds), nouvelle plate-forme en chêne. À neuf mètres (30 pieds), une autre. Et sous elle, toujours cette terre tassée, avec de l'argile et des roches. Les garçons comprennent que ces plates-formes servent à se partager le poids des tonnes de terre. Sauf que neuf mètres de profondeur, c'est trop pour eux.
Ils abandonnent donc, et les choses en restent là pendant près de dix ans. Jusqu'en 1804...
En 1804, un nommé Simeon Lynds entend parler de la découverte des trois jeunes garçons. Il forme une compagnie et apporte sur l'île du matériel de mines.
Les ouvriers dépassent sans problème le niveau atteint dix ans plus tôt et, en continuant à creuser, découvrent à leur tour, tous les dix pieds, des plate-formes recouvertes tantôt de couches d'algues, tantôt de charbon... et même de fibres de cocotier!
Dans l'esprit des plus rêveurs, l'association cocotiers = Antilles = pirates = trésor, est rapidement faite...
À la 9e plate-forme (27 mètres ou 90 pieds), première découverte intéressante: une lourde dalle de pierre marquée, au verso, d'une inscription dans un langage indéchiffrable. Elle est mise de côté, et il faudra longtemps avant que quiconque ne la juge digne d'intérêt...
Les ouvriers atteignent 33 mètres (110 pieds) et s'arrêtent pour la nuit. Le lendemain matin, surprise: le puits est rempli aux trois quarts d'eau! D'où vient-elle? On ne sait pas. Mais surtout, pourquoi le puits ne s'est-il pas rempli plus tôt? Sur le coup, on n'a pas de réponse. Pendant des semaines, les hommes écopent avec des seaux et des pompes improvisées, sans parvenir à abaisser le niveau d'eau.
Au printemps suivant, ils creusent un deuxième puits, dans l'espoir de prendre le trésor par en-dessous. Ils descendent jusqu'à 37 mètres (123 pieds) puis se dirigent vers le puits au trésor. Alors qu'ils l'atteignent, l'eau commence à jaillir avec force. Les ouvriers n'échappent que de justesse à la noyade. Le deuxième puits est lui aussi inondé.
Certains s'interrogent: l'eau a, comme par hasard, commencé à jaillir lorsqu'on a enlevé la dalle gravée. Cette dalle aurait-elle agi comme un bouchon? Le puits aurait donc été conçu comme une paille à l'intérieur de laquelle l'eau ne montera pas si on en bouche l'extrémité avec le doigt?
L'hypothèse est séduisante. Mais n'apporte aucune solution au problème. La compagnie abandonne. Lynds est ruiné.
***
Les recherches ne reprendront qu'en 1849...
Les ouvriers dépassent sans problème le niveau atteint dix ans plus tôt et, en continuant à creuser, découvrent à leur tour, tous les dix pieds, des plate-formes recouvertes tantôt de couches d'algues, tantôt de charbon... et même de fibres de cocotier!
Dans l'esprit des plus rêveurs, l'association cocotiers = Antilles = pirates = trésor, est rapidement faite...
À la 9e plate-forme (27 mètres ou 90 pieds), première découverte intéressante: une lourde dalle de pierre marquée, au verso, d'une inscription dans un langage indéchiffrable. Elle est mise de côté, et il faudra longtemps avant que quiconque ne la juge digne d'intérêt...
Les ouvriers atteignent 33 mètres (110 pieds) et s'arrêtent pour la nuit. Le lendemain matin, surprise: le puits est rempli aux trois quarts d'eau! D'où vient-elle? On ne sait pas. Mais surtout, pourquoi le puits ne s'est-il pas rempli plus tôt? Sur le coup, on n'a pas de réponse. Pendant des semaines, les hommes écopent avec des seaux et des pompes improvisées, sans parvenir à abaisser le niveau d'eau.
Au printemps suivant, ils creusent un deuxième puits, dans l'espoir de prendre le trésor par en-dessous. Ils descendent jusqu'à 37 mètres (123 pieds) puis se dirigent vers le puits au trésor. Alors qu'ils l'atteignent, l'eau commence à jaillir avec force. Les ouvriers n'échappent que de justesse à la noyade. Le deuxième puits est lui aussi inondé.
Certains s'interrogent: l'eau a, comme par hasard, commencé à jaillir lorsqu'on a enlevé la dalle gravée. Cette dalle aurait-elle agi comme un bouchon? Le puits aurait donc été conçu comme une paille à l'intérieur de laquelle l'eau ne montera pas si on en bouche l'extrémité avec le doigt?
L'hypothèse est séduisante. Mais n'apporte aucune solution au problème. La compagnie abandonne. Lynds est ruiné.
***
Les recherches ne reprendront qu'en 1849...
En 1849, les recherches reprennent avec la coopérative de Truro. Il ne s'agit plus cette fois de creuser mais de faire des forages, pour savoir une fois pour toutes ce qui se trouve au fond. Les premiers résultats confirment les espoirs les plus fous: après avoir dépassé les 110 pieds, la foreuse passe à travers 10 cm de bois (le sommet d'une caisse?) et pénètre dans du métal en vrac!
Lorsqu'on remonte la foreuse, on y trouve des échantillons de chêne et ce qui semble être trois maillons en or d'une chaîne de gousset. C'est la première fois qu'on a la preuve que quelque chose de payant se trouve au fond. Encouragé, on refait descendre la foreuse. Au-delà du métal, elle traverse 20 cm de bois; sans doute le fond du coffre suivi du sommet d'un autre. Puis, 56 cm de métal en vrac. Puis, 10 cm de chêne (le fond du 2e coffre?) et 15 cm d'épinette (le plancher?).
Persuadés d'avoir enfin atteint la chambre au trésor, les chercheurs ne sont pas pour autant au bout de leurs peines: personne n'est encore parvenu à abaisser l'eau du puits, même avec des pompes.
A l'été 1850, ils décident donc de forer un second puits pour faciliter le pompage. Ils creusent jusqu'à 36 mètres (120 pieds), un niveau jamais atteint jusque-là. Puis, ils se dirigent vers le premier puits, dans l'espoir d'atteindre le trésor par en-dessous. C'est la catastrophe: en moins de 20 minutes, le second puits se remplit au même niveau que le premier. Pire encore, à en juger par le bruit, les ouvriers en déduisent que le fond du puits au trésor s'est affaissé dans leur propre conduit. Lequel est maintenant tout aussi inondé que le premier puits. Chou blanc.
Ce n'est qu'à ce moment qu'un ouvrier a l'idée de goûter l'eau du puits: elle est salée. C'est donc de l'eau de mer, et non un lac souterrain. Le puits est relié à la mer: pas étonnant qu'on n'arrive pas à le pomper!
---->
Lorsqu'on remonte la foreuse, on y trouve des échantillons de chêne et ce qui semble être trois maillons en or d'une chaîne de gousset. C'est la première fois qu'on a la preuve que quelque chose de payant se trouve au fond. Encouragé, on refait descendre la foreuse. Au-delà du métal, elle traverse 20 cm de bois; sans doute le fond du coffre suivi du sommet d'un autre. Puis, 56 cm de métal en vrac. Puis, 10 cm de chêne (le fond du 2e coffre?) et 15 cm d'épinette (le plancher?).
Persuadés d'avoir enfin atteint la chambre au trésor, les chercheurs ne sont pas pour autant au bout de leurs peines: personne n'est encore parvenu à abaisser l'eau du puits, même avec des pompes.
A l'été 1850, ils décident donc de forer un second puits pour faciliter le pompage. Ils creusent jusqu'à 36 mètres (120 pieds), un niveau jamais atteint jusque-là. Puis, ils se dirigent vers le premier puits, dans l'espoir d'atteindre le trésor par en-dessous. C'est la catastrophe: en moins de 20 minutes, le second puits se remplit au même niveau que le premier. Pire encore, à en juger par le bruit, les ouvriers en déduisent que le fond du puits au trésor s'est affaissé dans leur propre conduit. Lequel est maintenant tout aussi inondé que le premier puits. Chou blanc.
Ce n'est qu'à ce moment qu'un ouvrier a l'idée de goûter l'eau du puits: elle est salée. C'est donc de l'eau de mer, et non un lac souterrain. Le puits est relié à la mer: pas étonnant qu'on n'arrive pas à le pomper!
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On finit par trouver dans une anse, à une centaine de mètres de là, un endroit d'où l'eau s'échappe, à marée basse, à travers le sable. Les ouvriers enlèvent aussitôt le sable et le gravier et s'aperçoivent que la plage a été recouverte d'une couche compacte de galets et de roches entre lesquels on a tassé des algues et des fibres de noix de coco. Autrement dit, quelqu'un a transformé 45 mètres de plage en éponge, puis recouvert le tout de sable. La plage au complet est artificielle!
Ce n'est pas tout: cinq conduits souterrains d'écoulement recouverts de gros galets et de roches plates conduisent à l'entrée d'un tunnel. À marée haute, l'eau s'infiltre par ces cinq conduits, et de là par le tunnel, en direction du puits au trésor. Et l'hypothèse de la paille se révèle exacte: quiconque enlève les plate-formes de chêne du puits, enlève les "bouchons" qui empêchaient l'eau de la mer d'atteindre le puits.Comme une paille qui ne se remplira pas si on en bouche une extrémité avec le doigt!
De toute évidence, les mystérieux constructeurs de cet ingénieux système se sont donnés un mal fou pour empêcher des intrus d'accéder à leur trésor...
Ce n'est pas tout: cinq conduits souterrains d'écoulement recouverts de gros galets et de roches plates conduisent à l'entrée d'un tunnel. À marée haute, l'eau s'infiltre par ces cinq conduits, et de là par le tunnel, en direction du puits au trésor. Et l'hypothèse de la paille se révèle exacte: quiconque enlève les plate-formes de chêne du puits, enlève les "bouchons" qui empêchaient l'eau de la mer d'atteindre le puits.Comme une paille qui ne se remplira pas si on en bouche une extrémité avec le doigt!
De toute évidence, les mystérieux constructeurs de cet ingénieux système se sont donnés un mal fou pour empêcher des intrus d'accéder à leur trésor...
ça n'interesse personne?
Je vais voir........
je trouve pas, j'ai fais un tour sur le net et j'ai trouvé aucune réponse correct
L'ile aux chênes est une histoire véridique, l'ile existe bel et bien ainsi que le fameux "trou".
Mais on n'a jamais retrouvé le trésor et on ne sait rien des gens qui ont creusé cette immense trou.
La question est : a votre avis,en faisant appel a votre imagination, que peut bien être la nature de ce trésor? Qui s'est "amusé" a creusé un trou aussi profond avec un système hyper ingénieux?
oui mais tu n'as pas mis tt l'histoire de l'ile aux chênes.
C'est trop profond et ca demande trop de travail pour le 18 siècle peut etre que c'est la nature qui a fait ca
Donc pour toi c'est le fruit du hasard, ou plutôt c'est la nature qui a fait ça?
Peut être...Mais le fait d'avoir des "paliers" constitué de différents matériaux tendrait a prouver le contraire,tu ne trouves pas?
Enfin bon, vu qu'on ne sait pas ce que sait, tout est crédible ^^
oui mais a plus de 50m de profondeur ils ont trouvés quelques choses
50 metres c'est énorme, ca prend bcp de tp comment peut on creuser une tel profondeur sans que personne ne le remarque?
Avaient-t-ils les moyens de le faire au 18ème siècle? Je ne pense pas.
Un travail aussi colossal a surement demandé beaucoup beaucoup beaucoup d'hommes...
Mais pourquoi?
Pour cacher quoi? De l'or?
Généralement, quand tu caches un truc c'est pour le récupérer plus tard...Donc on ne va pas se casser la tête a l'enfouir sous des dizaines de mètres de profondeur.
Je pense que le trésor ou le truc qui a été enterré c'est quelque chose qui ne doit pas être découvert.
Quelque chose de dangereux ou de secret...
Naveen
VIB
Je dirais le Saint Graal ou bien l'Arche d'Alliance
Tu as lu l'histoire?
Avoue que c'est troublant ce truc
Naveen
VIB
Tu as lu l'histoire?
Avoue que c'est troublant ce truc
Oui j'ai lu ça tout à l'heure.
Effectivement c'est assez troublant. On n'enterre jamais un trésor à une telle profondeur.
Il faudrait que je relise l'histoire, il y a peut-être quelques détails qui peuvent en dire long.
Seulement il n'ya aucun témoignage de cela, comme tu l'a dis ce travail a surement demandé beaucoup beaucoup d'hommes; et parmi eux penses tu qu'aucun n'aurai parlé ?
ce travail aurai aussi suscité bcp de curiosité de la part des villageois et aucun d'eux n'en aurai parlé ?
C'est ce que j'ai lu sur le net des théories comme la tienne, des théories surnaturelle ou de complot...
Si sa vous chante, je vous invite a visiter ce site (amateur) qui regroupe tout les trucs bizarres et/ou inexpliqués :
http://www.dinosoria.com/enigmes_terre.htm
Crimes inexpliqués, l'énigme des "enfants verts", le mythe des loups garous, les prophéties, les ovnis, les phénomènes inexpliqués etc etc..
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