MARSEILLE (Sipa) Manuel Valls a décidé de dissoudre le service de jour de la BAC Nord de Marseille, après la mise en examen de 12 de ses policiers, soupçonnés de vol et de racket sur des revendeurs de drogue. Les mis en cause, dont sept ont été écroués, ont été immédiatement suspendus.
Présentés vendredi aux deux juges d'instruction marseillais chargés du dossier, 12 policiers de la Brigade anti-criminalité (BAC) Nord de Marseille ont été mis en examen pour "vols en bande organisée, extorsions en bande organisée et infraction à la législation sur les stupéfiants", a-t-on appris samedi de source judiciaire.
Sept d'entre eux ont été écroués dans plusieurs établissements pénitentiaires de la région, à l'exception des Baumettes, a précisé le procureur de la République de Marseille, Jacques Dallest. Les cinq autres ont été remis en liberté, mais placés sous conLe parquet de Marseille avait requis le placement sous mandat de dépôt de la plupart des mis en cause.
Le juge des libertés et de la détention (JLD) a toutefois estimé que les faits étaient graves et, conformément aux réquisitions du ministère public, opté pour l'incarcération des personnes soupçonnées d'être les plus impliquées, en considérant que le trouble à l'ordre public était important et que des risques de réitération des faits n'étaient pas à exclure.
trôle judiciaire avec interdiction d'exercer leur profession et évidemment de se rendre dans les locaux de la BAC Nord.
Présentés vendredi aux deux juges d'instruction marseillais chargés du dossier, 12 policiers de la Brigade anti-criminalité (BAC) Nord de Marseille ont été mis en examen pour "vols en bande organisée, extorsions en bande organisée et infraction à la législation sur les stupéfiants", a-t-on appris samedi de source judiciaire.
Sept d'entre eux ont été écroués dans plusieurs établissements pénitentiaires de la région, à l'exception des Baumettes, a précisé le procureur de la République de Marseille, Jacques Dallest. Les cinq autres ont été remis en liberté, mais placés sous conLe parquet de Marseille avait requis le placement sous mandat de dépôt de la plupart des mis en cause.
Le juge des libertés et de la détention (JLD) a toutefois estimé que les faits étaient graves et, conformément aux réquisitions du ministère public, opté pour l'incarcération des personnes soupçonnées d'être les plus impliquées, en considérant que le trouble à l'ordre public était important et que des risques de réitération des faits n'étaient pas à exclure.
trôle judiciaire avec interdiction d'exercer leur profession et évidemment de se rendre dans les locaux de la BAC Nord.