Exclue du collège pour avoir porté une jupe longue et un bandeau

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Soomy
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Merci pour la reponse firar ! :cool:

Ce fameux conseil constitutionnel ne trouve t il pas que c'est contre les droits et libertés d'une personne de lui dicter de comment s'habiller ? !!!:intello:
S'est il prononcé clairement à ce sujet en France ?

si je me souviens il est intervenu à l'époque la restreindre la porté de la loi en particulier à la fac à était suprimé des lieux interdits de voile considérant que les personnes à la fac étaient majeures.
Pour la fonction publique je crois que c'est un tribunal administratif qui a jugé.
Tout ça s'en garantie c'est des souvenirs et donc susceptibles d'être confus
 
j'aime bien qd tu manques d'argument :)

PS : je n'insulte pas je fais un constat et je ne vois pas ou j'ai cité des propos racistes, trouves autres chose ;)
Il suffit de demander
et toi comment tu expliques son exclusion ? ce qui est sûr si elle était en mini jupe ou habillée comme leurs prostituées
ils l'auraient accepté, ce monde de pervers qui veulent à tout prix imposer leur loi de sous race aux gens
libres, ils n'ont pas compris qu'elle n'est pas esclave de ses désirs comme eux, les descendant de femen et d'homen
ce qui est normal est devenu anormal, ils n'ont qu'à monter leurs femmes, de tte façon c'est déjà le cas, ils les partagent même
race qui pue...
Tu n'es pas à un mensonge près.
 
Et en quoi regarde quelqu'un ce qu'elle porte sous sa jupe?

Depuis quand une jupe longue avec un bandeau font office de signes religieux?

Comme je l'ai déjà dit à un autre intervenant, il y aurait beaucoup plus de commentaires si c'était un mec qui portait cette tenue.
Et, dans ce cas-là, je ne suis pas certain que tu me ferai la même remarque.
 
Hé bien, disons que si chacun à le droit de s'habiller comme il veut, de même chacun à le droit de penser ce qu'il veut et je pense que mettre une jupe sur un pantalon est stupide.
Elle devrait essayer de faire l'inverse, ce serait encore plus original.
 
Et ben Bissmillah aalik toi !!!
Un open mind....ce n'est pas de tes qualités je crois :D

Je ne m'habille pas de la facon ni aucun de ma famille, mais je n'insulterai personne qui s'habille d'une facon differente de la mienne ! :langue:

C'est exactement les petites idées comme la tienne qui ont rendu ce monde comme il est. Si ces gens commencent à dicter aux autres comment faire (faire leur loi) là ca serait un serieux avec eux mais tant que ca reste dans leur vie ca doit pas à arriver à des insultes !!!!

Devant la loi actuelle devant une juge habillée en mini jupe (ce qui ne sera jamais le cas parceque au trubinal ils ont un code d'habillement loin d'une jupe) ...et en lancant des paroles comme tu as fait tu cours un risque majeur !!!!


Parce que tu es une personne respectueuse, et chez les islamophobes, on n'a aucune notion de respect.
 
Tu crois qu'ils portent des slips en dessous ?

C'est un des grands mythes urbains, parait que certains ne portent rien
dessous :D

Ils ont peut être un caleçon court mais fait chaud dessous.
J'aurais peut être porté un kilt si j'étais resté là bas ou si ma famille
était restée en Ecosse il y a 3 siècles.
 
Une élève sérieuse, consciencieuse et surtout de bonne éducation musulmane aurait enlevé ce bandeau. Son attitude n est que provocation et gaminerie. Qu est ce que ça aurait changé avec ou sans bandeau? C est pas ce bandeau qui va faire la bonne musulmane , c est son attitude et sa bonne éducation . De mon temps, on obéissait aux parents et aux profs.

Maintenant, l Islam est devenu le prétexte pour certains jeunes pour faire preuve de rébellion mal placée et provocation .

Et pendant ce temps la, on reste toujours dernier dans les études.
 
C’est une nouvelle fois dans l’enceinte des établissements scolaire, au cœur de l’édifice démocratique, au sein même de l’école républicaine à laquelle le ministre de l’Education nationale assure, pourtant, investir tous les moyens pour une « refondation » en profondeur, que se manifestent encore les formes d’islamophobie les plus aberrantes.

Et c’est dans le droit fil de cette islamophobie légalisée et portée, depuis une décennie, contre les citoyennes qui revêtent un foulard que l’étau se resserre pour s’illustrer, chaque fois un peu plus, dans des situations des plus risibles lorsque celles-ci ne violent pas, avec insolence, la dignité de ces filles et de ces femmes.

En effet, certains fonctionnaires de l’éducation nationale continuent, imperturbablement, d’être responsables de décisions ouvertement islamophobes, toutes à la fois arbitraires et illégales. Des lycéennes sont convoquées, menacées, prises à parti, isolées pour enfin être sanctionnées par des responsables de certains établissements scolaires qui jugent leurs vêtements trop longs ou trop larges, non homologuées au régime d'une laïcité dévoyée et antimusulmane que ces derniers ont décidé de faire régner. Des tenues marquées comme non conformes et qui semblent, plutôt, irriter les fidèles d’une certaine « religion laïque » dont Jules Ferry, lui-même, craignait l’avènement.

Ainsi les bureaux du CCIF débordent, continuellement, de cas de ces jeunes lycéennes recensées comme voilées en dehors de l’établissement par certaines administrations pour enfin être menacées puis sanctionnées pour des tenues jugées « trop longues » et « trop islamiques ». Une laïcité qui vise, donc, spécifiquement une catégorie de lycéennes en raison de son appartenance religieuse préalablement identifiée.

Ainsi, il y a quelques semaines, par exemple, une élève lycéenne dans un établissement de Haute-Garonne a été convoquée une première fois et en toute illégalité par l’administration au sujet d’un foulard qu’elle porte à l’extérieur de l’établissement. Elle doit endurer une surveillance malveillante et des remarques répétées par les enseignants et la CPE sur sa tenue vestimentaire pour finalement se voir convoquer avec deux autres lycéennes en raison du port de tenues à "connotation religieuse", qu’elles seraient « peu professionnelles » au regard des exigences de l’établissement, et que ces tenues ne sont « pas assez féminines ». Comme le seuil de l’absurde est franchi ici, on les somme, plus expressément, d’enfiler « des collants » sous leurs jupes plutôt que des pantalons ! L'infirmière du Lycée osera même dire à l’une de ces lycéennes, récemment convertie, et qui souhaitait trouver auprès d’elle une oreille attentive avant que sa maman ne soit convoquée par l'administration pour « parler » de sa récente conversion : "Tu as de la chance de ne pas être née dans une famille musulmane" ! Les trois filles, pourtant bonnes élèves dans l’attitude et le travail sont, à ce jour, en attente de leur conseil de discipline.

Autre cas récent en Rhône-Alpes. Une lycéenne porte robes et jupes "longues" sans aucun problème depuis le début de l’année dans un établissement privé sous contrat. Puis identifiée comme porteuse de foulard à l’extérieur de l’établissement, ces vêtements sont de suite jugés comme non-laïques par les enseignants qui alertent l’administration. Un comble pour une école privée catholique. On lui somme, dès lors, de porter une tenue "décente" et de se présenter aux professeurs chaque matin pour qu'ils jugent de sa tenue, si celle-ci est jugée non conforme elle se voit renvoyer à son domicile. La lycéenne témoigne d'un harcèlement permanent et évoque un "enlevez votre chiffon" par une professeure lors d'une sortie scolaire. Le même établissement qui est accusé par une seconde lycéenne d'interdire les longues jupes et les longues robes avec comme raison que cela serait "dangereux" parce que les filles pourraient "tomber". L'une des élèves dira, même, avoir été exposée par un enseignant dans la salle des professeurs pour que ces derniers donnent un "avis" sur la tenue qu'elle portait!

Et puis enfin cette lycéenne de Terminale E.S stigmatisée par son administration, harcelée, puis convoquée par sa CPE qui lui somme de laisser dépasser ses cheveux lorsqu’elle souhaite se protéger de la pluie dans l’établissement et de se munir d’un parapluie car contrairement aux autres lycéennes qui se couvrent de la pluie à l’aide d’une écharpe, veste ou tout autre vêtements « toi tu le portes déjà en dehors du lycée" autrement dit le voile ! Un fichage qui fait froid dans le dos. Une autre convocation, cette fois avec la maman, va montrer que celle-ci est surveillée par les « pions » et qu’elle ne devra plus comme les autres filles le font librement se couvrir la tête avec une écharpe ou un foulard lorsqu'il pleut et qu’au refus d’obtempérer elle risquait la commission en discipline. Une lycéenne qui n’a, pourtant, eu aucun problème de comportement ou de travail depuis 4 ans dans le lycée. Enfin, le chantage le plus exécrable tombe comme un couperet à la fin de l’entretien : elle doit "collaborer" docilement afin d'obtenir son bac général.

Le CCIF accuse, fermement, cette conception absolutiste de la laïcité qui ne recule devant aucune aberration. Une laïcité qui prend la forme d’un combat mené en règle par des fonctionnaires zélés et fanatiques contre des lycéennes vulnérables. Une laïcité sacrifiée sur l’autel de la répression et de la discrimination qui brisent la scolarité et la dignité de jeunes filles sans que personne ne s’en émeuve. Un concept lepénisée qui diffuse, aujourd’hui, sa haine et se définit dans la pratique comme un grigri antimusulman. Une laïcité falsifiée qui fait, aujourd’hui et prodigieusement, du leader frontiste « la championne » d’un concept que sa famille politique a toujours exécré et combattu dans l’histoire.

Ces dérives de la loi de 2004 et cette traque aux musulmanes dans les établissements jette un soupçon manifeste autour des intentions qui ont amené le législateur à voter cette loi. Un dispositif législatif présenté, alors, comme un bouclier censé protéger la loi de 1905 mais qui, dans la pratique et depuis une décennie, persécute et rend suspect tout comportement, attitude ou apparence de citoyennes de confession musulmane.

Donc loin d’incarner la rupture tant attendue qui aurait fait cesser ces pratiques discriminatoires exercées, impunément, sous le précédent gouvernement, c’est toujours dans un climat de stigmatisation qu'on souhaite, aujourd’hui, rendre plus respectable ce que vivent les citoyens français de confession musulmane.

Il est temps que ces pratiques et cette dérive inexorable de la laïcité cessent et que ce gouvernement de gauche saisisse le courage de l’alternative à cette instrumentalisation en entendant les recommandations de nombreuses organisations européennes et internationales ainsi que l’appel de nombreux spécialistes, tels que Jean Baubérot, Emile Poulat ou Raphaël Liogier pour un retour à la liberté et à l'esprit des textes de 1905. Un retour salutaire à une laïcité inclusive, ouverte et libre bâtit par les ténors de la gauche.

http://islamophobie.net/articles/2014/03/05/education-jupes-longues-eleves-musulmanes
 
C’est une nouvelle fois dans l’enceinte des établissements scolaire, au cœur de l’édifice démocratique, au sein même de l’école républicaine à laquelle le ministre de l’Education nationale assure, pourtant, investir tous les moyens pour une « refondation » en profondeur, que se manifestent encore les formes d’islamophobie les plus aberrantes.

Et c’est dans le droit fil de cette islamophobie légalisée et portée, depuis une décennie, contre les citoyennes qui revêtent un foulard que l’étau se resserre pour s’illustrer, chaque fois un peu plus, dans des situations des plus risibles lorsque celles-ci ne violent pas, avec insolence, la dignité de ces filles et de ces femmes.

En effet, certains fonctionnaires de l’éducation nationale continuent, imperturbablement, d’être responsables de décisions ouvertement islamophobes, toutes à la fois arbitraires et illégales. Des lycéennes sont convoquées, menacées, prises à parti, isolées pour enfin être sanctionnées par des responsables de certains établissements scolaires qui jugent leurs vêtements trop longs ou trop larges, non homologuées au régime d'une laïcité dévoyée et antimusulmane que ces derniers ont décidé de faire régner. Des tenues marquées comme non conformes et qui semblent, plutôt, irriter les fidèles d’une certaine « religion laïque » dont Jules Ferry, lui-même, craignait l’avènement.

Ainsi les bureaux du CCIF débordent, continuellement, de cas de ces jeunes lycéennes recensées comme voilées en dehors de l’établissement par certaines administrations pour enfin être menacées puis sanctionnées pour des tenues jugées « trop longues » et « trop islamiques ». Une laïcité qui vise, donc, spécifiquement une catégorie de lycéennes en raison de son appartenance religieuse préalablement identifiée.

Ainsi, il y a quelques semaines, par exemple, une élève lycéenne dans un établissement de Haute-Garonne a été convoquée une première fois et en toute illégalité par l’administration au sujet d’un foulard qu’elle porte à l’extérieur de l’établissement. Elle doit endurer une surveillance malveillante et des remarques répétées par les enseignants et la CPE sur sa tenue vestimentaire pour finalement se voir convoquer avec deux autres lycéennes en raison du port de tenues à "connotation religieuse", qu’elles seraient « peu professionnelles » au regard des exigences de l’établissement, et que ces tenues ne sont « pas assez féminines ». Comme le seuil de l’absurde est franchi ici, on les somme, plus expressément, d’enfiler « des collants » sous leurs jupes plutôt que des pantalons ! L'infirmière du Lycée osera même dire à l’une de ces lycéennes, récemment convertie, et qui souhaitait trouver auprès d’elle une oreille attentive avant que sa maman ne soit convoquée par l'administration pour « parler » de sa récente conversion : "Tu as de la chance de ne pas être née dans une famille musulmane" ! Les trois filles, pourtant bonnes élèves dans l’attitude et le travail sont, à ce jour, en attente de leur conseil de discipline.

Autre cas récent en Rhône-Alpes. Une lycéenne porte robes et jupes "longues" sans aucun problème depuis le début de l’année dans un établissement privé sous contrat. Puis identifiée comme porteuse de foulard à l’extérieur de l’établissement, ces vêtements sont de suite jugés comme non-laïques par les enseignants qui alertent l’administration. Un comble pour une école privée catholique. On lui somme, dès lors, de porter une tenue "décente" et de se présenter aux professeurs chaque matin pour qu'ils jugent de sa tenue, si celle-ci est jugée non conforme elle se voit renvoyer à son domicile. La lycéenne témoigne d'un harcèlement permanent et évoque un "enlevez votre chiffon" par une professeure lors d'une sortie scolaire. Le même établissement qui est accusé par une seconde lycéenne d'interdire les longues jupes et les longues robes avec comme raison que cela serait "dangereux" parce que les filles pourraient "tomber". L'une des élèves dira, même, avoir été exposée par un enseignant dans la salle des professeurs pour que ces derniers donnent un "avis" sur la tenue qu'elle portait!

Et puis enfin cette lycéenne de Terminale E.S stigmatisée par son administration, harcelée, puis convoquée par sa CPE qui lui somme de laisser dépasser ses cheveux lorsqu’elle souhaite se protéger de la pluie dans l’établissement et de se munir d’un parapluie car contrairement aux autres lycéennes qui se couvrent de la pluie à l’aide d’une écharpe, veste ou tout autre vêtements « toi tu le portes déjà en dehors du lycée" autrement dit le voile ! Un fichage qui fait froid dans le dos. Une autre convocation, cette fois avec la maman, va montrer que celle-ci est surveillée par les « pions » et qu’elle ne devra plus comme les autres filles le font librement se couvrir la tête avec une écharpe ou un foulard lorsqu'il pleut et qu’au refus d’obtempérer elle risquait la commission en discipline. Une lycéenne qui n’a, pourtant, eu aucun problème de comportement ou de travail depuis 4 ans dans le lycée. Enfin, le chantage le plus exécrable tombe comme un couperet à la fin de l’entretien : elle doit "collaborer" docilement afin d'obtenir son bac général.

Le CCIF accuse, fermement, cette conception absolutiste de la laïcité qui ne recule devant aucune aberration. Une laïcité qui prend la forme d’un combat mené en règle par des fonctionnaires zélés et fanatiques contre des lycéennes vulnérables. Une laïcité sacrifiée sur l’autel de la répression et de la discrimination qui brisent la scolarité et la dignité de jeunes filles sans que personne ne s’en émeuve. Un concept lepénisée qui diffuse, aujourd’hui, sa haine et se définit dans la pratique comme un grigri antimusulman. Une laïcité falsifiée qui fait, aujourd’hui et prodigieusement, du leader frontiste « la championne » d’un concept que sa famille politique a toujours exécré et combattu dans l’histoire.

Ces dérives de la loi de 2004 et cette traque aux musulmanes dans les établissements jette un soupçon manifeste autour des intentions qui ont amené le législateur à voter cette loi. Un dispositif législatif présenté, alors, comme un bouclier censé protéger la loi de 1905 mais qui, dans la pratique et depuis une décennie, persécute et rend suspect tout comportement, attitude ou apparence de citoyennes de confession musulmane.

Donc loin d’incarner la rupture tant attendue qui aurait fait cesser ces pratiques discriminatoires exercées, impunément, sous le précédent gouvernement, c’est toujours dans un climat de stigmatisation qu'on souhaite, aujourd’hui, rendre plus respectable ce que vivent les citoyens français de confession musulmane.

Il est temps que ces pratiques et cette dérive inexorable de la laïcité cessent et que ce gouvernement de gauche saisisse le courage de l’alternative à cette instrumentalisation en entendant les recommandations de nombreuses organisations européennes et internationales ainsi que l’appel de nombreux spécialistes, tels que Jean Baubérot, Emile Poulat ou Raphaël Liogier pour un retour à la liberté et à l'esprit des textes de 1905. Un retour salutaire à une laïcité inclusive, ouverte et libre bâtit par les ténors de la gauche.

http://islamophobie.net/articles/2014/03/05/education-jupes-longues-eleves-musulmanes
la hijra sunnite ten pense quoi ??
 
faux! les premiers musulmans ont fait hijra dans un pays chrétien et les musulmans sont partis dans tous les pays faire la daawa, avec 6 millions de musulmans en France tu penses bien qu'on est plus nombreux que dans certains émirats arabes, on a des mosquées on a tout ce qu'il faut!

salam

dapres les lois sunnite la hijra et obligatoire donc si elles avait fait la hijra yaurait pas discussion
 
faux! les premiers musulmans ont fait hijra dans un pays chrétien et les musulmans sont partis dans tous les pays faire la daawa, avec 6 millions de musulmans en France tu penses bien qu'on est plus nombreux que dans certains émirats arabes, on a des mosquées on a tout ce qu'il faut!
la france nest pas un pay chretien
ensuite la majoriter des savant sunnite qui connaissent les hadith mieu que toi disent la hijra est obligatoire
 
me raconte pas d'ânerie je connais encore ma religion, aucun savant ne dit qu'il faut partir pour être un expatrié et un étranger dans un autre pays! la France nous garantit la liberté et le droit à notre culte, relis la loi de 1905! nous sommes chez nous ici, nous construisons des mosquées, des écoles, nous faisons des enfants et l'islam entre dans toutes les maisons! nous travaillons pour la France notre beau pays céti pas bo la vie!

la france nest pas un pay chretien
ensuite la majoriter des savant sunnite qui connaissent les hadith mieu que toi disent la hijra est obligatoire
 
me raconte pas d'ânerie je connais encore ma religion, aucun savant ne dit qu'il faut partir pour être un expatrié et un étranger dans un autre pays! la France nous garantit la liberté et le droit à notre culte, relis la loi de 1905! nous sommes chez nous ici, nous construisons des mosquées, des écoles, nous faisons des enfants et l'islam entre dans toutes les maisons! céti pas bo la vie!
ecoute tu as mit un topic sur le nationalisme
pour nous dire cest mal est quil faut seulement etre musulman

mais maintenant tu revendique le nationalisme francais
alor que la majorter des savant interdisent de vivre en pay mecreant
 
Autre cas récent en Rhône-Alpes. Une lycéenne porte robes et jupes "longues" sans aucun problème depuis le début de l’année dans un établissement privé sous contrat. Puis identifiée comme porteuse de foulard à l’extérieur de l’établissement, ces vêtements sont de suite jugés comme non-laïques par les enseignants qui alertent l’administration. Un comble pour une école privée catholique.
Eh bien là alors il faut que les parents arrêtent de payer l’école et la retire de cette école pour l’inscrire ailleurs. Si dans cette école ils ne veulent pas de l’élève, ils se passeront bien aussi des chèques des parents.

Là c’est le pompon, je ne pensais pas que les écoles privées s’y mettraient aussi.

Avec les écoles privées, il ne faut pas se priver de faire jouer la concurrence, et leur faire payer ainsi leurs égarements, et faire la publicité des bonnes écoles privées qui respectent les élèves (et aussi l’anti‑publicité des écoles privées qui ne les respectent pas).
 
Dernière édition:
Excusez ma novicité . Mais qui a lancé ce concept de jupe longue sur le pantalon et les jilbeb ?

Les sans gouts , c'est juste laid ça n 'apporte rien c'est ridicule histoire de se faire remarquer bien comme il faut parceque qd tu es musulmane pour certaines faut etre ***** et elles lient leurs conneries a un accoutrement symbolique ici le pantalon sous la jupe ainsi les connes se reconnaissent entres elle c'est leurs signe ostententoire , elles ont crée une nouvelle mouvance islamique .
 
A faire des trucs aussi stupides que chasser les jupes des gamines, ça accentue le clivage entre musulmans et les autres.
Résultat, quand des vrais gars radicalisés et dangereux existent, ça passe inaperçu ...
 
A faire des trucs aussi stupides que chasser les jupes des gamines, ça accentue le clivage entre musulmans et les autres.
Résultat, quand des vrais gars radicalisés et dangereux existent, ça passe inaperçu ...
Et même si je ne sais pas si ce n’est qu’une impression, j’ai l’impression qu’«on» les laisse plutôt tranquilles en comparaison, et qu’«on» s’en prend plus facilement à elles (et je dis ça en étant pas du tout féministe). En fait l’état et les institutions de l’état, agressent beaucoup plus volontiers les Musulmanes que les Musulmans, ou en tous les cas, l’affiche plus. C’est au moins l’impression que j’ai.
 
Et même si je ne sais pas si ce n’est qu’une impression, j’ai l’impression qu’«on» les laisse plutôt tranquilles en comparaison, et qu’«on» s’en prend plus facilement à elles (et je dis ça en étant pas du tout féministe). En fait l’état et les institutions de l’état, agressent beaucoup plus volontiers les Musulmanes que les Musulmans, ou en tous les cas, l’affiche plus. C’est au moins l’impression que j’ai.
Le résultat est que par défi, ces filles vont accentuer les signes communautaires au lieu de rester intégrées.
Ca se comprend, a leur place je ferai exactement pareil :)
 
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