Faire don de ces organes

@misschemsy31, je marque ce que j'ai lue est compris
La vente organe est interdit de son vivant ou mort .
On peux donner un organe après ça mort sous condition :
1) qui a donner sont accord de sont vivant
2) que ces proche son d'accord vue ces eux qui sont responsable du corp après la mort du défunt
3 ) faut pas trop enlever organe .
La raison si ça nui au bain mortuaire ou peux lui mettre le linceul est faire la prière sur lui .
4) organe interdit a prélever les organe génitaux
Pour celui qui ressoie un organe :
Si il va mourir ou avoir un fort handicap .
Que la personne qui ressoie a des fort chance de ce rétablire
Le musulman peux recevoir organe d'un non musulman .
La personne qui donne les organe de son vivant .
Que ces un organe en double est que le médecin lui garantir que ça a pas de répercutions sur ça santer a lui
Don organe externe bien yx main est pied ces interdit .
Est la personne soir margeur est conscient .
Pour le cœur par contre la il y a une grand divergence je donne pas mon avis
Ps j'ai pas fini le livre donc si il manque quelque chose vous pouvez compléter .
@nadia91270,
 
@misschemsy31, je marque ce que j'ai lue est compris
La vente organe est interdit de son vivant ou mort .
On peux donner un organe après ça mort sous condition :
1) qui a donner sont accord de sont vivant
2) que ces proche son d'accord vue ces eux qui sont responsable du corp après la mort du défunt
3 ) faut pas trop enlever organe .
La raison si ça nui au bain mortuaire ou peux lui mettre le linceul est faire la prière sur lui .
4) organe interdit a prélever les organe génitaux
Pour celui qui ressoie un organe :
Si il va mourir ou avoir un fort handicap .
Que la personne qui ressoie a des fort chance de ce rétablire
Le musulman peux recevoir organe d'un non musulman .
La personne qui donne les organe de son vivant .
Que ces un organe en double est que le médecin lui garantir que ça a pas de répercutions sur ça santer a lui
Don organe externe bien yx main est pied ces interdit .
Est la personne soir margeur est conscient .
Pour le cœur par contre la il y a une grand divergence je donne pas mon avis
Ps j'ai pas fini le livre donc si il manque quelque chose vous pouvez compléter .
@nadia91270,
merci infiniment
 
@misschemsy31, je marque ce que j'ai lue est compris
La vente organe est interdit de son vivant ou mort .
On peux donner un organe après ça mort sous condition :
1) qui a donner sont accord de sont vivant
2) que ces proche son d'accord vue ces eux qui sont responsable du corp après la mort du défunt
3 ) faut pas trop enlever organe .
La raison si ça nui au bain mortuaire ou peux lui mettre le linceul est faire la prière sur lui .
4) organe interdit a prélever les organe génitaux
Pour celui qui ressoie un organe :
Si il va mourir ou avoir un fort handicap .
Que la personne qui ressoie a des fort chance de ce rétablire
Le musulman peux recevoir organe d'un non musulman .
La personne qui donne les organe de son vivant .
Que ces un organe en double est que le médecin lui garantir que ça a pas de répercutions sur ça santer a lui
Don organe externe bien yx main est pied ces interdit .
Est la personne soir margeur est conscient .
Pour le cœur par contre la il y a une grand divergence je donne pas mon avis
Ps j'ai pas fini le livre donc si il manque quelque chose vous pouvez compléter .
@nadia91270,
Bonjour,
Donner ses yeux est interdit au nom de quoi?
 
est ce qu'un musulman peut faire don de ces organes(cœur, poumon rein) à sa mort?
Salam alaykoum
Un lien que j'avais déjà posté il y a très longtemps, il est assez intéressant et complet:
http://www.institut-al-ghazali.fr/c...ncais/article/cours-de-bioethique-et-religion

Edit: la partie sur le don organe :

3 – Dons d’organes prélevées sous certaines conditions dans la seule considération du Coran : Coran V.32 (Al-An ‘am) : donner la vie est une HASSANA. « Et quiconque donne la vie à un être humain c’est comme s’il la donnait à toute l’humanité ». < مِنْ أَجْلِ ذٰلِكَ كَتَبْنَا عَلَىٰ بَنِيۤ إِسْرَائِيلَ أَنَّهُ مَن قَتَلَ نَفْساً بِغَيْرِ نَفْسٍ أَوْ فَسَادٍ فِي ٱلأَرْضِ فَكَأَنَّمَا قَتَلَ ٱلنَّاسَ جَمِيعاً وَمَنْ أَحْيَاهَا فَكَأَنَّمَا أَحْيَا النَّاسَ جَمِيعاً َ

• Don d’organe : encouragé sous forme de Don d’organes volontaire dans le cadre d’une bonne action ou du bien public. Accord nécessaire du donneur ou de sa famille.

1 – Le don d’organes pour nécessité vitale d’un malade est permis. C’est un acte de don, de charité en s’entourant de toutes garanties envers le Donneur (autorisation familiale). Coran : « Qui donne la vie a un être humain, c’est comme s’il donnait en vie à toute l’humanité.

L'argument est donc celui précité
 
Dernière édition:
Bah il parle du coeur juste en dessous. J imagime que cz n est pas une personne vivante.
Bah il parle du coeur juste en dessous. J imagime que cz n est pas une personne vivante.
Non ce n'est pas pour une personne vivante. Sa dernière phrase n'est pas à inclure dans son paragraphe sur le donneur vivant.
Ill'a placé à la fin mais il aurait pu la mettre dans son paragraphe sur le donneur mort.
à lui de confirmer.
 
Non ce n'est pas pour une personne vivante. Sa dernière phrase n'est pas à inclure dans son paragraphe sur le donneur vivant.
Ill'a placé à la fin mais il aurait pu la mettre dans son paragraphe sur le donneur mort.
à lui de confirmer.
Voilà pourquoi je demandais des précisions ^^.
 
Voilà pourquoi je demandais des précisions ^^.
Il cite une source reprise par pratiquement toutes les personnes qui parlent du don d'organe.
voilà un extrait du texte originel avec une mise en page plus claire :

1) Le prélèvement et la greffe d'organe humains ne constituent pas en soi des manquements au respect de l'être humain et de ses constituants. Cependant, la vente d'organes humains est interdite. (Cf. Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, pp. 88-89.)

2) Il est permis de recevoir un greffon en cas de nécessité (danger de mort, ou présence de graves difficultés comme la cécité) et quand les médecins compétents jugent très probable la guérison par le moyen de la greffe (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 88). Le musulman peut tout à fait recevoir un organe prélevé sur un non musulman (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 89).

3) Le prélèvement d'un organe sur une personne défunte est possible à la première condition qu'il en ait donné l'accord lors de son vivant (car il en était alors le gérant) et à la seconde condition que ses proches en donnent aussi l'accord après son décès (car ce sont eux qui s'occupent de sa dépouille et qui peuvent, au cas où il a été assassiné, demander aux autorités d'un pays musulman l'application du talion au meurtrier) (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 89). Cependant, il n'est pas possible que l'on prélève la majeure partie du corps du défunt, ni une partie du corps telle que le bain mortuaire, l'enveloppement dans le linceul et la prière funéraire ne puissent plus être possibles ensuite (Fatâwâ mu'âssira, tome 2 p. 536). Muftî Radhâ' ul-Haqq a également fait l'exception du coeur, qui ne peut être prélevé sur une personne défunte : cette exception est très pertinente.

3') Le prélèvement d'un organe sur une personne vivante est possible à condition qu'elle soit d'accord, que cela ne lui cause aucun problème de santé (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 89). Pour qu'un tel don soit possible, il faut concrètement :
a) qu'il soit gratuit ;
b) que le donneur soit adulte (car le don de l'enfant – que ce don ait été décidé par lui-même ou par son tuteur légal – n'est pas permis ;
c) qu'il s'agisse d'un organe interne (car le don d'un organe externe – tel que main, pied, œil – n'est pas autorisé) ;
d) qu'il s'agisse d'un organe que l'on possède en double, comme le rein (car le don d'un organe interne qui n'est pas double – comme le foie – n'est pas autorisé) ;
e) que les médecins aient exprimé leur avis confiant que la personne pourra ensuite mener une vie normale avec l'organe restant (car sinon cela n'est pas autorisé) (Fatâwâ mu'âssira, tome 2 pp. 532-533).

http://www.maison-islam.com/articles/?p=132
 
Il cite une source reprise par pratiquement toutes les personnes qui parlent du don d'organe.
voilà un extrait du texte originel avec une mise en page plus claire :

1) Le prélèvement et la greffe d'organe humains ne constituent pas en soi des manquements au respect de l'être humain et de ses constituants. Cependant, la vente d'organes humains est interdite. (Cf. Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, pp. 88-89.)

2) Il est permis de recevoir un greffon en cas de nécessité (danger de mort, ou présence de graves difficultés comme la cécité) et quand les médecins compétents jugent très probable la guérison par le moyen de la greffe (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 88). Le musulman peut tout à fait recevoir un organe prélevé sur un non musulman (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 89).

3) Le prélèvement d'un organe sur une personne défunte est possible à la première condition qu'il en ait donné l'accord lors de son vivant (car il en était alors le gérant) et à la seconde condition que ses proches en donnent aussi l'accord après son décès (car ce sont eux qui s'occupent de sa dépouille et qui peuvent, au cas où il a été assassiné, demander aux autorités d'un pays musulman l'application du talion au meurtrier) (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 89). Cependant, il n'est pas possible que l'on prélève la majeure partie du corps du défunt, ni une partie du corps telle que le bain mortuaire, l'enveloppement dans le linceul et la prière funéraire ne puissent plus être possibles ensuite (Fatâwâ mu'âssira, tome 2 p. 536). Muftî Radhâ' ul-Haqq a également fait l'exception du coeur, qui ne peut être prélevé sur une personne défunte : cette exception est très pertinente.

3') Le prélèvement d'un organe sur une personne vivante est possible à condition qu'elle soit d'accord, que cela ne lui cause aucun problème de santé (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 89). Pour qu'un tel don soit possible, il faut concrètement :
a) qu'il soit gratuit ;
b) que le donneur soit adulte (car le don de l'enfant – que ce don ait été décidé par lui-même ou par son tuteur légal – n'est pas permis ;
c) qu'il s'agisse d'un organe interne (car le don d'un organe externe – tel que main, pied, œil – n'est pas autorisé) ;
d) qu'il s'agisse d'un organe que l'on possède en double, comme le rein (car le don d'un organe interne qui n'est pas double – comme le foie – n'est pas autorisé) ;
e) que les médecins aient exprimé leur avis confiant que la personne pourra ensuite mener une vie normale avec l'organe restant (car sinon cela n'est pas autorisé) (Fatâwâ mu'âssira, tome 2 pp. 532-533).

http://www.maison-islam.com/articles/?p=132
Merci, je vais lire ça e ce pas.
 
Il cite une source reprise par pratiquement toutes les personnes qui parlent du don d'organe.
voilà un extrait du texte originel avec une mise en page plus claire :

1) Le prélèvement et la greffe d'organe humains ne constituent pas en soi des manquements au respect de l'être humain et de ses constituants. Cependant, la vente d'organes humains est interdite. (Cf. Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, pp. 88-89.)

2) Il est permis de recevoir un greffon en cas de nécessité (danger de mort, ou présence de graves difficultés comme la cécité) et quand les médecins compétents jugent très probable la guérison par le moyen de la greffe (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 88). Le musulman peut tout à fait recevoir un organe prélevé sur un non musulman (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 89).

3) Le prélèvement d'un organe sur une personne défunte est possible à la première condition qu'il en ait donné l'accord lors de son vivant (car il en était alors le gérant) et à la seconde condition que ses proches en donnent aussi l'accord après son décès (car ce sont eux qui s'occupent de sa dépouille et qui peuvent, au cas où il a été assassiné, demander aux autorités d'un pays musulman l'application du talion au meurtrier) (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 89). Cependant, il n'est pas possible que l'on prélève la majeure partie du corps du défunt, ni une partie du corps telle que le bain mortuaire, l'enveloppement dans le linceul et la prière funéraire ne puissent plus être possibles ensuite (Fatâwâ mu'âssira, tome 2 p. 536). Muftî Radhâ' ul-Haqq a également fait l'exception du coeur, qui ne peut être prélevé sur une personne défunte : cette exception est très pertinente.

3') Le prélèvement d'un organe sur une personne vivante est possible à condition qu'elle soit d'accord, que cela ne lui cause aucun problème de santé (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 89). Pour qu'un tel don soit possible, il faut concrètement :
a) qu'il soit gratuit ;
b) que le donneur soit adulte (car le don de l'enfant – que ce don ait été décidé par lui-même ou par son tuteur légal – n'est pas permis ;
c) qu'il s'agisse d'un organe interne (car le don d'un organe externe – tel que main, pied, œil – n'est pas autorisé) ;
d) qu'il s'agisse d'un organe que l'on possède en double, comme le rein (car le don d'un organe interne qui n'est pas double – comme le foie – n'est pas autorisé) ;
e) que les médecins aient exprimé leur avis confiant que la personne pourra ensuite mener une vie normale avec l'organe restant (car sinon cela n'est pas autorisé) (Fatâwâ mu'âssira, tome 2 pp. 532-533).

http://www.maison-islam.com/articles/?p=132
J'ai pas trouver avis sur le cœur .
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je donne rien moi ben oui le jugement dernier vous avez oublié on retrouvera nos corps intacte alors un poumons ou riens en moins comment voulez vous qu on se présente devant dieu ?:eek:
 
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