Difkoum
Anti sioniste et khawa khawa.
Certains continuent de fustiger ma position sur le voile islamiste. Cette semaine encore, un ancien collaborateur de Benoit Hamon est allé jusqu’à prétendre, dans un journal, qu’en critiquant le voile, je défendrais un quelconque « choc des civilisations » ... c’est dire l’état de cette gauche là qui, décidément, ne retient aucune leçon et qui devient tenancière d’un débit de bêtises et d’approximations.
Il faudrait probablement continuer, encore et encore, à faire preuve de patience et de pédagogie et à expliquer la réalité de ce bout de tissu :
Outre qu’il n’est pas un référentiel religieux, outre qu’il soit prescrit que dans des écoles théologiques extrémistes, outre que son port n’est exigé que par les écoles littéralistes - celles ayant abruti une partie du monde musulman - le voile est l’emblème féminin des intégristes et le symbole, d’une part, des logiques patriarcales, celui des écoles juridiques les plus rétrogrades en islam et, d’autre part, le symbole des salafistes wahhabites ou frères musulmans. C’est ce que cette gauche là veut soutenir... On voit bien leur courage quand il s’agit de critiquer les démocrates maghrébins et leur aplaventrisme devant les tenants de l’islam politique.
D’un autre côté, je dirais à chacun son histoire et à chacun sa sensibilité : si pour certains le voile islamiste représente peut-être l’exotisme, rappelle la danseuse du ventre ou met en valeur le visage de la beurette sexy, je dois avouer que pour ma part, depuis son apparition dans mon champ visuel, il y a de cela moins d’une quarantaine d’année, le voile n’a cessé d’accompagner la mort, la barbarie, la désolation et la haine, toutes produites par les islamistes. Et qu’on ne pense pas un instant qu’il s’agit d’un quelconque amalgame car même si toutes les femmes voilées ne sont pas des terroristes, sans préjuger de leurs motivations, je précise qu’en acceptant de porter ce bout de tissu qui n’incarne ni pudeur ni foi, sinon vulgarité et idéologie politique, en le portant donc, en connaissance de cause ou inconsciemment, elles répondent à l’injonction de ce même corpus idéologique qui prône la haine, l’antisémitisme, la misogynie, l’homophobie, la violence et tous les archaïsmes.
Et que cela soit dit afin que nul ne se croit capable de brandir un quelconque faux magistère en humanisme et en antiracisme pour atrophier le débat et museler les critiques.
Sifaoui
Il faudrait probablement continuer, encore et encore, à faire preuve de patience et de pédagogie et à expliquer la réalité de ce bout de tissu :
Outre qu’il n’est pas un référentiel religieux, outre qu’il soit prescrit que dans des écoles théologiques extrémistes, outre que son port n’est exigé que par les écoles littéralistes - celles ayant abruti une partie du monde musulman - le voile est l’emblème féminin des intégristes et le symbole, d’une part, des logiques patriarcales, celui des écoles juridiques les plus rétrogrades en islam et, d’autre part, le symbole des salafistes wahhabites ou frères musulmans. C’est ce que cette gauche là veut soutenir... On voit bien leur courage quand il s’agit de critiquer les démocrates maghrébins et leur aplaventrisme devant les tenants de l’islam politique.
D’un autre côté, je dirais à chacun son histoire et à chacun sa sensibilité : si pour certains le voile islamiste représente peut-être l’exotisme, rappelle la danseuse du ventre ou met en valeur le visage de la beurette sexy, je dois avouer que pour ma part, depuis son apparition dans mon champ visuel, il y a de cela moins d’une quarantaine d’année, le voile n’a cessé d’accompagner la mort, la barbarie, la désolation et la haine, toutes produites par les islamistes. Et qu’on ne pense pas un instant qu’il s’agit d’un quelconque amalgame car même si toutes les femmes voilées ne sont pas des terroristes, sans préjuger de leurs motivations, je précise qu’en acceptant de porter ce bout de tissu qui n’incarne ni pudeur ni foi, sinon vulgarité et idéologie politique, en le portant donc, en connaissance de cause ou inconsciemment, elles répondent à l’injonction de ce même corpus idéologique qui prône la haine, l’antisémitisme, la misogynie, l’homophobie, la violence et tous les archaïsmes.
Et que cela soit dit afin que nul ne se croit capable de brandir un quelconque faux magistère en humanisme et en antiracisme pour atrophier le débat et museler les critiques.
Sifaoui