Femmes ne sachant pas cuisiner

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion BEJAADI
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En gros les mec passent leurs temps a mettre leur nez dans nos casseroles pour savoir si l'on sais cuisiner !!!

Ok

Mais vous ! VOUS FOUTEZ QUOI DE VOS 10 DOIGHT ??
 
Moi je ne sais pas cuisiner et j'ai un peu honte je l'avoue mais c'est une question de temps j'aimerai apprendre à cuisiner pour faire plaisir à mon futur mari inchallah surtout depuis que j'ai appris que pour entrer dans le coeur d'un homme il faut d'abord faire plaisir à son ventre. Moi je ne trouve pas cette pensée machiste au contraire quand une femme reussi dans tout! Par contre un homme faut pas trop lui en demander j'ai remarqué...


Nannnnnnnnnnnnnnn !! si tu veux apprendre c'est dabord pour toi....
C'est pas une question de satisfaire le ventre du mari !!!!!!

si ton mari se marie avec toi juste parce que tu sais faire la cuisine bahhhhhhhhh ça craint !!!!
 
Une recette de cuisine ça peut s'improviser,
il suffit de connaitre quelques bases et d'avoir
déjà mangé des plats que l'on a aimé, ensuite
on mets les choses que l'on aime et que l'on
aimerait associer dans le même plat, ça donne
parfois des choses incroyables et meilleures
que n'importe quelle recette, je fais souvent
comme ça, je regarde ce que j'ai dans le frigo,
ce que j'ai dans les placards, mes aromates
j'en ai un placard rempli, et j'improvise.
 
Salam,

Je voulais évoquer par le présent post, un phénomène récurrent contemporain chez bon nombre de femmes célibataires: leur aptitudes à cuisiner.

J'ai constaté la redondance de ce type de carence culinaire, notamment chez les femmes occupant des pseudos posts à responsabilités (de responsabilité on ne retiendra que le nom), que ce type de femmes à la foi revendiquant le fait de fonder un foyer (mari, enfants,..) mais ayant cette grave lacune. Je rappelle que cuisiner se relève une des composantes fondamentale à la tenue de son foyer voir de sa cohésion.

Beaucoup d'entre elles, assument ce manque de compétence au niveau du fourneau et le pire il est a constater que même mariées elles se dédouaneront de cette tache , qu'elles assimilent à un labeur ou fardeau.

Les conséquences de cette incapacité seraient fâcheuses, car ce serait à l'homme (au mari) de se soumettre à cette tache si bien que les rôles dans un couple s'en trouveraient bouleversés, car ce n'est pas au mari de s'acquitter de cette tache. Tout comme ce n'est à l’épouse de réparer la voiture ou bricoler.

Ex: Si la mère du mari est en visite pour quelques jour au sein du foyer conjugal, je n'ose même pas augurer de sa réaction que son fils puisse passer son temps durant les fourneaux alors que sa belle fille est au salon à attendre.

Autre exemple: Le soir la femme ne sachant pas cuisiner, il faut constamment se faire livrer à domicile des plats insipides onéreux, si bien que la cuisine n'aurait plus de nom que le local. Ce serait une hérésie.

Poussons un peu plus l'analyse; la majeure partie des femmes ayant cette carence culinaire, avaient en leur mère de véritables cordons bleus avec des doigts d'or: talent lui même hérité de leur mère.

Mais que s'est il passé donc? quelles raisons pourraient-on leur imputer sur le fait qu'elles ne sachent pas cuisiner? ce n'est pas l'opportunité d'apprendre ne n’étant pas présentée.

- Ces filles voyaient elles en la cuisine un moyen de soumission de la femme?
- Perçoivent elles en la cuisine une régression de la femme?
- Assimilent elles en la cuisine un moyen d'enfermement, et que de ce fait la femme puisse être privée d'activités connexes, et de liberté? une motivation féministe.

Je ne dis pas que le monopole culinaire au sein d'un foyer soit intrinsèque à la femme mais que l'homme doit impérativement y manier les fondamentaux afin en cas d'absence de sa femme pour diverses contingences, pallier aux besoins de son foyer: ex: donner à manger aux enfants et ne pas attendre que sa femme puisse entrer tard pour s'acquitter de cette tache.

Je ne comprends d'ailleurs pas que de la plupart de ces femmes, ne trouve aucun plaisir à cuisiner, puisque la cuisine revêt un caractère magique de part l'alchimie des saveurs, des couleurs, manier et respecter certaines denrées, les agrémenter et les relever par des saveurs et des epices, ect, ect.

Nous pouvons voir d'ailleurs en la cuisine, un présent d'amour quotidien, une attention, une sollicitude de la femme vis à vis de son foyer.


la cuisine :love: c'est avant tout un plaisir (pour moi)

et quand tu vois le "bonheur" que tu donnes à ceux et celles qui profitent de tes mets ça vaut toutes les "récompenses"

pour moi en tant que femme c'est très important de savoir cuisiner ( ça n'engage que moi)

:)
 
Je suis un peu long, mais je ne comprends toujours pas quand lorsque l'on pose la question à une femme sur ces dites capacités culinaires que cela soit automatiquement assimilé à du machisme si bien que cette question o combien fondamentale puisse passer à la trappe, et que dans la majeure partie du temps cette question soit occultée.

Merci de m’éclairer sur la question.

Ps: Je n'ai pas relu mon texte, et la direction dégage toute responsabilité sur les conséquences pouvant résulter d'incohérence syntaxique.

N'oublie pas toi qui le lis: "un oasis en temps de crise ravive la flamme du desir.

Gloire au général Bejaadi qui combat la bêtise là ou elle se trouve.

A bon entendeur salut!



Savoir cuisiner ou laisser son mari mourir ( et encore ) de faim : il y a une sacré différence :D

Souvent les capacités, potentialités sont complémentaires dans un couple.

Il n'y a aucune dangerosité à ce que la femme se situe en dessous de la moyenne des "normes fixées" par des jurys d'évaluation informelle... :D : le tout est de l'assumer et d'y remédier en demandant une assistance masculine et de faire preuve de créativité.


A moins de vouloir atteindre des étoiles du guide micheline, franchement la cuisine souvent s'improvise, s'adapte et s'accommode.

Mais de notre temps c'est vrai que l'on entend souvent que la " cote cuisine" chez une femme est très estimée.
 
il y a pas que la cuisine ds la vie d un couple le plus important n est pas la
tant que l amour et le respect regnent c le principal
et puis pas besoin d etre un vrai cordon pr etre une bonne epouse
sa veut rien dire
je plain ta future femme
car pr toi c le 1er critere quel dommage
 
Salam,

Je voulais évoquer par le présent post, un phénomène récurrent contemporain chez bon nombre de femmes célibataires: leur aptitudes à cuisiner.

J'ai constaté la redondance de ce type de carence culinaire, notamment chez les femmes occupant des pseudos posts à responsabilités (de responsabilité on ne retiendra que le nom), que ce type de femmes à la foi revendiquant le fait de fonder un foyer (mari, enfants,..) mais ayant cette grave lacune. Je rappelle que cuisiner se relève une des composantes fondamentale à la tenue de son foyer voir de sa cohésion.

Beaucoup d'entre elles, assument ce manque de compétence au niveau du fourneau et le pire il est a constater que même mariées elles se dédouaneront de cette tache , qu'elles assimilent à un labeur ou fardeau.

Les conséquences de cette incapacité seraient fâcheuses, car ce serait à l'homme (au mari) de se soumettre à cette tache si bien que les rôles dans un couple s'en trouveraient bouleversés, car ce n'est pas au mari de s'acquitter de cette tache. Tout comme ce n'est à l’épouse de réparer la voiture ou bricoler.

Ex: Si la mère du mari est en visite pour quelques jour au sein du foyer conjugal, je n'ose même pas augurer de sa réaction que son fils puisse passer son temps durant les fourneaux alors que sa belle fille est au salon à attendre.

Autre exemple: Le soir la femme ne sachant pas cuisiner, il faut constamment se faire livrer à domicile des plats insipides onéreux, si bien que la cuisine n'aurait plus de nom que le local. Ce serait une hérésie.

Poussons un peu plus l'analyse; la majeure partie des femmes ayant cette carence culinaire, avaient en leur mère de véritables cordons bleus avec des doigts d'or: talent lui même hérité de leur mère.

Mais que s'est il passé donc? quelles raisons pourraient-on leur imputer sur le fait qu'elles ne sachent pas cuisiner? ce n'est pas l'opportunité d'apprendre ne n’étant pas présentée.

- Ces filles voyaient elles en la cuisine un moyen de soumission de la femme?
- Perçoivent elles en la cuisine une régression de la femme?
- Assimilent elles en la cuisine un moyen d'enfermement, et que de ce fait la femme puisse être privée d'activités connexes, et de liberté? une motivation féministe.

Je ne dis pas que le monopole culinaire au sein d'un foyer soit intrinsèque à la femme mais que l'homme doit impérativement y manier les fondamentaux afin en cas d'absence de sa femme pour diverses contingences, pallier aux besoins de son foyer: ex: donner à manger aux enfants et ne pas attendre que sa femme puisse entrer tard pour s'acquitter de cette tache.

Je ne comprends d'ailleurs pas que de la plupart de ces femmes, ne trouve aucun plaisir à cuisiner, puisque la cuisine revêt un caractère magique de part l'alchimie des saveurs, des couleurs, manier et respecter certaines denrées, les agrémenter et les relever par des saveurs et des epices, ect, ect.

Nous pouvons voir d'ailleurs en la cuisine, un présent d'amour quotidien, une attention, une sollicitude de la femme vis à vis de son foyer.
pour pouvoir juger une personne si elle sait bien cuisiner ou non c'est que nous devenons être nous mêmes de bon connaisseurs en ce domaine

tu en es un?????
 
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