Festival Rythmes du Monde : Mawazine 2013

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Tharbat
  • Date de début Date de début
wa b9ate lina 3i had l 9erda tene9ez 3elina bla slip :claque:

!!طب هو فين البنطلون ؟ يا متعلمين يا بتوع مدارس



:d
 
مين ده ؟ حمودة لأرع ؟
:jou eur::joueur:

!!طب هو فين البنطلون ؟ يا متعلمين يا بتوع مدارس



:
d
Machakiiiiiiiiil ! krkrkrkrkr ! :D
 
_______________________
 

Pièces jointes

  • 484788_526047597457254_222710682_n.jpg
    484788_526047597457254_222710682_n.jpg
    45.5 KB · Affichages: 69
Izenzaren, qui s’est produit hier sur la scène de Salé, a revisité ses innombrables succès qui ont enrichi le répertoire musical amazigh.
 
http://mobile.lematin.ma/content/1369761874634904700/




L’invitation d’Izenzaren au Festival Mawazine était l’occasion de drainer un grand public qui se remémore encore l’époque de gloire de cette formation créée juste après celle des Nass El Ghiwane.

C’était en quelque sorte la sœur jumelle de cette dernière avec pratiquement les mêmes instruments et les mêmes tonalités.

La seule différence réside dans la langue amazighe à travers laquelle Izenzaren communique avec ses fans.

«Au début, nous avons été encouragés par Omar Essayed qui nous a donné une occasion pour paraître, nous a aidé, également, à enregistrer et à participer dans des festivals.
Izenzaren et Nass El Ghiwane formaient, dans le temps, une même famille», souligne Abdelhadi, leader et banjoïste du groupe.Izenzaren se fait connaître par une musique chaleureuse et sincère qui transmet une culture et un patrimoine chers au peuple amazigh.

D’où l’affluence de tous ceux qui avaient besoin de partager ces moments nostalgiques avec ce groupe emblématique de la musique amazighe. Surtout après une absence de plus de vingt ans où Izenzaren s’est arrêté de produire et a continué à vivre grâce son ancien répertoire. «Quand on dit qu’on s’est arrêté pendant tout ce temps là. Cela ne veut pas dire qu’on ne chantait plus. Mais, on a seulement arrêté de produire. Car on a continué à participer à certains festivals dans différentes régions du Maroc. Là où le public avait besoin de nous entendre. Un artiste ne peut pas limiter sa création. Il est toujours en contact avec son instrument», explique Abdelhadi, Initiateur du courant musical appelé «tazenzart» en référence au groupe Izenzaren. Et d’ajouter que «cet arrêt nous a été imposé par plusieurs facteurs en dehors de notre volonté, comme la maladie de certains membres du groupe et autres problèmes personnels. Puis la disparition de mon frère Lahcen qui nous a beaucoup marqués.

Mais, le plaisir de l’artiste est de rester en contact permanent avec son public.

D’autant plus que cette éclipse a été couronnée par la sortie, en 2012, de l’album intitulé “Akal” (Terre)».
En effet, cette renaissance du groupe a fait chaud au cœur à plus d’un, surtout ceux assoiffés de revivre des moments nostalgiques, ainsi que des jeunes qui ne manquent pas d’être séduits par les paroles engagées du groupe. Étant donné que ses membres sont des «militants et activistes qui chantent la révolution en amazigh».

Ce soir-là à Mawazine, ils ont offert ces mêmes paroles chantées en chœur par la foule d’admirateurs présents sur la plage de Salé.
 
on s'attendait à ce que Rihanna vienne en tenue provoquante (comme elle le fait souvent)
et finalement elle a fait un effort... contrairement à la miss en culotte de grand mère là :claque:
 
De la musique toujours plus éclectique.......Mawazine, rythmes du monde, poursuit son aventure avec des shows éclectiques. Jusqu’au 1er juin prochain, Rabat est prise de fièvre. Après la prestation dans la pure tradition américaine du mardi, des frères «The Jacksons», de la diva colombienne Toto Momposina ou encore de la très tonique chanteuse libanaise Najwa Karam, le public s'en est pris plein les yeux et les oreilles. Ce soir, Mawazine continue sur sa lancée et invite le public à des concerts encore plus fiévreux avec le mythique groupe britannique de rock, Deep Purple sur la scène OLM Souissi. Pas de tape-à-l'œil. La star émiratie Ahlam se produira pour le grand plaisir de ses fans. Et sur la scène Bouregreg, c’est le retour en force du groupe algéro-marocain, Gnawa Diffusion, des vraies bêtes de scènes qui retrouvent le public marocain après une absence de plus de quatre ans. le matin
 
http://mobile.lematin.ma/content/1370021514763792100/MatinUne

L’artiste émiratie Ahlam a couronné, jeudi soir, son concert au Festival Mawazine par «Al raya al hamra», qui fait partie d’un projet de quatre chansons marocaines dédiées à un pays qui occupe une place de choix dans le cœur de la star arabe. La première partie du projet, annoncé par Ahlam dans une conférence de presse peu avant sa prestation, a été accueillie avec ravissement par le public de la scène Nahda, qui a apprécié hautement le geste de celle qui a intégré depuis belle lurette le cercle fermé des voix mélodieuses arabes. Vêtue d’un magnifique caftan marocain, la chanteuse Ahlam a embelli cette soirée de fidélité en interprétant une séquence de la chanson culte «Laâyoune âayniya» du groupe mythique Jil Jilala, qui incarnait dans les années 70 l’attachement indéfectible des Marocains à leur Sahara, rapporte la MAP.
 
je ne pense pas : Ahlam, bien au contraire, adore le Maroc, du moins c'est l'impression qu'elle donne !

Elle a même entonné la fabuleuse chanson "patriotique" : "Layoun 3iniya" de Nass El Ghiwan !
Elle s'est trompé alors , elle voulais dire j'aime le Maroc au lieud e je hais le Maroc :eek: après ils vont dire qu'elle parle de coucher du soleil ah ces arabes
‫زلة لسان Ø£Ø*لام تفضØ*ها في موازين : أكــره المــغــرب‬‎ - YouTube
 
Retour
Haut