« Ils plantaient les gens à l’aveugle »

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB

« Ils plantaient les gens à l’aveugle » : ce que l’on sait des violences qui ont tué Thomas, 16 ans, dans la Drôme​

Alors que la fête du village de Crépol touchait à sa fin, dans la nuit de samedi à dimanche, un groupe muni d’armes blanches s’en est pris aux convives. L’un de ces derniers, un adolescent de 16 ans, a succombé à des coups de couteau.

C’est un déferlement de violence que l’on cherche encore à expliquer. Alors que le « bal d’hiver » de Crépol, près de Valence (Drôme), accueillait 450 personnes dans une salle des fêtes dans la nuit de samedi à dimanche, un groupe d’individus a fait irruption pour s’en prendre aux convives. Thomas, 16 ans, est décédé, et plusieurs autres personnes ont été blessées. Voici ce que l’on sait de cette soirée meurtrière.

Ce qu’il s’est passé​

Il est 2h10 dimanche, le bal touche à sa fin. Il semble que plusieurs personnes ont voulu entrer dans cette « soirée privée » organisée dans la salle des fêtes de la commune. Un vigile, qui leur a interdit d’entrer, a été blessé à l’arme blanche. Alors qu’il se trouvait en « difficulté », des personnes sont sorties de la soirée et « s’en est suivie une rixe générale », a précisé le procureur.

Des coups de couteau sont échangés sans que l’on sache pour quelle raison. « Une bande est venue pour tuer des gens », déplore la maire Martine Lagut citée par le Dauphiné libéré. Selon elle, « ils n’étaient pas venus pour s’amuser mais pour faire du mal. »

Une enquête a été ouverte pour « homicide et tentative d’homicide » « en bande organisée » et confiée aux gendarmes, a indiqué le procureur.

« Il y a eu une bataille entre les agresseurs et ceux qui ont eu le courage de leur faire face », confie un témoin au Parisien. C’était un bain de sang, ajoute un autre. Des jeunes de cité ont encerclé la salle des fêtes et plantaient les gens à l’aveugle. Le videur s’est fait trancher les doigts. On faisait un massage cardiaque à un jeune par terre. C’était le chaos »

Quel est le bilan humain ?​

Au moins 18 personnes ont été blessées, dont cinq à l’arme blanche. Thomas, 16 ans, est décédé d’un « coup de couteau » sur le chemin de l’hôpital de Lyon, selon le procureur de la République de Valence, Laurent de Caigny.

Deux jeunes hommes ont été hospitalisés en « urgence absolue », selon les secours. L’un d’eux, âgé de 28 ans, a reçu « des coups de couteau au niveau du thorax ». Le second est âgé de 23 ans. Une troisième personne d’abord déclarée en urgence absolue a vu son état s’améliorer, ont précisé les pompiers, qui ont dénombré 17 victimes supplémentaires, souffrant notamment de contusions.

Qui sont les auteurs ?​

Ceux qui ont débarqué à cette fête sont repartis avant l’arrivée des gendarmes. Selon nos informations, ils sont « en cours d’identification » mais il s’agirait d’une quinzaine de jeunes originaires du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère, située à 20 minutes de Crépol. Ces jeunes hommes seraient venus en voiture pour mettre en œuvre ce qui pourrait être un règlement de comptes. Les raisons de cette rixe restent encore à identifier.

Selon un témoin, les « assaillants » venaient bien de ce quartier populaire de Romans-sur-Isère : « On les a vite repérés parce qu’on était tous bien habillés pour la soirée et eux ont débarqué en survêtement et baskets TN ».

 

« Ils plantaient les gens à l’aveugle » : ce que l’on sait des violences qui ont tué Thomas, 16 ans, dans la Drôme​

Alors que la fête du village de Crépol touchait à sa fin, dans la nuit de samedi à dimanche, un groupe muni d’armes blanches s’en est pris aux convives. L’un de ces derniers, un adolescent de 16 ans, a succombé à des coups de couteau.

C’est un déferlement de violence que l’on cherche encore à expliquer. Alors que le « bal d’hiver » de Crépol, près de Valence (Drôme), accueillait 450 personnes dans une salle des fêtes dans la nuit de samedi à dimanche, un groupe d’individus a fait irruption pour s’en prendre aux convives. Thomas, 16 ans, est décédé, et plusieurs autres personnes ont été blessées. Voici ce que l’on sait de cette soirée meurtrière.

Ce qu’il s’est passé​

Il est 2h10 dimanche, le bal touche à sa fin. Il semble que plusieurs personnes ont voulu entrer dans cette « soirée privée » organisée dans la salle des fêtes de la commune. Un vigile, qui leur a interdit d’entrer, a été blessé à l’arme blanche. Alors qu’il se trouvait en « difficulté », des personnes sont sorties de la soirée et « s’en est suivie une rixe générale », a précisé le procureur.

Des coups de couteau sont échangés sans que l’on sache pour quelle raison. « Une bande est venue pour tuer des gens », déplore la maire Martine Lagut citée par le Dauphiné libéré. Selon elle, « ils n’étaient pas venus pour s’amuser mais pour faire du mal. »

Une enquête a été ouverte pour « homicide et tentative d’homicide » « en bande organisée » et confiée aux gendarmes, a indiqué le procureur.

« Il y a eu une bataille entre les agresseurs et ceux qui ont eu le courage de leur faire face », confie un témoin au Parisien. C’était un bain de sang, ajoute un autre. Des jeunes de cité ont encerclé la salle des fêtes et plantaient les gens à l’aveugle. Le videur s’est fait trancher les doigts. On faisait un massage cardiaque à un jeune par terre. C’était le chaos »

Quel est le bilan humain ?​

Au moins 18 personnes ont été blessées, dont cinq à l’arme blanche. Thomas, 16 ans, est décédé d’un « coup de couteau » sur le chemin de l’hôpital de Lyon, selon le procureur de la République de Valence, Laurent de Caigny.

Deux jeunes hommes ont été hospitalisés en « urgence absolue », selon les secours. L’un d’eux, âgé de 28 ans, a reçu « des coups de couteau au niveau du thorax ». Le second est âgé de 23 ans. Une troisième personne d’abord déclarée en urgence absolue a vu son état s’améliorer, ont précisé les pompiers, qui ont dénombré 17 victimes supplémentaires, souffrant notamment de contusions.

Qui sont les auteurs ?​

Ceux qui ont débarqué à cette fête sont repartis avant l’arrivée des gendarmes. Selon nos informations, ils sont « en cours d’identification » mais il s’agirait d’une quinzaine de jeunes originaires du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère, située à 20 minutes de Crépol. Ces jeunes hommes seraient venus en voiture pour mettre en œuvre ce qui pourrait être un règlement de comptes. Les raisons de cette rixe restent encore à identifier.

Selon un témoin, les « assaillants » venaient bien de ce quartier populaire de Romans-sur-Isère : « On les a vite repérés parce qu’on était tous bien habillés pour la soirée et eux ont débarqué en survêtement et baskets TN ».

Un fait divers, ni plus ni moins !
 

Cleeff

19 ans....

« Ils plantaient les gens à l’aveugle » : ce que l’on sait des violences qui ont tué Thomas, 16 ans, dans la Drôme​

Alors que la fête du village de Crépol touchait à sa fin, dans la nuit de samedi à dimanche, un groupe muni d’armes blanches s’en est pris aux convives. L’un de ces derniers, un adolescent de 16 ans, a succombé à des coups de couteau.

C’est un déferlement de violence que l’on cherche encore à expliquer. Alors que le « bal d’hiver » de Crépol, près de Valence (Drôme), accueillait 450 personnes dans une salle des fêtes dans la nuit de samedi à dimanche, un groupe d’individus a fait irruption pour s’en prendre aux convives. Thomas, 16 ans, est décédé, et plusieurs autres personnes ont été blessées. Voici ce que l’on sait de cette soirée meurtrière.

Ce qu’il s’est passé​

Il est 2h10 dimanche, le bal touche à sa fin. Il semble que plusieurs personnes ont voulu entrer dans cette « soirée privée » organisée dans la salle des fêtes de la commune. Un vigile, qui leur a interdit d’entrer, a été blessé à l’arme blanche. Alors qu’il se trouvait en « difficulté », des personnes sont sorties de la soirée et « s’en est suivie une rixe générale », a précisé le procureur.

Des coups de couteau sont échangés sans que l’on sache pour quelle raison. « Une bande est venue pour tuer des gens », déplore la maire Martine Lagut citée par le Dauphiné libéré. Selon elle, « ils n’étaient pas venus pour s’amuser mais pour faire du mal. »

Une enquête a été ouverte pour « homicide et tentative d’homicide » « en bande organisée » et confiée aux gendarmes, a indiqué le procureur.

« Il y a eu une bataille entre les agresseurs et ceux qui ont eu le courage de leur faire face », confie un témoin au Parisien. C’était un bain de sang, ajoute un autre. Des jeunes de cité ont encerclé la salle des fêtes et plantaient les gens à l’aveugle. Le videur s’est fait trancher les doigts. On faisait un massage cardiaque à un jeune par terre. C’était le chaos »

Quel est le bilan humain ?​

Au moins 18 personnes ont été blessées, dont cinq à l’arme blanche. Thomas, 16 ans, est décédé d’un « coup de couteau » sur le chemin de l’hôpital de Lyon, selon le procureur de la République de Valence, Laurent de Caigny.

Deux jeunes hommes ont été hospitalisés en « urgence absolue », selon les secours. L’un d’eux, âgé de 28 ans, a reçu « des coups de couteau au niveau du thorax ». Le second est âgé de 23 ans. Une troisième personne d’abord déclarée en urgence absolue a vu son état s’améliorer, ont précisé les pompiers, qui ont dénombré 17 victimes supplémentaires, souffrant notamment de contusions.

Qui sont les auteurs ?​

Ceux qui ont débarqué à cette fête sont repartis avant l’arrivée des gendarmes. Selon nos informations, ils sont « en cours d’identification » mais il s’agirait d’une quinzaine de jeunes originaires du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère, située à 20 minutes de Crépol. Ces jeunes hommes seraient venus en voiture pour mettre en œuvre ce qui pourrait être un règlement de comptes. Les raisons de cette rixe restent encore à identifier.

Selon un témoin, les « assaillants » venaient bien de ce quartier populaire de Romans-sur-Isère : « On les a vite repérés parce qu’on était tous bien habillés pour la soirée et eux ont débarqué en survêtement et baskets TN ».



Tu ne vas pas nous faire tous les faits divers ?
 

« Ils plantaient les gens à l’aveugle » : ce que l’on sait des violences qui ont tué Thomas, 16 ans, dans la Drôme​

Alors que la fête du village de Crépol touchait à sa fin, dans la nuit de samedi à dimanche, un groupe muni d’armes blanches s’en est pris aux convives. L’un de ces derniers, un adolescent de 16 ans, a succombé à des coups de couteau.

C’est un déferlement de violence que l’on cherche encore à expliquer. Alors que le « bal d’hiver » de Crépol, près de Valence (Drôme), accueillait 450 personnes dans une salle des fêtes dans la nuit de samedi à dimanche, un groupe d’individus a fait irruption pour s’en prendre aux convives. Thomas, 16 ans, est décédé, et plusieurs autres personnes ont été blessées. Voici ce que l’on sait de cette soirée meurtrière.

Ce qu’il s’est passé​

Il est 2h10 dimanche, le bal touche à sa fin. Il semble que plusieurs personnes ont voulu entrer dans cette « soirée privée » organisée dans la salle des fêtes de la commune. Un vigile, qui leur a interdit d’entrer, a été blessé à l’arme blanche. Alors qu’il se trouvait en « difficulté », des personnes sont sorties de la soirée et « s’en est suivie une rixe générale », a précisé le procureur.

Des coups de couteau sont échangés sans que l’on sache pour quelle raison. « Une bande est venue pour tuer des gens », déplore la maire Martine Lagut citée par le Dauphiné libéré. Selon elle, « ils n’étaient pas venus pour s’amuser mais pour faire du mal. »

Une enquête a été ouverte pour « homicide et tentative d’homicide » « en bande organisée » et confiée aux gendarmes, a indiqué le procureur.

« Il y a eu une bataille entre les agresseurs et ceux qui ont eu le courage de leur faire face », confie un témoin au Parisien. C’était un bain de sang, ajoute un autre. Des jeunes de cité ont encerclé la salle des fêtes et plantaient les gens à l’aveugle. Le videur s’est fait trancher les doigts. On faisait un massage cardiaque à un jeune par terre. C’était le chaos »

Quel est le bilan humain ?​

Au moins 18 personnes ont été blessées, dont cinq à l’arme blanche. Thomas, 16 ans, est décédé d’un « coup de couteau » sur le chemin de l’hôpital de Lyon, selon le procureur de la République de Valence, Laurent de Caigny.

Deux jeunes hommes ont été hospitalisés en « urgence absolue », selon les secours. L’un d’eux, âgé de 28 ans, a reçu « des coups de couteau au niveau du thorax ». Le second est âgé de 23 ans. Une troisième personne d’abord déclarée en urgence absolue a vu son état s’améliorer, ont précisé les pompiers, qui ont dénombré 17 victimes supplémentaires, souffrant notamment de contusions.

Qui sont les auteurs ?​

Ceux qui ont débarqué à cette fête sont repartis avant l’arrivée des gendarmes. Selon nos informations, ils sont « en cours d’identification » mais il s’agirait d’une quinzaine de jeunes originaires du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère, située à 20 minutes de Crépol. Ces jeunes hommes seraient venus en voiture pour mettre en œuvre ce qui pourrait être un règlement de comptes. Les raisons de cette rixe restent encore à identifier.

Selon un témoin, les « assaillants » venaient bien de ce quartier populaire de Romans-sur-Isère : « On les a vite repérés parce qu’on était tous bien habillés pour la soirée et eux ont débarqué en survêtement et baskets TN ».

Et juste pour rajouter.
J'avais fait à l'époque une mission de vigile dans une soirée similaire et selecte et les cités des villes voisines ont débarqué pour mettre le boxon, ce qu'ils ont réussi à faire et pour lyncher les gars de la soirée, ce qu'ils n'ont pas réussi à faire car on les a défendus, on était environ huit et j'étais le seul français parmi les vigiles, si tu vois où je veux en venir, la fracture n'est pas là où tu imagines...
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB

Bal mortel dans la Drôme : « de probables interpellations » sont à venir, selon la gendarmerie​

La gendarmerie appelle à se manifester ceux qui diffusent sur les réseaux sociaux des photos de la fête de village à Crépol, où un groupe de jeunes a semé la violence ce week-end. « Il faut s’attendre à un progrès rapide » de l’enquête, annonce la porte-parole de la gendarmerie nationale ce mardi matin.


Ce sont « des images importantes pour l’enquête ». La porte porte-parole de la gendarmerie nationale, Marie-Laure Pezant, lance ce mardi matin un appel à témoins pour inviter tous ceux qui publient des photos de la soirée meurtrière à Crépol (Drôme) à se rapprocher des enquêteurs. « J’invite toutes ces personnes à nous les transmettre », indique la porte-parole sur Franceinfo.


À lire aussi« C’est là que j’ai vu le carnage » : comment le bal dans un village de la Drôme a viré au drame

Dans la nuit de samedi à dimanche, dans le petit village de Crépol, « le bal de l’hiver » rassemblait quelque 350 personnes quand une dizaine d’individus extérieurs à la commune ont voulu pénétrer dans la salle des fêtes, vers 2 heures du matin. « Le vigile les repousse, on a un premier coup de couteau, des personnes de la salle viennent l’aider à repousser ces jeunes, et démarre une bagarre d’une violence assez inouïe pour un village de 500 habitants », rembobine Marie-Laure Pezant.

Le bilan humain est très lourd, puisqu’il laisse sans vie un jeune homme, Thomas, lycéen de 16 ans.

Investigations « très minutieuses »​

La porte-parole de la gendarmerie n’utilise pas le mot « rixe » pour qualifier les faits : « Une rixe, c’est deux groupes de jeunes qui ont décidé de prendre rendez-vous et de s’affronter, on n’est pas dans ce cadre-là », estime-t-elle. Quant au motif de ce déferlement meurtrier, « c’est l’enquête qui va permettre de définir les responsabilités de chacun »

Une enquête pour « homicide et tentatives en bande organisée » qui progresse manifestement à grands pas : « Il faut s’attendre à un progrès rapide et de probables interpellations », atteste Marie-Laure Pezant. Et d’ajouter : « Si les auteurs nous entendent, ce serait peut-être raisonnable qu’ils se présentent… »

Les investigations, « très minutieuses », portent sur des prélèvements effectués au sein de la salle des fêtes, et également un travail d’enquête de voisinage « très important ». Tous les éléments recueillis à ce stade « vont faire progresser l’enquête », appuie la gendarmerie.

 
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Un fait divers amplifié par des réseaux sociaux capable de cristalliser une rivalité amoureuse, ou insultes entre 2 personnes en un buzz qui va transformer cela en clash entre des clans communautaires capable d'aujourd'hui d'aller dans une violence sans aucun rapport avec la cause....
Ajouter à cela la libération de la parole fasciste en France et on a un écho encore plus amplifié du moindre petit fait divers
Il faut leur rappeler à ces Rançais que le mot "ratonnade" n'est pas une invention des "ensauvagés" d'aujourd'hui mais une invention francaoui
pour désigner le passage à tabac et le meurtre de Maghrébins ou d'africains , faut leur rappeler à ces "civilisés francaouis"
que rien pour l'année 1973 c'est 50 maghrébins qui ont été assassiné par des Rançais racistes ... combien de centaines de maghrébins ont été assassinés dans les années 70 et 80 ? la fabrique de l'ensauvagement est rançaise et bien rançaise !
 

Izaia

Heal the World.....
VIB
Ajouter à cela la libération de la parole fasciste en France et on a un écho encore plus amplifié du moindre petit fait divers
Il faut leur rappeler à ces Rançais que le mot "ratonnade" n'est pas une invention des "ensauvagés" d'aujourd'hui mais une invention francaoui
pour désigner le passage à tabac et le meurtre de Maghrébins ou d'africains , faut leur rappeler à ces "civilisés francaouis"
que rien pour l'année 1973 c'est 50 maghrébins qui ont été assassiné par des Rançais racistes ... combien de centaines de maghrébins ont été assassinés dans les années 70 et 80 ? la fabrique de l'ensauvagement est rançaise et bien rançaise !
C'est bien choquant, car c'est encore rare et le contexte est pas commun...une fête de village. Dans certains coins c'est malheureusement plus fréquent
Après pourquoi ce fait divers là plutôt qu'un autre, on sait pourquoi celui-ci est amené là
 
C'est bien choquant, car c'est encore rare et le contexte est pas commun...une fête de village. Dans certains coins c'est malheureusement plus fréquent
Après pourquoi ce fait divers là plutôt qu'un autre, on sait pourquoi celui-ci est amené là
Les expéditions punitives et à coup de couteau, c'est plus fréquent qu'on ne le pense et les couteaux ont remplacé les poings, donc plus de dégâts et de drames.
 
Ajouter à cela la libération de la parole fasciste en France et on a un écho encore plus amplifié du moindre petit fait divers
Il faut leur rappeler à ces Rançais que le mot "ratonnade" n'est pas une invention des "ensauvagés" d'aujourd'hui mais une invention francaoui
pour désigner le passage à tabac et le meurtre de Maghrébins ou d'africains , faut leur rappeler à ces "civilisés francaouis"
que rien pour l'année 1973 c'est 50 maghrébins qui ont été assassiné par des Rançais racistes ... combien de centaines de maghrébins ont été assassinés dans les années 70 et 80 ? la fabrique de l'ensauvagement est rançaise et bien rançaise !

Oui-oui...
Quand une femme voilée ou un arabe se fait agresser par un facho d'extrême-droite, le Blondin pond des pages de commentaires indignés
Quand ce sont des "Rançais" (comme se dévoile notre ami dans sa prose haineuse) qui se font '"planter" par des bandes de banlieue, là ça devient juste un fait divers et il faut surtout minimiser les faits... :).

Communautariste à géométrie variable, notre blondinet, vous avez dit ? Nooooooooooonnnnnnn.... :rolleyes:
 
Dernière édition:
Ceux qui ont débarqué à cette fête sont repartis avant l’arrivée des gendarmes. Selon nos informations, ils sont « en cours d’identification » mais il s’agirait d’une quinzaine de jeunes originaires du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère, située à 20 minutes de Crépol. Ces jeunes hommes seraient venus en voiture pour mettre en œuvre ce qui pourrait être un règlement de comptes. Les raisons de cette rixe restent encore à identifier.

Tu as une source ?
 
Ceux qui ont débarqué à cette fête sont repartis avant l’arrivée des gendarmes. Selon nos informations, ils sont « en cours d’identification » mais il s’agirait d’une quinzaine de jeunes originaires du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère, située à 20 minutes de Crépol. Ces jeunes hommes seraient venus en voiture pour mettre en œuvre ce qui pourrait être un règlement de comptes. Les raisons de cette rixe restent encore à identifier.

Selon un témoin, les « assaillants » venaient bien de ce quartier populaire de Romans-sur-Isère : « On les a vite repérés parce qu’on était tous bien habillés pour la soirée et eux ont débarqué en survêtement et baskets TN ».

Un quartier a été désigné à la vindicte populaire et les arrestations ont lieu à 400 kilomètres de là

 
Tu as une source ?

Le Dauphiné Libéré a recueilli le témoignage de deux jeunes présents qui se souviennent des mots de leurs agresseurs : « on est là pour planter des blancs ».
 
Ils disent qu'ils sont là pour planter des blancs certes mais ça les empêchera pas de planter des noirs et des arabes si besoin !
Rivalités de quartiers, de villes, venger un copain, trafic de drogue etc.
Le mythe de l'Arabo musulman contre le blanc.

Il y a des problèmes de société c'est vrai mais il y a autour pas mal de caricatures de la situation et de récupération politique...
 
Un quartier a été désigné à la vindicte populaire et les arrestations ont lieu à 400 kilomètres de là


Assez logique quand on prend la peine de lire jusqu'au bout et qu'on lit qu'ils "sont soupçonnés d'avoir voulu prendre la fuite vers l'Espagne." :rolleyes:
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
Tu as une source ?

« On est là pour planter des Blancs » : cette phrase que personne ne relève​


Mais il faut avoir de bonnes lunettes et un abonnement au Dauphiné libéré pour découvrir, au détour d'un paragraphe, les motivations des meurtriers, clairement exprimées, pourtant, puisque rapportées par deux témoins : « On est là pour planter des Blancs. »

Imaginez un instant : un groupe d’une dizaine de rugbymen du terroir fait une descente dans une cité, choisissant pour cible une fête bon enfant organisée par des jeunes issus de l’immigration. Armés de couteaux, ils frappent à l’aveugle tous azimuts. Ils tuent un adolescent de 16 ans et en blessent grièvement plusieurs autres. Des témoins rapportent à la presse avoir entendu : « On est là pour planter des Noirs » (ou des Arabes). L’émotion serait - légitimement - à son comble. Une déflagration inouïe. La classe politique, le monde médiatique ne parleraient plus que de ça. À l'Assemblée nationale, sur le pavé parisien retentiraient, à raison, les cris d'indignation à l'unisson.
 
C'est bien choquant, car c'est encore rare et le contexte est pas commun...une fête de village. Dans certains coins c'est malheureusement plus fréquent

Ben oui les fête dans des coins perdus c'est pas toujours les petites fleurs et les traditions .
Ils disent qu'ils sont là pour planter des blancs certes mais ça les empêchera pas de planter des noirs et des arabes si besoin !
Rivalités de quartiers, de villes, venger un copain, trafic de drogue etc.
Le mythe de l'Arabo musulman contre le blanc.

Il y a des problèmes de société c'est vrai mais il y a autour pas mal de caricatures de la situation et de récupération politique...
La source? Commenter une information non sourcée c'est courrir le risque de participer à propager un fake !
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
Un quartier a été désigné à la vindicte populaire et les arrestations ont lieu à 400 kilomètres de là

Ben oui vu qu’ils voulaient se barrer en Espagne 🤔 tu croyais quand même pas qu’ils venaient de Toulouse et on fait 400 km pour sa faire un baloche 😂
 
Imaginez un instant : un groupe d’une dizaine de rugbymen du terroir fait une descente dans une cité, choisissant pour cible une fête bon enfant organisée par des jeunes issus de l’immigration.
Bureau voltaire , c'est une source ?



Et les rugbyman de moins coin ce sont les chouchou de la mairie !
Le capitaine pouvait entrer dans un bar et proposer d'aller faire une ratonnade : " qui vient avec moi "
Le mec était pompier , en sorti de boite à 4 heure du mat il renversé quelqu'un et c'est enfuit laissant la victime dans le fossé ...La personne qui l'accompagnait pris de remords a fait demis tour ...Mais trop tard le mec est mort des suite de ses blessures ....Dans un premier temps l’individu est rester pompier alors que je connais un jeune à la même époque qui c'est fait viré des pompiers pour le vol d'une mobylette ... Mais bon il ne faisait pas parti des familles de notables du coin. Les parents ont payé les parents de la victime pour que la plainte soit retirée .

Bref les rugbymans ne sont pas des enfants de cœur non plus...Mon coéquipier du moment est rugbyman joueur et entraîneur, très très gentil garçon , mais les valeurs du rugby et patati et patata faut pas idéaliser non plus !
 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
Bureau voltaire , c'est une source ?
Et les rugbyman de moins coin ce sont les chouchou de la mairie !
Le capitaine pouvait entrer dans un bar et proposer d'aller faire une ratonnade : " qui vient avec moi "
Le mec était pompier , en sorti de boite à 4 heure du mat il renversé quelqu'un et c'est enfuit laissant la victime dans le fossé ...La personne qui l'accompagnait pris de remords a fait demis tour ...Mais trop tard le mec est mort des suite de ses blessures ....Dans un premier temps l’individu est rester pompier alors que je connais un jeune à la même époque qui c'est fait viré des pompiers pour le vol d'une mobylette ... Mais bon il ne faisait pas parti des familles de notables du coin. Les parents ont payé les parents de la victime pour que la plainte soit retirée .

Bref les rugbymans ne sont pas des enfants de cœur non plus...Mon coéquipier du moment est rugbyman joueur et entraîneur, très très gentil garçon , mais les valeurs du rugby et patati et patata faut pas idéaliser non plus !
non , la source est le Dauphiné libéré si tu sais pas lire .
 

tajali

deja-vu : CHART : onde-pARtiCule
VIB
Les médias normaux ils prennent toutes les déclarations sans savoir du vrai du faux...c'est pas leur travail de trié.

c toujours le meme probleme les gens tirent des conclusions sans cherché ce qui c reelement passé
on l'avait deja vu avec nahel

et ce genre de bagarre qui tourne mal il en existe quasi tout les jours dans les banlieu sans que cela n'emeut les media ....

c toujours le meme genre d'histoire qui sont selectionné par les media
comme pour nahel ce genre d'histoire c pour faire monté certain sentiment et divisé pour mieu regné
 
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