salam,
La demande sur le haut standing a plongé de 80% par rapport à 2008 et les prix ont baissé jusqu'à 65%. Les stocks d'invendus atteignent parfois 60% et des promoteurs ont laissé leurs projets à l'abandon pour se reconvertir dans le social. Les demandes d'autorisation de construire en baisse pour la première fois.
Pour prendre le pouls du marché immobilier à Tanger, il suffit simplement de parcourir la ville. En quittant lautoroute venant de Rabat et en empruntant la route de Gzenaya, un immense champ semé de grues soffre à la vue et des dizaines de projets de logements sociaux sortent progressivement de terre, cernant la zone franche et la zone industrielle. Comme pour faire écho à cette effervescence, les panneaux publicitaires plantés le long du trajet sont exclusivement dédiés à la promotion des programmes dhabitat commercialisés dans la ville autant par les majors nationaux (Addoha, Alliances, Chaabi ) que par les professionnels locaux. En progressant vers le centre-ville, la publicité se fait encore plus agressive.
Des banderoles criardes placardées sur les façades dimmeubles «de standing» rivalisent de superlatifs pour attirer les acheteurs : «meilleures opportunités à saisir», «prix incroyables», «réductions exceptionnelles»
http://www.lavieeco.com/news/economie/immobilier-a-tanger-le-grand-gachis-21615.html
La demande sur le haut standing a plongé de 80% par rapport à 2008 et les prix ont baissé jusqu'à 65%. Les stocks d'invendus atteignent parfois 60% et des promoteurs ont laissé leurs projets à l'abandon pour se reconvertir dans le social. Les demandes d'autorisation de construire en baisse pour la première fois.
Pour prendre le pouls du marché immobilier à Tanger, il suffit simplement de parcourir la ville. En quittant lautoroute venant de Rabat et en empruntant la route de Gzenaya, un immense champ semé de grues soffre à la vue et des dizaines de projets de logements sociaux sortent progressivement de terre, cernant la zone franche et la zone industrielle. Comme pour faire écho à cette effervescence, les panneaux publicitaires plantés le long du trajet sont exclusivement dédiés à la promotion des programmes dhabitat commercialisés dans la ville autant par les majors nationaux (Addoha, Alliances, Chaabi ) que par les professionnels locaux. En progressant vers le centre-ville, la publicité se fait encore plus agressive.
Des banderoles criardes placardées sur les façades dimmeubles «de standing» rivalisent de superlatifs pour attirer les acheteurs : «meilleures opportunités à saisir», «prix incroyables», «réductions exceptionnelles»
http://www.lavieeco.com/news/economie/immobilier-a-tanger-le-grand-gachis-21615.html