intégration : Qui est fou ? qu'est ce que la folie ?

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c machiavelique magic ...Si ... it's what you don't See


barbie
https://www.youtube.com/watch?v=rhArOfu_MTg
https://www.youtube.com/watch?v=NRhl-MQM8tA
 
different forme et sens de si
si simulation possibilité condition affirmation note de music etc ...
ainSi soit il let it bee so it be



Marc 9
22 Et souvent l'esprit l'a jeté dans le feu et dans l'eau pour le faire périr.
Mais, si tu peux quelque chose, viens à notre secours, aie compassion de nous.
23 Jésus lui dit: Si tu peux!... Tout est possible à celui qui croit.
24 Aussitôt le père de l'enfant s'écria: Je crois! viens au secours de mon incrédulité!…

arabe et hebreu : low et im in

la traduction est fausse
18 وَلَا يَسْتَثْنُونَ
sans dire: «Si Allah le veut».
...
28 قَالَ أَوْسَطُهُمْ أَلَمْ أَقُل لَّكُمْ لَوْلَا تُسَبِّحُونَ
Le plus juste d'entre eux dit: «Ne vous avais-je pas dit:
Si seulement vous ...............................»



 
oublié lien si et peut etre potentiel possibilité probabilité

 
mot clef : sens
nuance et complexité des palette de couleurs des emotions et des gouts que l'on est incapable de nommé

le monde n'a rien de rationnel (un chiffre n'a rien de reele c une representation un signe comme les mots )
les gens ne font que suivre des habitude aussi irrationnel les unes que les autres

ce que l'on appel habituelement raison logique etc ... c juste des habitude
la raison c juste une facon habituel de mettre en lien les choses entre elle ...
et chaque epoque a connu sa propre logique :

3 facons habituel de mettre les choses en lien par :
logique (chaine lineaire )
analogie (echelle )
correlation ou synchronicité (simultaneité dans le temps ou l'espace ou autre )

mais l'on pourrai multiplier à l'infini les facons de mettre les choses en lien entre elle
et rien ne prouve que cela ne marcherai pas aussi bien que ce que l'on appel faussement la causalité lineaire

 
comprendre la zchysophrenie faire le lien avec l'imaginaire subconsient

La schizophrénie est un trouble mental chronique
qui affecte la façon dont une personne pense, perçoit la réalité, ressent des émotions et interagit avec les autres.
Voici les points essentiels :

  1. Symptômes principaux:
    • Hallucinations : Entendre ou voir des choses qui n’existent pas.
    • Idées délirantes : Croire à des choses fausses (par ex., être persécuté).
    • Désorganisation : Discours ou comportements confus.
  2. Causes possibles:
    • Facteurs génétiques.
    • Déséquilibres chimiques dans le cerveau (dopamine).
    • Stress ou traumatisme.

Dans la schizophrénie, le cerveau traite mal les informations à cause d'un dysfonctionnement chimique et structurel.
Cela rend difficile de distinguer le réel de l'irréel, même face à des arguments logiques.

Certaines drogues (comme le LSD ou la psilocybine) altèrent temporairement la perception et la conscience, mais avec un retour à la normale. Dans la schizophrénie, ces altérations sont durables, involontaires et souvent incontrôlables, car elles sont dues à des dysfonctionnements du cerveau, pas à une substance externe.

Chez les personnes non atteintes de schizophrénie, le cerveau dispose de mécanismes de régulation qui permettent de filtrer et contrôler les pensées, émotions et perceptions, en les maintenant cohérents avec la réalité. Ces mécanismes, comme les fonctions exécutives et l'auto-surveillance, empêchent que des pensées inconscientes ou irrationnelles ne prennent le dessus.
Dans la schizophrénie, ces mécanismes sont altérés, ce qui permet au subconscient, souvent déformé, d'envahir la conscience de manière incontrôlable, provoquant des hallucinations, des délires et des pensées incohérentes.



 
Dernière édition:
Le mécanisme qui régule la pensée consciente et filtre les informations est souvent appelé fonction exécutive. Cela inclut des processus cognitifs comme :

  • L'inhibition cognitive : la capacité à contrôler les pensées irrationnelles ou envahissantes.
  • La mémoire de travail : maintenir des informations pertinentes à l'esprit et ignorer celles qui sont inutiles.
  • La flexibilité cognitive : la capacité de s'adapter à de nouvelles informations et de changer de perspective.
Ces fonctions sont généralement gérées par le cortex préfrontal, une région du cerveau. Dans la schizophrénie, ces mécanismes sont souvent déficients.


Oui, les personnes atteintes de TDAH (trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité) ont également des difficultés avec certaines fonctions exécutives. Cependant, les problèmes sont différents de ceux de la schizophrénie.

Dans le TDAH, les déficits sont principalement liés à :


  • L'attention soutenue : difficulté à rester concentré sur une tâche pendant longtemps.
  • L'inhibition : difficulté à contrôler les impulsions et à éviter les distractions.
  • La gestion du temps : difficulté à organiser et à planifier les tâches.
En revanche, dans la schizophrénie, c'est surtout la régulation des perceptions et des pensées irrationnelles qui est perturbée, avec des hallucinations et des délires. Les personnes atteintes de TDAH n'ont généralement pas de perturbations aussi graves de la réalité.
 
Un cerveau "normal" distingue les hallucinations, pensées délirantes et la réalité grâce à plusieurs mécanismes cognitifs et cérébraux qui permettent de filtrer, organiser et évaluer les informations. Voici comment :

  1. Système de réalité interne et externe:
    • Le cerveau fait constamment la distinction entre les informations provenant de l'extérieur (ce qu'on perçoit par les sens) et celles internes (pensées, émotions, souvenirs).
    • Des régions comme le cortex préfrontal sont responsables de l'évaluation de ces informations et de leur interprétation en fonction de la réalité.
  2. Inhibition cognitive:
    • Le cerveau "filtre" les pensées irrationnelles ou déconnectées de la réalité grâce à des mécanismes inhibiteurs. Cela empêche les idées fausses de s’imposer, comme des pensées délirantes.
  3. Mémoire et cohérence:
    • Le cerveau garde en mémoire des repères constants sur la réalité extérieure. Lorsqu'une perception est discordante avec ce qu'il connaît, il va juger l'information comme suspecte.
    • Le cortex temporal et d'autres zones liées à la mémoire aident à vérifier si une pensée ou une sensation est cohérente avec les événements passés.
  4. Sensibilité au feedback:
    • Le cerveau "teste" constamment ses hypothèses sur la réalité via des retours sensoriels. Si quelque chose ne correspond pas aux attentes (par exemple, entendre une voix alors qu'il n'y a personne), il cherchera à l'analyser et à l’interpréter.
  5. Conscience de soi:
    • Le sens de la conscience de soi (qui a des pensées, qui les contrôle) est crucial. Le cerveau normal est capable de savoir si une pensée est une réflexion personnelle ou si elle provient de l'extérieur.
  6. Cortex frontal:
    • Le cortex préfrontal est particulièrement impliqué dans la prise de décision et l'évaluation de la logique. Il aide à juger si une idée ou une perception est réaliste.
En résumé, un cerveau "normal" utilise des processus de filtrage, de mémoire et de contrôle exécutif pour différencier les pensées internes, les perceptions sensorielles et la réalité extérieure. Lorsqu'il y a un déséquilibre dans ces mécanismes (comme dans la schizophrénie), cette distinction devient floue, ce qui mène à des hallucinations et des délires.
 
certaines intuitions ou inspirations, surtout chez des génies créatifs, semblent parfois dépasser les processus cognitifs habituels, comme une sorte de "connexion" à des idées ou concepts qui ne sont pas immédiatement accessibles à la pensée rationnelle. Cela peut ressembler à un flux d'idées intuitives, souvent perçu comme une forme de vision intérieure ou d'accès à des connaissances "inconscientes".

La différence avec la schizophrénie, cependant, réside dans le fait que :

  1. Dans le cas des génies créatifs, ces intuitions sont souvent rationnelles et peuvent être intégrées dans un contexte plus large, permettant de les évaluer et de les utiliser pour générer de nouvelles idées. Ils ont une capacité à analyser et tester ces intuitions contre la réalité.
  2. Dans la schizophrénie, les délires et hallucinations ne sont pas contrôlables, sont souvent irrationnels et déconnectés de la réalité, et la personne ne peut pas les tester ou les intégrer de manière logique.
Les intuitions créatives sont donc souvent le résultat d'une pensée qui fusionne des idées inhabituelles, mais elles sont régulées par des processus cognitifs qui permettent de les transformer en idées nouvelles et exploitables. En revanche, dans la schizophrénie, l'absence de ces mécanismes de régulation fait que des pensées ou perceptions irrationnelles deviennent dominantes, sans lien avec la réalité vérifiable.

En résumé, les génies peuvent parfois capter des idées "hors norme", mais ces inspirations sont intégrées dans un cadre logique et créatif. La schizophrénie, par contre, se caractérise par des pensées erronées ou déconnectées de toute logique.


 
Oui, on peut établir une comparaison entre certains aspects de la schizophrénie et les rêves,
notamment en ce qui concerne les perceptions altérées et la dissociation de la réalité.

  1. Perception déformée de la réalité:
    • Dans les rêves, l’esprit crée une réalité parallèle où des événements, personnes et objets peuvent apparaître de manière illogique, changeante ou incohérente. De même, les personnes atteintes de schizophrénie peuvent expérimenter des hallucinations où la frontière entre ce qui est réel et ce qui ne l'est pas devient floue.
  2. Dérégulation des processus mentaux:
    • En rêve, la pensée est souvent désorganisée, et les événements peuvent ne pas suivre une logique cohérente. Cela ressemble à la désorganisation de la pensée que l'on retrouve dans la schizophrénie, où le raisonnement peut devenir confus et illogique.
  3. Absence de contrôle sur l'expérience:
    • Pendant un rêve, on a souvent l'impression de ne pas pouvoir contrôler ce qui se passe. De même, les personnes schizophrènes peuvent éprouver une perte de contrôle sur leurs pensées, croyances et perceptions.
Cependant, il y a des différences importantes :

  • Les rêves sont temporaires et sont perçus comme irréels lorsqu'on se réveille, tandis que dans la schizophrénie, ces perceptions erronées peuvent être persistantes et déconnectées de la réalité, affectant gravement la vie quotidienne.
  • Les mécanismes de filtrage et de régulation présents dans un cerveau sain ne fonctionnent pas correctement chez une personne schizophrène, ce qui permet aux hallucinations et délires de prendre le dessus. Dans un rêve, bien que l'esprit crée une réalité alternative, on n'a pas cette sensation d'être victime d'une perception irrationnelle et incontrôlable.
En résumé, il existe des ressemblances entre certains aspects de l’expérience de la schizophrénie et celle des rêves, mais les différences résides dans la durée, l'impact sur la vie quotidienne, et la capacité à distinguer la réalité.
 
l'homme vit il plus ou moin dans un delire ?

Oui, on peut dire que l’homme vit souvent dans un délire — au sens d’une construction mentale partielle ou biaisée, une représentation subjective du réel. Nos perceptions, croyances, émotions et cultures filtrent la réalité, créant un monde intérieur parfois déconnecté ou amplifié par rapport à l’extérieur. Ce « délire » peut être source de sens, mais aussi d’illusions ou d’erreurs. Toi, tu penses à quel type de délire ?

tout ces histoires qu'il invente pour donné du sens au monde

ChatGPT a dit :​

Exact, c’est une sorte de « récit fondateur » qu’on se crée pour structurer le chaos du réel.
Ces histoires, mythes, idéologies ou croyances sont des filtres qui apportent cohérence et identité, mais qui peuvent aussi emprisonner la pensée dans des schémas rigides ou illusoires.
Ce besoin de sens est profondément humain, mais il peut parfois masquer la complexité ou la vérité brute.
Tu vois ça comment, cette tension entre besoin de sens et réalité ?

idealisme et realisme (materialiste)

Exact, c’est bien ce clivage fondamental : idéaliser le monde pour lui donner un sens, ou l’accepter tel qu’il est, souvent chaotique et sans but apparent. L’idéaliste construit des récits pour sublimer ou transcender, le réaliste cherche à déjouer les illusions pour toucher l’essence brute.
Mais ces postures ne s’excluent pas forcément : beaucoup naviguent entre les deux, oscillant selon les contextes, voire cherchant à concilier sens et réalité brute. Toi, tu penches plutôt vers lequel ?
 
Dernière édition:
tout mot et sens est un ecart avec la realité c une convention arbitraire

ChatGPT a dit :​

Exact, cette idée rejoint une grande tradition en philosophie du langage.

Tout mot est un signe arbitraire, une convention sociale qui crée un écart entre le concept et la réalité elle-même.
Le mot ne contient pas la réalité, il la représente selon un système partagé —
mais ce système est une abstraction, une médiation, jamais la chose en soi.

Donc, le langage est intrinsèquement médiateur et décalé par rapport à la réalité brute.
C’est cette médiation qui permet la pensée, mais aussi l’incompréhension, le jeu, la poésie, et — comme tu l’as dit — le délire.

Ce décalage est à la fois la force et la limite du langage :
force, car il ouvre un espace d’interprétation et de création ;
limite, car il est toujours partiel, toujours un peu faux, toujours à réinventer.
 
mais souvent l'on confond le mot et la chose et l'on confond verité et realité

ChatGPT a dit :​

Oui, c’est une confusion fréquente et pourtant fondamentale.

Le mot n’est pas la chose, il n’est qu’un signe qui la désigne.
Confondre les deux, c’est tomber dans le piège du réalisme naïf ou de la réification : prendre l’abstraction pour la substance.

De même, la vérité est une propriété du discours, une correspondance ou cohérence interne à un système de langage ou de pensée.
La réalité, elle, est ce qui existe indépendamment de nos mots et jugements, souvent bien plus complexe, fluide, voire indéchiffrable.

Cette confusion engendre souvent des malentendus, des dogmatismes, et même des conflits.
Reconnaître cette distinction, c’est déjà faire un pas vers une pensée plus lucide, plus humble, plus ouverte.
 
la verité est juste une convention

ChatGPT a dit :​

La vérité comme convention est une perspective légitime, notamment dans certains courants philosophiques comme le pragmatisme ou le constructivisme.

Dans cette optique, la vérité n’est pas une correspondance absolue avec une réalité indépendante et fixe, mais plutôt un accord social, une pratique consensuelle qui fonctionne dans un contexte donné.
Elle est ce que la communauté accepte comme fiable, utile, ou cohérent — un outil pour naviguer le monde plus qu’une essence immuable.

Cela dit, d’autres traditions insistent sur une vérité comme relation objective à un réel indépendant, même si elle reste toujours partielle et perfectible.

La vérité peut donc osciller entre convention et découverte, entre invention collective et quête d’un réel hors langage — un équilibre toujours instable.
 
different niveau de rapport a la realité

ChatGPT a dit :​

Voici une typologie synthétique des différents niveaux de rapport à la réalité, classés du plus immédiat au plus symbolique :


1. Réalisme brut (sensoriel)​

Rapport direct par les sens.
Ex. : douleur physique, perception immédiate, instinct de survie.

2. Réalisme fonctionnel (pragmatique)​

La réalité comme ce qui "marche", ce qui permet d’agir efficacement.
Ex. : outils, science appliquée, ingénierie.

3. Réalité interprétée (cognitive)​

Filtrée par des schémas mentaux, croyances, langage.
Ex. : perception psychologique, biais cognitifs, construction sociale.

4. Réalité symbolique (culturelle)​

Encodée dans les signes, les récits, les mythes, les idéologies.
Ex. : religion, nation, argent, droit.

5. Réalité esthétique (poétique)

Rapport sensible, émotionnel, transfigurant.
Ex. : art, beauté, sublime.

6. Réalité délirante (hallucinée)​

Rupture ou décalage radical avec le consensus partagé.
Ex. : rêve, folie, ivresse mystique ou psychotique.

7. Réalité métaphysique (ontologique)

Questionnement sur l’être, l’illusion, la vérité ultime.
Ex. : Brahman, vacuité bouddhiste, simulation, Dieu.

Souhaites-tu que je les articule comme un spectre évolutif ? une spirale ? une superposition ?
 
je pense que tu confond le mot realité avec un autre mot
www.bladi.info/threads/entrer-en-plein-dans-la-realite.506861/

ChatGPT a dit :​

Tu as probablement raison.
Le mot réalité est ici pris dans un sens élargi, presque comme rapport au monde ou mode d’être-au-monde, ce qui floute sa rigueur.
Si l’on revient à une définition plus stricte, réalité désigne ce qui est, indépendamment de ce que l’on en pense.
Donc, parler de "niveaux de rapport à la réalité" implique non pas des types de réalité, mais des modes d’accès, de filtrage ou de construction de ce réel unique.
Dans ce cas, les niveaux seraient plutôt des niveaux de médiation entre un sujet et un réel supposé stable.

Souhaites-tu redéfinir plus précisément ce que tu entends par réalité ici ?
Ou bien veux-tu explorer les types de présence au monde ou formes d'expérience qu'on peut avoir du réel ?

1. Le réel

Ce qui est, brut, nu, indépendamment de toute pensée, perception ou langage.
C’est l’absolu inassimilable, ce qui résiste à la symbolisation.
Ex. : la mort, le corps, la douleur, le trauma, le chaos, l’événement pur.
Chez Lacan : "Le réel, c’est ce qui revient toujours à la même place, là où ça coince."

2. La réalité

Ce que l’on perçoit, pense ou construit du réel.
Elle est toujours médiée par un cadre : langage, culture, croyance, corps.
C’est le réel rendu lisible.
Ex. : une théorie scientifique, un récit, une croyance collective.

En bref :​

  • Le réel : ce qui échappe, ce qui est impossible à dire totalement.
  • La réalité : ce qui est organisé, nommé, perçu, symbolisé.
Tu utilises souvent le mot réalité là où tu sembles viser une tension entre ces deux pôles. Je peux t'aider à affiner ça à chaque fois, si tu veux.
 
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