Même quand je dis qu’un criminel doit être condamné à mort, implicitement je dis aussi que cela échoit aux représentants de l’État en respectant les cadres normaux d’un jugement. C’est l’État qui a le monopole de la violence légitime. Dans certaines circonstances extrême, le peuple acquiert le droit de se soulever et de mettre à mort un tyran, mais cela est un autre sujet.