La multiplication des contrats militaires par lAlgérie ces derniers temps ne serait, selon des sources militaires françaises, quune diversion. Le principal objectif que sest fixée Alger est de se doter de capacités nucléaires militaires à lhorizon 2020. En effet, une enveloppe de plusieurs dizaines de milliards de dollars a été affectée à la poursuite du programme nucléaire «civil» entamé dès les premières années de lindépendance.
LAlgérie qui dispose déjà dun premier réacteur, dune capacité de 1 mégawatt, à Draria à 20 kilomètres à lest dAlger, a démarré dès 1991 la construction dun grand site à Aïn Oussera (120 kilomètres au sud de la capitale) doté dune capacité de 15 mégawatts. Ce site, tenu secret pendant de longues années, est considéré par les services secrets espagnols (CESID) dans un rapport adressé à leurs homologues américains de la CIA, comme lun des plus importants de la rive sud de la méditerranée.
En 1991, cest une image satellite américaine qui avait révélé le pot aux roses. Depuis, des tractations ont eu lieu entre Washington, sensible aux pressions espagnoles, et Alger qui a fini par revoir ses ambitions à la baisse. Alors quelle comptait produire du « plutonium » à usage militaire dès le début des années 2000, lAlgérie a décéléré son programme nucléaire afin de satisfaire aux exigences américaines. En outre, Alger a proposé douvrir ses deux sites -Al-Nour et Salam- à linspection des agents de lAIEA.
Cet apaisement ne va durer que quelques années. Aussitôt que les prix du pétrole ont commencé à grimper, les responsables algériens ont repris leur programme nucléaire. Des émissaires algériens se rendent alors en Inde, en Chine et au Brésil. Dans la foulée, des contrats mirobolants sont concédés aux entreprises de ces pays qui se seraient engagés à aider lAlgérie à se doter des compétences « techniques » et « scientifiques » dans le domaine nucléaire.
Aujourdhui, lAlgérie se fixe lannée 2020 comme date butoir pour être prête à produire du plutonium. Cest cette date qui aurait été également choisie pour mettre en orbite le premier satellite algérien à partir du territoire algérien. Pour ce, un ambitieux programme pour le développement des capacités balistiques du pays a été amorcé. Il est mené sur la base des missiles coréens Scud-C et No-Dong 1 dune portée respectivement de 600 et 1000 kilomètres. Des ingénieurs dAfrique du Sud séjourneraient régulièrement dans la banlieue dAlger afin de superviser ce programme.
http://www.maghreb-intelligence.com...e-puissance-nucleaire-maghrebine-en-2020.html
l'Algérie ya baba
LAlgérie qui dispose déjà dun premier réacteur, dune capacité de 1 mégawatt, à Draria à 20 kilomètres à lest dAlger, a démarré dès 1991 la construction dun grand site à Aïn Oussera (120 kilomètres au sud de la capitale) doté dune capacité de 15 mégawatts. Ce site, tenu secret pendant de longues années, est considéré par les services secrets espagnols (CESID) dans un rapport adressé à leurs homologues américains de la CIA, comme lun des plus importants de la rive sud de la méditerranée.
En 1991, cest une image satellite américaine qui avait révélé le pot aux roses. Depuis, des tractations ont eu lieu entre Washington, sensible aux pressions espagnoles, et Alger qui a fini par revoir ses ambitions à la baisse. Alors quelle comptait produire du « plutonium » à usage militaire dès le début des années 2000, lAlgérie a décéléré son programme nucléaire afin de satisfaire aux exigences américaines. En outre, Alger a proposé douvrir ses deux sites -Al-Nour et Salam- à linspection des agents de lAIEA.
Cet apaisement ne va durer que quelques années. Aussitôt que les prix du pétrole ont commencé à grimper, les responsables algériens ont repris leur programme nucléaire. Des émissaires algériens se rendent alors en Inde, en Chine et au Brésil. Dans la foulée, des contrats mirobolants sont concédés aux entreprises de ces pays qui se seraient engagés à aider lAlgérie à se doter des compétences « techniques » et « scientifiques » dans le domaine nucléaire.
Aujourdhui, lAlgérie se fixe lannée 2020 comme date butoir pour être prête à produire du plutonium. Cest cette date qui aurait été également choisie pour mettre en orbite le premier satellite algérien à partir du territoire algérien. Pour ce, un ambitieux programme pour le développement des capacités balistiques du pays a été amorcé. Il est mené sur la base des missiles coréens Scud-C et No-Dong 1 dune portée respectivement de 600 et 1000 kilomètres. Des ingénieurs dAfrique du Sud séjourneraient régulièrement dans la banlieue dAlger afin de superviser ce programme.
http://www.maghreb-intelligence.com...e-puissance-nucleaire-maghrebine-en-2020.html
l'Algérie ya baba