Mais file une put*** source crédible ! Une analyse des échos, de bfm business, du journal of economics ....
Le mec me file makhzen power ...
T'as rien ! Que du blabla , de la vanité de maghrébins ... vous êtes ridicules et fatiguants.
L' ancien ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt, évoque la jalousie des Algériens à l'égard du Maroc.
- Initiateur de la discussion Boussati59
- Date de début
Mais file une put*** source crédible ! Une analyse des échos, de bfm business, du journal of economics ....
Le mec me file makhzen power ...
T'as rien ! Que du blabla , de la vanité de maghrébins ... vous êtes ridicules et fatiguants.
Tu détournes l'attention en parlant du vecteur de l'information ? c'est petit... et culotté quand soi-même, on pose une équation qui se veut le fruit d'une étude comparée qu'on a pas réalisée.
La source - c'est Ahmed Attaf dans une interview accordée à Radio M, un ministre tout sauf marocophile - ce qui donne encore plus de poids à ses propos, n'est-ce pas ?
Ceci dit,
En voilà une autre
L'article date de 2019.
Economie du Maroc : le temps des grandes décisions
LE CERCLE - Malgré sa réussite économique, le Maroc tarde encore à accéder au rang de puissance économique émergente. Les recettes pour y parvenir.
www.lesechos.fr
Ce n'est pas l'ambition publique qui fait défaut à l'économie du Maroc. Il suffit pour s'en convaincre d'apprécier Tanger Med, ce port (et plate-forme industrielle) récemment étendu, accueillant 8.000 entreprises et porte logistique ouverte sur l'Afrique par le détroit de Gibraltar : rares sont les pays africains qui peuvent s'enorgueillir d'une telle infrastructure.
C'est avant tout la commande publique et le tourisme qui ont alimenté un taux de croissance moyen aux alentours de 3-4 % ces dernières années : un taux certes appréciable, mais en deçà des taux africains miraculeux qui conféreraient au Maroc le statut d'une véritable puissance économique émergente. Porte d'entrée vers l'Afrique pour les entreprises occidentales à la remarquable stabilité politique, facilité de recrutement et de talents, dynamisme des banques et de l'export vers le reste du continent, solidité des secteurs touristiques et immobiliers : les atouts de l'économie marocaine sont bien connus ; mais il convient aussi de se demander quelles en sont les faiblesses et surtout comment le Maroc peut accéder au rang de vraie puissance émergente africaine.
En premier lieu, il convient de noter que les succès économiques marocains peuvent être attribués soit à la puissance publique, soit à quelques groupes privés proches du pouvoir. Ces derniers, à l'inverse d'autres pays africains, n'ont pu se reposer sur une rente minière ou énergétique mais demeurent trop concentrés. C'est de l'émergence d'une bourgeoisie d'affaires au service de la modernisation dont le pays a besoin : le prix Nobel d'économie (1971) Simon Kuznets disait : « C'est cette élite qui déclenche en premier la vague de la prospérité qui soulèvera par la suite les autres navires de petites et de moyennes tailles. » Ce rôle de propulseur de la croissance et de la prospérité joué par une bourgeoisie schumpétérienne est un prérequis pour une croissance plus élevée.
Le deuxième point est celui d'une fiscalité efficace et intelligente. Le pourcentage des taxes dans les profits totaux (rapport Doing Business) est de 50 %, là ou les émergents africains sont déjà vers 30 %. Un Maroc plus prospère devrait optimiser sa fiscalité, ne serait-ce que pour permettre justement l'émergence de cette nouvelle bourgeoisie d'affaires.
Le dernier point est plus macroéconomique. On remarque une inflation anormalement faible directement corrélée à un taux de croissance du crédit bancaire cantonné entre 2 et 5 % par an (contre 20 % pour certains pays d'Afrique noire) : la masse monétaire circulante est trop contrôlée, le crédit trop restreint, par rapport à ce que seraient les ambitions d'une puissance émergente en forte croissance. La politique économique est assez conservatrice, tournée vers la lutte contre l'inflation, bridant le potentiel de croissance de l'économie marocaine au profit de la stabilité des prix. Cette position est devenue anachronique dans la mesure où l'économie marocaine est loin d'être au plein-emploi de ses ressources. Une politique plus orientée vers la croissance, associée à une classe entrepreneuriale moins timorée, plus diversifiée au-delà des secteurs traditionnels, est la clef pour faire du Maroc le nouveau succès économique africain.
Quand on pose en équation 2 économies dont une repose sur la rente pétrolière, on ne peut pas reprocher aux autres le ridicule.
Tu as lu l'article ? Parce que c'est loin d'être élogieux. C'est plutôt réservé même.Tu détournes l'attention en parlant du vecteur de l'information ? c'est petit... et culotté quand soi-même, on pose une équation qui se veut le fruit d'une étude comparée qu'on a pas réalisée.
La source - c'est Ahmed Attaf dans une interview accordée à Radio M, un ministre tout sauf marocophile - ce qui donne encore plus de poids à ses propos, n'est-ce pas ?
Ceci dit,
En voilà une autre
L'article date de 2019.
Economie du Maroc : le temps des grandes décisions
LE CERCLE - Malgré sa réussite économique, le Maroc tarde encore à accéder au rang de puissance économique émergente. Les recettes pour y parvenir.
Ce n'est pas l'ambition publique qui fait défaut à l'économie du Maroc. Il suffit pour s'en convaincre d'apprécier Tanger Med, ce port (et plate-forme industrielle) récemment étendu, accueillant 8.000 entreprises et porte logistique ouverte sur l'Afrique par le détroit de Gibraltar : rares sont les pays africains qui peuvent s'enorgueillir d'une telle infrastructure.
C'est avant tout la commande publique et le tourisme qui ont alimenté un taux de croissance moyen aux alentours de 3-4 % ces dernières années : un taux certes appréciable, mais en deçà des taux africains miraculeux qui conféreraient au Maroc le statut d'une véritable puissance économique émergente. Porte d'entrée vers l'Afrique pour les entreprises occidentales à la remarquable stabilité politique, facilité de recrutement et de talents, dynamisme des banques et de l'export vers le reste du continent, solidité des secteurs touristiques et immobiliers : les atouts de l'économie marocaine sont bien connus ; mais il convient aussi de se demander quelles en sont les faiblesses et surtout comment le Maroc peut accéder au rang de vraie puissance émergente africaine.
En premier lieu, il convient de noter que les succès économiques marocains peuvent être attribués soit à la puissance publique, soit à quelques groupes privés proches du pouvoir. Ces derniers, à l'inverse d'autres pays africains, n'ont pu se reposer sur une rente minière ou énergétique mais demeurent trop concentrés. C'est de l'émergence d'une bourgeoisie d'affaires au service de la modernisation dont le pays a besoin : le prix Nobel d'économie (1971) Simon Kuznets disait : « C'est cette élite qui déclenche en premier la vague de la prospérité qui soulèvera par la suite les autres navires de petites et de moyennes tailles. » Ce rôle de propulseur de la croissance et de la prospérité joué par une bourgeoisie schumpétérienne est un prérequis pour une croissance plus élevée.
Le deuxième point est celui d'une fiscalité efficace et intelligente. Le pourcentage des taxes dans les profits totaux (rapport Doing Business) est de 50 %, là ou les émergents africains sont déjà vers 30 %. Un Maroc plus prospère devrait optimiser sa fiscalité, ne serait-ce que pour permettre justement l'émergence de cette nouvelle bourgeoisie d'affaires.
Le dernier point est plus macroéconomique. On remarque une inflation anormalement faible directement corrélée à un taux de croissance du crédit bancaire cantonné entre 2 et 5 % par an (contre 20 % pour certains pays d'Afrique noire) : la masse monétaire circulante est trop contrôlée, le crédit trop restreint, par rapport à ce que seraient les ambitions d'une puissance émergente en forte croissance. La politique économique est assez conservatrice, tournée vers la lutte contre l'inflation, bridant le potentiel de croissance de l'économie marocaine au profit de la stabilité des prix. Cette position est devenue anachronique dans la mesure où l'économie marocaine est loin d'être au plein-emploi de ses ressources. Une politique plus orientée vers la croissance, associée à une classe entrepreneuriale moins timorée, plus diversifiée au-delà des secteurs traditionnels, est la clef pour faire du Maroc le nouveau succès économique africain.
Quand on pose en équation 2 économies dont une repose sur la rente pétrolière, on ne peut pas reprocher aux autres le ridicule.
Trackergirl
VIB
Ah 7na sous-développés et on vit dans la misère, et je te parle avec une connexion à 5dhs, c'est bon comme ça?
Ghir si tu es "marocain", rends-nous service et coupe tes liens avec le Maroc, tellef jed bou tes racines pour que ta descendance ne soit plus marocaine, mes petits-enfants n'ont pas besoin d'avoir des medloulines au derrière ou des opportunistes qui se rappelleront qu'ils sont marocains quand ça leur conviendra.
Merci.
Tu m'as achevé Trackergirl. Merci pour ce fou rire.Mon ami me demande pourquoi j'éclate de rire tout seul
Salam
Il les donne et le montre site du ministère de l'économie Marocain à 1 minute de la vidéo.
Trackergirl
VIB
Mon ami me demande pourquoi j'éclate de rire tout seul
Allah ikhellik dima da7ek!
Wa mossibla ke7la, je comprends que le Maroc ne fasse pas de déchéance mais ok, lâche le Maroc et n'utilise plus de paperasse, deux ou trois générations suffisent pour tout perdre.
Tab3a a khoya, ils ne foutent rien et veulent te plomber le moral se7a ya latif 3la d3awi dial cherr lli fihoum.
Je pense etre bien plus patriote et marocain que vous mes amis.
C'est cette mentalité de mhytomane qui maintient le Maroc dans son sous développement. Vous vous définissez uniquement par votre anti algerianisme.
Quand on aime son pays, on le regarde en face. Je pense à la jeunesse qui souffre. Une jeunesse sans avenir. Une jeunesse qu'on croise errer dans les pays occidentaux. Je pense aux mineurs marocains non accompagnés à Paris Je pense à la fuite des cerveaux. Je pense à tout les gens qui galèrent et dont vous niez l'existence parce qu'il y'a le tram (payés par des programmes de don internationaux).
Je m'en fous du tgv construit par la France, payé par un don de la France, et installé par la France. Je m'en de toutes ces infrastructures payées par la banque mondiale et construit par les chinois. Je m'en fou de tanger med construit par bouygues et consorts. Tous ces écrans de fumée destiné à tromper les simples d'esprit.
Donc au final, soit on s'aveugle comme vous, soit on degage du Maroc. Jamais.
Encore une fois, Maroc = Algerie = pays sous développé. Et encore l'Algerie s'en sort bien mieux. Si elle avait pas ses haineux à la tête de l'Etat, elle aurait été la reine du continent. Ca peut vous ulcérer mais c'est comme ca.
J'arrive pas à regarder ces videos. On nous montre toujours quelques infrastructures flamboyantes. Mais moi ce qui m'interesse :
- qui a construit ?
- comment c'est financé ?
- dans quel but ?
Souvent c'est construit par des boites européennes ou chinoises, financé en partie par des programmes de dons internationaux et destiné à faire tourner le tourisme.
C'est pourquoi je préfère des sources serieuses et occidentales. Parce qu'elles sont pas aveuglés par notre ego de maghrébins en souffrance. Elles sont sans pitié et objective.
Le seul truc a peu près stylé et dynamique au Maroc que je connaisse c'est le technopole de Casablanca. C'est ce genre de programme qui m'intéresse.
Mais encore une fois, le Maroc n'est pas en posture de se croire puissant ou prometteur face à l'Algérie. Et cette mentalité qui consiste â foutre le seum aux algériens nous décrédibilise.
Tout est dis dans ces vidéos, si ça te fait mal aux oreilles à entendre c'est ton problème.
Je vais regarder alors
J'ai vu. Je crois avoir identifié le problème de ce débat. Vous ne comprenez absolument pas les sujets économiques. Le mec ne reponds a absolument aucune des questions posées. Il ne parle que des exportations, du tourisme et des investissements étrangers. On savait déjà qu'en bon pays exploité et soumis aux intérêts étrangers, le Maroc tourne toute "son" industrie pour l'exportation. Tout ce qu'il produit c'est pour les autres. Et le mec fini sa video en expliquant que la facture énergétique est lourde. J'ai cru voir défilé 128Md d'importation contre 30Md env d'exportation si je reprends les chiffres qu'il donnait en debut de video. Donc une balance commerciale negative.
Encore une fois, 0 mot sur l'augmentation des richesses de la population, ni sur l'origine de l'ingénierie qui est à la source des infrastructures. Rien. Ah si, un passage rapide sur l'inflation.
C'est désespérant comment vous ne maîtrisez pas ce sujet et comment vous vous aveuglez sur la catastrophe qui va tomber sur le Maroc. On connait le destin des pays exploités.
Tiens la tu as juste à lire... Tu y arrivera n'est ce pas... Sur ces vidéos (chaîne) on te donne les chiffres, investissements, création d'emplois etc
https://youtu.be/XjnI5_w34WE
Tu es de mauvaise foi et ceci après tout est ton problème... car ne pas vouloir voir l'impulsion du Maroc sur différents secteurs et osez parler de son voisin rentier gazier, pétrolier qui n'a aucune niche industriel solide et encore moins d'agriculture,qui ne produit rien, pays qui vit aux dépend de ses importations grâce aux dividende de son hydrocarbures est une stupidité sans nom ! surtout quand on voit l'évolution le devoloppement industriel infrastructure etc du Maroc ses 20 dernière années.
Dernière édition:
Il s'agit d'une critique constructive qui met l'accent sur les points d'achoppement qu'il nous faut surmonter pour atteindre une situation de vraie émergence économique - l'article ne s'appesantit pas sur les points forts, les atouts de l'économie marocaine sont bien connus peut ont lire.
Pas un mot sur les files devant la CAF ou je ne sais quelle autre institution.
L'économie marocaine a pris le chemin de la croissance, c'est un fait établi que ce - soit sur le plan industriel, infrastructures, attractivité internationale. C'est pas entendable d'avancer que les efforts consentis par les marocains depuis plus de 20 ans valent les efforts algériens - l'économie algérienne est capable de s'auto-financer en piochant dans son sous-sol quand le Maroc doit redoubler d'efforts pour attirer les capitaux pour financer ses changements structurels, ses projets de transformation. Et c'est encore moins entendable dans ce contexte géopolitique favorable à l'Algérie (flambée des hydrocarbures) qui s'ajoute à la pandémie qui font perdre au Maroc 2 années et demie de croissance et 3 ans de lutte contre les inégalités et la pauvreté.
Je t'ai lu,
Ce qui te chagrine le plus, ce-sont les critiques dressées contre l'Algérie
Alors je te console un peu. Quand on a une maison en verre, on ne jette pas la pierre au voisin. Voici en substance ce que j'ai envie de dire à mes compatriotes qui se moquent des files alimentaires etc.
Pour autant,
On arrête le discours Frériste. Le préjudice économique causé par la politique marocophobe de l'Algérie est loin d'être anecdotique. Et le Maroc signe la fin de la récrée à juste titre. Il est vain de tenter de faire gober que les cabrantes valent le makhzen, bezef 3li8om.
Pourtant c'est en faisant pas mal de recettes à l'Export, et accumulant des devises étrangères et on exigeant des transfert de technologie que la Chine est montée sur le podium
a voir alors si le Maroc suit cette lignée. Pourquoi pas. Mais actuellement la balance commerciale est déficitaire.
Autre point aussi. Je comparerais pas les marocains avec les chinois. Ces derniers sont discrets et bosseurs. Et ca a dû jouer dans l'explosion économique de la chine.
Wallah tu me tue de rire. Le mec je lui demande une analyse sérieuse sur l'economie marocaine et apres des recherches de fou il m'envoie un article qui debute : "les atouts de l'économie marocaine sont bien connus".
Mais c'est tout l'objet de la discussion! Je veux les connaitre ! Je te répète, donne des sources fiables et arrete d'annoner les memes phrases.
On connait rien à l'économie il a dit laisse tomber
Fifa
Il est juste de mauvaise foi.. Ou vit dans un monde parallèle qui se serait arrêté dans la période de 7 ans de sécheresse des années 80 en pleine guerre avec la clique de l'est.... Va savoir.
On a plus de mouchoirs en réserve pour lui.... C'est triste on a fini les boîtes avec les dernières mouches.. désolé
Ce n'est n'est fait qu'en réponse à la kouwa qui vient nous coller sa misère et préfère se consoler imaginant que c'est nous... Alors certains sont bien obligé de les mettre face à l'évidence de ce qui ce passe réellement chez eux ! car chez nous on sait très bien ce qui passe c'est pas l'opulence ni la Suisse et d'ailleurs aucun pays n'est à l'abri par ces temps qui courent .
Walakine l'hamdoullah.
Et franchement quand je vois ce que certains ce permettent de dire et mettre sur le Maroc, je trouve que les Marocains sont soft à côté.
A 1000 sur moi et 0 reponse sur le fond lol. Que des affirmations sans fondement, des insultes et du dénigrement. Soit tu bouffes leurs salades , soit on t'insulte.
Maroc, premier pays au monde a se developper en ... forcant les gens à dire qu'il est développé !!
Maroc, premier pays au monde a se developper en ... forcant les gens à dire qu'il est développé !!
Sinon ce que tu peux faire c'est aller sur ChatGpt https://chat.openai.com/chat et il se fera un plaisir de répondre à toutes les questions que tu veux avec des chiffres et tout.
Wallah super conseil. Et ChatGpt est infiniment plus compètent que certaines personnes ici. Voici notre discussion :
Ba en fait ils le sont pas tant que ça, disons que ya le respect du chef mais on peut pas dire que les mecs des petites villes et de la campagne sont 'discrets' et puis il y a des tires aux flancs comme partout
Dernière édition:
Encore une approximation, exagération bien calculée pour jeter le discrédit.
Voici la 1ère phrase de l'article.
"Ce n'est pas l'ambition publique qui fait défaut à l'économie du Maroc. Il suffit pour s'en convaincre d'apprécier Tanger Med, ce port (et plate-forme industrielle) récemment étendu, accueillant 8.000 entreprises et porte logistique ouverte sur l'Afrique par le détroit de Gibraltar : rares sont les pays africains qui peuvent s'enorgueillir d'une telle infrastructure."
Economie du Maroc : le temps des grandes décisions
LE CERCLE - Malgré sa réussite économique, le Maroc tarde encore à accéder au rang de puissance économique émergente. Les recettes pour y parvenir.
www.lesechos.fr
Les projections du FMI ne sont pas fiables, les échos ne te satisfont pas. Rien ne trouve grâce à tes yeux, à l'impossible, nul n'est tenu - tu n'auras plus aucun article ou recherche de ma part.
Confidence,
Même si je n'avais lu aucun article, entre le Maroc de mon enfance et le Maroc d'aujourd'hui, la photo n'est plus la même.
Je ne peux rien pour toi, si tu n'as pas vu le développement des autoroutes, le TGV, la présence de nombreuses entreprises du CAC 40 françaises, le développement de l'industrie automobile, le BTP. Tu n'as pas observé dans ton entourage au Maroc une progression sociale (plus de filles à l'école, véhiculées.. même les algériens préfèrent passer leurs en vacances au Maroc.
Et c'est le début pas la fin !
On est bien conscients de nos marges de progrès, nos défis, nos faiblesses sans hydrocarbures et avec une guerre qui ne dit pas son nom et dont le budget qu'on lui consacre pourrait servir à construire des écoles et désenclaver des territoires.
C'est ce qu'il s'est passé pour la chine dans les premières années, on peut pas dire qu'ils se sont trop soucié des 'droits des travailleurs' par exemple mais une fois qu'ils se sont bien développé industriellement ils ont commencé à développer la demande intérieure
Faut voir à long terme
Pourtant plus haut, j'évoque bien les limites d'une économie tributaire des IDE quand ceux-ci ne s'accompagnent d'une réinjection en locale. On en est conscients mais il n'empêche que les IDE - notre défi, c'est de faire en sorte qu'ils s'accompagnent (au-moins) de transferts technologiques pour qu'on puisse à notre tour, prendre la main totale sur le développement notre tissu industriel.
On le sait que les investisseurs sont attirés par le dumping social mais à un moment faut savoir, tu préfères les voir faire la queue devant la CAF ou c'est comment ?
Encore une approximation, exagération bien calculée pour jeter le discrédit.
Voici la 1ère phrase de l'article.
"Ce n'est pas l'ambition publique qui fait défaut à l'économie du Maroc. Il suffit pour s'en convaincre d'apprécier Tanger Med, ce port (et plate-forme industrielle) récemment étendu, accueillant 8.000 entreprises et porte logistique ouverte sur l'Afrique par le détroit de Gibraltar : rares sont les pays africains qui peuvent s'enorgueillir d'une telle infrastructure."
Economie du Maroc : le temps des grandes décisions
LE CERCLE - Malgré sa réussite économique, le Maroc tarde encore à accéder au rang de puissance économique émergente. Les recettes pour y parvenir.
Les projections du FMI ne sont pas fiables, les échos ne te satisfont pas. Rien ne trouve grâce à tes yeux, à l'impossible, nul n'est tenu - tu n'auras plus aucun article ou recherche de ma part.
Confidence,
Même si je n'avais lu aucun article, entre le Maroc de mon enfance et le Maroc d'aujourd'hui, la photo n'est plus la même.
Je ne peux rien pour toi, si tu n'as pas vu le développement des autoroutes, le TGV, la présence de nombreuses entreprises du CAC 40 françaises, le développement de l'industrie automobile, le BTP. Tu n'as pas observé dans ton entourage au Maroc une progression sociale (plus de filles à l'école, véhiculées.. même les algériens préfèrent passer leurs en vacances au Maroc.
Et c'est le début pas la fin !
On est bien conscients de nos marges de progrès, nos défis, nos faiblesses sans hydrocarbures et avec une guerre qui ne dit pas son nom et dont le budget qu'on lui consacre pourrait servir à construire des écoles et désenclaver des territoires.
Ca fait mal de voir que ce sont des francais qui ont construit le LGV et qui l'ont financé
Donc tu es ok que les IDE ne se traduisent pas en retombées concrete pour le peuple ?
Ah mais pas de souci. Moi si on m'avait repondu ce que tu m'as repondu, j'aurais fermé ma bouche.
Moi j'y crois pas à cette strategie. En amerique latine ca n'a pas donné grand chose.
Ils créent quand même de l'emploi dans un temps 1 pour une partie de la population, celle qui vivra dans les mégalopoles.
t'aurais préféré que ce soit financé par l'Algérie sur le budget du Polisario ? ça aurait eu de l'allure ))
C'est pas pareil parce qu'ils se sont concentrés sur les matières premières et ça c'est mauvais plan c'est trop volatile et nécessite moins d'investissement et de capital humain qu'une industrie plus en milieu ou fin de chaîne
Trackergirl
VIB
Tu penses que les investisseurs sont des anges communistes?
Et qui travaille dans ces entreprises, usines ? Les extra-terrestres? Donc tu veux qu'on vienne investir et qu'on te donne des dividendes en plus, ça va chwiya, le syndrome du peuple élu n'est pas atténué par le jeûne?
Trackergirl
VIB
Non il préfère qu'on soit solidaire avec kraghlas et qu'on fasse tous la queue pour du lait et de la farine.
Je vais partir, je dois sortir chercher dans la rue un marocain qui croit qu'on a construit le TGV et on a tout financé, pas les autres qui font des subsides et s'attendent à un retour sur investissement (donc pas de charité pour qui que ce soit).
Non il préfère qu'on soit solidaire avec kraghlas et qu'on fasse tous la queue pour du lait et de la farine.
Je vais partir, je dois sortir chercher dans la rue un marocain qui croit qu'on a construit le TGV et on a tout financé, pas les autres qui font des subsides et s'attendent à un retour sur investissement (donc pas de charité pour qui que ce soit).
Si jamais ce marocain travaille dans une entreprise française, demande lui où il fait ses courses,, des fois qu'il pense qu'il est tenu de venir en France se ravitailler.