samoka
les temps changent....
En Indonésie, il existe une école coranique créé par un travesti. On peut vivre sa religion sans complexe.
http://directmatin.directmedia.fr/v1...me=DirectMatin
Souvent perçus comme des déviants
sexuels, les lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels sont parfois tenus à l’écart des rites religieux et n’ont pas accès aux lieux de culte. L’accès à la prière, la transcendance et la sensation de se rapprocher de Dieu sont pourtant des droits religieux dus à tout être humain. Dans la pratique, ils sont bien trop souvent réservés aux hétérosexuels.
Ariel, un travesti de 30 ans qui vit depuis plus de dix ans à Jogjakarta [une ville de 500 000 habitants, sur l’île de Java], devait s’introduire secrètement dans la mosquée chaque fois qu’il voulait réciter les tarawih [prières du
soir pendant le ramadan]. «J’entrais en cachette et je devais porter le
sarong pour pouvoir me joindre aux hommes. Certains amis préféraient mettre la mukena [long voile porté par les femmes pendant la prière] et se mêler aux
femmes», dit-il. Il leur est souvent arrivé de se voir refuser l’accès à la mosquée. «Même si nous sommes des travestis, nous avons besoin de prier Dieu et d’assister à des rituels. Nous aussi sommes des êtres humains
avec des yeux et un coeur. Nous aussi sommes des êtres humains et avons besoin de prier Dieu», poursuit-il, en citant les paroles d’une chanson......
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Souvent perçus comme des déviants
sexuels, les lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels sont parfois tenus à l’écart des rites religieux et n’ont pas accès aux lieux de culte. L’accès à la prière, la transcendance et la sensation de se rapprocher de Dieu sont pourtant des droits religieux dus à tout être humain. Dans la pratique, ils sont bien trop souvent réservés aux hétérosexuels.
Ariel, un travesti de 30 ans qui vit depuis plus de dix ans à Jogjakarta [une ville de 500 000 habitants, sur l’île de Java], devait s’introduire secrètement dans la mosquée chaque fois qu’il voulait réciter les tarawih [prières du
soir pendant le ramadan]. «J’entrais en cachette et je devais porter le
sarong pour pouvoir me joindre aux hommes. Certains amis préféraient mettre la mukena [long voile porté par les femmes pendant la prière] et se mêler aux
femmes», dit-il. Il leur est souvent arrivé de se voir refuser l’accès à la mosquée. «Même si nous sommes des travestis, nous avons besoin de prier Dieu et d’assister à des rituels. Nous aussi sommes des êtres humains
avec des yeux et un coeur. Nous aussi sommes des êtres humains et avons besoin de prier Dieu», poursuit-il, en citant les paroles d’une chanson......