La Bible est incomplète et sa vocalisation a été standardisée après Muhammad

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vas travailler a en faire un au lieu de fantasmer sur le premier mec avec qui tu discute

normal tu ne vois que ce que tu veux voir, une attaque contre un musulman pour toi c'est normal tu reléve jamais

aprés "fiston" voilà que t'en viens à "tes parents"? t'as un serieux traumatisme, tu peux pas avoir d'enfants? vas te faire soigner tu fais trop pitier(

C'est mon côté social qui me fait m'intéresser aux cas pathologiques dans ton genre et celui de la magnifique :).

En plus ta mauvise foi a quelque chose de touchant: elle combine un déni évident de la réalité avec une perception à géémétrie variable. Un vrai cas d'école, intéressant à étudier pour se faire une idée plus précise des maux qui rongent certains musulmans.

Dans l'attaque spontanée de la trinité, de saint-paul, etc, visant à saper les fondements du christianisme, tu ne vois qu'une "défense". Tout plutôt que de reconnaître une responsabilité. Déni classique.

Normal que je parle de tes parents, après que sujet en soit venu sur ta maman dans l'autre post, fiston. Vu la manière dont tu y as réagit, on devine la sensibilité du sujet chez toi :). Tu veux en parler ?
 
Normal que je parle de tes parents, après que sujet en soit venu sur ta maman dans l'autre post, fiston. Vu la manière dont tu y as réagit, on devine la sensibilité du sujet chez toi : ). Tu veux en parler ?
je vois que le sujet t'interresse pas et que c'est moi qui t'interesse, alors parlons de nous
oui c'est normal pour une psychopate de parler des parents des autres quand le sujet ne s'y prete pas du tout, enfant battue, abandonnée, vielle fille... vas y vide tn coeur, confies toi :D
trouves toi un mari et fais tes propre enfants si tu veux pouvoir m'aider un jour ... pour le moment t'arrive meme pas à t'aider toi meme :D
 
je vois que le sujet t'interresse pas et que c'est moi qui t'interesse, alors parlons de nous
oui c'est normal pour une psychopate de parler des parents des autres quand le sujet ne s'y prete pas du tout, enfant battue, abandonnée, vielle fille... vas y vide tn coeur, confies toi :D
trouves toi un mari et fais tes propre enfants si tu veux pouvoir m'aider un jour ... pour le moment t'arrive meme pas à t'aider toi meme

Disons que le stade où tu te trouves et le déni qui te meut peuvent s'expliquer par une cause parentale :). D'où la proposition d'en parler si tu sens que cela peut t'aider.
 
Disons que le stade où tu te trouves et le déni qui te meut peuvent s'expliquer par une cause parentale : ). D'où la proposition d'en parler si tu sens que cela peut t'aider.
je veux bien en parler mais pas avec une traumatisée, trouve toi un mari et fais des enfants pour acquerir l'experience necessaire pour en discuter (bientot la menopause attention)
je vais pas continuer à parler de toi sinon tu vas te suicider et les femmes qui ne peuvent avoir d'enfants n'est pas un sujet à prendre a la legére, les perturbations psychologiques dont elle sont atteintes peuvent etre irremediable et ca te rendra encore plus mechante que tu ne l'es deja
bonne chance
 
je veux bien en parler mais pas avec une traumatisée, trouve toi un mari et fais des enfants pour acquerir l'experience necessaire pour en discuter (bientot la menopause attention)
je vais pas continuer à parler de toi sinon tu vas te suicider et les femmes qui ne peuvent avoir d'enfants n'est pas un sujet à prendre a la legére, les perturbations psychologiques dont elle sont atteintes peuvent etre irremediable et ca te rendra encore plus mechante que tu ne l'es deja
bonne chance

Ne prends donc pas ainsi ton cas d'isolation sociale pour une généralité :).
La fuite du sujet de tes parents téloignerait-elle d'une corde sensible que tu ne veux surtout pas exposer, mon bon sempro :) ? relax, on est entre amis, ici, tu peux y aller en confiance.
 
Ne prends donc pas ainsi ton cas d'isolation sociale pour une généralité : ).
La fuite du sujet de tes parents téloignerait-elle d'une corde sensible que tu ne veux surtout pas exposer, mon bon sempro : ) ? relax, on est entre amis, ici, tu peux y aller en confiance.
te detourne pas du vrai probléme qui est toi, trouve toi un mari et fais des enfants avant que tu ne pourisse, aprés tu saura ce que c'est que d'etre parent... :)
mais pour le moment tu peux pas parler d'une chose que tu ignores
pour moi alhamdouli llah j'ai rien a reprocher a ma famille, elle est trés proche de moi et je suis trés proche d'elle, isolation sociale? tu veux rire ou tu crois que ce que tu vis tout le monde le vit :D
 
te detourne pas du vrai probléme qui est toi, trouve toi un mari et fais des enfants avant que tu ne pourisse, aprés tu saura ce que c'est que d'etre parent... :)
mais pour le moment tu peux pas parler d'une chose que tu ignores
pour moi alhamdouli llah j'ai rien a reprocher a ma famille, elle est trés proche de moi et je suis trés proche d'elle, isolation sociale? tu veux rire ou tu crois que ce que tu vis tout le monde le vit

Justement, tu as tous les symptômes du gars isolé socialement et qui a du mal à nouer des relations. En particulier avec des gens de l'autre sexe en-dehors de sa famille. Le genre d'idées que tu as sur les femmes devrait pourtant te réserver un certain public parmi les femmes les plus "dociles" dans le suivi d'un islam aussi littéraliste que le tien. Ne te décourage pas, tu finiras par trouver ;).
 
Justement, tu as tous les symptômes du gars isolé socialement et qui a du mal à nouer des relations. En particulier avec des gens de l'autre sexe en-dehors de sa famille. Le genre d'idées que tu as sur les femmes devrait pourtant te réserver un certain public parmi les femmes les plus "dociles" dans le suivi d'un islam aussi littéraliste que le tien. Ne te décourage pas, tu finiras par trouver ; ).
tu te fies à un forum pour te faire une opinion d'un inconu et lui tirer son portrait psychologique? et tout ca benevolement et avec passion... :D

t'es vraiment malade ma vielle, vas vite te marier avant qu'il ne soit trop tard :D
 
Ce que tu ne comprends pas c'est que ton affirmation de dire que tu sens le vrai du faux en récitant est absurde :

Mohamed ne parlait pas l'Arabe : il parlait un dialecte Araméo-Syriaque ;)

Vous dites n'importe quoi et surtout sans etayer vos propos,est-ce que vous pouvez nous apporter un seul manuscrit en hebreux

qui contiendrait les paroles authentiques de Jésus non traduites ?

Parce que comme le dit le dicton,traduire c'est trahir !



L'analyse interne du texte biblique est quand même très claire :

Jean 5.2
Or, à Jérusalem, près de la porte des brebis, il y a une piscine qui s'appelle en hébreu Béthesda, et qui a cinq portiques.

Jean 19.13
Pilate, ayant entendu ces paroles, amena Jésus dehors; et il s'assit sur le tribunal, au lieu appelé le Pavé, et en hébreu Gabbatha.

Jean 19.17
Jésus, portant sa croix, arriva au lieu du crâne, qui se nomme en hébreu Golgotha.


Jean 20.16
Jésus lui dit: Marie! Elle se retourna, et lui dit en hébreu: Rabbouni! c'est-à-dire, Maître!

Cependant, la particularité de la Judée (centre du judaïsme mosaïque à cause de la présence du Temple et autres…) où vivait Jésus-Christ(as) est que la population juive parlait l’hébreu et non l’araméen. Et cela, bien que dans certaines contrées de la Palestine, des populations locales parlaient l’araméen et aussi l’hébreu, car les inscriptions retrouvées par les archéologues au Nord de la Galilée étaient en hébreu ou en araméen.

Mais, l’hébreu était exclusivement parlé par les juifs de Judée d’où devait commencer la mission de Jésus-Christ(as) pour ensuite atteindre tous les enfants d’Israël (Matthieu 10 :5-6, 23).

Donc Jésus-Christ(as) et ses contemporains israélites parlaient l’hébreu.


Maintenant regardons l'inscription sur la croix au moment de la crucifixion du christ :


Jean 19.20
Beaucoup de Juifs lurent cette inscription, parce que le lieu où Jésus fut crucifié était près de la ville: elle était en hébreu, en grec et en latin.


Où est passé l'araméen ?
est-ce que vous pouvez nous apporter un seul manuscrit en hebreux qui contiendrait les paroles authentiques de Jésus non traduites ?
Parce que comme le dit le dicton,traduire c'est trahir !:D
 
Vous dites n'importe quoi et surtout sans etayer vos propos,est-ce que vous pouvez nous apporter un seul manuscrit en hebreux

qui contiendrait les paroles authentiques de Jésus non traduites ?

Parce que comme le dit le dicton,traduire c'est trahir !



L'analyse interne du texte biblique est quand même très claire :

Jean 5.2
Or, à Jérusalem, près de la porte des brebis, il y a une piscine qui s'appelle en hébreu Béthesda, et qui a cinq portiques.

Jean 19.13
Pilate, ayant entendu ces paroles, amena Jésus dehors; et il s'assit sur le tribunal, au lieu appelé le Pavé, et en hébreu Gabbatha.

Jean 19.17
Jésus, portant sa croix, arriva au lieu du crâne, qui se nomme en hébreu Golgotha.


Jean 20.16
Jésus lui dit: Marie! Elle se retourna, et lui dit en hébreu: Rabbouni! c'est-à-dire, Maître!

Cependant, la particularité de la Judée (centre du judaïsme mosaïque à cause de la présence du Temple et autres…) où vivait Jésus-Christ(as) est que la population juive parlait l’hébreu et non l’araméen. Et cela, bien que dans certaines contrées de la Palestine, des populations locales parlaient l’araméen et aussi l’hébreu, car les inscriptions retrouvées par les archéologues au Nord de la Galilée étaient en hébreu ou en araméen.

Mais, l’hébreu était exclusivement parlé par les juifs de Judée d’où devait commencer la mission de Jésus-Christ(as) pour ensuite atteindre tous les enfants d’Israël (Matthieu 10 :5-6, 23).

Donc Jésus-Christ(as) et ses contemporains israélites parlaient l’hébreu.


Maintenant regardons l'inscription sur la croix au moment de la crucifixion du christ :


Jean 19.20
Beaucoup de Juifs lurent cette inscription, parce que le lieu où Jésus fut crucifié était près de la ville: elle était en hébreu, en grec et en latin.


Où est passé l'araméen ?
est-ce que vous pouvez nous apporter un seul manuscrit en hebreux qui contiendrait les paroles authentiques de Jésus non traduites ?
Parce que comme le dit le dicton,traduire c'est trahir !:D
Jésus parlait l'araméen. Mais Muhammad parlait dans un arabe très imprégné d'aramaïsmes. Les savants musulmans parlent d'i'rab. L'irab est un ensemble d'usages linguistiques non codifiés que les initiés connaissent par la pratique de cette langue presque disparue. La grammaire arabe actuelle n'utilise les déclinaisons que rarement, et est apauvrie. Le Coran contient des passages qui semblent contrevenir à la grammaire arabe, du fait que celle-ci a été simplifiée pour l'enseignement. Comme "qalatil a'rab" ou "qala niswatun". Un arabe moderne dirait "qalul a'rab"... L'usage coranique témoigne ainsi de formes archaïques de tournures qui divergent de la grammaire simplifiée et amputée. Certains des usages coraniques sont des emprunts du syriaque, de même que de nombreux mots du Coran d'origine syriaque.
 
Vous dites n'importe quoi et surtout sans etayer vos propos,est-ce que vous pouvez nous apporter un seul manuscrit en hebreux

qui contiendrait les paroles authentiques de Jésus non traduites ?

Parce que comme le dit le dicton,traduire c'est trahir !



L'analyse interne du texte biblique est quand même très claire :

Jean 5.2
Or, à Jérusalem, près de la porte des brebis, il y a une piscine qui s'appelle en hébreu Béthesda, et qui a cinq portiques.

Jean 19.13
Pilate, ayant entendu ces paroles, amena Jésus dehors; et il s'assit sur le tribunal, au lieu appelé le Pavé, et en hébreu Gabbatha.

Jean 19.17
Jésus, portant sa croix, arriva au lieu du crâne, qui se nomme en hébreu Golgotha.


Jean 20.16
Jésus lui dit: Marie! Elle se retourna, et lui dit en hébreu: Rabbouni! c'est-à-dire, Maître!

Cependant, la particularité de la Judée (centre du judaïsme mosaïque à cause de la présence du Temple et autres…) où vivait Jésus-Christ(as) est que la population juive parlait l’hébreu et non l’araméen. Et cela, bien que dans certaines contrées de la Palestine, des populations locales parlaient l’araméen et aussi l’hébreu, car les inscriptions retrouvées par les archéologues au Nord de la Galilée étaient en hébreu ou en araméen.

Mais, l’hébreu était exclusivement parlé par les juifs de Judée d’où devait commencer la mission de Jésus-Christ(as) pour ensuite atteindre tous les enfants d’Israël (Matthieu 10 :5-6, 23).

Donc Jésus-Christ(as) et ses contemporains israélites parlaient l’hébreu.


Maintenant regardons l'inscription sur la croix au moment de la crucifixion du christ :


Jean 19.20
Beaucoup de Juifs lurent cette inscription, parce que le lieu où Jésus fut crucifié était près de la ville: elle était en hébreu, en grec et en latin.


Où est passé l'araméen ?
est-ce que vous pouvez nous apporter un seul manuscrit en hebreux qui contiendrait les paroles authentiques de Jésus non traduites ?
Parce que comme le dit le dicton,traduire c'est trahir !:D
Et d'ou provient l'hébreu ?
 
Jésus parlait l'araméen. Mais Muhammad parlait dans un arabe très imprégné d'aramaïsmes. Les savants musulmans parlent d'i'rab. L'irab est un ensemble d'usages linguistiques non codifiés que les initiés connaissent par la pratique de cette langue presque disparue. La grammaire arabe actuelle n'utilise les déclinaisons que rarement, et est apauvrie. Le Coran contient des passages qui semblent contrevenir à la grammaire arabe, du fait que celle-ci a été simplifiée pour l'enseignement. Comme "qalatil a'rab" ou "qala niswatun". Un arabe moderne dirait "qalul a'rab"... L'usage coranique témoigne ainsi de formes archaïques de tournures qui divergent de la grammaire simplifiée et amputée. Certains des usages coraniques sont des emprunts du syriaque, de même que de nombreux mots du Coran d'origine syriaque.

ces mots viennent d'Allah (swt) pas du syriaque, et Allah dit l'avoir descendu dans un arabe clair
 
ces mots viennent d'Allah (swt) pas du syriaque, et Allah dit l'avoir descendu dans un arabe clair
Ca, c'est ce que le texte d'un bouquin nommé "Coran" dit mais absolument aucune preuve ne le prouve ni le confirme. Tout l'inverse de la Recherche et de la méthodologie analytique, critique et historique.

La foi, irrationnelle, fantasmagorique et très souvent "à coté de la plaque" contre le réalisme rationnel se nourrissant du fait tangible parce que démontrable.
 
Ca, c'est ce que le texte d'un bouquin nommé "Coran" dit mais absolument aucune preuve ne le prouve ni le confirme. Tout l'inverse de la Recherche et de la méthodologie analytique, critique et historique.

La foi, irrationnelle, fantasmagorique et très souvent "à coté de la plaque" contre le réalisme rationnel se nourrissant du fait tangible parce que démontrable.


Pendant les trente dernières années ou plus, beaucoup de théories révisionnistes ont été proposées pour expliquer la naissance du Coran et de l’Islam. Selon ces diverses écoles de pensée révisionniste, l'Islam était à l'origine une section juive (Hagarisme) ; le Coran était contemporain de la Sira (Wansbrough) ; L'Islam a surgi dans le désert du Néguev validant d’une façon ou d'une autre l'hypothèse de Wansbrough (Nevo) ; le Coran est venu après la Sira et le Hadith (Rubin) ; le Coran était une production Irakienne créée avant la Sira (Hawting) et, récemment, le Coran est un produit du christianisme Syriaque (Luxenberg).

Il semble que ces écoles révisionnistes suivent souvent des méthodologies qui ne conviennent pas entre eux (que ça soit entièrement ou partiellement) et aucune d’elles ne semble convenir sur n'importe quel autre scénario particulier, que ce soit historique, social, culturel, politique, économique ou religieux.

Quelque chose qui semble être très fondamentale dans leurs analyses est que les révisionnistes sont disposés à formuler n'importe quelle théorie pour prêter une vraisemblance à leurs avis au sujet du Coran et de l’Islam, peu importe qu’il contredit toutes les évidences disponibles et bien établie, documentaires ou autres.

À cet égard nous découvrons que Luxenberg n'en est pas différent. C'est ce que précisément a signalé récemment Robert Hoyland. Tout en discutant le corpus de la preuve documentaire concernant l’avènement l'Islam et de son absence presque totale dans le travail de Christoph Luxenberg, entre d'autres, il dit :

« D’abord, nous avons un certain nombre de preuves physiques - particulièrement de sources non-Musulmanes, papyrus, inscriptions et excavations archéologiques - qui peuvent servir de référentiel externe utile et dont l’exploitation de la richesse vient juste de commencer d'une façon systématique.

Deuxièmement, la mémoire historique de la communauté musulmane est plus robuste que certains ont prétendus. Par exemple, plusieurs Divinités, Rois et Tribus de la période Arabe préislamiques qui ont été dépeints par les Historiens Musulmans du IXème siècle paraissent également dans des monuments épigraphiques, de même pour plusieurs Souverains et Gouverneurs du premier état islamique tôt.

Ceci rend très difficile d’accepter les scénarios historiques qui exigent pour leur concorde une discontinuité totale dans la mémoire historique de la communauté Musulmane - telle celle de Mohamed (saws) n'a pas existé, le Coran n'a pas été écrit dans l'arabe, la Mecque était à l'origine dans un endroit différent etc., peuvent-ils vraiment être justifiés -. Plusieurs de ces scénarios se fondent sur l'absence de preuves, mais cela semble une humiliation de faire un tel recours quand il y a déjà beaucoup de genres d'évidences matérielles attendant toujours à être étudiées » (100).





http://blog.decouvrirlislam.net/Hom...-a-la-these-farefelue-de-mingana-et-luxenberg
 
Quant aux marques de voyelle en Arabe, Abou Al-Aswad Al-Douali était le premier à les avoir présentées. Il est très peu probable qu'elles pourraient parvenir du Syriaque parce que les exigences orthographiques du Syriaque étaient en grande partie différentes de celles de l'Arabe. En outre, la terminologie pour la vocalisation dans l’écriture Syriaque est connue seulement à partir d’auteurs récents tels que Bar Hebraeus et montre bien son influence par l'orthographe Arabe.

Par conséquent, la supposition des sept "Ahruf" du Coran représentant les sept signes des voyelles Syriaque est insoutenable. L'analyse des faisceaux d'Isnad prouve que la tradition de la révélation du Coran dans les sept "Ahruf" était déjà connue au premier siècle de l’Hégire et ils ne peuvent nullement représenter la vocalisation Syriaque de Jacob d'Edesse.

Le Coran était paléographiquement un document gelé au premier siècle de l’Hégire comme vu dans les manuscrits ainsi que dans les qira'at avec lequels ils ont été écrits ; MS Arabe 328a et MS Or. 2165 étant deux bons exemples. En outre, à l’examen des caractéristiques géographiques des preuves historiques manuscrites, prouve que la majeure partie des inscriptions Syriaques à la période préislamiques est confinée dans la région d'Edesse de l’actuel Turquie du sud. Le Syro-araméen, étant la langue avec laquelle Luxenberg a indiqué que le Coran avait été partiellement écrit. Il est certainement loin de la région et en particulier de la Mecque et du Hedjaz. Les plus proches des inscriptions arabes préislamiques en termes de géographie sont les inscriptions Nabatéenne.

En fait, une grande partie du contexte socio-historique des origines de l'Islam peut être expliqué en considérant le milieu Nabatéen. Le milieu Nabatéen couve avec succès les origines de l’écriture Arabe, le système des points et l’Arabe classique préislamique. La proximité entre l’écriture Arabe et l’écriture Nabatéenne rend l'hypothèse de Luxenberg pour une lecture syro-araméenne du Coran infaisable. Un milieu Syro-Araméen trouverait beaucoup de difficultés pour rendre compte des aspects de l'origine de l’écriture Arabe, de son système de points, des origines de l'Arabe classique et du contexte socio-historique en relation avec la montée de l’Islam.
 
Les mots etrangés dans le Coran:http://blog.decouvrirlislam.net/Home/islam/coran/le-coran-et-les-mots-etrangers


Dans son analyse ci-dessus sur les mots étrangers du Coran, M. Alî Mohar apporte plusieurs points importants. Tout d'abord, il fait remarquer que l'emprunt large voire total de dialectes précédents ou étrangers est commun aux différentes langues, sans que cela n'enlève rien à la pureté de ces mêmes langues. Il affirme que les mots étrangers deviennent "partie intégrante" de la langue, ce qui maintient le statut de arabiyin mubîn. Il souligne également que tous ces mots étrangers avaient déjà été acceptés comme faisant partie de la langue arabe avant la révélation coranique. Plus loin, Alî Mohar poursuit en discutant de la recherche sur les mots étrangers par Arthur Jeffery:




En fait les recherches de Jeffery aspirent à montrer que les paroles qu'il a identifié comme étant d'origine étrangère ont effectivement été naturalisées et sont devenus des mots arabes ordinaires avant qu'ils ne viennent à être utilisé dans le Coran. Il énumère quelques 275 autres mots tels que les noms propres. "D'environ, les trois quarts des mots de cette liste", comme le souligne Watt, "il peut être démontré qu'ils ont été utilisés en arabe avant l'époque de Muhammad, ... Sur les 70 autres, s'il n'y a pas de preuves écrites de leur usage antérieur, il peut-être vrai qu'ils étaient déjà employés dans le discours ... " (fn. Watt, bell's Introduction etc., op. cit., p. 85).. Et compte tenu du fait que l'arabe, le syriaque, l'éthiopien, l'hébreu ou l'araméen juif sont des langues sémitiques apparentés ayant une origine commune dans l'original langue arabe-araméenne mentionné ci-dessus, ils ont beaucoup de mots en commun et aussi des formes similaires. Il est donc souvent difficile de dire lequel de ces mots apparentés est dérivé à un autre de ces langues. [6]







Ainsi, les mots arabes d'origines étrangères du Coran n'infirment pas la pureté du style coranique qui est clair, mais sont des mots incorporés au fil du temps dans cette langue tout comme ont été incorporés dans la langue de Molière, par exemple : "verdict" (d'origine anglaise), "leitmotiv" (d'origine allemande), "sacoche" (d'origine italienne), "savane" (d'origine espagnole), "abricot" ou "chiffre" (d'origines arabe).





http://blog.decouvrirlislam.net/Home/islam/coran/le-coran-et-les-mots-etrangers
 
Ca, c'est ce que le texte d'un bouquin nommé "Coran" dit mais absolument aucune preuve ne le prouve ni le confirme. Tout l'inverse de la Recherche et de la méthodologie analytique, critique et historique.
La foi, irrationnelle, fantasmagorique et très souvent "à coté de la plaque" contre le réalisme rationnel se nourrissant du fait tangible parce que démontrable.
je te laisse le soin de prouver a ta raison que c'est le contraire, moi ma raison me dis de faire confiance au Createur
 
Vous dites n'importe quoi et surtout sans etayer vos propos,est-ce que vous pouvez nous apporter un seul manuscrit en hebreux

qui contiendrait les paroles authentiques de Jésus non traduites ?

Parce que comme le dit le dicton,traduire c'est trahir !

Comme le dit Prizma ci-dessus, Jésus parlait l'Araméen, la langue du "peuple".
Mais en tant que "rabbi", il devait aussi connaître l'Hébreu.

Enfin, certains de ses disciples (comme André et Philippe) maitrisaient le Grec qui était la langue administrative et surtout "commerciale" de cette époque (comme l'est l'Anglais aujourd'hui) et peut être un peu de Latin pour communiquer avec l'occupant Romain..

C'est pour cela que les Evangiles et les Actes sont rédigés en Grec, dans un but de large diffusion.
(bien que certains textes de Papias et plus tard d'Eusèbe de Césarée mentionnent un évangile de Mathieu en Araméen)

Le manuscrit le plus ancien retrouvé à ce jour est le papyrus P52 qui date de 125 environ.
Il s'agit de quelques lignes de l'Evangile selon Jean. http://www.interbible.org/interBible/decouverte/comprendre/2008/clb_080905b.jpg

(mais peut être que le papyrus "Magdalen Greek 17" - des parties de Mathieu - serait plus ancien)

Enfin, certains pensent que le papyrus 7Q5 retrouvé à Qumran serait un passage de l'évangile de Marc. Mais le fragment est si petit que c'est difficile de le confirmer.

Tout ça pour dire que les premiers écrits étaient systématiquement en Grec afin d'être compris par toutes les communautés de la région.
 
C’est chez les Arabes chrétiens de Hira-Coufa que l’on a imaginé la plus belle écriture arabe, le coufique, qui devint l’écriture des anciens Corans. Et c’est chez eux que l’on a imaginé les premiers points diacritiques. Ainsi Othman (644-654), avec l’aide des scribes syriens envoyés par Moavia, a pu écrire le 1er livre arabe, le Coran. Othman avait des liens de parenté avec les chrétiens de Syrie par sa femme Nâ‘ila, qui était de la tribu chrétienne de Kelb. Le père de son épouse était également chrétien. Dés lors, l’arabe avait son écriture et devint très structuré.



En effet, le dialecte mecquois était déjà bien élaboré. Il était véhiculé parmi toutes les tribus grâce aux poètes et aux orateurs qui s'engageaient dans des joutes verbales lors des grandes foires annuelles. Celles-ci avaient lieu pendant les trêves sacrées durant lesquelles les guerres entre tribus cessaient. Mais il manquait à l'arabe son écriture et celle-ci fut élaborée et développée au VIIème et VIIIème siècles de notre ère.


Dès lors la littérature continua son essor, à commencer par les premières traductions d'écrits médicaux, astrologiques et alchimiques, faites à la demande du calife Khalid ibn Yazid Mu'awiya (Moavia). Elles voient le jour entre 685 et 704 (64 et 83 de l'Hégire).
 
C’est chez les Arabes chrétiens de Hira-Coufa que l’on a imaginé la plus belle écriture arabe, le coufique, qui devint l’écriture des anciens Corans. Et c’est chez eux que l’on a imaginé les premiers points diacritiques. Ainsi Othman (644-654), avec l’aide des scribes syriens envoyés par Moavia, a pu écrire le 1er livre arabe, le Coran. Othman avait des liens de parenté avec les chrétiens de Syrie par sa femme Nâ‘ila, qui était de la tribu chrétienne de Kelb. Le père de son épouse était également chrétien. Dés lors, l’arabe avait son écriture et devint très structuré.



En effet, le dialecte mecquois était déjà bien élaboré. Il était véhiculé parmi toutes les tribus grâce aux poètes et aux orateurs qui s'engageaient dans des joutes verbales lors des grandes foires annuelles. Celles-ci avaient lieu pendant les trêves sacrées durant lesquelles les guerres entre tribus cessaient. Mais il manquait à l'arabe son écriture et celle-ci fut élaborée et développée au VIIème et VIIIème siècles de notre ère.


Dès lors la littérature continua son essor, à commencer par les premières traductions d'écrits médicaux, astrologiques et alchimiques, faites à la demande du calife Khalid ibn Yazid Mu'awiya (Moavia). Elles voient le jour entre 685 et 704 (64 et 83 de l'Hégire).


Pendant les trente dernières années ou plus, beaucoup de théories révisionnistes ont été proposées pour expliquer la naissance du Coran et de l’Islam. Selon ces diverses écoles de pensée révisionniste, l'Islam était à l'origine une section juive (Hagarisme) ; le Coran était contemporain de la Sira (Wansbrough) ; L'Islam a surgi dans le désert du Néguev validant d’une façon ou d'une autre l'hypothèse de Wansbrough (Nevo) ; le Coran est venu après la Sira et le Hadith (Rubin) ; le Coran était une production Irakienne créée avant la Sira (Hawting) et, récemment, le Coran est un produit du christianisme Syriaque (Luxenberg).

Il semble que ces écoles révisionnistes suivent souvent des méthodologies qui ne conviennent pas entre eux (que ça soit entièrement ou partiellement) et aucune d’elles ne semble convenir sur n'importe quel autre scénario particulier, que ce soit historique, social, culturel, politique, économique ou religieux.

Quelque chose qui semble être très fondamentale dans leurs analyses est que les révisionnistes sont disposés à formuler n'importe quelle théorie pour prêter une vraisemblance à leurs avis au sujet du Coran et de l’Islam, peu importe qu’il contredit toutes les évidences disponibles et bien établie, documentaires ou autres.

À cet égard nous découvrons que Luxenberg n'en est pas différent. C'est ce que précisément a signalé récemment Robert Hoyland. Tout en discutant le corpus de la preuve documentaire concernant l’avènement l'Islam et de son absence presque totale dans le travail de Christoph Luxenberg, entre d'autres, il dit :

« D’abord, nous avons un certain nombre de preuves physiques - particulièrement de sources non-Musulmanes, papyrus, inscriptions et excavations archéologiques - qui peuvent servir de référentiel externe utile et dont l’exploitation de la richesse vient juste de commencer d'une façon systématique.
 
Deuxièmement, la mémoire historique de la communauté musulmane est plus robuste que certains ont prétendus. Par exemple, plusieurs Divinités, Rois et Tribus de la période Arabe préislamiques qui ont été dépeints par les Historiens Musulmans du IXème siècle paraissent également dans des monuments épigraphiques, de même pour plusieurs Souverains et Gouverneurs du premier état islamique tôt.

Ceci rend très difficile d’accepter les scénarios historiques qui exigent pour leur concorde une discontinuité totale dans la mémoire historique de la communauté Musulmane - telle celle de Mohamed (saws) n'a pas existé, le Coran n'a pas été écrit dans l'arabe, la Mecque était à l'origine dans un endroit différent etc., peuvent-ils vraiment être justifiés -. Plusieurs de ces scénarios se fondent sur l'absence de preuves, mais cela semble une humiliation de faire un tel recours quand il y a déjà beaucoup de genres d'évidences matérielles attendant toujours à être étudiées » (100).
 
Des conclusions semblables ont été également tirées par Federico Corriente, qui a dit :

« Puisque ni les sources d'histoire du début de l'Islam ni les rapports dignes de confiance sur les situations sociolinguistiques de l'Arabie en cette période ne semblent soutenir les revendications de Luxenberg, qui sont habilement entrelacées comme une chaîne, dans son hypothèse de l'utilité d'une lecture Syro-Araméenne alternative des passages obscurs du Coran, on s'interroge sur l'exactitude des solutions particulières qu’il nous offre dans chaque cas, seulement on ne peut que constater que quelques unes d’elles peuvent être acceptées comme améliorations aux interprétations traditionnelles, alors que certaines sont permises mais inutiles en tant que solutions de rechange interprétatives transparentes, et certaines pourraient être tout à fait rejetées en raison des malentendus et des fausses informations » (101).

Refuted
:D :D
 
Pendant les trente dernières années ou plus, beaucoup de théories révisionnistes ont été proposées pour expliquer la naissance du Coran et de l’Islam. Selon ces diverses écoles de pensée révisionniste, l'Islam était à l'origine une section juive (Hagarisme) ; le Coran était contemporain de la Sira (Wansbrough) ; L'Islam a surgi dans le désert du Néguev validant d’une façon ou d'une autre l'hypothèse de Wansbrough (Nevo) ; le Coran est venu après la Sira et le Hadith (Rubin) ; le Coran était une production Irakienne créée avant la Sira (Hawting) et, récemment, le Coran est un produit du christianisme Syriaque (Luxenberg).

Il semble que ces écoles révisionnistes suivent souvent des méthodologies qui ne conviennent pas entre eux (que ça soit entièrement ou partiellement) et aucune d’elles ne semble convenir sur n'importe quel autre scénario particulier, que ce soit historique, social, culturel, politique, économique ou religieux.

Quelque chose qui semble être très fondamentale dans leurs analyses est que les révisionnistes sont disposés à formuler n'importe quelle théorie pour prêter une vraisemblance à leurs avis au sujet du Coran et de l’Islam, peu importe qu’il contredit toutes les évidences disponibles et bien établie, documentaires ou autres.

À cet égard nous découvrons que Luxenberg n'en est pas différent. C'est ce que précisément a signalé récemment Robert Hoyland. Tout en discutant le corpus de la preuve documentaire concernant l’avènement l'Islam et de son absence presque totale dans le travail de Christoph Luxenberg, entre d'autres, il dit :

« D’abord, nous avons un certain nombre de preuves physiques - particulièrement de sources non-Musulmanes, papyrus, inscriptions et excavations archéologiques - qui peuvent servir de référentiel externe utile et dont l’exploitation de la richesse vient juste de commencer d'une façon systématique.

Deuxièmement, la mémoire historique de la communauté musulmane est plus robuste que certains ont prétendus. Par exemple, plusieurs Divinités, Rois et Tribus de la période Arabe préislamiques qui ont été dépeints par les Historiens Musulmans du IXème siècle paraissent également dans des monuments épigraphiques, de même pour plusieurs Souverains et Gouverneurs du premier état islamique tôt.

Ceci rend très difficile d’accepter les scénarios historiques qui exigent pour leur concorde une discontinuité totale dans la mémoire historique de la communauté Musulmane - telle celle de Mohamed (saws) n'a pas existé, le Coran n'a pas été écrit dans l'arabe, la Mecque était à l'origine dans un endroit différent etc., peuvent-ils vraiment être justifiés -. Plusieurs de ces scénarios se fondent sur l'absence de preuves, mais cela semble une humiliation de faire un tel recours quand il y a déjà beaucoup de genres d'évidences matérielles attendant toujours à être étudiées » (100).





http://blog.decouvrirlislam.net/Hom...-a-la-these-farefelue-de-mingana-et-luxenberg
Un blog... d'amateurs et de parti-pris... Une seule référence...

Aux antipodes de la méthodologie scientifique, de l'approche critique et historique. En bref, loin du Savoir, des thèses universitaires et des publications faites par de réels chercheurs.

PS: et notre cher pseudo-agnostique mais très amateur Prizma qui like et qui se trahit une fois de plus. :D
 
Un blog... d'amateurs et de parti-pris... Une seule référence...

Aux antipodes de la méthodologie scientifique, de l'approche critique et historique. En bref, loin du Savoir, des thèses universitaires et des publications faites par de réels chercheurs.

PS: et notre cher pseudo-agnostique mais très amateur Prizma qui like et qui se trahit une fois de plus. :D

Il suffit de lire l'article et vous rendre compte qui sont les amateurs (luxenberg et compagnie)

Et puis votre argumentation n'est pas suffisante face a notre contre theorie et fasse aux

preuves direct.
 
Il suffit de lire l'article et vous rendre compte qui sont les amateurs (luxenberg et compagnie)

Et puis votre argumentation n'est pas suffisante face a notre contre theorie et fasse aux

preuves direct.
L'approche philologique et la lecture syro-araméenne du Coran de Luxenberg sont une avancée considérable sur les études et recherches coraniques. Ces études se démarquent des approches purement théologiques du Coran. Je ne partages pas non plus toutes les thèses de Luxenberg sur le décryptage des passages obscurs du Coran, mais je suis d'avis que cette méthode permet de combler les lacunes scientifiques sur la reconstruction de la philologie coranique, étant donné que les écrits en arabe et manuscrits arabes sont très tardifs, et que pour faire une approche sctrictement scientifique et philologique du Coran, la langue soeur qu'est le syriaque, qui a clairement influencé l'idiome arabique coranique, est une source d'informations précieuses... Bien-sur, l'utilisation de ces thèses par les détracteurs de l'islam et de Muhammad, qui ne maitrisent pas ou si peu la philologie est un venin qui nuit fortement au précieux travail du philologue allemand. Et je comprends que l'utilisation malsaine et tendencieuse de son étude sur de nombreux sites islamophobe n'attire pas de sympathie. Mais le travail demeure une avancée en la matière, et un tout premier essai philologique neutre et impartial du Coran.
 
L'approche philologique et la lecture syro-araméenne du Coran de Luxenberg sont une avancée considérable sur les études et recherches coraniques. Ces études se démarquent des approches purement théologiques du Coran. Je ne partages pas non plus toutes les thèses de Luxenberg sur le décryptage des passages obscurs du Coran, mais je suis d'avis que cette méthode permet de combler les lacunes scientifiques sur la reconstruction de la philologie coranique, étant donné que les écrits en arabe et manuscrits arabes sont très tardifs, et que pour faire une approche sctrictement scientifique et philologique du Coran, la langue soeur qu'est le syriaque, qui a clairement influencé l'idiome arabique coranique, est une source d'informations précieuses... Bien-sur, l'utilisation de ces thèses par les détracteurs de l'islam et de Muhammad, qui ne maitrisent pas ou si peu la philologie est un venin qui nuit fortement au précieux travail du philologue allemand. Et je comprends que l'utilisation malsaine et tendencieuse de son étude sur de nombreux sites islamophobe n'attire pas de sympathie. Mais le travail demeure une avancée en la matière, et un tout premier essai philologique neutre et impartial du Coran.


Salam,Oui Prizma nous devons etre ouvert,mais concernant luxenberg il a commis trop d'erreur

notament quant il affirme que le Coran d'origine syriaque et que les Houris sont du Raisins

cela est de la tricherie et nous l'avons prouvez et refutez,ici beaucoup prennez de lui

dernierement,depuis que nous l'avons refutez avec des preuves clair et net plus personne

n'ose le ressortir,vous c'est different vous ne prennez pas ses tricherie evidement et je

comprend qu'une partie de sont travail vous interresse ce qui n'est pas choquant car je sais

que vous ne pretendez pas que le Coran est d'origine syrianique et que les hourris sont du raisin.

Salam alekoum.
 
Salam,Oui Prizma nous devons etre ouvert,mais concernant luxenberg il a commis trop d'erreur

notament quant il affirme que le Coran d'origine syriaque et que les Houris sont du Raisins

cela est de la tricherie et nous l'avons prouvez et refutez,ici beaucoup prennez de lui

dernierement,depuis que nous l'avons refutez avec des preuves clair et net plus personne

n'ose le ressortir,vous c'est different vous ne prennez pas ses tricherie evidement et je

comprend qu'une partie de sont travail vous interresse ce qui n'est pas choquant car je sais

que vous ne pretendez pas que le Coran est d'origine syrianique et que les hourris sont du raisin.

Salam alekoum.
Il ne faut pas te fier aux racontards des sites islamophobes. Luxenberg ne soutient nullement que le Coran serait d'origine syriaque. Il soutient que la langue arabe du temps du Prophète était plurielle et non bornée par une grammaire unique. Que les missions d'évangélisation et la présence des Juifs a enrichi la langue arabe d'un vocabulaire syriaque et d'usages grammaticaux empruntés au syriaque.

Il essaye donc une lecture syro-araméenne sur une série de versets discutés ou obscurs. Sa thèse sur les raisins n'est pas incohérente, mais en effet sans utilité. Mais sa lecture se tient "en théorie". Il parvient à faire une lecture de ces passages qui semble lier ces passages aux fruits du paradis, et plus particulièrement aux raisins... Le Coran parle aussi du vin qui n'ennivre pas au paradis. Mais même avec cette lecture, nous devons rester lucides et garder espoir. En effet, il doit forcément exister des houris au paradis, en vertu de ce verset-ci : (Coran, 42:22). ;)
 
Il existe de nombreux passages de la Bible faisant allusion à des livres révélés mais perdus. Y compris dans le NT. Le Coran aussi contient des passages perdus.
 
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