La drogue est un besoin?

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion AncienBladinaute
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t'as déjà vu un bébé de 42ans toi :rolleyes:

: cool:

oui j' ai deja vu, de beau bb de plus de 40 ans.

j' avais oublié le sujet, faut que j' arrêtes la pilule. :D

tu disais que c' était trop médicale et qui faut passer cette partie. le problème c' est que c 'est une thèse de médecine et qu' il n' y a que des terme relatifs a la médecine.
 
oui j' ai deja vu, de beau bb de plus de 40 ans.

j' avais oublié le sujet, faut que j' arrêtes la pilule. :-D

tu disais que c' était trop médicale et qui faut passer cette partie. le problème c' est que c 'est une thèse de médecine et qu' il n' y a que des terme relatifs a la médecine.



ms nan je rigole, j'ai pas 42ans , krkrkr :D

je vois que le msg est passé :langue:

ah ok, ms j'ai remarqué que la thèse était divisée en partie , plus précisément en chapitre et la seule remarque que j'ai faite c'était pas rapport au "chapitre trop chimique" ;-)
 
LES EFFETS PSYCHIATRIQUES DU CANNABIS



On peut classer les effets délétères du cannabis comme suit :

-Symptômes et syndrômes psychiatriques tels que la panique, anxiété, dépression ou psychose (alors pharmacopsychose). Ces effets peuvent être décrits comme toxiques, par le fait que, généralement, on les rattache à une consommation de cannabis.

-Les effets du cannabis sur une pathologie mentale préexistante et, le cannabis comme facteur de risque pour la dite maladie mentale.

-La dépendance.


1. Introduction :

Il est évident que, prendre du cannabis donne des effets psychiques délétères chez la plupart des consommateurs réguliers. La plupart de ces effets sont doses dépendantes, ils peuvent être aggravés par des facteurs spécifiques incluant la précocité de la prise, différents traits de personnalité et une vulnérabilité présente dans certaines pathologies mentales sévères.


2. Manifestations aigües non schizophreniques

2.1. Ivresse cannabique :
L’ivresse cannabique est une expérience psychotique apparentée pouvant survenir dès le première prise .
Elle était définie dès 1845 avec une certaine justesse par Moreau De Tours [169] avec les critères suivants :
• -Sentiment de bonheur
• -Excitation et dissociation de la pensée
• -Erreurs d'appréciation du temps et de l'espace
• -Idées fixes et conviction délirante
• -Labitité émotionnelle
• -Impulsions irrésistibles
• -Hallucinations

Cette liste de critères, bien que datant de 1845, reste encore d'actualité.
 
ms nan je rigole, j'ai pas 42ans , krkrkr : D

je vois que le msg est passé : langue:

ah ok, ms j'ai remarqué que la thèse était divisée en partie , plus précisément en chapitre et la seule remarque que j'ai faite c'était pas rapport au "chapitre trop chimique" ;-)


dommage. :D

ça te va le passage psychiatrique?


2.2. Manifestations psychiques à faibles doses

Selon Loo et Laqueille [148], les perturbations psychiques observées à faibles doses se traduisent d’après l’utilisateur par :
-modification de l'humeur, en général une euphorie, un bien-être communicable, une détente sereine, une « joie indéfinissable », voire une exaltation clinique avec fou rire incoercible et immotivée ; certains sujets peuvent ressentir un malaise anxieux ou des idées dépressives soulignant, encore une fois, la variabilité individuelle face au cannabis.
-des perturbations de la sphère intellectuelle avec stimulation psychique, réminiscence mnésique, exaltation imaginative, attitude introspective dans une atmosphère où tout paraît facile .
En réalité, la mémoire de fixation est perturbée, la concentration intellectuelle difficile et il peut exister une ébauche de désorientation temporospatiales sous forme de distorsion subjective du temps et de l'espace, qui sont appréhendés vaguement et faussement : le temps paraît raccourci ou désespérément allongé .Peuvent également être retrouvés des troubles de la communication orale : dialogues moins clairs, avec des ruptures de la continuité du discours, des intrusions de mots ou d'idées inappropriées, des raccourcissements de phrases, un ralentissement du débit.
-un changement du vécu corporel : bien-être, décontraction, sentiment de « planer », d'être libéré de son corps sont habituels. On peut objectiver un allongement du temps de réaction ; parfois, c'est plutôt un sentiment de lassitude, de lourdeur physique, voire de torpeur.
-Des modifications sensorielles, inconstantes à faibles doses, fluctuantes dans leurs intensités : intensification des perceptions visuelles, tactiles, auditives, chromatiques, dont le retentissement subjectif affectif est souvent majoré dans le sens agréable ; cette exacerbation des sens ou hypersensibilité associée à l'exaltation de l'imagination mime un sentiment de créativité…
 
Qui a posté ?
like you and me 97 :D
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t'es la reine de ce post:D
 
nan en fait j'ai plus que 42, krkrkrkr : D
c'est plus interessant ; )

y a pas d' age pour apprécier les bonne choses. :D

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tu rentres aussi dans les stats, bienvenue a toi. :D



3. Psychose et cannabis :

L’utilisation de cannabis peut mener aussi à l'expression de symptômes psychotiques transitoires tels que : (Thomas, [249])
⇒Dépersonnalisation
⇒-Déréalisation
⇒-Sensation de perte de contrôle de soi
⇒-Peur de mourir
⇒-Peur panique irrationnelle et idées paranoïdes

Thomas, [250], rapportait que, chez les utilisateurs de cannabis qui ont répondu à cette étude, 15 % présentaient des symptômes psychotiques tels que des hallucinations auditives, des sentiments de persécution ou de peur, d'agressivité vis-à-vis des autres. Des flash-backs, durant une intoxication exempte de symptômes psychotiques, sont reportés après utilisation de cannabis (Thomas, [249]).
Hall et coll [103] suggèrent que les questions fondamentales sont :
y a-t-il une psychose cannabique, et est-ce que le cannabis met en exergue une psychose jusque-là latente ? En théorie, le cannabis peut précipiter une psychose latente dans les cas suivants :
-L’utilisation aigüe de grosses doses de cannabis peut induire une psychose toxique ou organique avec des symptômes de confusion et des hallucinations, lesquelles diminuent après abstinence. D’ailleurs on sait aujourd’hui que le cannabis est hallucinogène à hautes doses.
-Le cannabis peut mener à une psychose fonctionnelle aiguë, semblable à un état schizophréniforme aigü (apparenté à une bouffée délirante aigüe) sans signe organique d'une psychose toxique.
-Le cannabis peut mener à une psychose chronique, laquelle persiste après abstinence.
-L’utilisation chronique du cannabis peut mener aussi à une psychose organique, avec une diminution partielle après abstinence, laissant parfois l’individu dans un état déficitaire idéatoire, quelquefois appelé syndrome amotivationnel (voir infra),
-L’utilisation de cannabis est donc un facteur de risque pour l’émergence de maladies mentales sévères telles que la schizophrénie.
 
y a pas d' age pour apprécier les bonne choses. :D



tu rentres aussi dans les stats, bienvenue a toi. : D



3. Psychose et cannabis :

L’utilisation de cannabis peut mener aussi à l'expression de symptômes psychotiques transitoires tels que : (Thomas, [249])
⇒Dépersonnalisation
⇒-Déréalisation
⇒-Sensation de perte de contrôle de soi
⇒-Peur de mourir
⇒-Peur panique irrationnelle et idées paranoïdes

Thomas, [250], rapportait que, chez les utilisateurs de cannabis qui ont répondu à cette étude, 15 % présentaient des symptômes psychotiques tels que des hallucinations auditives, des sentiments de persécution ou de peur, d'agressivité vis-à-vis des autres. Des flash-backs, durant une intoxication exempte de symptômes psychotiques, sont reportés après utilisation de cannabis (Thomas, [249]).
Hall et coll [103] suggèrent que les questions fondamentales sont :
y a-t-il une psychose cannabique, et est-ce que le cannabis met en exergue une psychose jusque-là latente ? En théorie, le cannabis peut précipiter une psychose latente dans les cas suivants :
-L’utilisation aigüe de grosses doses de cannabis peut induire une psychose toxique ou organique avec des symptômes de confusion et des hallucinations, lesquelles diminuent après abstinence. D’ailleurs on sait aujourd’hui que le cannabis est hallucinogène à hautes doses.
-Le cannabis peut mener à une psychose fonctionnelle aiguë, semblable à un état schizophréniforme aigü (apparenté à une bouffée délirante aigüe) sans signe organique d'une psychose toxique.
-Le cannabis peut mener à une psychose chronique, laquelle persiste après abstinence.
-L’utilisation chronique du cannabis peut mener aussi à une psychose organique, avec une diminution partielle après abstinence, laissant parfois l’individu dans un état déficitaire idéatoire, quelquefois appelé syndrome amotivationnel (voir infra),
-L’utilisation de cannabis est donc un facteur de risque pour l’émergence de maladies mentales sévères telles que la schizophrénie.



oui, t'as raison, y a pas d'âge .. heureuse de te l'entendre dire :cool:

@cuty-pie, bienvenu a toi ds le poste :-)
 
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