Au moins seize morts, quatre disparus, des dizaines de blessés et des centaines de sans-abri. C'est le bilan provisoire des inondations meurtrières, survenues mercredi à l'ouest d'Athènes, la capitale grecque. À la suite de ces pluies diluviennes, les villes côtières de Nea Peramos et de Mandra, où des torrents de boue ont tout dévasté sur leur passage, offraient jeudi des scènes de désolation. Grues, ambulances et véhicules des pompiers et de la police sillonnaient ces routes boueuses, où plus de cent pompiers tentaient d'évacuer l'eau des habitations, nettoyer et rétablir l'alimentation électrique, téléphonique et en eau, perturbée depuis mercredi.
L'une des personnes portées disparues, selon le service des pompiers, a été retrouvée vivante jeudi en fin matinée, mais une autre, un homme de 50 ans, a été découverte morte quelques heures plus tard dans un sous-sol. Les autorités poursuivaient leurs recherches pour retrouver quatre autres disparus. «Nous sommes ruinés. Mon auberge et ma maison n'existent plus. Il ne reste plus rien, il n'y a plus de route et l'eau est toujours là, il y a encore eu des inondations hier soir et ce matin», a confié à Reuters Paraskevas Stamou, propriétaire d'un petit restaurant à Mandra. Vingt-quatre heures après le drame, Les drapeaux ont été mis en berne sur les bâtiments officiels et sur l'Acropole, dans le cadre de trois jours de deuil national.
Niveau d'eau en baisse
Un paquebot de 364 cabines a été affrété pour répondre aux besoins de certains des habitants dont le domicile a été endommagé, selon le ministère de la Marine marchande. «Le niveau d'eau dans ma maison s'est élevé.
figaro
L'une des personnes portées disparues, selon le service des pompiers, a été retrouvée vivante jeudi en fin matinée, mais une autre, un homme de 50 ans, a été découverte morte quelques heures plus tard dans un sous-sol. Les autorités poursuivaient leurs recherches pour retrouver quatre autres disparus. «Nous sommes ruinés. Mon auberge et ma maison n'existent plus. Il ne reste plus rien, il n'y a plus de route et l'eau est toujours là, il y a encore eu des inondations hier soir et ce matin», a confié à Reuters Paraskevas Stamou, propriétaire d'un petit restaurant à Mandra. Vingt-quatre heures après le drame, Les drapeaux ont été mis en berne sur les bâtiments officiels et sur l'Acropole, dans le cadre de trois jours de deuil national.
Niveau d'eau en baisse
Un paquebot de 364 cabines a été affrété pour répondre aux besoins de certains des habitants dont le domicile a été endommagé, selon le ministère de la Marine marchande. «Le niveau d'eau dans ma maison s'est élevé.
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