Je crois avoir retrouvé
C'est le "2006" qui me met un doute, car c'est toujours d'actualité.
Toujours est-il que si ce n'est pas ce dispositif, le principe est grosso-modo le même
1973-2006 d’un dispositif d’intégration pour les élèves migrants à un enseignement de langue vivante2En 1973 [2][2] Date de la signature des premières conventions entre..., émerge l’idée d’organiser dans le cadre de l’école, pour les élèves issus des familles des ressortissants étrangers venus s’installer en France, un enseignement de leurs langues et cultures d’origines dont le cadre général est fixé par un texte de 1976 [3][3] Le texte de référence est la circulaire n° 76-128... qui prévoit que « des cours de langue et de civilisation étrangères peuvent être donnés dans les écoles élémentaires, en dehors des heures de classe, à l’intention d’élèves étrangers qui ne bénéficient pas encore d’un enseignement de leur langue maternelle intégré au tiers temps pédagogique [4][4] Le HCI (Haut conseil à l’intégration) note que l’enseignement... ».
3La demande vient des états d’émigration et d’abord du Portugal. Ceci amènera la France par la suite, à conclure des accords bilatéraux [5][5] On citera quelques accords de coopération : avec l’Algérie,... avec, par ordre chronologique, le Portugal, l’Italie, la Tunisie, le Maroc, l’Espagne, la Yougoslavie, la Turquie, et l’Algérie. L’objectif est l’intégration. Cet enseignement doit permettre à la fois aux élèves de mieux s’insérer dans l’école mais aussi conduire à conserver des racines, en maintenant des liens avec la culture d’origine et en préservant la possibilité d’un retour au pays. Ce dispositif a donc une dimension intégrative.