irefdouni ana, ounta ki sac à main mdrrrrrrHaha a ce point !! en même temps c'est grand et y'a pleins de ruelles, en tout cas tu peux faire signe si tu veux faire un tour au marché de Djama3 leyhoud !
ps : ils vont nous prendre les deux mdr
L'Algérie se révolte
- Initiateur de la discussion Scoco
- Date de début
Pasdetahleb
I'am not far ! =)
irefdouni ana, ounta ki sac à main mdrrrrrr
Mdrrrr hadik hiya !! allah ieba3d el bla, mais je me suis jamais fait agresser laba pourtant tlm disent qu'ils ont eu affaire a eux au moin une fois dans leur vie quoi lol j'ésper que ca va continuer
ya khoya lahla ywessel, 3lach ndjib lebla l3amri, ma3andi hetta chghol tema
Pasdetahleb
I'am not far ! =)
ya khoya lahla ywessel, 3lach ndjib lebla l3amri, ma3andi hetta chghol tema
3andek el hak reste ou tu es c'est mieux lol ! mais parfois c'est bien d'affronter le danger pour savoir de quoi nous sommes capables !
En tout cas y'a d'autres endroits pas loins qui sont bien plus intéressant
je préfère encore babez comme quartier populaire3andek el hak reste ou tu es c'est mieux lol ! mais parfois c'est bien d'affronter le danger pour savoir de quoi nous sommes capables !
En tout cas y'a d'autres endroits pas loins qui sont bien plus intéressant
Pasdetahleb
I'am not far ! =)
je préfère encore babez comme quartier populaire
Ouais ca va mais bon babez c'est pas le top non plus hein ! enfin chacun ou se sens le plus bien.
Avec un émeutier dAlger: "Même la mort ne veut pas de moi"
.Journaliste à Alger, Adlène Meddi a recueilli le témoignage de Samir, un émeutier traqué qui n'attend plus qu'une chose : quitter son pays.
La cicatrice qui lui parcourt le cou dans lobscurité de la planque frappe comme un cri de désespoir. Haletant, débit de paroles nerveux et regards paniqués, Samir*, 29 ans, vient déchapper à une énième course-poursuite avec des policiers sur les hauteurs dAlger. Il nest quune masse de chair frémissante et meurtrie.
"Oui jai cassé, jai brûlé, jai caillassé", lance t-il en un souffle chargé de relents de whisky bon marché, arrangeant sans cesse sa casquette mise de travers à la mode "racaille". "Mais tout ça - il exhibe sa cicatrice puis son abri de fortune cest le consulat, mon frère, cest le consulat !"
Entre trois et six morts
Depuis plus de trois jours, Samir et ses copains dun quartier populaire perché sur une des collines dAlger nont quasiment pas dormi. Ces jeunes de 25 à 30 ans ont fait éclaté leur colère - "non, notre désespoir", corrige Samir en plein entretien lors des émeutes quont connues Alger et sa périphérie depuis mercredi dernier. Emeutes qui ont fini par embraser le pays en entier, de la frontière marocaine à la frontière tunisienne. Une vague de colère sans précédent depuis les émeutes doctobre 1988, fossoyeuses du régime du parti unique.
Officiellement, les autorités annoncent trois morts, mais des témoignages relayés par la presse privée évoquent un bilan plus lourd, entre quatre et six morts, ainsi quune centaine de blessés côté manifestants et plus de cinq cents du côté des forces de lordre.
Partout dans le pays, le mot dordre des émeutiers est le même : "Halte à la cherté de la vie !" Depuis début 2010, les prix de lhuile et du sucre (et des produits alimentaires dérivés) ont augmenté jusquà 40%, dun coup. De plus, "l'inflation n'est pas de 4,5% comme le prétendent les autorités, selon léconomiste Abderrahmane Mebtoul, mais de 10%, et le chômage dépasse les 20%."
.Journaliste à Alger, Adlène Meddi a recueilli le témoignage de Samir, un émeutier traqué qui n'attend plus qu'une chose : quitter son pays.
La cicatrice qui lui parcourt le cou dans lobscurité de la planque frappe comme un cri de désespoir. Haletant, débit de paroles nerveux et regards paniqués, Samir*, 29 ans, vient déchapper à une énième course-poursuite avec des policiers sur les hauteurs dAlger. Il nest quune masse de chair frémissante et meurtrie.
"Oui jai cassé, jai brûlé, jai caillassé", lance t-il en un souffle chargé de relents de whisky bon marché, arrangeant sans cesse sa casquette mise de travers à la mode "racaille". "Mais tout ça - il exhibe sa cicatrice puis son abri de fortune cest le consulat, mon frère, cest le consulat !"
Entre trois et six morts
Depuis plus de trois jours, Samir et ses copains dun quartier populaire perché sur une des collines dAlger nont quasiment pas dormi. Ces jeunes de 25 à 30 ans ont fait éclaté leur colère - "non, notre désespoir", corrige Samir en plein entretien lors des émeutes quont connues Alger et sa périphérie depuis mercredi dernier. Emeutes qui ont fini par embraser le pays en entier, de la frontière marocaine à la frontière tunisienne. Une vague de colère sans précédent depuis les émeutes doctobre 1988, fossoyeuses du régime du parti unique.
Officiellement, les autorités annoncent trois morts, mais des témoignages relayés par la presse privée évoquent un bilan plus lourd, entre quatre et six morts, ainsi quune centaine de blessés côté manifestants et plus de cinq cents du côté des forces de lordre.
Partout dans le pays, le mot dordre des émeutiers est le même : "Halte à la cherté de la vie !" Depuis début 2010, les prix de lhuile et du sucre (et des produits alimentaires dérivés) ont augmenté jusquà 40%, dun coup. De plus, "l'inflation n'est pas de 4,5% comme le prétendent les autorités, selon léconomiste Abderrahmane Mebtoul, mais de 10%, et le chômage dépasse les 20%."
+ 50% pour les salaires des policiers
Plusieurs syndicats indépendants avaient prévenu, l’année 2011 serait chaude. La rue bouillonnait. D’autant qu’à la même période, le patron de la Sûreté nationale, l’ex-général-major Abdelghani Hamel, annonçait une augmentation des salaires des policiers de… 50%, avec effet rétroactif à partir de janvier 2008 ! "Et nous ? On crève comme des chiens alors qu’on n’a rien vu de l’argent du pétrole", éclate un père de famille rencontré dans un café de Bab El Oued, le mythique quartier populaire d’Alger, bastion des émeutes des derniers jours.
"Les officiels n’arrêtent pas de fanfaronner en exhibant le chiffre de 155 milliards de dollars de réserves de changes, explique un universitaire, alors les gens ne comprennent pas où va cet argent et réclament plus d’équité dans la distribution des richesses."
C’est ce que ne comprend pas Samir, dans sa tanière, à l’abri des rondes nocturnes de policiers qui raflent à tout va - plus de 1000 arrestations en trois jours selon le ministère de l’Intérieur.
"Nous vivons à huit dans un deux pièces-cuisine, on nous promet le relogement… depuis dix ans. J’ai travaillé comme agent de sécurité dans une boîte privée, pour un salaire de 15 000 dinars (environs 150 euros). Qu’est-ce que je vais faire avec cette somme ? Quand je rentre à la maison le soir, je ne trouve comme dîner que des œufs bouillis, et si mon grand frère veut se marier, il n’a qu’à construire une baraque dans un bidonville avec le risque d’une démolition express ! Comment je vis ?! J’arrive même pas à regarder mon père dans les yeux tellement il a honte de sa situation : ancien employé d’une entreprise publique, il touche pour sa retraite 9000 dinars (90 euros) ! Il ne peut plus être l’homme de la maison, constate-t-il amèrement.
Il ne comprend pas pourquoi il a travaillé honnêtement toute sa vie. Il ne me dit rien mais je le vois dans son regard, quand il garde le silence devant les petites sœurs qui réclament de l’argent pour acheter un cahier. Mes frères tentent d’arrondir leurs fins de mois en vendant à la sauvette, mais la houkouma (les autorités) viennent d’interdire les marchés dlala (informels). Alors moi je pète les plombs, je vois que d’autres jeunes vivent mieux parce que ce sont les fils d’un tel ou d’un tel, je ne peux pas le supporter, je veux partir, loin."
"Mon pays m'a lâché"
Plusieurs syndicats indépendants avaient prévenu, l’année 2011 serait chaude. La rue bouillonnait. D’autant qu’à la même période, le patron de la Sûreté nationale, l’ex-général-major Abdelghani Hamel, annonçait une augmentation des salaires des policiers de… 50%, avec effet rétroactif à partir de janvier 2008 ! "Et nous ? On crève comme des chiens alors qu’on n’a rien vu de l’argent du pétrole", éclate un père de famille rencontré dans un café de Bab El Oued, le mythique quartier populaire d’Alger, bastion des émeutes des derniers jours.
"Les officiels n’arrêtent pas de fanfaronner en exhibant le chiffre de 155 milliards de dollars de réserves de changes, explique un universitaire, alors les gens ne comprennent pas où va cet argent et réclament plus d’équité dans la distribution des richesses."
C’est ce que ne comprend pas Samir, dans sa tanière, à l’abri des rondes nocturnes de policiers qui raflent à tout va - plus de 1000 arrestations en trois jours selon le ministère de l’Intérieur.
"Nous vivons à huit dans un deux pièces-cuisine, on nous promet le relogement… depuis dix ans. J’ai travaillé comme agent de sécurité dans une boîte privée, pour un salaire de 15 000 dinars (environs 150 euros). Qu’est-ce que je vais faire avec cette somme ? Quand je rentre à la maison le soir, je ne trouve comme dîner que des œufs bouillis, et si mon grand frère veut se marier, il n’a qu’à construire une baraque dans un bidonville avec le risque d’une démolition express ! Comment je vis ?! J’arrive même pas à regarder mon père dans les yeux tellement il a honte de sa situation : ancien employé d’une entreprise publique, il touche pour sa retraite 9000 dinars (90 euros) ! Il ne peut plus être l’homme de la maison, constate-t-il amèrement.
Il ne comprend pas pourquoi il a travaillé honnêtement toute sa vie. Il ne me dit rien mais je le vois dans son regard, quand il garde le silence devant les petites sœurs qui réclament de l’argent pour acheter un cahier. Mes frères tentent d’arrondir leurs fins de mois en vendant à la sauvette, mais la houkouma (les autorités) viennent d’interdire les marchés dlala (informels). Alors moi je pète les plombs, je vois que d’autres jeunes vivent mieux parce que ce sont les fils d’un tel ou d’un tel, je ne peux pas le supporter, je veux partir, loin."
"Mon pays m'a lâché"
Samir allume en tremblant une cigarette et se tient la tête. "C’est le consulat, c’est le consulat", répète-t-il frénétiquement en écrasant sa cigarette. "L’été dernier, j’ai tenté la harga (immigration clandestine, de "h’rag", brûler ses papiers et les frontières, ndlr) via la Turquie pour joindre la Grèce, j’avais économisé en me privant de tout durant une année. Mais je me suis fait arrêter en Turquie et, en prison, ils nous ont tabassés, humiliés. Les clandestins tunisiens et libyens ont été sauvés par leur consulat qui les a libérés et leur a payé le billet de retour.
On a alors appelé notre consulat en Turquie. Il nous ont répondu : 'Parce que c’est nous qui t’avons ramené ici ?!' Ils nous ont lâchés ! Mon pays m’a lâché. Je n’ai pu fuir l’enfer de cette prison qu’en me débrouillant grâce à des compatriotes à Istanbul. Je suis alors rentré, en prenant tout ce que j’avais économisé. Et là, je n’ai rien, mais vraiment rien à perdre. Ils nous ont lâchés ici, ils nous lâchent à l’étranger, ils ne veulent pas de nous."
Il se sent trahi. Crispe ses doigts en parlant et regarde autour de lui comme si les policiers allaient là tout de suite débarquer, mais la colère est plus forte que sa paranoïa dopée au whisky :
"Alors oui je casse, je caillasse… Là, dehors, ils me cherchent, il paraît qu’on a été filmés en train de piller la caisse du concessionnaire auto… Moi je n’ai pris que 40 000 dinars (400 euros), j’ai acheté un téléphone portable et une bouteille de whisky pour tromper la fatigue…"
Samir reprend son souffle et la cicatrice enfle avec la lourde respiration. "Tu regardes la cicatrice ?" Il se tait un moment. "Avec l’argent du casse, je vais vous dire à tous salamalikoum, au revoir, je retente une autre harga et je vous laisse l’Algérie." D’un geste de la main, il fait un signe d’au revoir et lâche, au fond de cette cave d’immeuble puant l’urine et la colère : "De retour de Turquie, j’ai essayé de me pendre, mais je me suis raté. Même la mort ne veut pas de moi."
Adlène Meddi
* Le prénom a été changé, Samir est activement recherché.
http://www.lesinrocks.com/actualite...utier-dalger-meme-la-mort-ne-veut-pas-de-moi/
On a alors appelé notre consulat en Turquie. Il nous ont répondu : 'Parce que c’est nous qui t’avons ramené ici ?!' Ils nous ont lâchés ! Mon pays m’a lâché. Je n’ai pu fuir l’enfer de cette prison qu’en me débrouillant grâce à des compatriotes à Istanbul. Je suis alors rentré, en prenant tout ce que j’avais économisé. Et là, je n’ai rien, mais vraiment rien à perdre. Ils nous ont lâchés ici, ils nous lâchent à l’étranger, ils ne veulent pas de nous."
Il se sent trahi. Crispe ses doigts en parlant et regarde autour de lui comme si les policiers allaient là tout de suite débarquer, mais la colère est plus forte que sa paranoïa dopée au whisky :
"Alors oui je casse, je caillasse… Là, dehors, ils me cherchent, il paraît qu’on a été filmés en train de piller la caisse du concessionnaire auto… Moi je n’ai pris que 40 000 dinars (400 euros), j’ai acheté un téléphone portable et une bouteille de whisky pour tromper la fatigue…"
Samir reprend son souffle et la cicatrice enfle avec la lourde respiration. "Tu regardes la cicatrice ?" Il se tait un moment. "Avec l’argent du casse, je vais vous dire à tous salamalikoum, au revoir, je retente une autre harga et je vous laisse l’Algérie." D’un geste de la main, il fait un signe d’au revoir et lâche, au fond de cette cave d’immeuble puant l’urine et la colère : "De retour de Turquie, j’ai essayé de me pendre, mais je me suis raté. Même la mort ne veut pas de moi."
Adlène Meddi
* Le prénom a été changé, Samir est activement recherché.
http://www.lesinrocks.com/actualite...utier-dalger-meme-la-mort-ne-veut-pas-de-moi/
bein c'est ce queje te dis, en tant que quartier populaire, je préfère babez
Bah, oui, un peu quand même...L'inde est un pays, où il y a des millions de personnes qui vivent dans une misére absolue, mais on imagine mal, des révoltes et des événements violents dans ce pays démocratique....Les gens se révoltent généralement contre la pauvreté et la misére, mais surtout contre l'injustice et l"hogra".....
Si t'as écouté la vidéo( la suite tu l'auras sur youtube sur aljazeera) tu sera choqué des révelations de ex colonel Med Samraoui alias Lhabib ex vide chef des services secrets militaires
DRS a crée la GIA en Janvier 1992(avant second tour des éléctions lol)
le terrorisme islamiste où avant gardiste est une fautaise de putch militaire algérien.
Le peuple a payé cach 600.000 morts (officiel 150.000)
Ces émeutes est un scénario de la DRS pour préparer la relève de Boutef c'est clair ce cirque de monter les prix et annuler la subvention dans un pays au budget colossal de 120 milliards $
Renseignes toi bien au Maghreb.
le Fils d'ali Belhadj a pu rejoindre aux montagnes le GsPC en 1995 après l'interdiction de FIs et son aile armé ( AI) alors que GIA a été crée par la DRS en janvier 1992.
Juste pour te dire que dans la guerre civile
Il y avait les afghans arabes rentrés de Kabul qui tuent et des militaires qui tuent.mais tt est organisé par la DRS du Général Tawfiq Madine.
AQMI est un produit incontrôlé de la DRS. une aile islamisée pour des enjeux politiques et sécuritaires, c'est du bras de fer entre ailes au sein de l'armée populaire
Tant mieux et que les victimes de ces émeutes reposent en paix et que le peuple panse ses blessures!
Il reste à espérer que les "gouvernants" algériens tireront les bonnes leçons de ces tragiques événements !
...........
Jusquà présent, aucun nouveau bilan na été avancé. Le dernier en date, faisait état de trois morts et plus de 800 blessés dont 700 policiers. Ce nest pas tout. Les chiffres de Ould Kablia, communiqués samedi, font état de 1100 manifestants interpellés. Il y avait même parmi eux des mineurs.
...............
Sur le plan matériel, les dégâts sont également considérables. Des bureaux de poste, des annexes de Sonelgaz et des magasins ont été saccagés. Des unités de production ont été complètement ravagées par le feu.
.............
Le secteur de léducation nationale na pas été épargné. Pas moins de 45 établissements scolaires sur un total de 42.000 que comptent les trois cycles de lenseignement à travers le territoire national ont été endommagés, plus ou moins gravement, lors des émeutes. Cest ce qua avancé, dimanche dernier, le département de lEducation nationale. 21 lycées sur un total de près de 1900, 20 CEM sur près de 5000 établissements, et 4 écoles primaires sur environ 18.000 ont été touchés dans diverses régions du pays.
..............
http://www.lexpressiondz.com/article/2/2011-01-11/84811.html
Triste! Triste!
Était-ce évitable? Que va-t-il en sortir?
Y a-t-il des relais dans la population civile? Partis? Syndicats? Associations?
Jusquà présent, aucun nouveau bilan na été avancé. Le dernier en date, faisait état de trois morts et plus de 800 blessés dont 700 policiers. Ce nest pas tout. Les chiffres de Ould Kablia, communiqués samedi, font état de 1100 manifestants interpellés. Il y avait même parmi eux des mineurs.
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Sur le plan matériel, les dégâts sont également considérables. Des bureaux de poste, des annexes de Sonelgaz et des magasins ont été saccagés. Des unités de production ont été complètement ravagées par le feu.
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Le secteur de léducation nationale na pas été épargné. Pas moins de 45 établissements scolaires sur un total de 42.000 que comptent les trois cycles de lenseignement à travers le territoire national ont été endommagés, plus ou moins gravement, lors des émeutes. Cest ce qua avancé, dimanche dernier, le département de lEducation nationale. 21 lycées sur un total de près de 1900, 20 CEM sur près de 5000 établissements, et 4 écoles primaires sur environ 18.000 ont été touchés dans diverses régions du pays.
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http://www.lexpressiondz.com/article/2/2011-01-11/84811.html
Triste! Triste!
Était-ce évitable? Que va-t-il en sortir?
Y a-t-il des relais dans la population civile? Partis? Syndicats? Associations?
L'Inde est pays anti revolutionnaire par essence,cela provient de leurs croyances, en gros tout le monde merite sa situation et si t'es gentil seras peut etre dans uen meilleurs situation dans ta prochaine vie.
Tu as oublié de preciser que la qualité de vie dont parle ce magazine specialisé dans le tourisme pour retraités anglo saxon, est celle dedidiée exclusivement aux riches etrangers.
Relis l'histoire de la fin de vie de Gandhi.
Relis aussi l'histoire de la création du Pakistan et du Bengladesch avec les transferts de population.
Des dizaines et des dizaines de milliers de tués!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Cela n'a rien avoir avec une revolte contre sa situation sociale
Pasdetahleb
I'am not far ! =)
Un rapeur Algérien qui dit les 4 vérités a l'etat Algérien :
YouTube - Emeutes en algerie BA3OU LA3LEEM FUGI
YouTube - Emeutes en algerie BA3OU LA3LEEM FUGI
Je ne peux pas le confirmer, ce qui est certain. tout est mouillé au dzair.
les afghans arabes + militaires = GIA+GSPC(AQMI).
Vous allez bientot avoir le meme sort que vos homologues tunisiens qui sont tirés comme des lapins, à ce moment là dzair comme vous dites n'aura plus bon dos
Dzair est sous les coups d'état depuis 1962, pas étonnant que la concorde de paix( c'était avec les militaires) de Boutef n'a rien reglé au fonds au niveau social.
ce qui se passe en tunisie l'algerie la passé en 1988 aujourdhuis c'est autre chose
une source tunisienne
La Tunisie dans l’Index de la Qualité de Vie 2011
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Le Quality of Life Index 2011, réalisé chaque année par le magazine irlandais International Living, classe la Tunisie au 69e rang sur 192 pays.
Les surprises du classement
Parmi les surprises du classement: la bonne place de Malte, l’île-Etat située au large de la Tunisie et de la Libye, qui se voit attribuer la 3e place avec 76 points, devant la France (75 points) et la plupart des autres pays européens.
Autre surprise de ce classement, le Maroc et la Tunisie dépassent de loin les riches monarchies du Golfe, dont les deux premiers au classement sont Bahreïn (89e, 58 points) et Qatar (91e, 57 points).
Les autres pays de la région se classent comme suit : Koweït (116e, 54 points), Liban (125e, 53 points), Egypte (137e, 52 points), Algérie (139e, 52 points), Oman (140e, 51 points), Emirats arabes unis, Libye et Syrie (143e, 50 points), Arabie Saoudite (159e , 48 points), Mauritanie (168e, 46 points), Irak (171e, 45 points), Djibouti (175e, 44 points), Soudan et Yémen (191e, 36 points).
• Coût de la vie : 79 ;
• Loisirs et culture : 70 ;
• Economie : 57 ;
• Environnement : 46 ;
• Liberté : 17 ;
• Santé : 67 ;
• Infrastructure : 34 ;
• Risque et sécurité : 86 ;
• Climat : 85.
L’indice de qualité de vie d’International Living est établi selon le barème suivant: 15% pour le coût de la vie, 15% pour l’économie, 10% pour l’environnement, 10% pour la culture et loisirs, 10% pour les libertés, 10% pour les infrastructures, 10% pour les risques et sécurité et 10% pour le climat.
Les scores de la Tunisie laissent apparaître les points forts de notre pays: la sécurité (86 sur 100) et le climat (85 sur 100). Ses points faibles, qui entraînent sa moyenne vers le bas et l’empêchent de rejoindre, en terme de qualité de la vie, les pays à niveau de développement comparable, sont: la liberté (17 sur 100) et les infrastructures (34 sur 100). Deux aspects sur lesquels il va falloir mettre le paquet au cours des prochaines années.
Imed Bahri
http://www.kapitalis.com/kapital/34...dans-lindex-de-la-qualite-de-la-vie-2011.html
C'est logique.
Il existe une différence entre la crise tunesienne (sociale dans sa forme mais politique dans son fonds : démocratie et liberté d'expression)
La crise algérienne est purement un coup monté de la DRS qui prépare la relève de Boutef, la preuve que le gouvernement a augmenté les prix des produits de 1ère nécessité puis ils resubventionnent( L'état dispose de 120 milliards $ capable quand même de soutenir l'économie locale).
c'est quoi la relation entre la drs est la releve de boutef
pourquoi continuer des mesure en etait prise c'est normal que ca s'arrette
Boutef préparait son frère Said pour sa relève vu son état de santé.
La DRS a fermé l'oeil sur ces émeutes (passivité de la police) pour créer une crise politique au sein de gouvernement.
Le même scénario de 1988 : arrêt des éléctions et abolition de Fis, démission de Chadli benjdid (sous pression de l'armée)
peut etre un début de reponse?
http://www.lepost.fr/article/2010/1...trach-etait-l-arbre-qui-cachait-la-foret.html
ouais exacte
La DRS cherchait toujours un président qui ne touche pas deux dossiers (comme Benjdid, Kafi, Zeroual et Boutef), le seul président opposé était feu Med Boudiaf, on l'as liquidé :
- Réforme de l'armée.
-Maintien de l'ingérance dans le dossier du Sahara.