L'Allemagne pousse l'Union européenne à agir contre Maroc

Disons que si le Sahara était détaché du Maroc, il serait de facto sous le contrôle de l'Espagne et de l'Algérie. Et la misère au Maroc serait pire car l'Espagne et l'Algérie pouvaient facilement couper les liens du Maroc avec l'Afrique, avec l'Europe et les arabes.
Un peu d'histoire nous permettra de voir les enjeux et les perspectives de cette région marocaine :
Si ça peut permettre de réduire à néant la famille illégitime pourquoi pas
 
A

AncienMembre

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Tiens revoila la cireuse de babouche a 2 shekels, commentaire rempli de haine et de frustration comme d'habitude mdr

Dixit le gros nif qui vit dans un pays qui a des relations avec Israël depuis des décennies sans qu'il ait froid aux yeux d'y vivre! :D

Pourquoi tu ne vas pas vivre dans un pays qui ne reconnaît pas Israël, hypocrite à 1 shekel?
 
Dixit le gros nif qui vit dans un pays qui a des relations avec Israël depuis des décennies sans qu'il ait froid aux yeux d'y vivre! :D

Pourquoi tu ne vas pas vivre dans un pays qui ne reconnaît pas Israël, hypocrite à 1 shekel?
Toujours plus de haine et de frustration mdr je suis pas responsable de ton célibat forcé alors passe ton chemin tu ne m'intéresses pas le sujet du ''roi''
 
A

AncienMembre

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Toujours plus de haine et de frustration mdr je suis pas responsable de ton célibat forcé alors passe ton chemin tu ne m'intéresses pas le sujet du ''roi''

Je ne serai pas une laveuse de slip mais toi, tu as toujours été un sale hypocrite.

Si tu es vraiment un HOMME, un vrai, casse-toi de la France et va dans un pays qui ne reconnaît Israel, espèce de chmata va... retourne à ta laveuse de slip et va crier "vieille fille" et "célibataire" à tue-tête pour te convaincre que tu es une tarlouze authentique.
 
Dernière modification par un modérateur:
Je ne serai pas une laveuse de slip mais toi, tu as toujours été un sale hypocrite.

Si tu es vraiment un HOMME, un vrai, casse-toi de la France et va dans un pays qui ne reconnaît Israel, espèce de chmata va... retourne à ta laveuse de slip et va crier "vieille fille" et "célibaraite" à tue-tête pour te convaincre que tu es une tarlouze authentique.
T'es pas capable de laver tes propres strings c'est pas un scoop. À part vociférer, étaler ta haine et tes frustrations sur ce site tu n'as aucune valeur ajoutée, si à la rigueur t'avais un physique attractif, même pas.

Un serpent à 2 tétes.

Ce que je dis sur le Maroc te met en rage et bien va te soulager en manger ton kilo de zlabiya quotidien.
 
A

AncienMembre

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T'es pas capable de laver tes propres strings c'est pas un scoop. À part vociférer, étaler ta haine et tes frustrations sur ce site tu n'as aucune valeur ajoutée, si à la rigueur t'avais un physique attractif, même pas.

Un serpent à 2 tétes.

Ce que je dis sur le Maroc te met en rage et bien va te soulager en manger ton kilo de zlabiya quotidien.

Ah, je vois que tu manges ça pour soulager ta rage, continue à en manger et demande à ta laveuse de slips de te rajouter une autre assiette car le Maroc et son Roi te foutent la rage. :cool:
 
A

AncienMembre

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Quelle ambiance lol

Il nous faudra un élevage de larbins de généraux, ils viennent toujours sans grande difficulté, il faut juste ramener leurs laveuses de slips pour les accoupler et maintenir l'ambiance pour la postérité, comme ça ils verront à quoi ressemblaient les larbins des généraux. :D
 

« Projet Pegasus » : face aux dénégations de NSO Group et du Maroc, « Le Monde » maintient ses informations​



Affaire Pegasus : l'Élysée confirme un appel entre Emmanuel Macron et le Premier ministre israélien

« Projet Pegasus » : Le ministre israélien de la Défense vient s’expliquer à Paris​

 
L’AFRIQUE ET CES AMIS QUI LUI VEULENT DU BIEN


Qu’un pays perce à l’intérieur des frontières de son continent d’origine, on devrait plutôt s’en réjouir dans une configuration bienveillante, non?! Alors, de quoi se plaint-on au juste?


Elle date de novembre 2020 mais sort tout juste, et avec force, des tiroirs. Il s’agit d’une étude de huit pages, produite par l'Institut allemand des affaires internationales et de sécurité (Stiftung Wissenschaft und Politik), fondation de droit civil basée à Berlin.


Pour rappel, c’est une des institutions de recherche les plus influentes dans son domaine, conseillère attitrée du parlement allemand, recevant une subvention institutionnelle payée sur le budget de la Chancellerie fédérale.

D’emblée, le titre donne le ton: «Rivalités maghrébines sur l'Afrique subsaharienne…». On se croirait dans une transposition mentale croisée sous forme de remake des rivalités européennes à la veille de la Conférence de Berlin!

En long et en large, l’étude décortique la politique africaine du Maroc en comparaison systématique avec deux autres pays du Maghreb, en la qualifiant de plus dynamique, de plus sophistiquée et de la plus progressiste des trois.

Tout y passe: le Soft Power et la visibilité internationale acquise par les livraisons d'équipements de protection «made in Morocco» à l'Afrique subsaharienne pendant la première vague de la pandémie de Covid-19; l’orientation Sud-Sud «bien établie» englobant l'aide au développement; la politique éducative, dite pareillement «sans égale», représentée en 2019 par l’accueil de plus de 17 000 étudiants d'Afrique subsaharienne; la politique migratoire avec, pour illustration, l’octroi en 2014 de permis de séjour temporaires à des dizaines de milliers de migrants irréguliers d'Afrique subsaharienne; la diplomatie religieuse par la formation des imams d'une dizaine d'Etats et le recours aux ordres soufis, dont l’influente Tijaniya qui compte des millions d'adhérents en Afrique de l'Ouest…

Mais c’est sans surprise l’économie –cette continuation de la politique par d’autres moyens– qui ressort avec force.

Et pour cause! Le Maroc est décrit comme un des plus grands investisseurs africains du continent et «le plus grand investisseur africain en Afrique de l'Ouest, où les compagnies d'assurance, les opérateurs de télécommunications et les banques marocaines détiennent des parts de marché importantes».

Sans oublier les technologies agricoles, les énergies renouvelables, les liaisons de transport maritimes et aériennes, les infrastructures énergétiques dont le développement dépend d’Etats non africains avec un intérêt porté au Maroc par des alliés non traditionnels comme la Russie ou la Chine.

Qu’un pays perce à l’intérieur des frontières de son continent d’origine, on devrait plutôt s’en réjouir dans une configuration bienveillante, non?! Alors, de quoi se plaint-on au juste?

Bizarrement, «la mariée est trop belle», au point d'éveiller les ambitions d’une voisine et d'exacerber les tensions avec l’autre!

«L'ascension du Maroc sur le continent, ajoute l’étude, pourrait être qualifiée de presque traumatisante pour l'Algérie, dont l'influence s'est considérablement affaiblie», où rien de comparable à la stratégie africaine du Maroc n’est observable et où les perspectives d'une émergence ne sont pas particulièrement bonnes.

En somme: «une dynamique de la rivalité négative», sauf que le document ne nous dit pas en toute franchise, pour qui elle est «négative» au juste.

Cette rivalité maghrébine ne pourrait-elle se mouvoir un jour en concurrence saine si des acteurs exogènes ne manigançaient pas en y ajoutant leur grain de sable, propulsant et freinant à tour de bras? Soit, une réédition à destination du Maghreb de la manœuvre classique de la carotte et du bâton.

L'Union européenne est invitée en ce sens à «contrecarrer le sentiment d'inutilité croissante de l'Algérie, à renforcer l'économie tunisienne et à relativiser les ambitions hégémoniques du Maroc».

Rien que cela! Punir celui qu’on désigne soi-même comme étant le meilleur dont le tort est de faire paraitre les autres moins forts tout en veillant à ce qu’aucune tête ne dépasse des rangs!

Alors si le Maroc se développe, il faut persister avec un boulet au pied, représenté par l’atteinte à son intégrité sur fond de connivence. En langage politiquement correct: «recommander à l’UE de continuer à soutenir la ligne de l’ONU sur la question du Sahara occidental», alors que la proposition marocaine d’un statut d’autonomie est une solution constructive pour toute la région qui aurait dû trouver là un meilleur soutien.
 
Et puis, que signifie «hégémonisme»? S’agit-il d’une intention manifeste de domination ou bien de l’expression des capacités de structures économiques et institutionnelles qui ont hissé les entreprises marocaines en Afrique en tant que leaders de leurs secteurs, donnant corps à un partenariat d’égal à égal?

N’est-ce pas plutôt l’hégémonisme paternaliste obsolète des anciennes puissances impérialistes et leurs accords asymétriques envers les partenaires du Sud, qui plus est davantage centré sur l’exploitation des ressources du sous-sol que de développement véritable, qui leur font perdre autant de sympathie que de parts de marchés?

Suffit-il qu’un pays africain tente de prendre en main son destin et de montrer un quelconque rayonnement pour qu’on cherche à lui planter un bâton dans les roues?

Dans ce cadre, il est prêté à l’ancien chancelier Helmut Kohl cette phrase lâchée dans un cercle restreint en 1987 selon laquelle il ne saurait être question de laisser l’Afrique s’industrialiser ni à l’Occident de se laisser surprendre une deuxième fois, distrait qu’il avait été face au développement de l’Asie.

Par ailleurs, l’Allemagne est tout ce qu’il y a de plus hégémonique, en Europe déjà où elle mène la danse; où son essor est depuis longtemps considéré comme un facteur déstabilisant pour ses voisins: où les tergiversations de la crise de l’euro ont abouti à présenter les factures égoïstement et cyniquement aux plus faibles. Oserait-on pour autant pointer le déséquilibre, remuer la plaie sur l’aiguisement de la tragédie grecque et nous mêler de politiques internes orchestrées par la troïka?

Il faut dire que donner des leçons et distribuer des points est une marque déposée exclusive. De plus, qui sommes-nous, pauvres Africains que nous sommes, pour penser hors du cadre, pour agir en dehors d’une certaine Europe sans laquelle nul salut ne devrait être envisageable! La même à décréter qui est autorisé à se développer et à promulguer quand et comment entraver la marche.

Tout cela, bien évidemment, assorti des apparences illusoires d’un désintéressement légendaire, misant sur une coopération triangulaire et proposant aux retardataires, entre autres, expertise et savoir-faire.

Nous y sommes! Il fallait juste l’exprimer sans passer par quatre chemins. Appelez cela, avec Nietzsche, une «volonté de puissance», faisant fi des leçons de morale, ou plus prosaïquement si vous le voulez, récapitulé par la formule: «ôte-toi de là que je m’y mette!».

Mais gare aux revers de la tyrannie hégémoniste! Un sage comme le philosophe Thomas Hobbes aurait répondu qu’un absolu de puissance tue la puissance, tandis que vient à nous cette réplique ne s’embarrassant ni de délicatesse ni de bienséance dans la logique de la contestation nietzschéenne: «la grenouille finit toujours par éclater, la grenouille qui s’est trop gonflée». Ainsi parlait Zarathoustra.

 

Simo40

Bladinaute averti
L'Allemagne de tout temps n'a jamais apprécié ce royaume de voleurs et de renegats, comme je les comprends
Oui sans doute mais si encore eux ils étaient tout blanc 🤮👿
Le Maroc est en bas de l'échelle comparé à ses chayatin pédophilie buveur de sang.
.....mais sa n'enlève en rien la performance que tu cite.
Par contre le peuple allemand n'est pas comme son gouvernement comparé au peuple marocain qui lui est à l'image de ses dirigeants 😉
 

ElviraPacino

Free🇵🇸🇲🇦, Vive🇮🇷 & GoPoutine 🇷🇺
VIB
Bladinaute averti
Et puis, que signifie «hégémonisme»? S’agit-il d’une intention manifeste de domination ou bien de l’expression des capacités de structures économiques et institutionnelles qui ont hissé les entreprises marocaines en Afrique en tant que leaders de leurs secteurs, donnant corps à un partenariat d’égal à égal?

N’est-ce pas plutôt l’hégémonisme paternaliste obsolète des anciennes puissances impérialistes et leurs accords asymétriques envers les partenaires du Sud, qui plus est davantage centré sur l’exploitation des ressources du sous-sol que de développement véritable, qui leur font perdre autant de sympathie que de parts de marchés?

Suffit-il qu’un pays africain tente de prendre en main son destin et de montrer un quelconque rayonnement pour qu’on cherche à lui planter un bâton dans les roues?

Dans ce cadre, il est prêté à l’ancien chancelier Helmut Kohl cette phrase lâchée dans un cercle restreint en 1987 selon laquelle il ne saurait être question de laisser l’Afrique s’industrialiser ni à l’Occident de se laisser surprendre une deuxième fois, distrait qu’il avait été face au développement de l’Asie.

Par ailleurs, l’Allemagne est tout ce qu’il y a de plus hégémonique, en Europe déjà où elle mène la danse; où son essor est depuis longtemps considéré comme un facteur déstabilisant pour ses voisins: où les tergiversations de la crise de l’euro ont abouti à présenter les factures égoïstement et cyniquement aux plus faibles. Oserait-on pour autant pointer le déséquilibre, remuer la plaie sur l’aiguisement de la tragédie grecque et nous mêler de politiques internes orchestrées par la troïka?

Il faut dire que donner des leçons et distribuer des points est une marque déposée exclusive. De plus, qui sommes-nous, pauvres Africains que nous sommes, pour penser hors du cadre, pour agir en dehors d’une certaine Europe sans laquelle nul salut ne devrait être envisageable! La même à décréter qui est autorisé à se développer et à promulguer quand et comment entraver la marche.

Tout cela, bien évidemment, assorti des apparences illusoires d’un désintéressement légendaire, misant sur une coopération triangulaire et proposant aux retardataires, entre autres, expertise et savoir-faire.

Nous y sommes! Il fallait juste l’exprimer sans passer par quatre chemins. Appelez cela, avec Nietzsche, une «volonté de puissance», faisant fi des leçons de morale, ou plus prosaïquement si vous le voulez, récapitulé par la formule: «ôte-toi de là que je m’y mette!».

Mais gare aux revers de la tyrannie hégémoniste! Un sage comme le philosophe Thomas Hobbes aurait répondu qu’un absolu de puissance tue la puissance, tandis que vient à nous cette réplique ne s’embarrassant ni de délicatesse ni de bienséance dans la logique de la contestation nietzschéenne: «la grenouille finit toujours par éclater, la grenouille qui s’est trop gonflée». Ainsi parlait Zarathoustra.

L'Allemagne hégémoniste? En ce quu concerne le Maroc, il y a plus à dire sur la France.

Si l'Allemagne menait la danse au Maroc à la place de la France, le dossier du sahara seraut bouclé, on aurait des invest de qualité,tel que des usines et pas des hotels de luxe à la kon ou des golfs en zone semi désertique.
 

Nation

arryaz
Je rêve ! C'est la meilleure celle là !
Les allemands de l'Est étaient des allemands, les Sahraouis sont sahraouis et le Maroc a tout fait pour que le référendum d'auto-détermination au début des années 90 ne se tienne pas puis a voulu tout faire pour changer la done en y envoyant des dizaines de miliers de colons marocains.
Oui tu rêve car des saharouie t'en a dans tous les pays jusqu'en Egypte, pendant que l'armée de libération se battait au Sahara dans les années 50 e, t potes du Polisario n'existaient même pas , c'est pas aux marocains qu'on va apprendre leur histoire💪
 

Allemagne-Maroc: une autre lecture​

- Medias24
C’est un document allemand qui a été finalisé en date du 19 novembre 2020 et qui fait surface maintenant, dans un contexte très particulier marqué par le Covid, l’affaire Pegasus et enfin les froidures du Maroc avec l’Espagne et l’Allemagne.

Le document n’est pas officiel. Mais le think Tank SWP qui l’a produit a de l’influence et surtout, il est financé par des fonds publics allemands, pour l’essentiel provenant du gouvernement: au moins 4 ministères dont celui des Affaires étrangères, ainsi que la Coopération, l’Environnement et l’Education nationale; des fondations; et des donateurs privés.

En 2020, SWP a reçu 15,9 millions d’euros de financement gouvernement, ce qui pour un think tank est une somme très importante. Cette subvention a été approuvée par le parlement fédéral.

Le document de SWP, ou Institut allemand pour la sécurité et les affaires internationales, a beau avoir été finalisé le 19 novembre 2020, il éclaire comme un rétroviseur et vient conforter le sentiment marocain concernant l’existence d’une méfiance, voire d’une hostilité croissantes à l’égard du Royaume dans quelques pays dont l’Allemagne.

Ce que dit l’étude

Le texte intégral peut être consulté en cliquant ici.

Des constats souvent justes, exprimés d’une manière orientée:

Nous avons sélectionné ci-dessous quelques phrases traduites intégralement qui donnent une petite idée sur le contenu général de ce document:

« Le Maroc est l’État maghrébin avec la politique sub-saharienne la plus sophistiquée.

« La politique sub-saharienne du Maroc a exacerbé les tensions avec l’Algérie et éveillé les ambitions en Tunisie.

« Alger, en tant que bailleur de fonds et acteur sécuritaire de l’Union africaine (UA) et « protecteur » du mouvement indépendantiste du Sahara occidental, cherche à contrecarrer les avancées de Rabat.

« L’Union européenne doit considérer ces tendances comme une opportunité pour l’intégration africaine et la coopération triangulaire UE/Maghreb/Afrique sub-saharienne. Cela pourrait contrecarrer le sentiment d’inutilité croissante de l’Algérie, renforcer l’économie tunisienne, relativiser les ambitions hégémoniques du Maroc et ainsi atténuer la dynamique négative de la rivalité.

« L’ascension du Maroc sur le continent pourrait être qualifiée de presque traumatisante pour l’Algérie, dont l’influence s’est considérablement affaiblie.

« Cependant, une stratégie africaine profilée comparable à celle du Maroc n’est actuellement pas observable. Et les perspectives d’une émergence ne sont pas particulièrement bonnes.

« La Tunisie cherche à rattraper son retard. La Tunisie observe de plus en plus attentivement et avec envie la politique africaine du Maroc.

« La confiance du Maroc, la défense de son héritage par l’Algérie et le regain d’intérêt de la Tunisie se reflètent également au sein des institutions et organisations africaines.

« Les effets négatifs de la rivalité algéro-marocaine sont particulièrement évidents dans le domaine de la sécurité.
 
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