La Biélorussie a apporté son soutien total à la Russie. Le pays organisera des pourparlers de paix sur son territoire.
Xi Jinping a dit à Poutine qu’il respectait les actions de Moscou. Pékin a exhorté les parties à négocier, a rappelé aux États-Unis qui avait tout commencé et a défendu le droit à la souveraineté de tous les pays, y compris l’Ukraine.
Le Brésil a déclaré qu’il ne condamnait pas la Russie.
La Syrie a non seulement soutenu la Russie, mais a aussi déclaré qu’elle était prête à reconnaître l’indépendance de la RPL et de la RPD, républiques du Donbass.
Le président vénézuélien Maduro a pleinement soutenu Vladimir Poutine et prôné une solution diplomatique.
L’Abkhazie et l’Ossétie du Sud ont soutenu la décision russe de reconnaître l’indépendance de la RPL et de la RPD. L’Abkhazie les a également reconnues.
Le président kirghize a exprimé son soutien à Poutine dans les actions visant à protéger le Donbass.
Le Kazakhstan a appelé à une solution pacifique du conflit. L’Arménie et l’Azerbaïdjan s’expriment avec prudence.
Le Myanmar a soutenu la décision de Poutine. La crise sur l’Ukraine est née du refus des États-Unis de discuter des garanties de sécurité et Poutine a été obligé de répondre à la situation géopolitique.
La République centrafricaine est d’accord avec la Russie sur le fait que la reconnaissance de la RPL et de la RPD empêcherait la violence.
Tous les les pays d’Europe, les États-Unis, le Canada, l’Australie, le Japon, la Corée du Sud et Singapour ont condamné l’opération et imposé de lourdes sanctions.
La Géorgie a vivement critiqué la Russie, mais a décidé de ne pas se joindre aux sanctions.
Les États-Unis ont tenté de faire adopter une résolution anti-russe au Conseil de sécurité des Nations unies, mais celle-ci a été bloquée, l’Inde, la Chine et les Émirats arabes unis s’étant abstenus.
