Le coran contient-il des erreurs?

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Le divorce

Mt 19:9 Mais je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour infidélité, et qui en épouse une autre, commet un adultère.

Interdiction du divorce

Luc 16:18 Quiconque répudie sa femme et en épouse une autre commet un adultère, et quiconque épouse une femme répudiée par son mari commet un adultère.




1. Eve en faute?


Les trois religions sont d'accord sur un fait de base: l'homme et la femme sont tous deux des créatures de Dieu, le Créateur de l'univers entier. Toutefois, les divergences apparaissent peu après la création du premier homme, Adam, et de la première femme, Eve. La conception judéo-chrétienne de la création d'Adam et Eve est exposée en détails dans Genèse 2:4-3:24. Dieu leur a interdit a tous deux de manger des fruits de l'arbre interdit. Le serpent incita Eve à en manger et Eve à son tour incita Adam à manger avec elle. Quand Dieu reprocha à Adam ce qu'il avait fait, il en attribua toute la faute à Eve

"La femme que tu as mis ici avec moi : elle m'a donné du fruit de l'arbre et je l'ai mangé."


Par conséquence, Dieu dit a Eve:

"J'augmenterai beaucoup tes souffrances en grossesse; tu enfanteras dans la peine. Ton désir sera pour ton mari et il commandera sur toi."

A Adam Il dit:

"Puisque tu as écouté ta femme et mangé de l'arbre ... Cette terre est maudite par ta cause ; tu mangeras chaque jour de ta vie par le fruit de ton dur labeur..."


On trouve la conception Islamique de la création originelle dans plusieurs endroits dans le Coran, par exemple:

19 ? Adam, habite le Paradis, toi et ton épouse; et ne mangez en vous deux, à votre guise; et n'approchez pas l'arbre que voici; sinon, vous seriez du nombre des injustes.

(20) Puis le Diable, afin de leur rendre visible ce qui leur était caché - leurs nudités - leur chuchota, disant:

(21) Et il leur jura: Vraiment, je suis pour vous deux un bon conseiller.

(22) Alors il les fit tomber par tromperie. Puis, lorsqu'ils eurent goûté de l'arbre, leurs nudités leur devinrent visibles; et ils commencèrent tous deux à y attacher des feuilles du Paradis. Et leur Seigneur les appela:

(23) Tous deux dirent: <? notre Seigneur, nous avons fait du tort à nous-mêmes. Et si Tu ne nous pardonnes pas et ne nous fais pas miséricorde, nous serons très certainement du nombre des perdants.

Sourate 7, versets 19-23.

Un examen attentif des deux compte rendu de l'histoire de la Création révèles quelques différences essentielles. Le Coran, au contraire de la Bible, place la culpabilité à égalité sur Adam et Eve pour leur erreur. On ne trouve nul part dans le Coran le plus petit indice que Eve ait trompé Adam en lui faisant mangé de l'arbre, ou même qu'elle ait mangé avant lui. Eve dans le Coran n'est ni une tentatrice, ni une séductrice, et ni une trompeuse. En outre, on ne peut attribuer à Eve les souffrances de la grossesse. Dieu, selon le Corn, ne punit personne pour les erreurs commises par un autre c'est à dire que Allah ne punit pas toutes les femmes à cause du péché commis par une d'elles. Adam et Eve ont tous deux commis un péché et ont demandé pardon à Dieu et Il leur a tous deux pardonné.
2. Héritage d'Eve.
L'image d'une Eve tentatrice dans la Bible a eu pour résultat un impact extrêmement négatif sur les femmes au cours de la tradition judéo-chrétienne. Toutes les femmes sont suspectées d'avoir hérité de leur mère, la biblique Eve, et sa culpabilité et sa malignité. En conséquence, elles étaient toutes moralement inférieures, indignes de confiance, et perverties. Règles, grossesse et accouchement étaient considérés comme les justes punitions de la culpabilité éternelle du sexe féminin maudit.
Pour apprécier combien était négatif l'impact de cette Eve biblique sur toutes ses descendantes féminines, nous devons nous pencher sur quelques écrits des plus célèbres juif et chrétiens de tous les temps. Commençons par l'Ancien Testament en lisant ce qu'on appelle la Sage Littérature:



195. Leur Seigneur les a alors exaucés (disant) : "En vérité, Je ne laisse pas perdre le bien que quiconque parmi vous a fait, homme ou femme, car vous êtes les uns des autres. Ceux donc qui ont émigré, qui ont été expulsés de leurs demeures, qui ont été persécutés dans Mon chemin, qui ont combattu, qui ont été tués, Je tiendrai certes pour expiées leurs mauvaises actions, et les ferai entrer dans les Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux, comme récompense de la part de Dieu." Quant à Dieu, c'est auprès de Lui qu'est la plus belle récompense.

sourate Al 'Imrân (3), verset 195.

Bible

Ecclésiaste 7

26 Et j'ai trouvé plus amère que la mort la femme dont le coeur est un piège et un filet, et dont les mains sont des liens; celui qui est agréable à Dieu lui échappe, mais le pécheur est pris par elle.

27 Voici ce que j'ai trouvé, dit l'Ecclésiaste, en examinant les choses une à une pour en saisir la raison;

28 voici ce que mon âme cherche encore, et que je n'ai point trouvé. J'ai trouvé un homme entre mille; mais je n'ai pas trouvé une femme entre elles toutes.

29 Seulement, voici ce que j'ai trouvé, c'est que Dieu a fait les hommes droits; mais ils ont cherché beaucoup de détours.



Dans une autre partie de la littérature hébraïque disponible dans la Bible catholique, nous lisons:

" La femme a été le principe du péché, et c'est par elle que nous mourons tous. " (25:33, Fi)

" toute malice, plutôt que la malice de la femme ". (25:19, Fi)

" le péché commença avec une femme et à cause d'elle nous devons tous mourir " (Ecclésiastique 25:19,24).

Les rabbins juifs ont établi une liste de neuf malédictions infligées à la femme depuis la Chute d'Adam et Eve:

"A la femme Il donna neuf fléaux et la mort: la peine du sang des règles et de la virginité; le fardeau de la grossesse; la souffrance de l'accouchement; la charge d'élever les enfants; sa tête est couverte comme en deuil; elle se perce les oreilles telle l'esclave à vie, qui sert son maître; elle n'est pas assez crédible comme témoin; et après tout cela: la mort.

Au jour d'aujourd'hui, les hommes juifs orthodoxes récitent dans leur prière quotidienne du matin "Béni le Dieu Roi de l'univers, qui ne m'a pas fait femme". La femme, de son côté, remet Dieu chaque matin "de l'avoir faite selon Sa volonté". Une autre prière qu'o trouve dans de nombreux livres de prières juifs: "Loué soit Dieu de ne pas m'avoir créé un Gentil. Loué soit Dieu de ne pas m'avoir créé femme. Loué soit Dieu de ne pas m'avoir créé ignare."

L'Eve biblique a joué un bien plus grand rôle dans le christianisme que dans le judaïsme. Son péché constitue un pivot de la foi chrétienne toute entière car la raison, selon les chrétiens, pour laquelle Jésus Christ serait venu sur Terre découle directement de la désobéissance d'Eve à Dieu. Elle a commis un péché, séduit Adam en le poussant à faire de même. En conséquence, Dieu les expulsa tous deux des Jardins d'Eden sur Terre, maudite par leur cause. Ils léguèrent leur péché, qui n'a pas été pardonné par Dieu, à tous leurs descendants, et partant, tous les êtres humains naissent dans le péché. Pour purifier l'humanité du 'péché originel', Dieu devait sacrifier Jésus, qu'ils estiment le Fils de Dieu, sur la croix. En conséquence, Eve est responsable de sa propre erreur, du péché de son mari, du péché originel de toute l'humanité, et de la mort du Fils de Dieu. Autrement dit, une femme, agissant de son propre chef, a causé la chute de l'humanité . Que dire des filles? Elles sont aussi pécheresses qu'elles et doivent être traitées comme telles. Ecoutez le ton sévère de Saint Paul dans le Nouveau Testament:




11 Que la femme écoute l'instruction en silence, avec une entière soumission.

12 Je ne permets pas à la femme d'enseigner, ni de prendre de l'autorité sur l'homme; mais elle doit demeurer dans le silence.

13 Car Adam a été formé le premier, Eve ensuite;

14 et ce n'est pas Adam qui a été séduit, c'est la femme qui, séduite, s'est rendue coupable de transgression.

15 Elle sera néanmoins sauvée en devenant mère, si elle persévère avec modestie dans la foi, dans la charité, et dans la sainteté.

Timothée 2:11-14
 
St. Tertullien mâche encore moins ses mots que St Paul, alors qu'il parlait à ses 'bien aimées soeurs' dans la foi, en disait :

"Savez vous que vous êtes chacune une Eve? La sentence de Dieu sur votre sexe subsiste aujourd'hui: la culpabilité doit donc exister nécessairement. Vous êtes la porte du Démon: vous avez décacheté l'arbre interdit. Vous avez déserté les premières la loi divine: vous avez persuadé celui que le démon n'a pas été assez courageux pour attaquer de face . Vous avez détruit si facilement l'image de Dieu, l'homme. Par la cause de votre désobéissance, même le Fils de Dieu a dû mourir."


St Augustin fut fidèle à l'héritage de ses prédécesseurs, en écrivant à un ami:

"Quelle différence que ce soit une épouse ou une mère? Nous devons toujours prendre garde à l'Eve tentatrice qui subsiste dans chaque femme......je ne vois pas....quelle utilisation peut faire l'homme de la femme, si on exclut la fonction d'élever les enfants."


Des siècles plus tard, St Thomas d'Aquin considérait toujours les femmes comme défectueuse.

"En ce qui concerne sa nature individuelle, la femme est défectueuse et mal élevée, car la force active contenue dans la semence male tend à produire une similarité parfaite du sexe masculin. Alors que la production d'une femme vient d'un défaut dans la force active ou d'un manque d'une certaine matière ou même d'une influence externe. "

Finalement, le renommé réformateur Martin Luther ne pouvait voir aucun profit d'une femme si ce n'est d'amener au monde autant d'enfants que possible, peu importe les effets secondaires:

" Si elles se fatiguent ou meurent, cela n'a pas d'importance. Laissez les mourir en couche, c'est ce pourquoi elle sont là "


Encore et encore, toutes les femmes sont dénigrées à cause de l'image d'Eve la tentatrice, grâce au récit de la Genèse.

Pour résumer, la conception judéo-chrétienne de la femme a été empoisonnée par la croyance dans la nature pécheresse d'Eve et de sa progéniture. Si nous tournons notre attention à ce que le Coran dit au sujet de la femme, nous nous apercevons bientôt que la conception islamique de la femme est radicalement différente de la tradition judéo-chrétienne. Laissons le Coran parler de lui-même:




Les Musulmans et Musulmanes, croyants et croyantes, obéissants et obéissantes, loyaux et loyales, endurants et endurantes, craignants et craignantes, donneurs et donneuses d'aum?nes, jeûnants et jeûnantes, gardiens de leur chasteté et gardiennes, invocateurs souvent d'Allah et invocatrices: Allah a préparé pour eux un pardon et une énorme récompense.

sourate Al 'Ahzâb (33), verset 35.





71. Les croyants et les croyantes sont alliés les uns des autres. Ils commandent le convenable, interdisent le blâmable accomplissent la Salât, acquittent la Zakat et obéissent à Dieu et à Son messager. Voilà ceux auxquels Dieu fera miséricorde, car Dieu est Puissant et Sage.

sourate At-Tawba (9), verset 71.




40. Quiconque fait une mauvaise action ne sera rétribué que par son pareil; et quiconque, mâle ou femelle, fait une bonne action tout en étant croyant, alors ceux-là entreront au Paradis pour y recevoir leur subsistance sans compter.

sourate Ghâfir (40), verset 40.





97. Quiconque, mâle ou femelle, fait une bonne oeuvre tout en étant croyant, Nous lui ferons vivre une bonne vie. Et Nous les récompenserons, certes, en fonction des meilleures de leurs actions.

sourate An-Nahl (16), verset 97.





Il est clair que le regard coranique porté sur la femme ne diffère en rien de l'homme. Ils sont tous deux, les créatures de Dieu, dont le but sublime est l'adoration de leur Seigneur, dans les bonnes actions, et dans l'éloignement du mal. Et ils seront, tous deux, estimés en conséquence. Le Coran ne mentionne jamais que la femme est la porte du mal ou qu'elle est une trompeuse par nature.
 
Le Coran ne mentionne jamais non plus que l'homme est à l'image de Dieu; tous les hommes et femmes sont Ses créatures, c'est tout. Selon le Coran, le rôle de la femme sur terre n'est pas limité à l'accouchement. Il lui est nécessaire de faire autant de bonnes actions que n'importe quel autre homme. Le Coran ne dit jamais qu'aucune femme honnête n'a jamais existé. Au contraire, le Coran a chargé tous les croyants, autant les femmes que les hommes, de suivre l'exemple de ces femmes idéales telles que la Vierge Marie et la femme de Pharaon :

et Allah a cité en parabole pour ceux qui croient, la femme de Pharaon, quand elle dit "Seigneur, construis-moi auprès de Toi une maison dans le Paradis, et sauve-moi de Pharaon et de son ouvre; et sauve-moi des gens injustes.


De même, Marie, la fille d'`Imrân qui avait préservé sa virginité; Nous y insufflâmes alors de Notre Esprit. Elle avait déclaré véridiques les paroles de son Seigneur ainsi que Ses Livres: elle fut parmi les dévoués. , sourate at-Tahrîm (66), versets 11-12

lire le corana comme il faut: sourate les femmes, la polygamie est presque une interdiction. le coran dit en defiant les hommes: vous ne pouvez jamais etre juste envers vos femme. Le coran met l'homme en examen de conscience et lui dit: une est suffisante.

le coran n'a pas inventé la polygamie: il a existé dans toutes les traditions et religions bien avant l'islam. le coran a commencé à limiter le problème de la prostitution dû aux manques d'homme qui meurent dans les guerres ce qui donnent des femmes veuves avec des orphelins. donc la premiere condition que pour avoir une autre femme: il faut qu'elle soit veuve avec des orphelins.
l'homme a abusé en se disant qu'il a le droit d'avoir plus qu'une femme sans meme lire les conditions.

la polyagmie existe aussi dans la bible:

La polygamie :
La polygamie fit son apparition avec Lémec (Gen, 4.19), et la pureté des mariages fut ternie lorsque les hommes se laissèrent dominer par des motifs charnels dans le choix de leurs compagnes (6.1-2).
Quand Abraham prit une deuxième femme pour obtenir l'accomplissement de la promesse, il agit en insensé (16. 4). Isaac n'eut qu'une seule femme, mais Jacob fut polygame, en partie à la suite de la tromperie de Laban (ch. 29). Moïse réprima les abus, mais ne les abolit pas d'un seul coup. Les Israélites étaient alors peu avancés spirituellement et asservis aux moeurs du temps, qui ne correspondaient nullement à la volonté de Dieu. Le grand législateur servit la cause du mariage et éleva le niveau moral en interdisant les unions entre consanguins et parents par alliance (Lév,18) ; il découragea la polygamie (Lév. 18.18 ; Dt. 17.17) ; assura les droits des épouses de condition inférieure (Ex. 21.2-11 ; Dt. 21. 10-17) ; statua sur la répudiation (Dt. 22. 19, 29 ; 24.1) ; exigea le respect du lien conjugal (Ex. 20.14, 17 ; Lév. 20.10; Dt. 22.22). Après Moïse, il y eut encore des polygames : Gédéon, Elkana, Saül, David, Salomon, Roboam, et d'autres (Jug. 8.30 ; 1S. 1.2 ; 2 S. 5.13 ; 12.8 ; 21.8 ; 1 R. 11.3).
Mais l'Ecriture montre les maux inhérents à la polygamie, les rivalités misérables des épouses d'Abraham, de Jacob, d'Elkana (Gen. 16.6 ; ch. 30; 1 S. 1.6) ; tandis qu'elle souligne la beauté des familles heureuses (Ps. 128.3 ; Pv, 5.18 ; 31.10-29 ; Eccl. 9.9).
Abraham épousa sa demi-soeur ; Jacob eut deux femmes qui étaient soeurs (Gen, 20,12 ; 29.26).
En Egypte, le mariage avec une soeur germaine n'était point rare ; les Perses le permettaient.
L'Athénien avait le droit d'épouser sa demi-soeur, issue du même père et le Spartiate sa demi-soeur, issue de la même mère. La loi mosaïque interdisait de telles unions et même les mariages avec des parents plus éloignés (Lv. 18.6-18). Le statut matrimonial des Romains ressemblait à celui des Israélites ; il dénonçait comme inceste l'union entre proches parents (par exemple entre frère et soeur), ou entre parents par alliance (tels que beau-père et belle-fille).
Parlant aux Juifs de la répudiation, le Christ dit que Moîse l'a permise à cause de la dureté de leur coeur, et que, sauf dans un cas d'infidélité, un remariage équivaut à l'adultère (Mt. 19. 8-9). On peut en conclure que la polygamie avait été tolérée pour la même raison dans l'Ancien Testament avec les restrictions ci-dessus.

Le concubinage :
Le concubinage était une forme plus basse de polygamie. La concubine était une femme de second rang, parfois une esclave ou une prisonnière de guerre (Gen. 16.3 ; 22.24 ; 36.12 ; Dt. 21.10-11 ; Jug. 5.30 ; 1S. 5.13, etc.). Agar, par exemple, n'avait pas la situation sociale de Sara (Gal. 4. 22-23) et les enfants des concubines, quoique pleinement reconnus, n'avaient pas le même droit à l'héritage que les fils de la première femme (v. 30 ; Gen. 25. 6).


pire encore dans le nouveau testement il est interdit de divorcer si jamais la vie devient impossible: le nouveau testement est insupportable par l'homme.

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lire le corana comme il faut: sourate les femmes, la polygamie est presque une interdiction. le coran dit en defiant les hommes: vous ne pouvez jamais etre juste envers vos femme. Le coran met l'homme en examen de conscience et lui dit: une est suffisante.

le coran n'a pas inventé la polygamie: il a existé dans toutes les traditions et religions bien avant l'islam. le coran a commencé à limiter le problème de la prostitution dû aux manques d'homme qui meurent dans les guerres ce qui donnent des femmes veuves avec des orphelins. donc la premiere condition que pour avoir une autre femme: il faut qu'elle soit veuve avec des orphelins.
l'homme a abusé en se disant qu'il a le droit d'avoir plus qu'une femme sans meme lire les conditions.

la polyagmie existe aussi dans la bible:
La polygamie :
La polygamie fit son apparition avec Lémec (Gen, 4.19), et la pureté des mariages fut ternie lorsque les hommes se laissèrent dominer par des motifs charnels dans le choix de leurs compagnes (6.1-2).
Quand Abraham prit une deuxième femme pour obtenir l'accomplissement de la promesse, il agit en insensé (16. 4). Isaac n'eut qu'une seule femme, mais Jacob fut polygame, en partie à la suite de la tromperie de Laban (ch. 29). Moïse réprima les abus, mais ne les abolit pas d'un seul coup. Les Israélites étaient alors peu avancés spirituellement et asservis aux moeurs du temps, qui ne correspondaient nullement à la volonté de Dieu. Le grand législateur servit la cause du mariage et éleva le niveau moral en interdisant les unions entre consanguins et parents par alliance (Lév,18) ; il découragea la polygamie (Lév. 18.18 ; Dt. 17.17) ; assura les droits des épouses de condition inférieure (Ex. 21.2-11 ; Dt. 21. 10-17) ; statua sur la répudiation (Dt. 22. 19, 29 ; 24.1) ; exigea le respect du lien conjugal (Ex. 20.14, 17 ; Lév. 20.10; Dt. 22.22). Après Moïse, il y eut encore des polygames : Gédéon, Elkana, Saül, David, Salomon, Roboam, et d'autres (Jug. 8.30 ; 1S. 1.2 ; 2 S. 5.13 ; 12.8 ; 21.8 ; 1 R. 11.3).
Mais l'Ecriture montre les maux inhérents à la polygamie, les rivalités misérables des épouses d'Abraham, de Jacob, d'Elkana (Gen. 16.6 ; ch. 30; 1 S. 1.6) ; tandis qu'elle souligne la beauté des familles heureuses (Ps. 128.3 ; Pv, 5.18 ; 31.10-29 ; Eccl. 9.9).
Abraham épousa sa demi-soeur ; Jacob eut deux femmes qui étaient soeurs (Gen, 20,12 ; 29.26).
En Egypte, le mariage avec une soeur germaine n'était point rare ; les Perses le permettaient.
L'Athénien avait le droit d'épouser sa demi-soeur, issue du même père et le Spartiate sa demi-soeur, issue de la même mère. La loi mosaïque interdisait de telles unions et même les mariages avec des parents plus éloignés (Lv. 18.6-18). Le statut matrimonial des Romains ressemblait à celui des Israélites ; il dénonçait comme inceste l'union entre proches parents (par exemple entre frère et soeur), ou entre parents par alliance (tels que beau-père et belle-fille).
Parlant aux Juifs de la répudiation, le Christ dit que Moîse l'a permise à cause de la dureté de leur coeur, et que, sauf dans un cas d'infidélité, un remariage équivaut à l'adultère (Mt. 19. 8-9). On peut en conclure que la polygamie avait été tolérée pour la même raison dans l'Ancien Testament avec les restrictions ci-dessus.

Le concubinage :
Le concubinage était une forme plus basse de polygamie. La concubine était une femme de second rang, parfois une esclave ou une prisonnière de guerre (Gen. 16.3 ; 22.24 ; 36.12 ; Dt. 21.10-11 ; Jug. 5.30 ; 1S. 5.13, etc.). Agar, par exemple, n'avait pas la situation sociale de Sara (Gal. 4. 22-23) et les enfants des concubines, quoique pleinement reconnus, n'avaient pas le même droit à l'héritage que les fils de la première femme (v. 30 ; Gen. 25. 6).


pire encore dans le nouveau testement il est interdit de divorcer si jamais la vie devient impossible: le nouveau testement est insupportable par l'homme.

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lire le corana comme il faut: sourate les femmes, la polygamie est presque une interdiction. le coran dit en defiant les hommes: vous ne pouvez jamais etre juste envers vos femme. Le coran met l'homme en examen de conscience et lui dit: une est suffisante.

le coran n'a pas inventé la polygamie: il a existé dans toutes les traditions et religions bien avant l'islam. le coran a commencé à limiter le problème de la prostitution dû aux manques d'homme qui meurent dans les guerres ce qui donnent des femmes veuves avec des orphelins. donc la premiere condition que pour avoir une autre femme: il faut qu'elle soit veuve avec des orphelins.
l'homme a abusé en se disant qu'il a le droit d'avoir plus qu'une femme sans meme lire les conditions.

la polyagmie existe aussi dans la bible:
La polygamie :
La polygamie fit son apparition avec Lémec (Gen, 4.19), et la pureté des mariages fut ternie lorsque les hommes se laissèrent dominer par des motifs charnels dans le choix de leurs compagnes (6.1-2).
Quand Abraham prit une deuxième femme pour obtenir l'accomplissement de la promesse, il agit en insensé (16. 4). Isaac n'eut qu'une seule femme, mais Jacob fut polygame, en partie à la suite de la tromperie de Laban (ch. 29). Moïse réprima les abus, mais ne les abolit pas d'un seul coup. Les Israélites étaient alors peu avancés spirituellement et asservis aux moeurs du temps, qui ne correspondaient nullement à la volonté de Dieu. Le grand législateur servit la cause du mariage et éleva le niveau moral en interdisant les unions entre consanguins et parents par alliance (Lév,18) ; il découragea la polygamie (Lév. 18.18 ; Dt. 17.17) ; assura les droits des épouses de condition inférieure (Ex. 21.2-11 ; Dt. 21. 10-17) ; statua sur la répudiation (Dt. 22. 19, 29 ; 24.1) ; exigea le respect du lien conjugal (Ex. 20.14, 17 ; Lév. 20.10; Dt. 22.22). Après Moïse, il y eut encore des polygames : Gédéon, Elkana, Saül, David, Salomon, Roboam, et d'autres (Jug. 8.30 ; 1S. 1.2 ; 2 S. 5.13 ; 12.8 ; 21.8 ; 1 R. 11.3).
Mais l'Ecriture montre les maux inhérents à la polygamie, les rivalités misérables des épouses d'Abraham, de Jacob, d'Elkana (Gen. 16.6 ; ch. 30; 1 S. 1.6) ; tandis qu'elle souligne la beauté des familles heureuses (Ps. 128.3 ; Pv, 5.18 ; 31.10-29 ; Eccl. 9.9).
Abraham épousa sa demi-soeur ; Jacob eut deux femmes qui étaient soeurs (Gen, 20,12 ; 29.26).
En Egypte, le mariage avec une soeur germaine n'était point rare ; les Perses le permettaient.
L'Athénien avait le droit d'épouser sa demi-soeur, issue du même père et le Spartiate sa demi-soeur, issue de la même mère. La loi mosaïque interdisait de telles unions et même les mariages avec des parents plus éloignés (Lv. 18.6-18). Le statut matrimonial des Romains ressemblait à celui des Israélites ; il dénonçait comme inceste l'union entre proches parents (par exemple entre frère et soeur), ou entre parents par alliance (tels que beau-père et belle-fille).
Parlant aux Juifs de la répudiation, le Christ dit que Moîse l'a permise à cause de la dureté de leur coeur, et que, sauf dans un cas d'infidélité, un remariage équivaut à l'adultère (Mt. 19. 8-9). On peut en conclure que la polygamie avait été tolérée pour la même raison dans l'Ancien Testament avec les restrictions ci-dessus.

Le concubinage :
Le concubinage était une forme plus basse de polygamie. La concubine était une femme de second rang, parfois une esclave ou une prisonnière de guerre (Gen. 16.3 ; 22.24 ; 36.12 ; Dt. 21.10-11 ; Jug. 5.30 ; 1S. 5.13, etc.). Agar, par exemple, n'avait pas la situation sociale de Sara (Gal. 4. 22-23) et les enfants des concubines, quoique pleinement reconnus, n'avaient pas le même droit à l'héritage que les fils de la première femme (v. 30 ; Gen. 25. 6).


pire encore dans le nouveau testement il est interdit de divorcer si jamais la vie devient impossible: le nouveau testement est insupportable par l'homme.

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Si un homme comme Mohammed gouvernait le monde, il parviendrait à résoudre ses problèmes et à lui assurer la paix et le bonheur dont il a besoin "

Citation de Georges Bernard Shaw





"à la tête de l'état comme le fut l'église, il fut César et le Pape en un seul homme. Mais il fut un Pape sans en avoir la prétention, et un César sans légions, sans une armée de métier sur pieds, sans garde du corps, sans force de police, sans finances régulièrement renflouées. Si un homme ne gouverna jamais que par la volonté de Dieu, c'est bien Mohammed car il réunit en lui tous les pouvoirs sans en avoir les moyens nécéssaires. Il était indifférent aux apparats du pouvoir. la simplicité de sa vie privée était en accord total avec sa vie publique."

Citation de Révérend R. Bosworth-Smith
_________________
"Greatness of purpose, smallness of means and astounding results are the three criteria of human genius"
"Mohammed (PBSL) était l'âme de la Bienveillance et son in fluence était ressentie et jamais oubliée par ceux qui l'approchaient". Un érudit hindou, Diwan Chand Sharma dans 'The Prophets of the East", Calcutta, 1935, p. 122

"Quatre ans après la mort de Justin, A.D. 569, naissait à la Mecque, en Arabie, l'homme qui, parmi tous les hommes, allait exercer la plus grande influence (1) sur la race humaine ... Mohammed (PBSL)". John William Draper, M.D. LLD dans "A History of , the Intellectual Development of Europe", Londres, 1875

"Je me demande si un homme, quel qu'il soit, ait jamais changé aussi peu face â des conditions extérieures aussi considérablement modifiées". R.V.C. Bodley dans "The Messenger", Londres, 1946, p. 9

"Je l'ai étudié - le merveilleux homme - et à mon avis, loin d'être un anté-christ, il mérite le titre de Sauveur de l'humanité". Georges Bernard Shaw dans "The Genuine Islam", Vol. I, N4 81936

"Grâce à une destinée absolument unique dans toute l'histoire, Mohammed (PBSL) est le triple fondateur d'une nation, d'un empire et d'une religion". R. Bosworth-Smith dans "Mohammed and Mohammedanism", 1946

"Mohammed (PBSL) fut la personnalité qui a connu la plus grande réussite parmi tous les personnages religieux" "Encyclopedia Brittanica", 1lème édition
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Constant Virgil Georgien a dit : «Quoiqu'il fut illettré, les premiers versets révélés mettent en valeur la plume, la science, l'éducation et l'enseignement. On ne connaît pas des doctrines qui se sont intéressées à la science et à la connaissance à un tel point. Si Mohammad avait été un savant, la révélation, réalisée dans la caverne d'"Hirrâ'' n'aurait pas causé d'étonnement parce que le savant connaît la valeur de la science. Mais il était illettré, n'avait pas appris chez aucun maître. Je félicite les musulmans du fait que leur religion s'intéresse dès son début à l'acquisition de la connaissance et lui prête une grande importance".
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Le Docteur I. Vacant Vaguer, professeur à l'université de Naples, a dit dans son livre : "Le livre céleste de l'Islam est un exemple miraculeux inimitable. Il n'a pas de précédent tant pour le style que pour la structure et le contenu, dans la littérature arabe. Son influence spécifique sur l'âme humaine est issue de ses particularités et de sa suprématie. Comment se peut-il qu'un tel livre soit l'oeuvre de Mohammad, alors que celui-ci était un arabe illettré ? On observe dans ce livre des trésors de science qui dépassent l'intellect des grands philosophes et politiciens. C'est pour cette raison aussi que le Coran ne peut être l'oeuvre d'une personne éduquée".
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B. W. Smith dit dans son livre intitulé "Mohammad et la religion musulmane".
« Je crois de toutes mes forces qu'un jour viendra ou la plus haute philosophie, les sciences humaines et les principes du christianisme les plus sincères témoigneront que le Coran est un livre divin et que Mohammad est le Messager de Dieu. C'est Dieu qui a choisi un prophète sans aucune formation éducative préalable pour nous offrir le saint coran, le livre qui au long de l'histoire a inspiré la naissance de millions de livres, d'opousculs et de traités, enrichissant les bibliothèques du monde. Il apporte à l'humanité des systèmes philosophiques, juridiques, pédagogiques et les principes axiomatiques des idéologies. Il se leva dans un milieu ignorant, privé de la science et de la civilisation humaine. Dans toute la Médine, il n'y avait que onze personnes qui savaient lire et écrire, et dans la grande tribu de Qurayche dispersé autour de la Mecque et sa région, il n'y avait que dix-sept hommes alphabétisés. Les enseignements du Coran dont les premiers versets mettent en valeur la science et la plume ont créé une grande évolution dans ce domaine. Selon les préceptes de l'Islam, l'acquisition de la science est devenue une prescription divine pour chaque musulman et musulmane. L'encre des écrivains et des savants vaut davantage que le sang des martyrs.
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L'infinité conceptuelle du Coran
Le coran, la source d'évolution de l'histoire humaine la plus prodigieuse et la plus majestueuse, jouissant de son authenticité éternelle, brille encore au sommet des siècles; d'où se révèle la vivacité de ses preuves et la fermeté de sa raison enthymème. Il a déjà démontré la richesse de son contenu et sa perspicacité législatrice pour venir à bout de l'indigence de l'être humain et pour satisfaire tous ses besoins principaux et ses désirs naturels.

L'Islam esquisse son programme intégralement sur la base de la nature primordiale humaine. Il analyse objectivement l'homme tel qu'il est pour qu'il assume son rôle prépondérant dans tous les aspects de la vie. Ceci est considéré comme une cause parmi celles qui assurent l'internalisation de l'Islam.

En considération du processus de l'évolution scientifique dans le monde à la suite duquel se sont opérées les transmutations radicales sur cette voie non rétrograde, on pourrait alors appréhender les traits caractéristiques du credo islamique et ce qui différencie ceux-ci d'autres phénomènes intellectuels mondiaux.

Si les principes et les règlements de l'Islam étaient au même niveau que ceux d'autres doctrines, ils auraient perdu leur valeur avec le progrès scientifique. Mais on constate précisément que c'est le contraire qui s'est produit pour le Coran. En effet, l'Islam a acquis aujourd'hui une position forte et un poids considérable dans les milieux scientifiques et juridiques. Il élargit continuellement et profondément sa portée.

En comparaison avec tous les livres et les oeuvres qui introduisent en général les idées restreintes dans un cadre d'expression limitée, l'autre spécificité du Coran se manifeste : c'est l'infinité des idées traduites par les signifiants restreints. Celle-ci provient du fait que le Coran a pris son origine dans l'Omniscience divine.
Métaphoriquement il peut être assimilé comme l'archétype du microcosme; plus le temps et la science s'avancent, plus ses trésors cachés se dévoilent. C'est ainsi que les nouvelles conceptions et les idées profondes coraniques apparaissent continuellement.

Bien que Dieu ait exposé son livre d'une façon compréhensible comme un moyen de contemplation du genre humaine, désormais, à mesure que les visions s'approfondissent, que la capacité scientifique s'élargit, que les études ontologiques se perfectionnent, que les recherches psychologiques et spirituelles se développent et que le systèmes juridico sociaux ainsi que leurs interrelations s'éclaircissent, les secrets des versets coraniques et la portée de la révélation divine projettent leurs bravons lumineux au coeur de l'homme comme une épiphanie.

Néanmoins un accès immédiat à ces hauts niveaux de la connaissance coranique serait hors de la portée de l'intelligence des penseurs quelles que soient leurs spécialités.

L'Imam Ali (que la paix soit sur lui) dit : "Le Coran est une torche étincelante dont la lumière ne s'éteint jamais, et un océan dont la pensée humaine n'atteint point la profondeur».
Depuis l'avènement de l'Islam jusqu'à nos jours, beaucoup de personnalités scientifiques et spirituelles dignes d'estime se sont efforcées de saisir les diverses conceptions coraniques. De plus, à chaque époque des milliers de spécialistes, en fonction de leurs prédispositions, ont accompli une tâche semblable ouvrant ainsi les voies qui mènent aux horizons du savoir islamique.
Même dans les milieux non musulmans, certains savants ont mené à bien des recherches minutieuses dont les résultats ont contribué au développement et à l'extension de la culture islamique.

Une autre prérogative de l'héritage intellectuel coranique qui mérite d'ailleurs d'être mentionnée, réside dans son intégralité sans pareil du point de vue de la législation. C'est surtout en comparaison avec d'autres systèmes législatifs dans le monde civilisé et avancé que l'on découvre cet aspect majestueux du Coran. A cet égard, l'objectif ultime du Coran est la purification des hommes en vue de les rendre aptes à l'ascension, alors que cette dimension est totalement oubliée dans d'autres systèmes législatifs.

Au fond, la législation, même à l'heure actuelle et sous sa forme la plus progressive, ne se caractérise que dans une atmosphère de subjectivité, parfois imaginaire, ayant recours aux experts qui prétendent répondre convenablement à tous les besoins matériels et spirituels des hommes. Mais du fait qu'ils s'emprisonnent dans laçage de leur subjectivité et qu'il ignorent les réalités fondamentales en subordonnant les lois à leurs motivations personnelles et en négligeant le rôle de la nature humaine, le résulta de leurs efforts, quoiqu'il présente une apparence saine, manifeste ses conséquences défavorables et ses mauvaises impression, ce qui les contraint à les modifier et à les réviser fréquemment.

Par ailleurs, personne ne peut prétendre que ses études scientifiques et ses innovations techniques jouissent d'une suprématie quelconque à tout e époque, car la nécessité de l'évolution exige que toute discipline de la connaissance se réoriente, suivant la course temporelle, en renouvelant la méthode de recherche, afin de favoriser progressivement l'essor scientifique. De même, à mesure qu'un savant atteint un degré supérieur de maturité intellectuelle et qu'il élargit l'étendue de son savoir, il réexamine ses travaux, en vue de les corriger et de les mettre à jour. En outre, n'importe quelle oeuvre, quelque soit sa valeur et sa subtilité, ne traite qu'un certain nombre de sujets limités du savoir humain, de sorte qu'à la rigueur, un groupe de spécialistes sera capable de l'analyser à fond et d'éclairer tous ses points obscurs. Mais du fait que le Coran a pris la .source au foyer de la Révélation et donc de l'Omniscience divine, son aptitude à la recherche, à l'intuition et à la déduction restera infinie. Considérons cette réalité que l'ensemble de la sagesse et des savoirs humains n&#8217;est qu'une goutte minime de cette sagesse éternelle et infinie et une flammèche terne de la lumière éblouissante de l'Omniscience qui englobe tous les horizons de l'Existence. Ce fait ne se limite pas seulement aux questions du Droit et des lois canoniques. Les chercheurs peuvent y découvrir la nouvelle dimension, au sujet de toute branche de la connaissance humaine. Même les sociologues, les psychologues et les historiens conçoivent aujourd'hui dans le Coran, les nouveautés merveilleuses. Cela dénote les valeurs poly dimensionnelles du Coran dont l'image ne tient pas à la portée d'une culture quelle que soit son étendue. Le Coran, ce livre de portée universelle était durant quelques siècles, l'objet des réflexions. Malgré les études minutieuses sur ses principes généraux et ses critères partiels, il reste encore beaucoup de recherches à mener.

Il va sans dire que le fruit des réflexions et des études effectuées dépend du degré d'intelligence de la compétence de la manière de l'auteur d'aborder le sujet. Par conséquent, il ne faut pas limiter les aspects du Coran à des déductions personnelles. A la lumière d'une étude détaillée et attentive concernant les sujets ontologiques, eschatologiques, éthiques, les lois canoniques et les récits historiques dont le but dépasse celui d'une simple récitation des évènements anciens, on serait capable en pénétrant au fond de l'enseignement coranique d'en obtenir la connaissance et d'en saisir la réalité' qui nous conduit à dévoiler la richesse merveilleuse et le dynamisme sans pareil du saint Coran.

Pour apprécier l'étendue culturelle et scientifique du Coran, ainsi que sa richesse spirituelle nous suffirait il de jeter un coup d'oeil sur les nombreuses oeuvres consacrées à l'exégèse coranique :

Les exégèses intégrales du Coran ou bien les exégèses partielles et thématiques qui visent à interpréter d'un point de la vue différent les sourates et les versets déterminés. En bref, le nombre de ces exégèses dépasse les dix mille.

On se demande encore, s'il serait possible qu'un livre traitant de manière si exhaustive l'ensemble de la connaissance soit créé du monde arriéré, c'est-à-dire la péninsule arabe.

Et dans le monde actuel, un homme est-il capable de planifier le fondement structurel d'une société humaine, comme l'a déjà constitué la législation islamique. Et ceci, sans se borner à une perspective subjective, mais au contraire en visant à valoriser l'homme en tant qu'un élément constitutif de la société, un homme transcendantal qui cristallise en lui-même l'incarnation d'une communauté purifiée. Lorsqu'on parle des miracles coraniques, on n'a pas affaire à l'illusion, ni à l'imagination légendaire, ni à la supposition fabuleuse.
Là, on ne traite que les données scientifiques et logiques. Là, encore on vérifie les réalités qui se lient à L'Omnipuissance divine.
 
Peut-on attribuer toutes ces caractéristiques exclusives du Coran à un phénomène quelconque fortuit et naturel, ou bien, à juste titre, les rapporter à une Cause suprême, à un Créateur transcendant qui est l'Etre infini?
Le dire de Barthélemy Hilaire, l'orientaliste Français à propos de l'universalité du Coran, est à son tour, assez significatif : "Nous constatons la beauté et l'éloquence du Coran à travers sa traduction comme nous les observons dans les psaumes de David et les hymnes de Véda. Mais les psaumes de David et les hymnes de Véda pour les juifs et Hindous manquent de droit civil, ce qui n'est pas le cas du Coran, Celui-ci contient, à la fois, l'hymne religieuse, la louange divine, le droit civil, les prières, les sermons directifs, le dialogue et le recueil d'Histoire».

En 1951, la faculté de droit de Paris organisa une semaine consacrée à l'étude de la jurisprudence islamique durant laquelle fut examiné le point de vue de cette jurisprudence dans différents sujets. Cette semaine s'acheva sur cette déclaration :
"Il n'y a pas de doute que la jurisprudence islamique puisse être une source de statuts dans le monde. Dans les oeuvres des différents rites se trouvent plusieurs trésors de lois attractives. Ainsi la jurisprudence islamique peut satisfaire tous les besoins de la vie moderne".

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En 1951, la faculté de droit de Paris organisa une semaine consacrée à l'étude de la jurisprudence islamique durant laquelle fut examiné le point de vue de cette jurisprudence dans différents sujets. Cette semaine s'acheva sur cette déclaration :
"Il n'y a pas de doute que la jurisprudence islamique puisse être une source de statuts dans le monde. Dans les oeuvres des différents rites se trouvent plusieurs trésors de lois attractives. Ainsi la jurisprudence islamique peut satisfaire tous les besoins de la vie moderne".

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Enfin c'etait en 1951 y a eu la revolution sexuelle depuis...
lol bonjour l'exemple, la vie moderne... l'apres guerre... y a deja un demi siecle...

bref comme toujours de la propagande
 
Dresseur tu as fini ta propagande à 2 balles ou tu compte copié collé tout le site aimerjesus comme le bon perroquet que tu es ?

ahhhhhhhh pourquoi tu ne le demande pas à rabnasser
quelle hypocrisie


autre chose à signaler:

Exode 21,23-25 « Mais si malheur arrive, tu paieras vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied, brûlure pour brûlure, blessure pour blessure, meurtrissure pour meurtrissure.»
Lévitique, 24,17-22 : « Si un homme frappe à mort un être humain, quel qu'il soit, il sera mis à mort. S'il frappe à mort un animal, il le remplacera - vie pour vie. Si un homme provoque une infirmité chez un compatriote, on lui fera ce qu'il a fait : fracture pour fracture, œil pour œil, dent pour dent; on provoquera chez lui la même infirmité qu'il a provoqué chez l'autre. Qui frappe un animal doit rembourser; qui frappe un homme est mis à mort. Vous aurez une seule législation : la même pour l'émigré et pour l'indigène.»
Deutéronome, 19,21 : « Ton œil sera sans pitié : vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied. » (Trad. Crampon)
Cette règle indique la nécessité d'une équivalence compensatrice dans le châtiment. Le Talmud fait valoir l'idée que les versets Exode 21,23-25; Lévitique, 24,17-22 et Deutéronome, 19,21 précités ne sauraient être pris à la lettre étant donné qu'il est impossible de déterminer si, par exemple, les conséquences de la perte d'un oeil par une personne équivaudront aux conséquences de la perte d'un oeil pour une autre. La personne responsable de la blessure doit des dommages pour la douleur, pour le préjudice effectivement subi, pour les frais médicaux, la perte de revenu, et tout autre préjudice consécutif à son acte. Le judaïsme rabbinique ne retiendra ainsi de la loi du talion que l'idée de juste compensation financière -sauf pour les crimes de sang ou capitaux ne pouvant être rachetés. Mais contrairement aux codes légaux en vigueur à cette époque au Proche-Orient, dont le Code d'Hammourabi, la Torah indique clairement que (Deutéronome,24,16) "les pères ne seront pas mis à mort pour les fils et les fils ne seront pas mis à mort pour les pères: chacun sera mis à mort pour son propre péché". Divers passages de la Torah prônent par ailleurs une morale de dépassement, quand la réconciliation est possible : « Tu ne te vengeras pas, ni ne garderas rancune, mais tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis l'Eternel. » (Lévitique 19,18). "Ne dis pas : Comme il m’a traité, je le traiterai, je rends à chacun selon ses œuvres" (Proverbes 24,29).


le coran a allégé cette loi:
Sourate II, verset 178 : « Ô les croyants! On vous a prescrit le talion au sujet des tués : homme libre pour homme libre, esclave pour esclave, femme pour femme. Mais celui à qui son frère aura pardonné en quelque façon doit faire face à une requête convenable et doit payer des dommages de bonne grâce. Ceci est un allègement de la part de votre Seigneur et une miséricorde. Donc, quiconque après cela transgresse, aura un châtiment douloureux ».
 
ahhhhhhhhhhhhhhh ok dans la théorie pour contredir quelqu'un on donne des contre exemple.
on peut aussi créer un nouveau topic: les horreurs de l'ancien et nouveau testement ou tout simplement les horreurs de la bible.
 
n'entraine pas ta religion dans ta déchéance haineuse.

prend tes gardes alors et n'essayes surtout pas d'évangéliser le maroc: c'est trop tard nous sommes majeure et vacciné :D

n'oublies pas de lire l'article 220 du code penal de la constitution du Maroc.

et rappelles toi du 4 ieme empire qui vivera éternellement: un empire duuuuuuuuuuuuuuuur qui brisera le fer:

http://le-carrefour-de-lislam.com/Nomen/Yichmael.htm


Dans le chapitre 5 du Cantique des Cantiques, une femme fait la description de l'homme qu'elle aime, à la fin du chapitre, on peut lire le nom Muhammad.
Quoi de plus clair pour une prophétie

&#1495;&#1460;&#1499;&#1468;&#1493;&#1465;, &#1502;&#1463;&#1502;&#1456;&#1514;&#1463;&#1511;&#1468;&#1460;&#1497;&#1501;, &#1493;&#1456;&#1499;&#1467;&#1500;&#1468;&#1493;&#1465;, &#1502;&#1463;&#1495;&#1458;&#1502;&#1463;&#1491;&#1468;&#1460;&#1497;&#1501;; &#1494;&#1462;&#1492; &#1491;&#1493;&#1465;&#1491;&#1460;&#1497; &#1493;&#1456;&#1494;&#1462;&#1492; &#1512;&#1461;&#1506;&#1460;&#1497;, &#1489;&#1468;&#1456;&#1504;&#1493;&#1465;&#1514; &#1497;&#1456;&#1512;&#1493;&#1468;&#1513;&#1473;&#1464;&#1500;&#1464;&#1460;
Hiko mamtakim vé khulo Mahamad im , zé dodi vé zé réi , bnot yarushalaim .
 
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Dans le chapitre 5 du Cantique des Cantiques, une femme fait la description de l'homme qu'elle aime, à la fin du chapitre, on peut lire le nom Muhammad.
Quoi de plus clair pour une prophétie

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Hiko mamtakim vé khulo Mahamad im , zé dodi vé zé réi , bnot yarushalaim .

Vous ne savez plus où chercher pour justifier la moindre trace de Mahomet dans les écrits antérieurs :)

Le Cantiques des Cantiques étant en plus très Haram... et sensuel... on se demande que viendrait faire un prophète islamisant dedans.

Mais le plus amusant c'est encore autre chose ! Moi j'écris toujours MAhomet et l'on m'a rabattu maintes fois que "MA" était une négation et voulait dire le "NON AIME" pour justifier qu'il fallait dire MOUHAMED ou MOHAMMAD au lieu de MAHOMET.

Et voici que quelqu'un sont de son chapeau MAHAMAD ou là le "MA" ne voudrait pas dire le "NON AIME" :)

Pouvez vous vous mettre d'accord de temps en temps ?
 
Nébuleuse;2983699 a dit:
tu dis des mots dans l'air, il faut que tu lises sur Pétra, Sodome et Ghomorre, la civilisation sumérien et babylonien, civilisation d'Abraham où ils adoraient Sin dieu soleil...il faut que tu lises Maurice Bucaille, l'histoire dans le Coran qui concorde avec les trouvailles hiéroglyphes dans la civilisation de l'ancienne Egypte...

Salam:)

Quand j'étais adolescent l'archéologie était ma passion. Alors ne t'inquiète pas j'ai lu assez de livre sur les sujets que tu mentionnes.
Sodome, Gomorre et Abraham ne sont pas attestés par l'histoire et par l'archéologie.

Quant à Bucaille je possède son livre depuis le début des années 80.
Tu sembles appuyer la véracité historique du Coran sur un seul argument que Bucaille prétend avoir trouvé sur la signification d'un nom égyptien.
Si c'est tout ce que tu as pour étayer la prétendue véracité historique du Coran ?
 
surement pas si il les confirmez vous ne seriez pas obligé de crier partout a la falcification pour convrir toutes les différences qui existent entre les livres.

oui le CORAN confirme les livres qu'il l'a précédé mais ne confirme pas certains passges de ses livres qui pur mensonges immagination humaine .

ex : Jésus fils de DIEU voir UN DIEU .
totalement faux archi faux.
 
Mais le plus amusant c'est encore autre chose ! Moi j'écris toujours MAhomet et l'on m'a rabattu maintes fois que "MA" était une négation et voulait dire le "NON AIME" pour justifier qu'il fallait dire MOUHAMED ou MOHAMMAD au lieu de MAHOMET.

Et voici que quelqu'un sont de son chapeau MAHAMAD ou là le "MA" ne voudrait pas dire le "NON AIME" :)

Pouvez vous vous mettre d'accord de temps en temps ?

Bien sûr puisque Mahomet, signife en bon français :

ma = adverbe négatif

hmed = verbe louer, = il loue

MAHOMET = CELUI QUI NE LOUE PAS DIEU;

Alors que Mouhamad est le participe passé du même verbe et signifie donc = CELUI QUI EST LOUE.


Selon mes connaissances, bien sûr . Si je me suis trompé qu'on me le dise !
 
Bien sûr puisque Mahomet, signife en bon français :

ma = adverbe négatif

hmed = verbe louer, = il loue

MAHOMET = CELUI QUI NE LOUE PAS DIEU;

Alors que Mouhamad est le participe passé du même verbe et signifie donc = CELUI QUI EST LOUE.


Selon mes connaissances, bien sûr . Si je me suis trompé qu'on me le dise !


En français "Mahomet" est la negation du nom "Mohamed", ce dernier voulant dire « Celui qui est digne de louanges ».
 
dsl, mais je pense que mon explication est meilleure que la tienne, car Mouhammad est un participe passé, ce que n'est pas "hmed".

Voici ce que dit la wikipedia.

"Le nom complet de Mahomet est Abu-l-Qâsim Mouhammed Ibn `Abd Allâh Ibn `Abd Al-Mouttalib Ibn Hâshim (&#1571;&#1576;&#1608; &#1575;&#1604;&#1602;&#1575;&#1587;&#1605; &#1605;&#1581;&#1605;&#1583; &#1575;&#1576;&#1606; &#1593;&#1576;&#1583; &#1575;&#1604;&#1604;&#1607; &#1575;&#1576;&#1606; &#1593;&#1576;&#1583; &#1575;&#1604;&#1605;&#1591;&#1604;&#1576; &#1575;&#1576;&#1606; &#1607;&#1575;&#1588;&#1605;). Le nom proprement dit y est précédé par la kunyah marquant la paternité (père de Al-Qâsim) et suivi par le nasab c'est-à-dire la généalogie (fils de `Abd Allâh, le fils de `Abd Al-Muttalib, le fils de Hâshim). De nombreux autres noms lui ont été attribués, soit de son vivant, soit par la tradition islamique. On en compte 201, dont Al-Mustafâ et Al-Mukhtâr qui signifient « l'élu », Al-Amine qui signifie « le loyal », Ahmad et Mahmoud qui sont dérivés de la même racine que Mohammed.

La version arabe Mouhammed s'écrit avec les 4 consonnes mîm, hâ' , mîm et dâl, qui signifie en arabe « Celui qui est digne de louanges ». Le terme français Mahomet est une déformation du turc Mehmet. Mouhammed devient Muhammet ou Mehmet en Turquie, Mohand en langue berbère, et Mamadou dans certains pays d'Afrique noire par déformation de la forme déclinée au nominatif Mouhammadou.

La variante francisée Mahomet est proche des versions des langues romanes apparentées : Mahoma en espagnol, Maomé en portugais, Maometto en italien, Mahomed en roumain.. Elle est cependant rejetée par une partie des musulmans francophones. Un débat récent qui a fait l'objet d'une pétition[1] expédiée à l'Académie française estimait : « Mohammed signifie en arabe, “le Béni”. Et ce sens est parfaitement apparent dans le terme lui-même alors que Mahomet proviendrait au dire de ces pétitionnaires de l'expression Mâ houmid qui en est la négation. »

Dans le Coran et les hadiths, Mahomet est habituellement appelé le messager de Dieu (rasoul) (&#1575;&#1604;&#1585;&#1614;&#1617;&#1587;&#1615;&#1608;&#1604;, ar-ras&#363;l, « le messager », « l'envoyé »), plus de 200 fois dans le Coran. Il est également désigné par l'expression prophète (nabi) (&#1575;&#1604;&#1606;&#1614;&#1617;&#1576;&#1616;&#1610;&#1617;, an-nab&#299;y, « le prophète »). Ces deux appellations renvoient à une distinction faite en islam entre deux catégories de personnes investies d'une mission apostolique ; les messagers de Dieu, appelés aussi envoyés de Dieu, sont d'après la terminologie islamique les personnages ayant reçu la révélation de lois abrogeant les lois des messagers qui les auront précédés, avec l'ordre de le transmettre aux hommes, tandis que les prophètes reçoivent une révélation par les mêmes voies ainsi que l'ordre de transmettre un message aux hommes mais ce message ne leur est pas propre, il est celui du messager qui les aura précédés. Selon cette classification, tout messager est un prophète mais ce n'est pas tout prophète qui est messager. Les uns comme les autres reçoivent la révélation mais seuls les messagers reçoivent un livre ou une loi nouvelle. Selon la tradition musulmane il y aurait 124 000 prophètes et 313 messagers, le premier d'entre eux étant Adam, le premier des humains, et le dernier, Mahomet, l'un comme l'autre étant des prophètes messagers.""
 
Dans le chapitre 5 du Cantique des Cantiques, une femme fait la description de l'homme qu'elle aime, à la fin du chapitre, on peut lire le nom Muhammad.
Quoi de plus clair pour une prophétie

&#1495;&#1460;&#1499;&#1468;&#1493;&#1465;, &#1502;&#1463;&#1502;&#1456;&#1514;&#1463;&#1511;&#1468;&#1460;&#1497;&#1501;, &#1493;&#1456;&#1499;&#1467;&#1500;&#1468;&#1493;&#1465;, &#1502;&#1463;&#1495;&#1458;&#1502;&#1463;&#1491;&#1468;&#1460;&#1497;&#1501;; &#1494;&#1462;&#1492; &#1491;&#1493;&#1465;&#1491;&#1460;&#1497; &#1493;&#1456;&#1494;&#1462;&#1492; &#1512;&#1461;&#1506;&#1460;&#1497;, &#1489;&#1468;&#1456;&#1504;&#1493;&#1465;&#1514; &#1497;&#1456;&#1512;&#1493;&#1468;&#1513;&#1473;&#1464;&#1500;&#1464;&#1460;
Hiko mamtakim vé khulo Mahamad im , zé dodi vé zé réi , bnot yarushalaim .

Si tu connaissais la vraie signification du mot tu n'utiliserais pas cet argument.

Je sais lire l'hébreu alors voici ce qui est écrit:

Hik-o (sa bouche) mamtaqqim (très douce) ve-khull-o (et tout de/en lui) maH(a)maddim (très désirable), zeh (c'est) dod-i (mon chéri) ve-zeh (et c'est) re3-i (mon compagnon), bnot (filles) yerushalaym (de Jérusalem)

Le mot maHmaddim (=maHmad au pluriel intensif) se réfère au désir de la femme pour un homme.
 
En français "Mahomet" est la negation du nom "Mohamed", ce dernier voulant dire « Celui qui est digne de louanges ».

La signification "négative" de Mahomet est une invention de milieux intégristes anti-français.

La vérité est que Mahomet est juste la façon traditionnelle dont on prononce Mohammed depuis des siècles en France.

Comment des gens de l'ancien temps qui ne savaient pas prononcer correctement l'arabe pouvaient-ils connaitre les subtilités de la grammaire arabe?

Même toi d'ailleurs tu écorches le nom du Prophète. La transcription correcte n'est pas Mohamed mais Mohammed. Il y a une chadda sur le "m" en arabe.
 
La signification "négative" de Mahomet est une invention de milieux intégristes anti-français.

La vérité est que Mahomet est juste la façon traditionnelle dont on prononce Mohammed depuis des siècles en France.

Comment des gens de l'ancien temps qui ne savaient pas prononcer correctement l'arabe pouvaient-ils connaitre les subtilités de la grammaire arabe?

Même toi d'ailleurs tu écorches le nom du Prophète. La transcription correcte n'est pas Mohamed mais Mohammed. Il y a une chadda sur le "m" en arabe.

Si tu lis l' article de wikipedia tu verras qu' il y a plusieurs façons d' ecrire Mohammed en français.
 
prend tes gardes alors et n'essayes surtout pas d'évangéliser le maroc: c'est trop tard nous sommes majeure et vacciné :D

n'oublies pas de lire l'article 220 du code penal de la constitution du Maroc.

et rappelles toi du 4 ieme empire qui vivera éternellement: un empire duuuuuuuuuuuuuuuur qui brisera le fer:

http://le-carrefour-de-lislam.com/Nomen/Yichmael.htm


Dans le chapitre 5 du Cantique des Cantiques, une femme fait la description de l'homme qu'elle aime, à la fin du chapitre, on peut lire le nom Muhammad.
Quoi de plus clair pour une prophétie

&#1495;&#1460;&#1499;&#1468;&#1493;&#1465;, &#1502;&#1463;&#1502;&#1456;&#1514;&#1463;&#1511;&#1468;&#1460;&#1497;&#1501;, &#1493;&#1456;&#1499;&#1467;&#1500;&#1468;&#1493;&#1465;, &#1502;&#1463;&#1495;&#1458;&#1502;&#1463;&#1491;&#1468;&#1460;&#1497;&#1501;; &#1494;&#1462;&#1492; &#1491;&#1493;&#1465;&#1491;&#1460;&#1497; &#1493;&#1456;&#1494;&#1462;&#1492; &#1512;&#1461;&#1506;&#1460;&#1497;, &#1489;&#1468;&#1456;&#1504;&#1493;&#1465;&#1514; &#1497;&#1456;&#1512;&#1493;&#1468;&#1513;&#1473;&#1464;&#1500;&#1464;&#1460;
Hiko mamtakim vé khulo Mahamad im , zé dodi vé zé réi , bnot yarushalaim .

a ouais... tout de suite ça change tout...

arrete tu es trop fort... houla... au moins...
 
Bien sûr puisque Mahomet, signife en bon français :

ma = adverbe négatif

hmed = verbe louer, = il loue

MAHOMET = CELUI QUI NE LOUE PAS DIEU;

Alors que Mouhamad est le participe passé du même verbe et signifie donc = CELUI QUI EST LOUE.


Selon mes connaissances, bien sûr . Si je me suis trompé qu'on me le dise !

Alors le MA adverbe négatif de " Mahamad im " détruit sans aller plus loin la pseudo présence du mot MOUHAMMAD dans le Cantique. Et c'est juste là ou je voulais en venir.

Merci
 
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