Jiimmy
Vergissmeinnicht
Salam Aleykoum
L'école a toujours été le premier instrument de formation (formatage) idéologique de l'état. On voit bien désormais la stratégie du pouvoir en France qui s'empresse de préparer, dès le plus jeune age, les jeunes à intégrer les grilles de lecture qui auront été choisies, parmi les plus hautes sphères de l'état, pour légitimer leur propre pouvoir en place.
L'apprentissage de la pensée critique, de la remise en question n'est qu'une illusion. Au final le but est de formater les esprits à une pensée unique en tentant de faire croire que l'unique aboutissement d'une démarche réflexive et rationnelle est cette pensée.
Le gouvernement entend tout miser sur l'apprentissage dès le plus jeune age afin d'éduquer les enfants à la morale civique afin d'être digne du statut de citoyen qu'elle confère. Il s'agit là d'un dévoiement du rôle originel de l'école qui ne devrait être rien d'autre que l'accumulation de connaissances. Non pas le rôle de l'éducation qui incombe bien aux parents mais uniquement celui de l'accumulation de connaissances.
L'école ayant complètement échoué dans son rôle initial avec désormais des jeunes sortant du système scolaire après tant d'années pour n'avoir, au final, n'appris qu'à, à peine, lire et écrire. Désormais l'on mise, comme jamais, sur l'éducation afin de convertir les esprits en inculquant insidieusement des schèmes de perception de sorte à calquer tout le monde sur le même modèle.
Au final, la différence avec une dictature, c'est que la dictature ne s'embarrasse pas de mettre des fleurs sur les chaines avec lesquelles elle enferme ses "citoyens". Elle ne tente pas de les convaincre qu'en fait ils seraient libres. Elle les enferme et assume sa poigne de fer, sa censure, son combat face aux réfractaires aux idéaux qu'elle entend mettre en place.
L'on peut faire un parallèle avec la plume et l'épée. L'épée se dresse, de façon visible, face à nous. L'on peut voir d'où vient le coup et le parer en anticipant en conséquence. Combattre l'épée est plus aisé que combattre la plume qui est plus insidieuse, plus efficace, plus pernicieuse car s'attaquant aux consciences. Créant des contraintes pour l'esprit et non pas uniquement que pour le corps.
De sorte à ce que dans une dictature l'homme vit contraint et forcé sa soumission et la moindre possibilité de s'extirper de son statut est, pour lui, une occasion pour forcer son destin. Dans notre "démocratie", l'homme asservi aime son statut, il y prend du plaisir en le percevant, à tort, comme une libération et marche réjouit en troupeaux sans même que ne soit nécessaire l'utilisation de la force physique pour l'y contraindre.
L'homme qui vit sous une dictature est un homme soumis qui vit avec l'espoir de recouvrer la liberté. l homme qui vit dans notre "démocratie" est un homme converti, préparé dès le plus jeune âge à aimer sa soumission et à la rechercher avec joie.
L'école a toujours été le premier instrument de formation (formatage) idéologique de l'état. On voit bien désormais la stratégie du pouvoir en France qui s'empresse de préparer, dès le plus jeune age, les jeunes à intégrer les grilles de lecture qui auront été choisies, parmi les plus hautes sphères de l'état, pour légitimer leur propre pouvoir en place.
L'apprentissage de la pensée critique, de la remise en question n'est qu'une illusion. Au final le but est de formater les esprits à une pensée unique en tentant de faire croire que l'unique aboutissement d'une démarche réflexive et rationnelle est cette pensée.
Le gouvernement entend tout miser sur l'apprentissage dès le plus jeune age afin d'éduquer les enfants à la morale civique afin d'être digne du statut de citoyen qu'elle confère. Il s'agit là d'un dévoiement du rôle originel de l'école qui ne devrait être rien d'autre que l'accumulation de connaissances. Non pas le rôle de l'éducation qui incombe bien aux parents mais uniquement celui de l'accumulation de connaissances.
L'école ayant complètement échoué dans son rôle initial avec désormais des jeunes sortant du système scolaire après tant d'années pour n'avoir, au final, n'appris qu'à, à peine, lire et écrire. Désormais l'on mise, comme jamais, sur l'éducation afin de convertir les esprits en inculquant insidieusement des schèmes de perception de sorte à calquer tout le monde sur le même modèle.
Au final, la différence avec une dictature, c'est que la dictature ne s'embarrasse pas de mettre des fleurs sur les chaines avec lesquelles elle enferme ses "citoyens". Elle ne tente pas de les convaincre qu'en fait ils seraient libres. Elle les enferme et assume sa poigne de fer, sa censure, son combat face aux réfractaires aux idéaux qu'elle entend mettre en place.
L'on peut faire un parallèle avec la plume et l'épée. L'épée se dresse, de façon visible, face à nous. L'on peut voir d'où vient le coup et le parer en anticipant en conséquence. Combattre l'épée est plus aisé que combattre la plume qui est plus insidieuse, plus efficace, plus pernicieuse car s'attaquant aux consciences. Créant des contraintes pour l'esprit et non pas uniquement que pour le corps.
De sorte à ce que dans une dictature l'homme vit contraint et forcé sa soumission et la moindre possibilité de s'extirper de son statut est, pour lui, une occasion pour forcer son destin. Dans notre "démocratie", l'homme asservi aime son statut, il y prend du plaisir en le percevant, à tort, comme une libération et marche réjouit en troupeaux sans même que ne soit nécessaire l'utilisation de la force physique pour l'y contraindre.
L'homme qui vit sous une dictature est un homme soumis qui vit avec l'espoir de recouvrer la liberté. l homme qui vit dans notre "démocratie" est un homme converti, préparé dès le plus jeune âge à aimer sa soumission et à la rechercher avec joie.