Depuis 1400 ans les ennemis de la Vérité, ceux qui veulent notre fin ont inventé des millions de calomnies et de mensonges contre nous, des complots innombrables, des stratégies de fou, une volonté satanistes de nous éliminer! Mais leurs plans ont toujours ete réduit à néant.
Malgré une 10zaines de croisades, le colonialisme, le sionisme, les divers agressions militaires, les massacres de masse, la diffusion du modernisme ect...rien n'a marché!
Aux EAU, le point d'équilibre budgétaire est garanti, selon l'Institut international de la finance, avec un baril de pétrole à 85 dollars.
Il en va de même en Arabie saoudite, où il pourrait grimper jusqu'à 115 dollars d'ici à 2015 si les dépenses publiques continuent d'augmenter au rythme prévisible de 4 % par an. Dans un tel scénario, le royaume aura épuisé ses réserves de capital placées à l'étranger avant la fin de la décennie.
Au Qatar et au Koweït, l'équilibre budgétaire est encore raisonnablement garanti par un baril de pétrole à 50 dollars, mais ce niveau a doublé depuis 2003. Les situations varient donc d'un pays à l'autre, mais les trajectoires engagées sont similaires.
Ce constat de crise latente des pays du CCG est habituellement minimisé au motif que les régimes ont lancé d'ambitieux programmes de modernisation économique. Or, s'il est vrai que depuis 2008 les monarchies ont fait preuve de réformisme, les politiques mises en place sont toutes de nature à consolider les structures rentières existantes.
La production agricole et manufacturière reste atone, représentant, comme en 2000, 11 % du PIB régional. Le Golfe continue d'importer quasiment tous types de biens : des pistaches aux Hummer, en passant par les climatiseurs et les panneaux solaires. De même, à l'exception de Bahreïn, les Etats du CCG sont importateurs nets de services.Si l'immobilier, la construction, le tourisme, la logistique, la finance voire l'industrie pétrochimique ont le vent en poupe, leur dynamisme n'est qu'apparent. Les économies du Golfe sont en effet sous perfusion des réinvestissements de la manne financière qui s'élevaient, en 2011, à 2 400 milliards de dollars, soit deux fois le PIB régional.