invité sur le plateau de la radio tunisienne Mosaïque FM, le ministre tunisien des affaires étrangères Rafik Abdessalam a déclaré que son gouvernement est compréhensif vis-à-vis de la compagne guerrière que mène la France au Mali.
Deux jours auparavant, le même Rafik Abdessalam avait, en marge dun forum économique tuniso-européen tenu à Tunis, dit le refus catégorique de son pays de toute intervention étrangère au Mali, refusant par la même lopération serval, conduite au Mali par la France.
Les nouvelles positions exprimées par le ministre tunisien, intervient, rapporte le journal londonien Al Quds Al Arabi, après une entrevue qua eu le ministre Abdessalam avec lambassadeur de France en Tunisie, au sortie de laquelle, le gouvernement islamiste dEnnahda avait complètement tourné sa boussole.
«Nous comprenons parfaitement le besoin pour cette opération militaire, chirurgicale et extraordinaire, intervenant sur demande du gouvernement malien, pour sécuriser ce pays des groupes terroristes et des mouvements séparatistes, qui ne le menacent pas seulement, mais étendent leurs risques à tout les pays de la région» a argumenté sa nouvelle croyance, le ministre tunisien, au micro de la radio linvitant.
Il conclut que la Tunisie voit dangereuse, la collision entres terroristes religieux et séparatistes ethniques dans la région, nécessitant pour en venir à bout, une guerre française.
http://www.emarrakech.info/Le-gouve...if-de-l-attaque-francaise-au-Mali_a66281.html
Deux jours auparavant, le même Rafik Abdessalam avait, en marge dun forum économique tuniso-européen tenu à Tunis, dit le refus catégorique de son pays de toute intervention étrangère au Mali, refusant par la même lopération serval, conduite au Mali par la France.
Les nouvelles positions exprimées par le ministre tunisien, intervient, rapporte le journal londonien Al Quds Al Arabi, après une entrevue qua eu le ministre Abdessalam avec lambassadeur de France en Tunisie, au sortie de laquelle, le gouvernement islamiste dEnnahda avait complètement tourné sa boussole.
«Nous comprenons parfaitement le besoin pour cette opération militaire, chirurgicale et extraordinaire, intervenant sur demande du gouvernement malien, pour sécuriser ce pays des groupes terroristes et des mouvements séparatistes, qui ne le menacent pas seulement, mais étendent leurs risques à tout les pays de la région» a argumenté sa nouvelle croyance, le ministre tunisien, au micro de la radio linvitant.
Il conclut que la Tunisie voit dangereuse, la collision entres terroristes religieux et séparatistes ethniques dans la région, nécessitant pour en venir à bout, une guerre française.
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