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Après tout, une UE sans la Roumanie, ça ne serait pas non plus un gros déchirement...2ème tour de l’élection présidentielle roumaine du 18 mai
Georges Simion qui a remplacé Calin Georgescu, interdit d’élection par une subtile mais peu discrète ingérence de l’UE qui a dicté sa conduite à la Cour constitutionnelle roumaine européiste et corrompue, a écrasé le premier tour en remportant 41% des suffrage (40,96 exactement), soit 3,863 millions de voix. Son challenger pour le second tour Nicusor Dan n’a recueilli que 1,980 millions de voix et aura beaucoup à faire pour refaire son retard. 53% des Roumains seulement se sont exprimés, soit 9,430 millions de suffrages sur 18 millions d’électeurs inscrits. La diaspora roumaine qui connaît bien l’UE dans laquelle elle vit et travaille a voté Simion à plus de 60%. Cherchez l’erreur…
La partie est pourtant loin d’être gagnée pour Simion, même si le seul sondage disponible du 6 mai le donne largement en tête. Mais on a vu au premier tour, que les sondages roumains ne valaient rien.
La meute médiatique européiste roumaine, assommée par le résultat du 1er tour, va se reprendre et se déchaîner. L’UE va probablement concocter l’un des coups tordus dont elle a le secret. Toutes les possibilités d’ingérences : menaces de sanction si les Roumains ne votent pas bien, fraude pour minimiser l’impact du vote de la diaspora par exemple, doivent être étudiées fébrilement par les états-majors de la gouvernance de l’UE.