l'infini, c'est le produit qui est expliqué.
11.119. sauf ceux à qui ton Seigneur a accordé miséricorde. C'est pour cela qu'Il les a créés. Et la parole de ton Seigneur s'accomplit : "Très certainement, Je remplirai l'Enfer de djinns et d'hommes, tous ensemble".
acCordé c'est ensemble est le partage est à ce niveau ac-cordé. **
ac-complit est un autre partage,
le miséricorde c'est des petit points **
c'est comme la multiplication de l'électricité
grâce au division des c/c "Très certainement, Je remplirai l'Enfer de djinns et d'hommes, tous ensemble"."
ce sont des produits de l'enfer
l'enFER c'est le FER en très grande quantité
ce ne sont pas de vrais hommes c'est comme des points.
le monde moderne utilise le feu pour savoir de quoi est fait une substance.
voila pourquoi les textes disent cela:
57.25. Nous avons effectivement envoyé Nos Messagers avec des preuves évidentes, et fait descendre avec eux le Livre et la balance, afin que les gens établissent la justice. Et Nous avons fait descendre le fer, dans lequel il y a une force redoutable, aussi bien que des utilités pour les gens, et pour qu'Allah reconnaisse qui, dans l'Invisible, défendra Sa cause et celle de Ses Messagers. Certes, Allah est Fort et Puissant.
sa cause c'est son causé son parlé parce que la parole ce sont des ondes et de ces effets
"déFENDRa" laisse envisager que le produit se séparera.
le Seigneur à son rôle spécifique c'est l'enSEIGNEment c'est comme saigné, chaque mot est un produit.
c'est pas une morale c'est vraiment de la science
même si vous pouvez faire cela en arabe, ne le faite pas, trop fanatisé le monde arabe religieux n'est pas prêt pour cela, ils n'acceptent aucune autre image que là leurs, à quelque part c'est temps mieux.
** pour être complet le mot corde est unique à cet endroit est expliqué une partie des divisions par le feu
se sont uniquement des partage
111.1. Que périssent les deux mains d'Abu-Lahab et que lui-même périsse.
111.2. Sa fortune ne lui sert à rien, ni ce qu'il a acquis.
111.3. Il sera brûlé dans un Feu plein de flammes.
111.4. de même sa femme, la porteuse de bois ,
111.5. à son cou, une corde de fibres.
le titre c'est fibre, donc la section de la corde, faut imaginer les brins avant la fibre
"d'Abu-Lahab" n'est pas le vrais c'est pour détourné l'attention,
sa femme est en lui-même, et qui active la division
"Si vous saviez, s'adresse au Livre" lui-même.
A 13 ans on s'abruti déjà?Regarde la pièce jointe 262311
Je ne sais pas si c est le forum qui est devenu trop intelligent pour moi ou c est moi qui me suis abruti avec l âge
Tu n as pas idée mon enfantA 13 ans on s'abruti déjà?
c'est sûrement pour cela que tu as mal à la tête, c'est parce que tu ne lis jamais toutHeureusement que je n'ai pas tout lu, même un paquet de Doliprane nd suffira pas à venir à bout du mal de tête.
c'est sûrement pour cela que tu as mal à la tête, c'est parce que tu ne lis jamais tout
ça se trouve tu n'as peut être jamais vue une corde ni sa section, c'est sûrement fort utile pour allez au paradis (ironie) faut te réveiller, plutôt que prendre des Doliprane
se soigner ou conduire les deux ne sont pas compatible
En somme ton propos est de dire que le comparé n'est pas le comparant ! Autrement dit que l'auteur et le roman d'un côté, Dieu et le monde de l'autre ne sont pas identiques.Bonjour a shrif pieux & savant philosopho @NASIRANOUAR !
Je réagis à ta réponse maintenant.
Je crois pas que l'analogie avec un auteur et son roman soit vraiment utile pour modéliser le rapport entre les humains (libres) et Dieu.
L'écrivain écrit avec un scénario en tête, et l'histoire qu'on lit se déroule selon son scénario. Les personnages peuvent pas « résister » au scénario de l'écrivain, car ils n'ont pas d'existence réelle. Ce sont des êtres de fiction, ils « existent » seulement dans notre imaginaire. La seule « résistance », si on peut dire, c'est que le scénario auquel pense l'écrivain doit suivre un ensemble de conventions littéraires, en particulier la vraisemblance. Mais il s'agit alors d'un dialogue de l'écrivain avec lui-même.
Bien sûr on ne décrira pas l'histoire du roman en faisant constamment référence aux volontés de l'écrivain, mais implicitement, tout le monde comprend que tout est fondé là-dessus.
Je pense, même s'il est possible de le faire, qu'il n'est pas nécessaire d'explorer les articulations des niveaux de causalité pour affirmer qu'ils sont indépendants. Je crois que cela relève de l'évidence. Je m'explique. Si je prends un briquet et que j'allume ma cigarette. Si je dis que toute causalité dans cette action, sans aucune exception possible, est le fait de Dieu, cela revient à dire qu'il n'y a que Dieu comme agent. La conclusion qui en dérive est que non seulement c'est Dieu qui allume la cigarette, mais que Dieu est à la fois mon briquet, la flamme qui allume et ma cigarette et les rapports qui les lient ! Que les objets ne possèdent ni puissance ni acte, que tout ceci n'est qu'une illusion dans laquelle Dieu nous maintient et à laquelle nous croyons eu égard à la régularité de l'action.Je suis pas contre la nécessité de distinguer les niveaux de causalité, mais il faut expliquer comment ils s'articulent, et en particulier comment ils permettent les libres choix des créatures libres. Certains philosophes disent que Dieu crée les créatures selon leur mode d'être : les créatures déterminées, comme étant déterminées. Les créatures libres, comme étant libres. Sauf que cela n'est pas une explication, c'est au mieux une reformulation du problème... Dire que Dieu crée des pommiers de façon à ce qu'ils produisent des pommes et les poiriers pour des poires, oui bien sûr, mais cela est la partie « facile ». La partie difficile est d'expliquer comment s'insèrent les actes libres humains là-dedans.
Non mais au contraire je trouve que tes idées sont très propres et très bien servies !C'est pas non plus vraiment utile d'imaginer que le futur est déjà connu par Dieu, que le futur existe déjà, on ne sait comment, dans un espace-temps à quatre dimensions. Le problème reste toujours Dieu : Dieu connaîtra-t-il ce futur en l'observant (donc il apprend, donc il passe de la puissance à l'acte), ou bien en le produisant lui-même (donc nous ne sommes pas libres).
Désolé, j'avoue ne pas avoir les idées très ordonnées sur ce sujet... j'essaie de m'expliquer du mieux que je peux.
on n'a pas la même lecture, continue les DolipranesOn ne doit pas avoir les mêmes livres,
J'ai quand même une petite question: Comment tu fais pour sauter du coq à l'âne tranquillement avec tellement d'assurance?
Je ne connais qu'un seul bladinaute qui maîtrise cet art mais c'est tellement structuré que tu confonds l'âne et le coq .
@ebook on parle de toi je crois.