Le pass sanitaire bientôt retiré ? Le Dr Martin Blachier fait de surprenantes révélations

Donc si j'ai bien suivi, l'histoire de 80% des personnes en réanimation sont des non-vaccinés était une fakenews juste pour convaincre les gens de se vacciner !

On continue dans le mensonge et des gens approuvent leurs actions, c'est bien on continue dans la konnerie...
 
A

AncienMembre

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Je ne saurai pas te dire exactement, je ne suis pas expert en nanoparticules
Moi aussi … mais cela dit j’ai déjà manger des chamallow… puis j’ai lu que sur le paquet c’était blindè de gelatine ..
c’est malheureusement le seul niveau que j’ai .. marshmallows haribo
Le vaccin ça se mange pas ? Nan mais allo quoi
 
A

AncienMembre

Non connecté
Arrête de faire ta Nabila, sois un peu plus sérieuse, le débat te le demande
Et donc si il y’a de la gelatine de porc ? On peut pas faire un truc en mode « je suis muslim , no halouf «
Comme ça les musulmans vont être encore plus appréciés par le gouv….
L’amour fou
 
Décompte.

15,2 millions de personnes seraient mortes à cause du Covid-19, selon The Economist​


L’hebdomadaire britannique a rassemblé les chiffres de surmortalité mondiaux depuis janvier 2020. Résultat, la planète aurait enregistré plus de 15 millions de morts que ce qui était normalement attendu. Soit presque quatre fois plus que ce que disent les chiffres officiels des décès liés à la pandémie de Covid-19.



“Combien de personnes sont mortes à cause du Covid-19 ? La réponse dépend à la fois des données disponibles et de la façon dont on définit ‘à cause’”.
Voilà comment The Economist introduit son article et sa démarche pour effectuer un décompte des décès réellement causés par la pandémie dans le monde. Un décompte qui donne un effroyable résultat. Le nombre de morts liées à la pandémie serait, selon les données réunies par l’hebdomadaire britannique, de 15,2 millions, contre 4,6 millions selon les données officielles.


De fait, The Economist n’a pas compté les décès déclarés par les États comme consécutifs au Covid-19, mais la surmortalité mondiale depuis janvier 2020. Pourquoi ? D’abord parce que beaucoup de personnes infectées par le SARS-CoV-2 n’ont jamais été testées, et n’entrent pas dans les données officielles, mais aussi parce que certains décès attribués au Covid-19 auraient sans doute eu lieu sur cette même période, pandémie ou non. Par ailleurs, certains décès ont sans doute été évités, comme ceux liés aux accidents de la route, aux épidémies de grippe ou à la pollution. Et d’autres induits : notamment pour les personnes qui sont mortes d’autres causes, faute de n’avoir pu accéder aux soins adéquats tant les hôpitaux étaient surchargés.

Ce sont tous ces écarts que mesure la surmortalité, c’est-à-dire la différence entre le nombre de morts réels et le nombre de morts attendus sur une période donnée (sur la base de la moyenne des années précédentes). Un écart qui dépend de la vulnérabilité de la population, des mesures de prophylaxie adoptées, des structures de santé nationales, et aussi de la pyramide des âges de chaque pays.


The Economist détaille son protocole et les résultats obtenus, continent par continent, pays par pays. À la suite de ce travail colossal, il avance le chiffre de 15,2 millions de morts. Et pointe dans ses cartes et ses chiffres des pays sévèrement frappés, comme l’Inde, le Pérou, le Mexique, la Bulgarie ou encore la Russie.

Mais le journal précise : “il y a 95 % de probabilités que la vraie valeur de la surmortalité se situe entre 9,3 et 18,1 millions de morts” sur la période. Un écart qui reflète la difficulté à obtenir des données fiables dans certains pays.

Dans l’Union européenne, la différence entre les chiffres officiels et la surmortalité mesurée par le magazine ne serait “que” de 9 %. En Asie, en revanche, elle serait de 700 %. En clair, le continent aurait enregistré huit fois plus de morts pendant la pandémie que ne le disent les chiffres officiels.



https://www.economist.com/graphic-detail/coronavirus-excess-deaths-estimates
 
Insolite

"Spider-Man" gravit une tour de la Défense à Paris contre le pass sanitaire​


À près de 60 ans, Alain Robert, surnommé le "Spider-Man français", a escaladé, ce mardi, à mains nues une tour du quartier d'affaires de La Défense (Hauts-de-Seine), en lisière de Paris, pour marquer son opposition au pass sanitaire.
Après un peu plus d'une heure d'ascension, sans équipement et avec simplement des "straps" autour des doigts, "l'homme araignée" a été interpellé et placé en garde à vue à la mi-journée pour "mise en danger de la vie d'autrui", a constaté un journaliste de l'AFP. Une punition dont il a l'habitude.

Pour la onzième fois de sa vie, le célèbre grimpeur s'était lancé à l'assaut de la tour Total Coupole, haute de 187 mètres. Une ascension de "difficulté moyenne", a-t-il expliqué à la presse.

Une légende​

D'ordinaire solitaire, ce spécialiste de l'alpinisme urbain était accompagné pour la première fois de trois jeunes grimpeurs âgés de 21, 28 et 33 ans, pour qui c'était un "honneur" de se joindre à une légende de la discipline."C'est une ascension contre le pass sanitaire, qui embête tout le monde. C'est une atteinte aux libertés fondamentales, ce pass est une honte", a déclaré Alain Robert avant son départ.

Hommage à Belmondo​

"C'est également un hommage à Jean-Paul Belmondo, qui faisait ses cascades lui-même", a-t-il ajouté au lendemain de la disparition à 88 ans de la légende du cinéma français.
Alain Robert s'est rendu célèbre dans le monde entier pour avoir escaladé à mains nues, en général sans assurance et surtout sans autorisation, plus d'une centaine de gratte-ciel et autres monuments urbains.
En mars 2020, il était monté en haut de la Tour Agbar à Barcelone pour protester contre la "peur" engendrée par le coronavirus.






 
A

AncienMembre

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Insolite

"Spider-Man" gravit une tour de la Défense à Paris contre le pass sanitaire​


À près de 60 ans, Alain Robert, surnommé le "Spider-Man français", a escaladé, ce mardi, à mains nues une tour du quartier d'affaires de La Défense (Hauts-de-Seine), en lisière de Paris, pour marquer son opposition au pass sanitaire.
Après un peu plus d'une heure d'ascension, sans équipement et avec simplement des "straps" autour des doigts, "l'homme araignée" a été interpellé et placé en garde à vue à la mi-journée pour "mise en danger de la vie d'autrui", a constaté un journaliste de l'AFP. Une punition dont il a l'habitude.

Pour la onzième fois de sa vie, le célèbre grimpeur s'était lancé à l'assaut de la tour Total Coupole, haute de 187 mètres. Une ascension de "difficulté moyenne", a-t-il expliqué à la presse.

Une légende​

D'ordinaire solitaire, ce spécialiste de l'alpinisme urbain était accompagné pour la première fois de trois jeunes grimpeurs âgés de 21, 28 et 33 ans, pour qui c'était un "honneur" de se joindre à une légende de la discipline."C'est une ascension contre le pass sanitaire, qui embête tout le monde. C'est une atteinte aux libertés fondamentales, ce pass est une honte", a déclaré Alain Robert avant son départ.

Hommage à Belmondo​

"C'est également un hommage à Jean-Paul Belmondo, qui faisait ses cascades lui-même", a-t-il ajouté au lendemain de la disparition à 88 ans de la légende du cinéma français.
Alain Robert s'est rendu célèbre dans le monde entier pour avoir escaladé à mains nues, en général sans assurance et surtout sans autorisation, plus d'une centaine de gratte-ciel et autres monuments urbains.
En mars 2020, il était monté en haut de la Tour Agbar à Barcelone pour protester contre la "peur" engendrée par le coronavirus.






Super !
 
Devizzio le saloupar qui se fou de notre poire
Divizio n'est pas lié à reinfocovid.fr. Chacun sa spécialité. reinfocovid.fr est LE site francophone pour comprendre ce qui se passe scientifiquement sur le covid, les "produits qu'ils nous forcent à s'injecter", les effets secondaires de ces saloperies...qui ne remontent pas comme ils devraient, sur l'infamie sanitaire du pass sanitaire qui ne s"appelle sanitaire qu'en France puisque partout ailleurs ou presque on l'appelle "Green Pass".
 
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