Salam Aleykoum,
Qu'est ce qui détermine réellement nos pensées, nos choix. Qu'est-ce qui fait que je crois en certaines théories, que j'adopte certains points de vue, que je prenne telle direction ?
Pourquoi suis-je plus sensible à certaines explications plutôt qu'à d'autres ?
Est-ce en fonction de mes croyances, de ma morale, de l'essence de mon être ?
Pour prendre un exemple, à titre personnel, je ne crois pas qu'un humain ait déjà pu poser le moindre orteil sur la lune, de même je ne crois pas que le 11 septembre s'est réellement déroulé tel qu'il nous a été présenté. Pour autant, suis-je moins bête, suis-je plus intelligent que les partisans du camp d'en face (concernant ces deux événements) ?
Bien entendu non. Au-delà des choses qui sont directement constatables par nos soins (encore qu'il y aurait à redire sur ce sujet car nos sens ne sont nullement infaillibles), nous ne pouvons faire confiance qu'à nos intuitions et ainsi s'engramment en nous tout un tas de croyances que nous ne percevons plus comme telles mais que nous transformons inconsciemment en tant que réalités.
Ainsi se confrontent des multitudes de réalités que les gens s'opposent et se jettent à la face afin de les imposer aux autres comme étant les seules valables à reconnaître.
Dans les débats que l'on peut lire sur les forums ou que l'on peut entendre sur les plateaux de télé, l'on assiste à de véritables combats de coqs où chacun souhaite ardemment avoir le dernier mot et pouvoir ridiculiser son adversaire par sa verve et/ou par les arguments qu'il sera capable de produire.
Plus personne ne débute une conversation dans le but d'apprendre de l'autre (ni même dans le but de le convertir ou dans l'éventualité d'être converti à ses idées. On ne se fait guère d'illusions, on sait que chacun campera et même se rattachera encore plus à ses positions) mais uniquement dans le but d'imposer nos schèmes de perception, sur le sujet, comme étant les plus pertinents.
Je constate que les gens les plus dangereux, les plus pervers sont ceux-là même qui évoquent incessamment les valeurs universelles, les droits de l'homme, la liberté d'expression afin de tenter de légitimer leurs propos qui seraient censés s'y accorder, censés défendre ces valeurs positives lors même qu'ils sont ceux qui luttent le plus contre celles-ci tout en les brandissant pourtant aussi éhontément.
Qu'est ce qui détermine réellement nos pensées, nos choix. Qu'est-ce qui fait que je crois en certaines théories, que j'adopte certains points de vue, que je prenne telle direction ?
Pourquoi suis-je plus sensible à certaines explications plutôt qu'à d'autres ?
Est-ce en fonction de mes croyances, de ma morale, de l'essence de mon être ?
Pour prendre un exemple, à titre personnel, je ne crois pas qu'un humain ait déjà pu poser le moindre orteil sur la lune, de même je ne crois pas que le 11 septembre s'est réellement déroulé tel qu'il nous a été présenté. Pour autant, suis-je moins bête, suis-je plus intelligent que les partisans du camp d'en face (concernant ces deux événements) ?
Bien entendu non. Au-delà des choses qui sont directement constatables par nos soins (encore qu'il y aurait à redire sur ce sujet car nos sens ne sont nullement infaillibles), nous ne pouvons faire confiance qu'à nos intuitions et ainsi s'engramment en nous tout un tas de croyances que nous ne percevons plus comme telles mais que nous transformons inconsciemment en tant que réalités.
Ainsi se confrontent des multitudes de réalités que les gens s'opposent et se jettent à la face afin de les imposer aux autres comme étant les seules valables à reconnaître.
Dans les débats que l'on peut lire sur les forums ou que l'on peut entendre sur les plateaux de télé, l'on assiste à de véritables combats de coqs où chacun souhaite ardemment avoir le dernier mot et pouvoir ridiculiser son adversaire par sa verve et/ou par les arguments qu'il sera capable de produire.
Plus personne ne débute une conversation dans le but d'apprendre de l'autre (ni même dans le but de le convertir ou dans l'éventualité d'être converti à ses idées. On ne se fait guère d'illusions, on sait que chacun campera et même se rattachera encore plus à ses positions) mais uniquement dans le but d'imposer nos schèmes de perception, sur le sujet, comme étant les plus pertinents.
Je constate que les gens les plus dangereux, les plus pervers sont ceux-là même qui évoquent incessamment les valeurs universelles, les droits de l'homme, la liberté d'expression afin de tenter de légitimer leurs propos qui seraient censés s'y accorder, censés défendre ces valeurs positives lors même qu'ils sont ceux qui luttent le plus contre celles-ci tout en les brandissant pourtant aussi éhontément.