Encore faut‑il que la police bouge !
J’ai quelques anecdotes à ce sujet. Une fois avec quelqu’un, on subissait une situation assez violente. On est aller au comissariat, deux policiers sont venus sur le lieux, et n’ont rien fait, ont même donné raison, et ont dit en parlant de moi « quand on voit une gueule comme la votre, ça donne des envies de meurtres, c’est normal ». Une fois j’ai été agressé en plein jour, avec un flic pas loin, je lui dit « vous pourriez intervenir au moins, lui demande de se calmer », le flic a tourné le dos l’air gêné et a fait semblant de ne rien entendre. Une fois tard le soir, depuis mon studio j’entends des chose pas claires dehors, c’était apparemment une personne qui en cherchait une autre pour « la butter, la fumer », selon les cris que j’entendais, et quand j’ai appelé le commissariat, ils m’ont clairement fait comprendre qu’il n’avait pas l’intention de bouger. J’en ai d’autres des anecdotes comme ça sur les « je pense, j’obéis » (le surnom que je donne aux flics), ce ne sont que les plus flagrantes. Un flic, c’est un flic, c’est tout.
C’est bon à savoir après ce que quelqu’un a affirmé précédemment dans ce sujet.
Là tu es naïve. Parce que si quelqu’un te reconnais, tu peu avoir des problèmes plus tard… j’en sais quelque chose après avoir menacé d’appeler la police en étant témoins d’une scène de menace d’agression sur un parking depuis la chambre de ma résidence d’étudiant à l’époque (je ne pouvais appeler en réalité, car je n’avais pas de téléphone, j’ai seulement fait croire…). Quand je les ai recroisé après plusieurs jours plus tard, ils avaient l’air mauvais, et j’imagine que si le lieux s’y était prêté, j’aurais put avoir des problèmes.
Mais bon, c’est sûr que si les gens pensaient à les appeler et si les flics étaient là pour lutter contre la délinquance et non‑pas pour couvrir la délinquance légale et rappeler la hiérarchie des classes sociales, ça ferait sûrement une différence.