Le retour concret, c’était les échantillons de roches lunaires. On peut en ramasser avec des robots, pas besoin d’y envoyer des humains. Si des humains ont été envoyés, c’est parce que les soviétiques étaient peut‑être pas loin d’y arriver (en fait ils en étaient loin, à cause d’une crise, mais les états‑unis ne le savaient pas). Après que le premier satellite artificiel ait été soviétique, le premier être vivant et le premier humain en orbite aient été soviétiques aussi, les états‑unis ne voulaient pas que le premier humain sur la lune soit soviétique aussi, parce qu’ils se seraient sentis ridiculisés par l’urss. L’intérêt était surtout là pour eux.
Avec ce genre d’opération, on arrête les frais dès qu’on peu. Surtout en période de crise économique mondiale, ça ne risquerait plus de se faire, tout le monde réclamerait des comptes. À cette époque c’était différent, pas de crise économique et un conflit idéologique entres les états‑unis et l’urss.
Maintenant c’est différent, que le premier humain sur mars soit chinois ou russe ou européen, tout le monde s’en /QUOTE]