pourquoi tu parles de cactus , ça m'interesse ...Possible, ou alors une enfilade de plus. En attendant suçons en cœur les cactus et les fruits amers de la géhenne.
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pourquoi tu parles de cactus , ça m'interesse ...Possible, ou alors une enfilade de plus. En attendant suçons en cœur les cactus et les fruits amers de la géhenne.
pourquoi tu parles de cactus , ça m'interesse ...
t'étais pas loin, ça m'a interpellé ...C'est une allégorie. Si t'es un chameau t'as le droit d'en consommer sinon passe ton chemin. Simple.
t'étais pas loin, ça m'a interpellé ...
en gros les fruits de zakoum c'est les figues de barbarie ... mais ça , c'est une autre histoire ...
ils ont demandé une augmentation du PIB à 200 milliards en septembre 2022 ... en aout 2023 avec 165 milliards de PIB tu penses que ce serait juste de la faire entrer juste par ma3rifa ?BRICS: voici pourquoi l’Algérie a été recalée
Sans surprise, l’Algérie n’a pas été admise aux BRICS, dont le choix s’est porté sur six pays dont l’adhésion a été prévue depuis des mois déjà, compte tenu de leur poids économique.
C’est donc l’Iran, l’Argentine, l’Égypte, l’Éthiopie, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis qui feront leur entrée aux BRICS à compter du 1er janvier 2024. L’Algérie a été, quant à elle, éconduite malgré les promesses de son président Tebboune que le pays rejoindrait cette année ce bloc de pays émergents.
Le président algérien a, quelques jours auparavant, annoncé la couleur de cet échec en se contentant de dépêcher son ministre des Affaires étrangères au sommet de l’organisation à Johannesburg.
Outre les freins liés au PIB et à l’économie algérienne pâtissante qui dépend principalement de la manne pétrolière, certains médias attribuent ce rejet à un veto de l’Inde et à la non-adhésion de l’Algérie à l’Organisation mondiale de commerce (OMC), entre autres.
Pour l’analyste en politique internationale, Moulay Hicham Mouatadid, que H24info a contacté, ce refus découle principalement des lacunes manifestes au sein du tissu économique algérien, reflétant une structuration socio-économique dépourvue de coordination et une dynamique commerciale peu harmonisée. La faiblesse de sa candidature s’explique également, selon lui, par le fait que le régime algérien en place a privilégié une approche davantage axée sur une idéologie politique préconçue, soutenue et instrumentalisée par son appareil médiatique.
« Cette approche vise à déformer la perception de sa plateforme économique au sein de sa population et auprès des BRICS », souligne-t-il, notant que cette orientation a indubitablement engendré une distorsion de l’image projetée, sapant la crédibilité du régime algérien non seulement auprès de ses citoyens, mais également sur la scène internationale.
L’adhésion repose sur le pragmatisme
L’ingérence de l’appareil militaire algérien dans cette démarche d’adhésion s’avère également significative, explique Mouatadid. Il relève à cet effet que « la tentative de capitaliser sur son appartenance à la zone d’influence régionale de la Russie pour faciliter l’intégration au sein des BRICS démontre une compréhension tronquée de la réalité de ces groupes d’envergure ».
Les mécanismes d’adhésion reposent en effet sur des principes de Realpolitik et de pragmatisme économique, reléguant en périphérie les calculs tactiques superficiels qui semblent préoccuper le milieu militaire et politique algérien, fait savoir le politologue.
Mouatadid précise, en conclusion, que le rejet de la demande algérienne d’intégration aux BRICS résulte d’une conjonction complexe de facteurs. La faiblesse structurelle de l’économie algérienne, l’anarchie socio-économique et la désynchronisation de la dynamique commerciale ont contribué à l’opposition à cette initiative.
« De plus, la gestion déficiente de sa demande d’adhésion, caractérisée par une orientation idéologique au détriment du réalisme économique, a renforcé la désillusion du groupe BRICS à l’égard du régime algérien. Cette déconvenue diplomatique met en lumière les lacunes stratégiques du gouvernement en place, soulignant le besoin d’une approche plus pragmatique et équilibrée dans les relations internationales », dixit Mouatadid.
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BRICS: voici pourquoi l'Algérie a été recalée , H24info
Sans surprise, l'Algérie n'a pas été admise aux BRICS, dont le choix s'est porté sur six pays dont l'adhésion a été prévue depuis des mois déjàwww.h24info.ma
Article intéressant, M. @Filauzof pouvons nous avoir votre analyse d'expert sur le sujet?
ils ont demandé une augmentation du PIB à 200 milliards en septembre 2022 ... en aout 2023 avec 165 milliards de PIB tu penses que ce serait juste de la faire entrer juste par ma3rifa ?
mais bon, le peuple n'est pas assez responsable pour mettre son pays au premier plan niveau sociétale ...
non, il est des choses simple, irréfutable et inexorable qui se passe devant leur yeux et ils continuent à vivre comme des égoïstes qui se fichent de l'avenir de leur enfants !!!La ma3rifa est quelque chose qui a quitté nos gouvernants.
Le peuple est bien plus responsable que son gouvernement qui investi dans la propagande médiatique à outrance. En cela la France et l'Algérie se ressemble.
Les éternelles chiens de faïence...
Quand bien même certains se complaisent dans la haine et la fitna c'est un peuple très sensible et très généreux qui n'a rien à voir avec la mentalité chinoise, les algériens ont leurs propres mental c'est comme ça, et tu n'y échappes pas.
Bref c'est trop mélodramatique, il faut avancer.
les gens respectent pour leurs argents !
Ben ça va les mettre face à la réalité et peut être, je dis bien peut être, vont-ils s'ameliorer en mettant de coté l'orgueil...BRICS: voici pourquoi l’Algérie a été recalée
Sans surprise, l’Algérie n’a pas été admise aux BRICS, dont le choix s’est porté sur six pays dont l’adhésion a été prévue depuis des mois déjà, compte tenu de leur poids économique.
C’est donc l’Iran, l’Argentine, l’Égypte, l’Éthiopie, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis qui feront leur entrée aux BRICS à compter du 1er janvier 2024. L’Algérie a été, quant à elle, éconduite malgré les promesses de son président Tebboune que le pays rejoindrait cette année ce bloc de pays émergents.
Le président algérien a, quelques jours auparavant, annoncé la couleur de cet échec en se contentant de dépêcher son ministre des Affaires étrangères au sommet de l’organisation à Johannesburg.
Outre les freins liés au PIB et à l’économie algérienne pâtissante qui dépend principalement de la manne pétrolière, certains médias attribuent ce rejet à un veto de l’Inde et à la non-adhésion de l’Algérie à l’Organisation mondiale de commerce (OMC), entre autres.
Pour l’analyste en politique internationale, Moulay Hicham Mouatadid, que H24info a contacté, ce refus découle principalement des lacunes manifestes au sein du tissu économique algérien, reflétant une structuration socio-économique dépourvue de coordination et une dynamique commerciale peu harmonisée. La faiblesse de sa candidature s’explique également, selon lui, par le fait que le régime algérien en place a privilégié une approche davantage axée sur une idéologie politique préconçue, soutenue et instrumentalisée par son appareil médiatique.
« Cette approche vise à déformer la perception de sa plateforme économique au sein de sa population et auprès des BRICS », souligne-t-il, notant que cette orientation a indubitablement engendré une distorsion de l’image projetée, sapant la crédibilité du régime algérien non seulement auprès de ses citoyens, mais également sur la scène internationale.
L’adhésion repose sur le pragmatisme
L’ingérence de l’appareil militaire algérien dans cette démarche d’adhésion s’avère également significative, explique Mouatadid. Il relève à cet effet que « la tentative de capitaliser sur son appartenance à la zone d’influence régionale de la Russie pour faciliter l’intégration au sein des BRICS démontre une compréhension tronquée de la réalité de ces groupes d’envergure ».
Les mécanismes d’adhésion reposent en effet sur des principes de Realpolitik et de pragmatisme économique, reléguant en périphérie les calculs tactiques superficiels qui semblent préoccuper le milieu militaire et politique algérien, fait savoir le politologue.
Mouatadid précise, en conclusion, que le rejet de la demande algérienne d’intégration aux BRICS résulte d’une conjonction complexe de facteurs. La faiblesse structurelle de l’économie algérienne, l’anarchie socio-économique et la désynchronisation de la dynamique commerciale ont contribué à l’opposition à cette initiative.
« De plus, la gestion déficiente de sa demande d’adhésion, caractérisée par une orientation idéologique au détriment du réalisme économique, a renforcé la désillusion du groupe BRICS à l’égard du régime algérien. Cette déconvenue diplomatique met en lumière les lacunes stratégiques du gouvernement en place, soulignant le besoin d’une approche plus pragmatique et équilibrée dans les relations internationales », dixit Mouatadid.
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BRICS: voici pourquoi l'Algérie a été recalée , H24info
Sans surprise, l'Algérie n'a pas été admise aux BRICS, dont le choix s'est porté sur six pays dont l'adhésion a été prévue depuis des mois déjàwww.h24info.ma
Article intéressant, M. @Filauzof pouvons nous avoir votre analyse d'expert sur le sujet?
Ben ça va les mettre face à la réalité et peut être, je dis bien peut être, vont-ils s'ameliorer en mettant de coté l'orgueil...
Difficile pour des idéalistes.Souhaitons le aussi pour les français![]()
Difficile pour des idéalistes.
tu peux être idéaliste et réaliste à la fois ! ces deux mots ne sont pas antagoniste !L'idéalisme est une doctrine de la pensée philosophique qui a pour opposé le réalisme. Si l'un s'appuie sur la pensée "bisounours", l'autre s'appuie sur l'épreuve empirique concrète.
Mais l'un ne va pas sans l'autre. La première subtile et volatile est tout le savoir que peut accumuler un individu sans que ceci ne l'encombre.
Mais l'idéaliste se doit dans un premier temps d'appliquer ces pensées à lui même et aussi les éprouver par la biais de la mise en application dans la matrice, ce qui conduit à la réalisation, d'un projet par exemple.
C'est le pouvoir d'action du don inné de réflexion qui se concrétise matierellement.
Ceux qui ont compris cela avance.
L'idéaliste qui se plante est un égoïste. Il est dans cette sphère qu'est la pensée humaine un élément dissonant, discordant, une brebis galeuse et un bouc émissaire à la fois.
Par conséquent, et au vu de l'article que j'ai posté et, de surcroît, que tu as cité qui traite de normalisation des relations diplomatiques avec un mot en particulier, qui est, "pragmatisme" c'est donc un devoir et une tâche laborieuse que d'arriver à ce stade que la France à déjà pu côtoyer à quelques moments.
J'entends par là une noblesse de l'âme qui sait faire fi quand il le faut et savoir donner sans rien attendre en retour si ce n'est un minimum de dignité et d'intégrité.
De quoi potasser le potager.
tu peux être idéaliste et réaliste à la fois ! ces deux mots ne sont pas antagoniste !
ce n'est pas parce que c'est idéal que c'est irréalisable ! ne confond pas avec les délires des pseudos penseurs qui imaginent avoir trouver une solution alors qu'ils n'en ont pas les capacité !
Je n'ai pas dis le contraire. Apprend à lire les autres trou de balle tu me fatigues![]()
tu dis " L'idéalisme est une doctrine de la pensée philosophique qui a pour opposé le réalisme "
le réalisme à pour opposé l'irréalisme pas l'idéalisme ...
idéal ça vient de l'idée !
l'idéal serait de manger du poisson avec du citron plutôt que sans ! car ça améliore le gout !
en quoi cet idéal est irréalisable ?