Les BRICS : c’est du flan

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion David39
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Par le sable et le sang!
Le vent ardent de saqar s'élève parmi les nuées!
Repens-toi amas d'argile ou soit maudit par les flammes!

J'adore la poésie 🚮
 
t'étais pas loin, ça m'a interpellé ...

en gros les fruits de zakoum c'est les figues de barbarie ... mais ça , c'est une autre histoire ...

C'est kif-kif bourricot coco.

T'aimes bien chicaner pour rien 😬

Continue donc de parler avec l'autre débilos moderniste pleins d'ostentations, pur produit de la rf qui se la joue à l'ancienne. Ca s'annonce rigolo.
 
Dernière édition:

BRICS: voici pourquoi l’Algérie a été recalée​


Sans surprise, l’Algérie n’a pas été admise aux BRICS, dont le choix s’est porté sur six pays dont l’adhésion a été prévue depuis des mois déjà, compte tenu de leur poids économique.


C’est donc l’Iran, l’Argentine, l’Égypte, l’Éthiopie, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis qui feront leur entrée aux BRICS à compter du 1er janvier 2024. L’Algérie a été, quant à elle, éconduite malgré les promesses de son président Tebboune que le pays rejoindrait cette année ce bloc de pays émergents.


Le président algérien a, quelques jours auparavant, annoncé la couleur de cet échec en se contentant de dépêcher son ministre des Affaires étrangères au sommet de l’organisation à Johannesburg.



Outre les freins liés au PIB et à l’économie algérienne pâtissante qui dépend principalement de la manne pétrolière, certains médias attribuent ce rejet à un veto de l’Inde et à la non-adhésion de l’Algérie à l’Organisation mondiale de commerce (OMC), entre autres.

Pour l’analyste en politique internationale, Moulay Hicham Mouatadid, que H24info a contacté, ce refus découle principalement des lacunes manifestes au sein du tissu économique algérien, reflétant une structuration socio-économique dépourvue de coordination et une dynamique commerciale peu harmonisée. La faiblesse de sa candidature s’explique également, selon lui, par le fait que le régime algérien en place a privilégié une approche davantage axée sur une idéologie politique préconçue, soutenue et instrumentalisée par son appareil médiatique.

« Cette approche vise à déformer la perception de sa plateforme économique au sein de sa population et auprès des BRICS », souligne-t-il, notant que cette orientation a indubitablement engendré une distorsion de l’image projetée, sapant la crédibilité du régime algérien non seulement auprès de ses citoyens, mais également sur la scène internationale.

L’adhésion repose sur le pragmatisme

L’ingérence de l’appareil militaire algérien dans cette démarche d’adhésion s’avère également significative, explique Mouatadid. Il relève à cet effet que « la tentative de capitaliser sur son appartenance à la zone d’influence régionale de la Russie pour faciliter l’intégration au sein des BRICS démontre une compréhension tronquée de la réalité de ces groupes d’envergure ».

Les mécanismes d’adhésion reposent en effet sur des principes de Realpolitik et de pragmatisme économique, reléguant en périphérie les calculs tactiques superficiels qui semblent préoccuper le milieu militaire et politique algérien, fait savoir le politologue.

Mouatadid précise, en conclusion, que le rejet de la demande algérienne d’intégration aux BRICS résulte d’une conjonction complexe de facteurs. La faiblesse structurelle de l’économie algérienne, l’anarchie socio-économique et la désynchronisation de la dynamique commerciale ont contribué à l’opposition à cette initiative.

« De plus, la gestion déficiente de sa demande d’adhésion, caractérisée par une orientation idéologique au détriment du réalisme économique, a renforcé la désillusion du groupe BRICS à l’égard du régime algérien. Cette déconvenue diplomatique met en lumière les lacunes stratégiques du gouvernement en place, soulignant le besoin d’une approche plus pragmatique et équilibrée dans les relations internationales », dixit Mouatadid.




Article intéressant, M. @Filauzof pouvons nous avoir votre analyse d'expert sur le sujet?
 
"Les mécanismes d’adhésion reposent en effet sur des principes de Realpolitik et de pragmatisme économique, reléguant en périphérie les calculs tactiques superficiels qui semblent préoccuper le milieu militaire et politique algérien, fait savoir le politologue."

Et oui 🤷‍♂️

M. @Filauzof ? M. @Filauzof ? Ah je crois qu'on a été coupé 🤷‍♂️

🤸‍♂️
 
[...]

La Russie veut utiliser les BRICS contre l’Occident, ce qui ne correspond pas aux intérêts économiques ni de la Chine ni de l’Inde. À la suite des sanctions imposées par les pays occidentaux sur les importations de pétrole russe, l’Inde et la Chine sont devenues les plus gros clients, mais à bas prix, ce qui contribue à la vassalisation de la Russie par la Chine. Même si la Russie a organisé des exercices navals conjoints avec la Chine et l’Afrique du Sud en février 2023, c’est bien la Chine qui est le vrai leader du groupe, en compétition avec l’Inde, l’autre grande puissance émergente comme on a pu le remarquer au dernier G20.


«La question essentielle est de savoir combien de temps encore la Chine aura besoin des BRICS.»


D'autres membres des BRICS ne souhaitent pas que ce pacte devienne ouvertement anti-occidental. Des hommes politiques brésiliens et russes de premier plan avaient suggéré la création d’une monnaie pour le bloc des BRICS, afin de contester la domination du dollar américain dans le commerce mondial et la finance internationale. Mais les ambitions sur la dédollarisation des BRICS de l’économie mondiale sont irréalistes, du fait même du manque d’unité de ses membres. Cette question n’était même pas à l’ordre du jour du sommet de Johannesburg.

[...]



Ici, je vous conseille les commentaires des internautes.

A retenir:

"Mais les ambitions sur la dédollarisation des BRICS de l’économie mondiale sont irréalistes, du fait même du manque d’unité de ses membres. Cette question n’était même pas à l’ordre du jour du sommet de Johannesburg."

You know babe, it's "du flan".
 
Dernière édition:

BRICS: voici pourquoi l’Algérie a été recalée​


Sans surprise, l’Algérie n’a pas été admise aux BRICS, dont le choix s’est porté sur six pays dont l’adhésion a été prévue depuis des mois déjà, compte tenu de leur poids économique.


C’est donc l’Iran, l’Argentine, l’Égypte, l’Éthiopie, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis qui feront leur entrée aux BRICS à compter du 1er janvier 2024. L’Algérie a été, quant à elle, éconduite malgré les promesses de son président Tebboune que le pays rejoindrait cette année ce bloc de pays émergents.


Le président algérien a, quelques jours auparavant, annoncé la couleur de cet échec en se contentant de dépêcher son ministre des Affaires étrangères au sommet de l’organisation à Johannesburg.



Outre les freins liés au PIB et à l’économie algérienne pâtissante qui dépend principalement de la manne pétrolière, certains médias attribuent ce rejet à un veto de l’Inde et à la non-adhésion de l’Algérie à l’Organisation mondiale de commerce (OMC), entre autres.

Pour l’analyste en politique internationale, Moulay Hicham Mouatadid, que H24info a contacté, ce refus découle principalement des lacunes manifestes au sein du tissu économique algérien, reflétant une structuration socio-économique dépourvue de coordination et une dynamique commerciale peu harmonisée. La faiblesse de sa candidature s’explique également, selon lui, par le fait que le régime algérien en place a privilégié une approche davantage axée sur une idéologie politique préconçue, soutenue et instrumentalisée par son appareil médiatique.

« Cette approche vise à déformer la perception de sa plateforme économique au sein de sa population et auprès des BRICS », souligne-t-il, notant que cette orientation a indubitablement engendré une distorsion de l’image projetée, sapant la crédibilité du régime algérien non seulement auprès de ses citoyens, mais également sur la scène internationale.

L’adhésion repose sur le pragmatisme

L’ingérence de l’appareil militaire algérien dans cette démarche d’adhésion s’avère également significative, explique Mouatadid. Il relève à cet effet que « la tentative de capitaliser sur son appartenance à la zone d’influence régionale de la Russie pour faciliter l’intégration au sein des BRICS démontre une compréhension tronquée de la réalité de ces groupes d’envergure ».

Les mécanismes d’adhésion reposent en effet sur des principes de Realpolitik et de pragmatisme économique, reléguant en périphérie les calculs tactiques superficiels qui semblent préoccuper le milieu militaire et politique algérien, fait savoir le politologue.

Mouatadid précise, en conclusion, que le rejet de la demande algérienne d’intégration aux BRICS résulte d’une conjonction complexe de facteurs. La faiblesse structurelle de l’économie algérienne, l’anarchie socio-économique et la désynchronisation de la dynamique commerciale ont contribué à l’opposition à cette initiative.

« De plus, la gestion déficiente de sa demande d’adhésion, caractérisée par une orientation idéologique au détriment du réalisme économique, a renforcé la désillusion du groupe BRICS à l’égard du régime algérien. Cette déconvenue diplomatique met en lumière les lacunes stratégiques du gouvernement en place, soulignant le besoin d’une approche plus pragmatique et équilibrée dans les relations internationales », dixit Mouatadid.




Article intéressant, M. @Filauzof pouvons nous avoir votre analyse d'expert sur le sujet?
ils ont demandé une augmentation du PIB à 200 milliards en septembre 2022 ... en aout 2023 avec 165 milliards de PIB tu penses que ce serait juste de la faire entrer juste par ma3rifa ?

mais bon, le peuple n'est pas assez responsable pour mettre son pays au premier plan niveau sociétale ...
 
ils ont demandé une augmentation du PIB à 200 milliards en septembre 2022 ... en aout 2023 avec 165 milliards de PIB tu penses que ce serait juste de la faire entrer juste par ma3rifa ?

La ma3rifa est quelque chose qui a quitté nos gouvernants.

mais bon, le peuple n'est pas assez responsable pour mettre son pays au premier plan niveau sociétale ...

Le peuple est bien plus responsable que son gouvernement qui investi dans la propagande médiatique à outrance. En cela la France et l'Algérie se ressemble.

Les éternelles chiens de faïence...

Quand bien même certains se complaisent dans la haine et la fitna c'est un peuple très sensible et très généreux qui n'a rien à voir avec la mentalité chinoise, les algériens ont leurs propres mental c'est comme ça, et tu n'y échappes pas.

Bref c'est trop mélodramatique, il faut avancer.
 
La ma3rifa est quelque chose qui a quitté nos gouvernants.



Le peuple est bien plus responsable que son gouvernement qui investi dans la propagande médiatique à outrance. En cela la France et l'Algérie se ressemble.

Les éternelles chiens de faïence...

Quand bien même certains se complaisent dans la haine et la fitna c'est un peuple très sensible et très généreux qui n'a rien à voir avec la mentalité chinoise, les algériens ont leurs propres mental c'est comme ça, et tu n'y échappes pas.

Bref c'est trop mélodramatique, il faut avancer.
non, il est des choses simple, irréfutable et inexorable qui se passe devant leur yeux et ils continuent à vivre comme des égoïstes qui se fichent de l'avenir de leur enfants !!!

les terrains en Kabylie par exemple, tout les kabyles en ont mais aucun ne peut s'en occuper ! alors pour eux le mieux c'est de laisser le terrain à un cousin pour planter des oliviers et cueillir des 100 kilos d'olives ! genre la fierté quoi !
alors que seulement 2 % des terrains sont approximativement entretenue ! et après ça se plaint des feux qui viennent tout ravager !

j'ai moi même des terrains, mais sachant qu'à chaque génération ils se divisent , , vaut mieux que tout les villageois mettent leur terrain à disposition du village et que c'est au sein du village qu'on trouvera les agriculteurs pour faire de l'agriculture intensive pour nourrir tout le village et au delà ! il y a plusieurs sources d'eau qui se perdent en coulant pour rien alors que tout les terrains pourraient être irrigués, nourrir le village et éviter les incendies !

les terrains appartiennent aux villageois, l'état n' rien à voir la dedans ! ils plantent ce qu'ils veulent ! mais non , ils ne sont pas capable de raisonner convenablement , car ils ont été traumatisé par les vieux, même éboueur en France, qui gagne plus qu'un docteur et que les gens respectent pour leurs argents !

si l'état à réussi à garder ses frontières françaises c'est déjà pas mal !
 

BRICS: voici pourquoi l’Algérie a été recalée​


Sans surprise, l’Algérie n’a pas été admise aux BRICS, dont le choix s’est porté sur six pays dont l’adhésion a été prévue depuis des mois déjà, compte tenu de leur poids économique.


C’est donc l’Iran, l’Argentine, l’Égypte, l’Éthiopie, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis qui feront leur entrée aux BRICS à compter du 1er janvier 2024. L’Algérie a été, quant à elle, éconduite malgré les promesses de son président Tebboune que le pays rejoindrait cette année ce bloc de pays émergents.


Le président algérien a, quelques jours auparavant, annoncé la couleur de cet échec en se contentant de dépêcher son ministre des Affaires étrangères au sommet de l’organisation à Johannesburg.



Outre les freins liés au PIB et à l’économie algérienne pâtissante qui dépend principalement de la manne pétrolière, certains médias attribuent ce rejet à un veto de l’Inde et à la non-adhésion de l’Algérie à l’Organisation mondiale de commerce (OMC), entre autres.

Pour l’analyste en politique internationale, Moulay Hicham Mouatadid, que H24info a contacté, ce refus découle principalement des lacunes manifestes au sein du tissu économique algérien, reflétant une structuration socio-économique dépourvue de coordination et une dynamique commerciale peu harmonisée. La faiblesse de sa candidature s’explique également, selon lui, par le fait que le régime algérien en place a privilégié une approche davantage axée sur une idéologie politique préconçue, soutenue et instrumentalisée par son appareil médiatique.

« Cette approche vise à déformer la perception de sa plateforme économique au sein de sa population et auprès des BRICS », souligne-t-il, notant que cette orientation a indubitablement engendré une distorsion de l’image projetée, sapant la crédibilité du régime algérien non seulement auprès de ses citoyens, mais également sur la scène internationale.

L’adhésion repose sur le pragmatisme

L’ingérence de l’appareil militaire algérien dans cette démarche d’adhésion s’avère également significative, explique Mouatadid. Il relève à cet effet que « la tentative de capitaliser sur son appartenance à la zone d’influence régionale de la Russie pour faciliter l’intégration au sein des BRICS démontre une compréhension tronquée de la réalité de ces groupes d’envergure ».

Les mécanismes d’adhésion reposent en effet sur des principes de Realpolitik et de pragmatisme économique, reléguant en périphérie les calculs tactiques superficiels qui semblent préoccuper le milieu militaire et politique algérien, fait savoir le politologue.

Mouatadid précise, en conclusion, que le rejet de la demande algérienne d’intégration aux BRICS résulte d’une conjonction complexe de facteurs. La faiblesse structurelle de l’économie algérienne, l’anarchie socio-économique et la désynchronisation de la dynamique commerciale ont contribué à l’opposition à cette initiative.

« De plus, la gestion déficiente de sa demande d’adhésion, caractérisée par une orientation idéologique au détriment du réalisme économique, a renforcé la désillusion du groupe BRICS à l’égard du régime algérien. Cette déconvenue diplomatique met en lumière les lacunes stratégiques du gouvernement en place, soulignant le besoin d’une approche plus pragmatique et équilibrée dans les relations internationales », dixit Mouatadid.




Article intéressant, M. @Filauzof pouvons nous avoir votre analyse d'expert sur le sujet?
Ben ça va les mettre face à la réalité et peut être, je dis bien peut être, vont-ils s'ameliorer en mettant de coté l'orgueil...
 
Difficile pour des idéalistes.

L'idéalisme est une doctrine de la pensée philosophique qui a pour opposé le réalisme. Si l'un s'appuie sur la pensée "bisounours", l'autre s'appuie sur l'épreuve empirique concrète.

Mais l'un ne va pas sans l'autre. La première subtile et volatile est tout le savoir que peut accumuler un individu sans que ceci ne l'encombre.

Mais l'idéaliste se doit dans un premier temps d'appliquer ces pensées à lui même et aussi les éprouver par la biais de la mise en application dans la matrice, ce qui conduit à la réalisation, d'un projet par exemple.

C'est le pouvoir d'action du don inné de réflexion qui se concrétise matierellement.

Ceux qui ont compris cela avance.

L'idéaliste qui se plante est un égoïste. Il est dans cette sphère qu'est la pensée humaine un élément dissonant, discordant, une brebis galeuse et un bouc émissaire à la fois.

Par conséquent, et au vu de l'article que j'ai posté et, de surcroît, que tu as cité qui traite de normalisation des relations diplomatiques avec un mot en particulier, qui est, "pragmatisme" c'est donc un devoir et une tâche laborieuse que d'arriver à ce stade que la France à déjà pu côtoyer à quelques moments.

J'entends par là une noblesse de l'âme qui sait faire fi quand il le faut et savoir donner sans rien attendre en retour si ce n'est un minimum de dignité et d'intégrité.

De quoi potasser le potager.
 
En effet, quand Descartes nous dit ceci:

« Toute la philosophie est comme un arbre, dont les racines sont la métaphysique, le tronc est la physique, et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences qui se réduisent à trois principales, à savoir la médecine, la mécanique et la morale ; j’entends la plus haute et la plus parfaite morale, qui, présupposant une entière connaissance des autres sciences, est le dernier degré de la sagesse » 

Il s'agit bien d'une confrontation de l'idéalisme qui se situe principalement dans la morale face à l'épreuve mécanique donc du réalisme et sa réussite se mesure aux bénéfices, donc à la médecine.

Une idée s'il est est à chiée est à chiée, rien ne sert de persister, elle ira donc au rebut pour une correction normale normalisée jusqu'à ce que la rectification soit opérée. Elle pourra ainsi être de nouveau soumise à épreuve.

Simple.
 
L'idéalisme est une doctrine de la pensée philosophique qui a pour opposé le réalisme. Si l'un s'appuie sur la pensée "bisounours", l'autre s'appuie sur l'épreuve empirique concrète.

Mais l'un ne va pas sans l'autre. La première subtile et volatile est tout le savoir que peut accumuler un individu sans que ceci ne l'encombre.

Mais l'idéaliste se doit dans un premier temps d'appliquer ces pensées à lui même et aussi les éprouver par la biais de la mise en application dans la matrice, ce qui conduit à la réalisation, d'un projet par exemple.

C'est le pouvoir d'action du don inné de réflexion qui se concrétise matierellement.

Ceux qui ont compris cela avance.

L'idéaliste qui se plante est un égoïste. Il est dans cette sphère qu'est la pensée humaine un élément dissonant, discordant, une brebis galeuse et un bouc émissaire à la fois.

Par conséquent, et au vu de l'article que j'ai posté et, de surcroît, que tu as cité qui traite de normalisation des relations diplomatiques avec un mot en particulier, qui est, "pragmatisme" c'est donc un devoir et une tâche laborieuse que d'arriver à ce stade que la France à déjà pu côtoyer à quelques moments.

J'entends par là une noblesse de l'âme qui sait faire fi quand il le faut et savoir donner sans rien attendre en retour si ce n'est un minimum de dignité et d'intégrité.

De quoi potasser le potager.
tu peux être idéaliste et réaliste à la fois ! ces deux mots ne sont pas antagoniste !

ce n'est pas parce que c'est idéal que c'est irréalisable ! ne confond pas avec les délires des pseudos penseurs qui imaginent avoir trouver une solution alors qu'ils n'en ont pas les capacité !
 
tu peux être idéaliste et réaliste à la fois ! ces deux mots ne sont pas antagoniste !

ce n'est pas parce que c'est idéal que c'est irréalisable ! ne confond pas avec les délires des pseudos penseurs qui imaginent avoir trouver une solution alors qu'ils n'en ont pas les capacité !

Je n'ai pas dis le contraire. Apprend à lire les autres trou de balle tu me fatigues 😡
 
Je n'ai pas dis le contraire. Apprend à lire les autres trou de balle tu me fatigues 😡

tu dis " L'idéalisme est une doctrine de la pensée philosophique qui a pour opposé le réalisme "​


le réalisme à pour opposé l'irréalisme pas l'idéalisme ...

idéal ça vient de l'idée !

l'idéal serait de manger du poisson avec du citron plutôt que sans ! car ça améliore le gout !

en quoi cet idéal est irréalisable ?
 

tu dis " L'idéalisme est une doctrine de la pensée philosophique qui a pour opposé le réalisme "​


le réalisme à pour opposé l'irréalisme pas l'idéalisme ...

idéal ça vient de l'idée !

l'idéal serait de manger du poisson avec du citron plutôt que sans ! car ça améliore le gout !

en quoi cet idéal est irréalisable ?

L'idée est valable que quand celle ci est réalisée, avant sa concrétisation elle n'est encore qu'un fantasme. C'est l'expérience empirique.

Mais hélas si tu négliges la médecine, cette notion bénéfique, profitable de l’idée et de sa réalisation, soit un projet est c'est ce qu'on appelle une mauvais idée. Quelque chose qui mène à la dégradation, la corruption.

Toute idée réalisée n'est pas bonne, les exemples sont nombreux.
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Tiens un peu de lecture, faut revoir tes classiques...


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Ceci étant dit on peut se recentrer sur le sujet. Mettons donc à profit ces rappels quant au fait de:

  • normaliser les échanges.
  • être critique mais également pragmatique.
  • avoir des idées cohérentes en lien avec le reste du monde et bénéfiques et non pas développer des fantasmes farfelues irréalistes.
 
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