L'esclavage animalier au sein des cirques et parcs

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion DKKRR
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Salam Aleykoum,

Malgré tout l'amour, toute l'attention semblant développer les soigneurs, vétérinaires ou autres corps de métiers à l'égard des d'animaux se trouvant à leur contact au sein de parcs, cirques ou autres, je pense qu'au fond, leurs actions ne reflètent aucunement ces sentiments.

Tout du moins je ne remets pas en cause la sincérité de ceux-ci (ces sentiments) mais j'ai la certitude que ces gens se fourvoient dans leurs illusions en se trouvant être en
réalité les ennemis de ces mêmes animaux.
En effet, il existe parfois un profond décalage entre ce que l'on croit faire et ce que l'on fait réellement. En l'occurrence cela me semble être le cas dans cette histoire.

Les animaux qui composent ces zoos ainsi que ces cirques sont des animaux sauvages que l'on a originellement arrachés à leurs milieux de vie afin que la contemplation de ceux-ci puissent satisfaire nos bas instincts (notre curiosité en l'occurrence).

L'on peut arguer du fait que ces parcs permettraient la préservation d'espèces en voie d'extinction qui seraient susceptibles d'être réintroduits dans leur habitat naturel à une échéance ultérieure mais, à mon sens, cela ne semble constituer que des prétextes parfaitement erronés et permettant de se défausser mentalement de ses propres contradictions.
En effet, que répondre, tout d'abord, au fait que la majorité des animaux composants ces lieux ne sont nullement menacés d'extinction.
Deuxièmement, tenter de palier artificiellement à un processus naturel en mettant en "esclavage" des animaux constitue t-il une solution préférable ? Mieux vaut-il vivre enfermé ou libre quitte à être confronté à certains grands risques ?

Quoi qu'il en soit, les cirques et les zoos constituent une démonstration supplémentaire de la nature perverse de l'homme qui n'hésite pas à causer du tort à la nature afin de maximiser ses plaisirs sensoriels. Ces prétendus amis des animaux ne sont, nonobstant leurs pensées réelles, que des instruments supplémentaires desservant la cause de ceux entendant réellement préserver la nature.
 
Bonjour débatto @DKKRR et bonne année!

Je suis bien d’accord. Si les animaux pouvaient parler, ils diraient qu’ils sont très malheureux dans leur enclos et qu’ils rêvent de liberté. Mais comme ils ne peuvent pas parler, nous humains on sent moins d’empathie...
 
Salam

Effectivement je doute que les animaux comme les chevaux, éléphants and co soient si épanouies dans leurs vies au cirques ou au zoo j'ai de gros doutes, le regard de certains de ces animaux est tristes voir réprobateurs, malgré les apparats et le bon soin de la part de certains soigneurs ou nourrisseurs....

Après certains on déja peu d'empathies entre humains comment veux tu qu'ils éprouvent de l'empathie pour des animaux, quoi que il y en a qui sont tellement déçu par l'humain que leurs amours est reportés excusivement sur certains animaux.
 
Salam
il y en a qui sont tellement déçu par l'humain que leurs amours est reportés excusivement sur certains animaux.
Aleykoum Salam,

Effectivement. Cela dit, se sont-ils déjà demandés si eux-même n'avaient pas constitué des déceptions également pour d'autres.

En fait, je condamne toutes les violences, non-nécessaires (c-à-d ne visant pas exclusivement, dans un certain respect, à la recherche de leur nourriture et/ou afin d'éliminer des nuisances dangereuses pour les humains), faites aux animaux et ce quel que soit leur genre (mouche; chien; veau; éléphant etc... on ne devrait pas, à mon sens, les hiérarchiser selon leur taille par-ailleurs) et suis, bien entendu, pour que le meilleur traitement leur soit réservé mais cependant, il m'apparaît comme étant une évidence qu'on ne peut raisonnablement les privilégier au détriment du genre humain et ce quelle que soit les malencontreuses expériences que l'on a bien pu éprouver avec nos congénères.

Ainsi, je trouve "dommage" que certains leur vouent un "culte" irraisonnable allant jusqu'à leur accorder une valeur plus importante que le reste des humains (pour les plus "extrémistes").
 
Aleykoum Salam,

Effectivement. Cela dit, se sont-ils déjà demandés si eux-même n'avaient pas constitué des déceptions également pour d'autres.

En fait, je condamne toutes les violences, non-nécessaires (c-à-d ne visant pas exclusivement, dans un certain respect, à la recherche de leur nourriture et/ou afin d'éliminer des nuisances dangereuses pour les humains), faites aux animaux et ce quel que soit leur genre (mouche; chien; veau; éléphant etc... on ne devrait pas, à mon sens, les hiérarchiser selon leur taille par-ailleurs) et suis, bien entendu, pour que le meilleur traitement leur soit réservé mais cependant, il m'apparaît comme étant une évidence qu'on ne peut raisonnablement les privilégier au détriment du genre humain et ce quelle que soit les malencontreuses expériences que l'on a bien pu éprouver avec nos congénères.

Ainsi, je trouve "dommage" que certains leur vouent un "culte" irraisonnable allant jusqu'à leur accorder une valeur plus importante que le reste des humains (pour les plus "extrémistes").

Oui cela ne me choque pas non plus il vaut mieux qu'ils soient aimées d'une manière saine que maltraitées mais effectivement il y à peu de justesse, on entends d'ailleurs parfois, mon chien ne me trahira pas lui, donc il y à une blessure ... Et il y a quelque chose de malsain dans le sens ou si une personne donne trop (exclusif, limite étouffant) d'amour à un chien ou un chat par exemple et que du jour au lendemain cette personne n'a plus le temps ou autre, cela peut aussi être dommageable psychologiquement pour l'animal.

C'est un exercice peu évident la remise en question et l'empathie aussi, il faut essayer de faire confiance un minimum à son prochain ...
 
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