Salam Aleykoum,
Malgré tout l'amour, toute l'attention semblant développer les soigneurs, vétérinaires ou autres corps de métiers à l'égard des d'animaux se trouvant à leur contact au sein de parcs, cirques ou autres, je pense qu'au fond, leurs actions ne reflètent aucunement ces sentiments.
Tout du moins je ne remets pas en cause la sincérité de ceux-ci (ces sentiments) mais j'ai la certitude que ces gens se fourvoient dans leurs illusions en se trouvant être en
réalité les ennemis de ces mêmes animaux.
En effet, il existe parfois un profond décalage entre ce que l'on croit faire et ce que l'on fait réellement. En l'occurrence cela me semble être le cas dans cette histoire.
Les animaux qui composent ces zoos ainsi que ces cirques sont des animaux sauvages que l'on a originellement arrachés à leurs milieux de vie afin que la contemplation de ceux-ci puissent satisfaire nos bas instincts (notre curiosité en l'occurrence).
L'on peut arguer du fait que ces parcs permettraient la préservation d'espèces en voie d'extinction qui seraient susceptibles d'être réintroduits dans leur habitat naturel à une échéance ultérieure mais, à mon sens, cela ne semble constituer que des prétextes parfaitement erronés et permettant de se défausser mentalement de ses propres contradictions.
En effet, que répondre, tout d'abord, au fait que la majorité des animaux composants ces lieux ne sont nullement menacés d'extinction.
Deuxièmement, tenter de palier artificiellement à un processus naturel en mettant en "esclavage" des animaux constitue t-il une solution préférable ? Mieux vaut-il vivre enfermé ou libre quitte à être confronté à certains grands risques ?
Quoi qu'il en soit, les cirques et les zoos constituent une démonstration supplémentaire de la nature perverse de l'homme qui n'hésite pas à causer du tort à la nature afin de maximiser ses plaisirs sensoriels. Ces prétendus amis des animaux ne sont, nonobstant leurs pensées réelles, que des instruments supplémentaires desservant la cause de ceux entendant réellement préserver la nature.
Malgré tout l'amour, toute l'attention semblant développer les soigneurs, vétérinaires ou autres corps de métiers à l'égard des d'animaux se trouvant à leur contact au sein de parcs, cirques ou autres, je pense qu'au fond, leurs actions ne reflètent aucunement ces sentiments.
Tout du moins je ne remets pas en cause la sincérité de ceux-ci (ces sentiments) mais j'ai la certitude que ces gens se fourvoient dans leurs illusions en se trouvant être en
réalité les ennemis de ces mêmes animaux.
En effet, il existe parfois un profond décalage entre ce que l'on croit faire et ce que l'on fait réellement. En l'occurrence cela me semble être le cas dans cette histoire.
Les animaux qui composent ces zoos ainsi que ces cirques sont des animaux sauvages que l'on a originellement arrachés à leurs milieux de vie afin que la contemplation de ceux-ci puissent satisfaire nos bas instincts (notre curiosité en l'occurrence).
L'on peut arguer du fait que ces parcs permettraient la préservation d'espèces en voie d'extinction qui seraient susceptibles d'être réintroduits dans leur habitat naturel à une échéance ultérieure mais, à mon sens, cela ne semble constituer que des prétextes parfaitement erronés et permettant de se défausser mentalement de ses propres contradictions.
En effet, que répondre, tout d'abord, au fait que la majorité des animaux composants ces lieux ne sont nullement menacés d'extinction.
Deuxièmement, tenter de palier artificiellement à un processus naturel en mettant en "esclavage" des animaux constitue t-il une solution préférable ? Mieux vaut-il vivre enfermé ou libre quitte à être confronté à certains grands risques ?
Quoi qu'il en soit, les cirques et les zoos constituent une démonstration supplémentaire de la nature perverse de l'homme qui n'hésite pas à causer du tort à la nature afin de maximiser ses plaisirs sensoriels. Ces prétendus amis des animaux ne sont, nonobstant leurs pensées réelles, que des instruments supplémentaires desservant la cause de ceux entendant réellement préserver la nature.