un peu demago comme message ( de la part de l'israelien) mais c comme ça
Il a dit la vérité, l'Algérie n'a comme ennemi que le Maroc....
Elle a déjà proposé sa collaboration à Israël (se mettre à disposition des israéliens)
Salutations citoyennes,
N. K
Auteur Conversation
invité(e) Posté le : 22/12/2010 10:55 Mis à jour : 22/12/2010 11:04
Re : WIKILEAKS, Driss Djazaïri, heureux de se rendre disp…
Idriss Djazaïri à propos de la médiation en Israël
« Je suis tenu à l’obligation de réserve »
Idriss Djazaïri a-t-il frayé avec l’ennemi de la nation, Israël ? L’ambassadeur et représentant permanent de l’Algérie auprès des Nations unies à Genève s’est ainsi vu cité dans le passage d’un câble de WikiLeaks, qu’« il est impératif de remettre dans son contexte afin d’éviter les dérapages », a commenté, hier, M. Djazaïri.
Dans le câble publié sur le site internet de WikiLeaks, l’on peut lire l’intégralité du compte rendu fait par la sous-secrétaire d’Etat américaine pour la vérification de la conformité et de la mise en œuvre du traité, Rose Gottemoeller. Il y est relaté les différentes interventions, entrevues et réunions restreintes que celle-ci a eues avec les membres de l’ONU, et ce, dans le cadre de la conférence d’examen du traité de non-prolifération nucléaire.
La phrase qui fait polémique ? « Djazaïri a ajouté qu’il se rendrait volontiers disponible pour les Israéliens, et ce, pour une présentation ‘P-6’ aux membres de la conférence pour le désarmement, et durant laquelle il répondrait à leurs préoccupations directement », est-il mentionné dans le rapport. « Cette phrase ne peut en aucun cas être interprétée sortie de son contexte », objecte le diplomate algérien. Mais quel est d’ailleurs ce contexte ? « Je suis tenu à l’obligation de réserve, et je ne peux m’exprimer que sous approbation de mon ministère des Affaires étrangères, auquel je viens d’envoyer un rapport explicatif quant à cette déclaration », explique-t-il. Il tient toutefois à rappeler qu’il est président de la Conférence sur le désarmement à l’ONU, et que, de ce fait, tout ce qui a été rapporté dans le câble diplomatique américain a été « effectué dans l’exercice de ses fonctions ». « Je suis mandaté par mon ministère de tutelle, et je ne fais que reproduire ses instructions », ajoute-t-il.
Les responsables du ministère des Affaires étrangères, joints hier par téléphone, étaient, jusqu’à dans l’après-midi, en réunion. « Nous faisons le point afin de préparer des explications », a affirmé le chargé de la communication au sein du ministère, M. Belani. Ce qui, en soit, représenterait une première, tant aucune autorité ou personnalité algérienne n’a réagi aux informations publiées par WikiLeaks et largement reprises par la presse.
Ghania Lassal