A très bien ! Continue de me lire dans ce cas
Lire un livre de philosophie est il une bonne chose
- Initiateur de la discussion compassion
- Date de début
je ne manquerai pas je lis toutes les formes d'intelligences
C'est en lisant l'intelligence des autres que tu peux enrichir la tienne, tu ne penses pas?
C'est en lisant l'intelligence des autres que tu peux enrichir la tienne, tu ne penses pas?
bien sur que si c'est ce que je dis depuis le début (développé) mais que tu essais de me faire dire l'inverse
Honnêtement non .
L’intelligence est un non sens, on es plus ou moins cultivé, dégourdi, logique, pragmatique !
Lire des personnes qui maîtrise mieux le langage est la réplique nous permet d’assimiler leur façon de s’exprimer et de vendre leur perception du monde mais nous rend pas plus intelligent
Salut,
Le philosophe est censé s'interroger ... Ce n'est pas un comportement exclusif ni propre aux seuls filousophes, c'est à la portée de tout un chacun, comme le bon sens est répandu ...
A quoi cela sert de se poser la question de savoir si l'on peut couper un cheveux en quatre quand on sait qu'il est composé de milliards d'atomes ( quarks etc ...).
On peut mettre au point un logiciel d'interrogations potentielles systématiques, mais comme pour l'I.A on en entrevoit les limites.
Comment un filousophe peut-il dépasser ou contourner le théorème d'incomplétude ?
Nos modélisations et représentations seront toujours grossières.
Bref, se poser les bonnes questions sur des sujets d'intérêts concrets suffit largement et ne nécessite pas la connaissance d'un verbiage flou et sophistiqué.
Le philosophe est censé s'interroger ... Ce n'est pas un comportement exclusif ni propre aux seuls filousophes, c'est à la portée de tout un chacun, comme le bon sens est répandu ...
A quoi cela sert de se poser la question de savoir si l'on peut couper un cheveux en quatre quand on sait qu'il est composé de milliards d'atomes ( quarks etc ...).
On peut mettre au point un logiciel d'interrogations potentielles systématiques, mais comme pour l'I.A on en entrevoit les limites.
Comment un filousophe peut-il dépasser ou contourner le théorème d'incomplétude ?
Nos modélisations et représentations seront toujours grossières.
Bref, se poser les bonnes questions sur des sujets d'intérêts concrets suffit largement et ne nécessite pas la connaissance d'un verbiage flou et sophistiqué.