Livrés à eux-mêmes en plein coeur de paris, des enfants plongent dans la toxicomanie et la violence

Drianke

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Ces mineurs marocains perdus à Paris (Reportage TF1)


L’émission Sept à Huit de TF1 à tourné un reportage sur des jeunes marocains clandestins dans le 18e agrandissement de Paris.


D’après TF1 :

Ils seraient une centaine et les plus jeunes n’ont que 9 ans. Des enfants et adolescents livrés à eux-mêmes, souvent drogués à la colle, sont arrivés à Paris depuis le Maroc via l’Espagne il y a quelques semaines. Les riverains constatent, désemparés, leur présence. Leur prise en charge est particulièrement compliquée.

Certains dorment dans des voitures Autolib’. D’autres squattent des maisons abandonnées. Plusieurs consomment des drogues ou sniffent de la colle sans connaître la dangerosité de cette pratique. Les riverains, eux, constatent, désemparés, la présence de ces jeunes adolescents dont certains sont responsables d’agression dans le quartier.

http://www.rifonline.net/Ces-mineurs-marocains-perdus-a-Paris-Reportage-TF1_a1379.html
 
Si les procédures d'adoption étaient moins lourdes et compliquées ces enfants auraient été pris en charge des leur plus jeune âge par des familles prêtes à leur offrir un foyer :(
Si les conditions de leur pays de naissance étaient correctes, ces jeunes n'auraient pas besoin de s'exiler.
Tu ne verras jamais un jeune européen faire le voyage inverse.
La solution doit venir du pays d'origine.
 

Drianke

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Des "enfants des rues" marocains à Paris : un phénomène inédit en France
Dernière modification : 15/05/2017


Depuis plusieurs semaines, une trentaine d’enfants marocains, dont les plus jeunes sont âgés de 10 ans, squattent dans un parc du nord de Paris. Réputés toxicomanes et violents, ils déconcertent l’État et les associations confrontés pour la première fois à ce phénomène. InfoMigrants est allé à la rencontre de ces mineurs sans-papiers.

Ce jeudi 29 mars, ils ne sont que cinq dans le petit square Alain Bashung, au cœur du quartier populaire de la Goutte d’Or à Paris. Cinq jeunes garçons, presque tous habillés de la même façon, jogging usé et baskets Nike. Il est 10h du matin. Difficile d’établir un contact. Ils parlent fort, provoquent, insultent et font de grands gestes pour impressionner les journalistes présents.

Issam, 20 ans, Salah, 19 ans, Hamza, 11 ans et leurs deux copains d’environ 14 ans, traînent depuis plusieurs semaines dans ce petit parc d’enfants, également squatté par quelques SDF et quelques Roms, mais déserté par les familles du quartier. Le square Alain Bashung, c’est leur repaire, leur QG. Habituellement, ils sont une trentaine à y écumer les bancs. On sait peu de choses d’eux hormis qu’ils viennent du Maroc, qu’ils ont transité par l’Espagne avant d'arriver sur le sol français, et qu’ils sont presque tous mineurs.

Harcelé par les médias

A notre arrivée, Issam, les yeux rouges et hagards, explique en arabe que les journalistes "il va les buter". De l’esbroufe, évidemment, mais qui traduit son exaspération d’être quotidiennement "harcelé" par les médias. Quelques minutes suffisent à le calmer et à engager la discussion.

Issam ne cache pas qu’il a consommé de la drogue. Il titube légèrement, s’adresse à nous, tantôt en arabe, tantôt en espagnol. "Je suis allé en Espagne et en Allemagne. J’ai eu une copine là-bas d’ailleurs. Maintenant je suis ici", finit-il par lâcher, de meilleure humeur, et en se vantant de ses expériences de jeunesse. Issam, qui ne précise pas les dates de son trajet, a dû arriver à Paris il y a peu de temps : il ne parle presque pas le français. Qu’importe, il ne veut pas rester : "Je vais bientôt partir", reprend-il, "je veux aller en Suisse".

"Délinquance de survie" et addiction à la drogue

Depuis plusieurs jours, les médias français s’interrogent sur la présence de ces "enfants des rues" originaires du Maroc. L’association Hors la Rue, qui travaille avec les mineurs isolés, les a approchés pour la première fois à la mi-janvier. "C’est à cette époque que nous avons été alertés de leur présence dans le 18e arrondissement de Paris", explique Séverine Canale, responsable communication de l’association, contactée par InfoMigrants. "Ce que nous avons constaté d’emblée, c’est qu’ils ne sont pas si différents des autres publics mineurs que nous accompagnons comme les enfants d’Europe de l’Est. Ils suivent les mêmes modalités de fonctionnement, les codes de la rue, s’adonnent à de la ‘délinquance de survie’, traînent en bande…"

Reste que ces jeunes Marocains ont une spécificité particulière : la consommation de drogue. "Une poignée d’entre eux ont une addiction aux drogues, c’est vrai [au shit et à la colle, notamment, NDLR]. C’est quelque chose de nouveau pour nous", reconnaît Hors la Rue. Jugés agressifs par les riverains et les commerçants alentours, ils se livrent parfois à des scènes d’une violence hallucinante : selon un témoignage recueilli par France Info, l’un d’entre eux a été victime d’une tentative d’égorgement par un autre jeune de sa bande.
 

belgika

Vis et meurs entre les 2 fais de ton mieux
VIB
pourtant ce ne sont pas les "expats" qui manquent à l'appel... du gain,certains sont même employés par des firmes;entreprises comme "faire valoir" :)
et ce ne sont pas des citoyens lambdas diplômés,compétents,qui manquent sur place



Si les conditions de leur pays de naissance étaient correctes, ces jeunes n'auraient pas besoin de s'exiler.
Tu ne verras jamais un jeune européen faire le voyage inverse.
La solution doit venir du pays d'origine.
 
le petit il a 14 ans mais qu'est ce qu'il fout sur un autre continent ? franchement les parents doivent étre jeté en prison et battu.
Ses parents sont, dit-il, restés à Fès.
fès c la misère social comme j'en ai jamais vu et de la délinquance. très dangereuse la ville la nuit dans certains quartiers
 
Quelle honte pour le Maroc, il aura fallu que les autorités françaises les interpelle pour regarder enfin le problème...
et dire qu'au Maroc les gens sont contraint de supporter ce spectacle toute l'année.

Pas vraiment . Ce qui pouvait être vrai à Marrakech par exemple , il y a une quarantaine d'années , ne l'est plus du tout aujourd'hui . ( je vis au Maroc depuis 1975 )
 

Drianke

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Apparemment ce sujet remonte à la surface mais dans l'international alors qu'on suivait ça déjà depuis 2017....
 

Drianke

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A Paris, l’insoluble question des enfants des rues

Le nombre d’interpellations de mineurs isolés marocains est en hausse à Paris. Les autorités s’arrachent les cheveux pour traiter le cas de ces enfants de la rue, à la fois délinquants et victimes.
Sur l’escalator qui mène à la station Barbès-Rochechouart (Paris XVIIIe), un adolescent à la silhouette efflanquée, flottant dans un t-shirt orange, se glisse derrière une vieille dame voûtée. Un regard prudent en arrière et il se jette sur sa proie, la faisant chuter lourdement sur la tête. Bilan : un collier en toc dérobé et une hospitalisation dans un état sérieux… Cette scène violente, filmée fin juillet par les caméras de la RATP, illustre une délinquance qui préoccupe les autorités au plus haut niveau. Celle des mineurs marocains isolés à Paris, installés dans le quartier de la Goutte d’Or.

Livrés à eux-mêmes, ils errent dans les rues, à la recherche de menus larcins pour survivre. Un casse-tête tant sécuritaire qu’humanitaire : la justice et les services de l’enfance peinent à trouver les réponses pénales et éducatives adaptées à ces migrants, délinquants ingérables mais aussi victimes de la rue à protéger.

« Ils sont très jeunes, parfois âgés de 9 ou 10 ans, et déjà très abîmés, résume Laëtitia Dhervilly, vice-procureure de Paris et cheffe de la section des mineurs. Abîmés physiquement en raison des violences de rues et des violences qu’ils s’imposent entre eux. Mais aussi abîmés psychiquement car ils sont polytoxicomanes. Ils refusent tout contact avec l’adulte et prise en charge. »

leparisien
 

Drianke

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Délinquance des mineurs étrangers : bientôt des policiers marocains à Rennes ?

Le député LREM d’Ille-et-Vilaine Mustapha Laabid veut déposer un projet de loi pour apporter des réponses à l’accueil des mineurs étrangers isolés. Des policiers marocains pourraient notamment être amenés à intervenir à Rennes pour aider à identifier des jeunes auteurs d’actes de délinquance.

La piste avait déjà été avancée par les policiers, le procureur de Rennes et le préfet de Région Bretagne. Le député Mustapha Laabid veut déposer un projet de loi « pour aborder différemment l’accueil des mineurs étrangers isolés en France. On travaille notamment avec le Maroc pour faire en sorte que l’expérimentation qui se déroule à Paris puisse être étendue à Rennes et ailleurs. »

Même expérimentation qu’à Paris

Depuis la mi-juin, des agents des ministères marocains de l’Intérieur et des Affaires sociales collaborent avec les policiers français pour aider à identifier « ces jeunes en errance dans les rues » du 18e arrondissement de Paris, souligne Mustapha Laabid. « Car une des difficultés est de déterminer d’où viennent ces jeunes. »

Ces policiers marocains pourraient également être amenés à travailler à Rennes. « Ponctuellement », insiste le député rennais.

Une rencontre avec le ministre cette semaine

Quand cette expérimentation pourrait-elle démarrer ? « Le Maroc m’a déjà donné son accord, assure Mustapha Laabid, qui préside également le groupe d’amitié France-Maroc. Et j’ai rendez-vous avec le ministre de l’Intérieur cette semaine. »

Faits de délinquance

Fin août, Christophe Mirmand, préfet d’Ille-et-Vilaine et de la région Bretagne, annonçait déjà que « des liens avec l’ambassade du Maroc [avaient] été noués pour permettre le retour [de ces mineurs étrangers isolés] avec prise en charge dans leur pays d’origine ».

Cette annonce fait notamment suite à une recrudescence de la délinquance à Rennes et dans d’autres grandes villes de France, commis par des groupes de mineurs étrangers isolés, ou se présentant comme tels.

Des jeunes à ne pas confondre avec les 500 mineurs non accompagnés (MNA) pris en charge par l’aide sociale à l’enfance en Ille-et-Vilaine. « Il s’agit bien de délinquants qui revendiquent la qualité de mineurs isolés étrangers (MIE) », précise Vincent Le Borgne, directeur départemental adjoint de la sécurité publique en Ille-et-Vilaine.

« Ils commettent des infractions de manière répétée, ajoute le procureur de la République de Rennes, Nicolas Jacquet. La difficulté est qu’il y a un renouvellement permanent de ces jeunes. Ceux de cet été ne sont pas les mêmes que ceux que nous interpellions en début d’année. »

Identifier plus rapidement ces mineurs

Pour Mustapha Laabid, la collaboration avec les services de sécurité marocains permettra d’identifier plus rapidement ces mineurs, afin de faciliter le travail de la justice après des interpellations, et de permettre qu’ils soient raccompagnés vers leurs pays d’origine.

Mustapha Laabid évoque aussi la possibilité d’« un accueil de mineurs étrangers dans des familles rennaises volontaires, afin de mieux les intégrer ».
https://www.ouest-france.fr/bretagn...ientot-des-policiers-marocains-rennes-5972858
 
il ne reste d'enfant que le nom malheureusement il n'y a plus rien d'un enfant chez ces gosses,ce sont des drogués et pas n'importe kel drogue,leur cerveaux est celui d'un animal sauvage ce sont des assassins,voleurs dans leur tête c'est la loi de la jungle ,c'est pas possible de laissé ça dans la nature c'est comme si demain on lâche les tigres lions ect dans les villes

punaise quesque les autorités attendent pour ramassé tout ça,et les assos elles sont ou? et pourquoi freine t'ils leur expulsions? ils attendent qu'il y ai combien de mort pour agir?ils sont à dix sur une grand mère ou jeune fille avec des armes blanches ils peuvent descendre mème un mec!

on avait une marée noir de jeunes roumaines voleuses agressive aujourd'hui ces gosses marocains sans compté tout les à cotés,mon dieu!!! il reste plus qu' libéré les psychopathes et criminels des prisons ca fera aucune différence!
 
il ne reste d'enfant que le nom malheureusement il n'y a plus rien d'un enfant chez ces gosses,ce sont des drogués et pas n'importe kel drogue,leur cerveaux est celui d'un animal sauvage ce sont des assassins,voleurs dans leur tête c'est la loi de la jungle ,c'est pas possible de laissé ça dans la nature c'est comme si demain on lâche les tigres lions ect dans les villes

punaise quesque les autorités attendent pour ramassé tout ça,et les assos elles sont ou? et pourquoi freine t'ils leur expulsions? ils attendent qu'il y ai combien de mort pour agir?ils sont à dix sur une grand mère ou jeune fille avec des armes blanches ils peuvent descendre mème un mec!

on avait une marée noir de jeunes roumaines voleuses agressive aujourd'hui ces gosses marocains sans compté tout les à cotés,mon dieu!!! il reste plus qu' libéré les psychopathes et criminels des prisons ca fera aucune différence!


Exactement !

Voilà pourquoi je dis que ce serait bcp mieux pour ces jeunes de retourner au Maroc.

Et que le Roi prennent en charge leur soins !!!
Nanais c'est honteux de les laisser comme ça.

Les associations n'ont d'associations que le nom !!!
Ils font quoi ? Leurs disent de se cacher qd les autorités marocaines sont là pour eux.
Et après ??? "ils veulent pas se soigner et s'intégrer" donc on les laisse.

Honteux.

A croire que c'est fait exprès.
 
L’etat ne trouvant aucune solution bientôt les gens de ce quartier se feront justice eux mêmes ...
Hélas oui... Mes lectures des forums du Figaro et du Monde confirment : si l'Etat est défaillant dans ses rôles régaliens (et il l'est de plus en plus), d'abord les gens se débrouillent eux-mêmes gentiment puis passent à plus fort. Les milices que certains ici comme @shlopo (tu vois, moi aussi, je peux te taguer pour rien sur un sujet à la noix, sauf que moi, je peux sortir le post où tu dis "vivement les milices" contrairement à tes calomnies me concernant ne reposant sur rien) exhortent risquent d'arriver plus vite qu'on ne le pense... Et ce sera le début de la fin:pleurs:
 

Drianke

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Enfants des rues à Paris : une rallonge de 519000 € pour le plan d’urgence

Face à l’inextricable situation des enfants errants de la Goutte-d’Or (XVIIIe), la Ville vient de débloquer une nouvelle enveloppe, et demande à l’Etat une aide financière et des moyens policiers.
Depuis 2017, les tentatives d’accompagnement des « enfants des rues » auront déjà coûté au total plus d’1,2 M€ à la Ville seule, faute de réponse de l’Etat, sollicité pour cofinancer le dispositif.

Lors du dernier Conseil de Paris, une enveloppe supplémentaire de 519 000 € a été débloquée pour que le Centre d’action sociale protestant (Casp) et Diagnostic et Trajectoires — qui œuvrent auprès des mineurs marocains polytoxicomanes et ultra-violents, qui ont élu domicile depuis près de deux ans dans le quartier de la Goutte d’Or (XVIIIe) comme nous l’évoquions le 20 septembre dernier dans nos colonnes — poursuivent leur travail jusqu’à la fin de l’année 2018.


En 2017, et moyennant une subvention de 685 000 €, le Casp a mis, non sans difficultés, un projet d’accompagnement pour ces jeunes en errance physique et psychique, consommateurs quotidiens de colle, cannabis, alcool et benzodiazépines qui multiplient les vols et agressions, et refusent le plus souvent toute prise en charge. « 7 jours sur 7, une équipe de 15 éducateurs de rue et médiateurs spécialisés est sur le terrain », détaille la Ville. Mais, compte tenu de la montée en charge du dispositif, d’autres recrutements sont nécessaires.

Maraudes, offre de soins et d’hébergement dans un site d’accueil de jour de la rue Marcadet (XVIIIe), et celui de nuit, dans le XIe, suivi quotidien, le Casp est parvenu à approcher certains enfants malgré les difficultés. Quelque 130 jeunes qui sont passés par la Goutte d’Or ont pu être accompagnés par les éducateurs. « Et surtout identifiés, ce qui est l’une des difficultés majeures, souligne la Ville, les mineurs utilisant de nombreux alias »......

http://m.leparisien.fr/paris-75/par...pour-le-plan-d-urgence-01-10-2018-7908390.php
 
Hélas oui... Mes lectures des forums du Figaro et du Monde confirment : si l'Etat est défaillant dans ses rôles régaliens (et il l'est de plus en plus), d'abord les gens se débrouillent eux-mêmes gentiment puis passent à plus fort. Les milices que certains ici comme @shlopo (tu vois, moi aussi, je peux te taguer pour rien sur un sujet à la noix, sauf que moi, je peux sortir le post où tu dis "vivement les milices" contrairement à tes calomnies me concernant ne reposant sur rien) exhortent risquent d'arriver plus vite qu'on ne le pense... Et ce sera le début de la fin:pleurs:

Les grands mots...calomnie carrement...
Je vais me fatiguer à mentir pour un type comme toi, tu rêves eveillé mon vieux.

Quand on fout la mer.de partout dans le monde faut s'attendre à être éclaboussé.
Le flots de migrants ne s'arrêtera jamais, de toute manière ça arrange bien vos élites, de la main d'oeuvre sous payée, sauf que j'ai bien l"impression que ceux qui arrivent, ne comptent pas travailler pour 500 euros par mois...
 
une enveloppe supplémentaire de 519 000 € a été débloquée pour que le Centre d’action sociale protestant (Casp) et Diagnostic et Trajectoires

je vais créer une assoc tout de suite pour ramasser une partie du magot moi aussi .....

bien entendu j'en ai rien à cirer des "gosses" , des habitants de la Goutte d'Or , des victimes de vols et d'agressions ...

je ne vais penser qu'à moi ... :npq: :npq:
 

Drianke

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c'est posté 2 post au dessus...sinon tu vas participer à cette enveloppe j'espère...
une enveloppe supplémentaire de 519 000 € a été débloquée pour que le Centre d’action sociale protestant (Casp) et Diagnostic et Trajectoires
 

Drianke

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INFO LE POINT.
Paris : six faux mineurs délinquants marocains expulsés

Les services de la préfecture de police de Paris viennent de faire état des premiers résultats de la coopération franco-marocaine contre les mineurs délinquants marocains.
 

Drianke

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42 "faux mineurs" marocains identifiés à Paris, six expulsés vers le Maroc

Depuis cet été, trois agents consulaires marocains sont chargés d'identifier ces jeunes en vue de les expulser.



IMMIGRATION - C’est l’une des questions épineuses de la coopération franco-marocaine. Celle des mineurs marocains arrivés clandestinement à Paris et dont le nombre a fortement augmenté depuis 2017. Regroupés en majorité dans les rues du 18e arrondissement de la capitale française, notamment dans les quartiers de la Goutte d’Or, La Chapelle et Barbès, s’adonnent à de la petite délinquance, la plupart du temps sous l’emprise de la drogue.

Après la médiatisation de leurs cas, différents acteurs sociaux et étatiques français ont tenté de gérer la situation jusqu’à un accord passé cet été entre le Maroc et la France pour venir à bout du problème. Depuis, trois agents consulaires marocains sont ainsi chargés d’aider quotidiennement la police française du 18e arrondissement pour identifier ces jeunes en vue de les expulser.

Selon Le Point, qui a eu accès à une note des services de la préfecture de police de Paris, “42 Marocains qui se faisaient passer pour mineurs étaient majeurs” sur les 219 dossiers étudiés depuis le lancement de la coopération franco-marocaine en la matière.

Parmi eux, huit se sont vu signifier une obligation de quitter le territoire français, indique l’hebdomadaire. Six ont déjà été reconduits au Maroc, un se trouverait encore dans un centre de rétention administrative en France, et le huitième aurait “fugué” et serait actuellement recherché, précise le magazine.

Autres chiffres signifiants: depuis janvier 2018, 1552 mineurs marocains ont été interpellés par les services de sécurité parisiens (contre 813 pour toute l’année 2017), et 1450 ont été placés en garde à vue, dont 806 sont passés devant la justice. Parmi eux, 21 ont été placés en détention provisoire.

Lors d’un reportage effectué par le HuffPost Maroc en mai 2017, plusieurs mineurs marocains interrogés assumaient d’avoir quitté le Maroc, un pays qui, selon leurs dires, leur offrait peu de chances de s’en sortir. Les jeunes racontaient également qu’ils étaient déscolarisés au Maroc et n’avaient aucune perspective d’évolution.

D’autres, arrivés à Paris depuis un an et bénéficiant du programme de la protection de l’enfance, avaient de leur côté fait part de leur désillusion. “En venant ici, je pensais trouver beaucoup de choses. Je pensais pouvoir travailler, trouver une fille de bonne famille. Mais ici, nous avons vu des gens sans papiers dormir dans la rue. Les gens pensent que la mendicité n’existe qu’au pays”, nous confiait l’un d’entre eux.

huffpost maghreb
 

Drianke

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France : Les mineurs étrangers malmenés par la loi asile et immigration

Des responsables politiques et avocats s’indignent du traitement réservé aux mineurs étrangers qui arrivent sur le sol français, qui ne fait qu’aggraver leur précarité, estiment-ils.

Plus de six mois après son adoption le 10 septembre 2018, la loi asile et immigration, qui avait suscité des débats houleux au sein de l’hémicycle, continue de faire l’objet de vives critiques. Dans une tribune publiée mercredi 3 juillet dans le journal Libération, un collectif de personnalités politiques, ainsi que le Syndicat des avocats de France (SAF), dénoncent le durcissement et la répression de plus en plus marqués de la politique migratoire du gouvernement, en l’occurrence à l’égard des mineurs étrangers.

Les signataires s’alarment notamment de l’enfermement de ces mineurs. «En 2018, 208 enfants étrangers ont été enfermés dans des centres de rétention administrative en France métropolitaine. En zone d’attente en 2018, uniquement pour l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, 513 mineurs ont été enfermés, dont 134 mineurs isolés», rappellent-ils.

«La République se rend ici coupable d’une violation caractérisée des droits de l’enfant comme en attestent les six condamnations, prononcées par la Cour européenne des droits de l’Homme depuis 2012 à l’endroit de la France pour des mesures d’enfermement de mineurs.»
Tribune du collectif

Les signataires demandent au gouvernement «de se conformer sans délai aux engagements de la Convention internationale des droits de l’enfant, en interdisant l’enfermement des mineurs et en garantissant un accès effectif à leurs droits».

Une loi qui encourage les violations des droits des mineurs étrangers

Myriam Laïdouni-Denis, conseillère régionale d’Auvergne-Rhône-Alpes et membre de l’Association nationale des villes et territoires accueillants (ANVITA), qui figure parmi les signataires, est la coauteure de cette tribune avec le sénateur de l’Isère Guillaume Gontard. Contactée par Yabiladi, elle rappelle que «les violations des droits des mineurs étrangers ne datent pas de la loi asile et immigration». «Les faits qu’on évoque dans cette tribune sont antérieurs à l’adoption de cette loi qui, en réalité, n’a fait qu’entériner des pratiques qui avaient déjà eu lieu auparavant. C’est comme si elle donnait toute latitude à la poursuite de ces violations», s’indigne-t-elle.

«Les droits des mineurs étrangers ne sont pas optionnels : ils sont indivisibles de ceux des mineurs français.»
Myriam Laïdouni-Denis

«Il y a vraiment peu de choses qui fonctionnent dans la protection et l’accompagnement des mineurs isolés en France», nous confirme Violaine Husson, responsable des questions Genre et Protections à la Cimade, une association qui vient en aide aux étrangers en situation irrégulière, entre autres. «Sur le front de l’hébergement, la scolarisation et les soins de santé, c’est catastrophique, tranche-t-elle. Et même lorsqu’ils sont pris en charge, il n’y a pas d’accompagnement vers la sortie du dispositif de l’aide sociale à l’enfance pour pouvoir accéder à un titre de séjour. Pour les demandes d’asile, idem : c’est le parcours du combattant.»




à suivre
 

Drianke

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Le fichier biométrique dans le viseur des associations

Ce que Violaine Husson constate avant tout, c’est cette suspicion généralisée à l’égard des enfants étrangers «justement parce qu’ils sont étrangers». Les autorités font donc peu cas de ces jeunes arrivants, soupçonnés de mentir sur leur âge pour bénéficier d’une protection. La responsable associative dénonce des éléments spécifiques à la situation des enfants étrangers, «intégrés pour la première fois dans un texte législatif sur l’asile et l’immigration, alors qu’en France, le système de la protection de l’enfance ne fait pas de distinction entre les enfants français et les enfants étrangers».

«On se retrouve avec des protections à plusieurs vitesses entre les enfants français et les enfants étrangers. L’arrivée des enfants étrangers en France, qui a été un peu plus importante ces dernières années, a mis en lumière les dysfonctionnements de l’aide sociale à l’enfance.»
Violaine Husson


Violaine Husson s’inquiète par ailleurs des conséquences du fichier biométrique créé par la loi asile et immigration, qui rassemble les empreintes digitales et les données de tous les jeunes étrangers évalués mineurs à leur arrivée en France, pour faciliter leur prise en charge selon les pouvoirs publics. «Ce fichier biométrique remet en cause l’intérêt supérieur de l’enfant et la protection de la vie privée puisqu’un certain nombre de personnes qui ne relèvent pas de la protection de l’enfance ont accès à ces données», précise-t-elle. Depuis le déploiement de ce dispositif sur tout le territoire national, Violaine Husson observe une baisse du nombre de mineurs qui sollicitent une aide et, par conséquent, un renforcement de leur invisibilité et de leur précarité.

Car leurs premiers interlocuteurs sont désormais les commissariats ou les préfectures, «pour vérifier et croiser les données et leurs empreintes digitales dans différents fichiers», alors que ce devrait être les services de l’aide sociale à l’enfance, répartis dans les 101 départements français. Plus inquiétant encore, dans le cas où les données des mineurs sont recensées dans d’autres fichiers, une mesure d’éloignement peut être prise «alors même que le jeune n’a pas eu la possibilité de saisir le juge des enfants». «Des enfants peuvent donc être expulsés sans qu’aucune autorité judiciaire n’ait examiné leur situation», fustige encore la responsable des questions Genre et Protections à la Cimade.

Le Conseil constitutionnel examinera mardi 9 juillet la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) posée par les 22 organisations de la Cimade au sujet de l’article 51 de la loi asile et immigration relatif au fichier biométrique des mineurs non accompagnés. «Nous attendons qu’il reconnaisse l’atteinte injustifiée et disproportionnée que porte cet article à l’exigence constitutionnelle de protection de l’intérêt supérieur de l’enfant et au droit au respect de la vie privée et dénonçons l’impact dramatique de ce fichier sur la protection de ces enfants vulnérables», réclame l’association dans un communiqué publié hier.

à suivre
 

Drianke

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Aussitôt arrivés, aussitôt expédiés

Des abus, Myriam Laïdouni-Denis en observe aussi dans les centres d’accueil des mineurs étrangers. Fin novembre 2018, avec Guillaume Gontard, elle a saisi le Défenseur des droits concernant le centre Alpha de Saint-Clément-les-Places (Rhône), dont une visite lui a été refusée. «Dans ce centre éloigné de tout, les mineurs ne reçoivent pas de soins ou d’assistance psychologique, après tout ce qu’ils ont enduré durant leur parcours migratoire. Ils n’ont pas non plus accès à la scolarité et à des informations pour pouvoir effectuer des démarches administratives», témoigne Myriam Laïdouni-Denis, qui précise que plusieurs adolescents accueillis dans ce centre ont préféré fuir. «Cet éloignement, c’est une manière de les mettre à l’écart, d’attendre qu’ils aient 18 ans pour pouvoir les expulser», estime l’élue écologiste, dont les revendications peinent à être entendues dans un département dirigé par «la droite dure», en l’occurrence par l’ancien président des Républicains Laurent Wauquiez.

Avant l’épisode de Saint-Clément-les-Places, Myriam Laïdouni-Denis et Guillaume Gontard avaient effectué, le 31 mars 2018, une visite surprise à la gare de Menton Garavan et au poste de la police aux frontières de Menton Pont Saint-Louis, près de la frontière italienne. Ils avaient notamment pu prendre connaissance des formulaires de refus d’entrée avant qu’ils ne soient remis à la police italienne, d’après le compte-rendu relatif à cette action, constatant que sur certains, les dates de naissance étaient corrigées «pour rendre des mineurs majeurs».

A Yabiladi, Myriam Laïdouni-Denis fait état, concernant cette action, de «droits de demande d’asile bafoués» et de «mineurs automatiquement renvoyés en Italie, avant même qu’ils aient pu solliciter l’aide sociale à l’enfance». A l’issue de cette intervention, elle et Guillaume Gontard ont fait un signalement au procureur de la République de Nice, conjointement avec le Syndicat des avocats de France et la Ligue des droits de l’Homme. A la suite des éléments qui lui ont été transmis, le procureur a ouvert une enquête.


yabi
 
A

AncienMembre

Non connecté
Ca fait 2 ans que ca dure... Et on n'en a pas fini.

comment se fait il que les autorités de 2 pays sont dépassées par une bande de gamins toxico ?

pourquoi faut il 2 ans pour que les premières mesurettes se mettent en place, deux ans durant lesquels ces gosses sont restés à la rue à se droguer et à voler les gens du quartier ?
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Ca fait 2 ans que ca dure... Et on n'en a pas fini.

comment se fait il que les autorités de 2 pays sont dépassées par une bande de gamins toxico ?

pourquoi faut il 2 ans pour que les premières mesurettes se mettent en place, deux ans durant lesquels ces gosses sont restés à la rue à se droguer et à voler les gens du quartier ?


bonnes questions


mam
 

mam80

la rose et le réséda
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Le fichier biométrique dans le viseur des associations

Ce que Violaine Husson constate avant tout, c’est cette suspicion généralisée à l’égard des enfants étrangers «justement parce qu’ils sont étrangers». Les autorités font donc peu cas de ces jeunes arrivants, soupçonnés de mentir sur leur âge pour bénéficier d’une protection. La responsable associative dénonce des éléments spécifiques à la situation des enfants étrangers, «intégrés pour la première fois dans un texte législatif sur l’asile et l’immigration, alors qu’en France, le système de la protection de l’enfance ne fait pas de distinction entre les enfants français et les enfants étrangers».

«On se retrouve avec des protections à plusieurs vitesses entre les enfants français et les enfants étrangers. L’arrivée des enfants étrangers en France, qui a été un peu plus importante ces dernières années, a mis en lumière les dysfonctionnements de l’aide sociale à l’enfance.»
Violaine Husson


Violaine Husson s’inquiète par ailleurs des conséquences du fichier biométrique créé par la loi asile et immigration, qui rassemble les empreintes digitales et les données de tous les jeunes étrangers évalués mineurs à leur arrivée en France, pour faciliter leur prise en charge selon les pouvoirs publics. «Ce fichier biométrique remet en cause l’intérêt supérieur de l’enfant et la protection de la vie privée puisqu’un certain nombre de personnes qui ne relèvent pas de la protection de l’enfance ont accès à ces données», précise-t-elle. Depuis le déploiement de ce dispositif sur tout le territoire national, Violaine Husson observe une baisse du nombre de mineurs qui sollicitent une aide et, par conséquent, un renforcement de leur invisibilité et de leur précarité.

Car leurs premiers interlocuteurs sont désormais les commissariats ou les préfectures, «pour vérifier et croiser les données et leurs empreintes digitales dans différents fichiers», alors que ce devrait être les services de l’aide sociale à l’enfance, répartis dans les 101 départements français. Plus inquiétant encore, dans le cas où les données des mineurs sont recensées dans d’autres fichiers, une mesure d’éloignement peut être prise «alors même que le jeune n’a pas eu la possibilité de saisir le juge des enfants». «Des enfants peuvent donc être expulsés sans qu’aucune autorité judiciaire n’ait examiné leur situation», fustige encore la responsable des questions Genre et Protections à la Cimade.

Le Conseil constitutionnel examinera mardi 9 juillet la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) posée par les 22 organisations de la Cimade au sujet de l’article 51 de la loi asile et immigration relatif au fichier biométrique des mineurs non accompagnés. «Nous attendons qu’il reconnaisse l’atteinte injustifiée et disproportionnée que porte cet article à l’exigence constitutionnelle de protection de l’intérêt supérieur de l’enfant et au droit au respect de la vie privée et dénonçons l’impact dramatique de ce fichier sur la protection de ces enfants vulnérables», réclame l’association dans un communiqué publié hier.

à suivre
 

mam80

la rose et le réséda
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@Drianke


<On se retrouve avec des protections à plusieurs vitesses entre les enfants français et les enfants étrangers. L’arrivée des enfants étrangers en France, qui a été un peu plus importante ces dernières années, a mis en lumière les dysfonctionnements de l’aide sociale à l’enfance.»

Violaine Husson


Violaine Husson s’inquiète par ailleurs des conséquences du fichier biométrique créé par la loi asile et immigration, qui rassemble les empreintes digitales et les données de tous les jeunes étrangers évalués mineurs à leur arrivée en France, pour faciliter leur prise en charge selon les pouvoirs publics. «Ce fichier biométrique remet en cause l’intérêt supérieur de l’enfant et la protection de la vie privée puisqu’un certain nombre de personnes qui ne relèvent pas de la protection de l’enfance ont accès à ces données», précise-t-elle. Depuis le déploiement de ce dispositif sur tout le territoire national, Violaine Husson observe une baisse du nombre de mineurs qui sollicitent une aide et, par conséquent, un renforcement de leur invisibilité et de leur précarité.


Car leurs premiers interlocuteurs sont désormais les commissariats ou les préfectures, «pour vérifier et croiser les données et leurs empreintes digitales dans différents fichiers», alors que ce devrait être les services de l’aide sociale à l’enfance, répartis dans les 101 départements français. Plus inquiétant encore, dans le cas où les données des mineurs sont recensées dans d’autres fichiers, une mesure d’éloignement peut être prise «alors même que le jeune n’a pas eu la possibilité de saisir le juge des enfants». «Des enfants peuvent donc être expulsés sans qu’aucune autorité judiciaire n’ait examiné leur situation»>



tout à fait..................


mais c'est au départ un énorme mensonge concernant l'ASE

pour les mineurs étrangers





mam
 
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