le 31.10.11
Linstruction du ministère de lAgriculture, qui stipule que tout acheminement de bétail (pour cette occasion) doit avoir «le quitus» des services de la Gendarmerie nationale, nest pas respectée.
Alger est en train de devenir un grand marché de moutons à ciel ouvert. Les ovins sont présents dans plusieurs quartiers et créent une certaine ambiance chez les citadins. Bien que les prix donnent le tournis aux pères de famille, les enfants, eux, passent leur temps à dévorer du regard les moutons et attendent avec impatience le jour de lAïd.
Au-delà de ce scénario, force est de relever que les autorités de la wilaya dAlger affichent, cette année, une certaine indulgence quant à la traditionnelle interdiction de lintroduction du bétail en ville.
«Les petits revendeurs vendent plus cher, contrairement aux grands éleveurs venus de lintérieur du pays», a indiqué un citoyen rencontré à Douéra. Il soutient, toutefois, que les prix restent inabordables pour la majorité des travailleurs, notamment les petites bourses. «Le mouton le moins cher est à 20 000 DA, mais il est vraiment petit !», soutient-il. Pour prétendre acheter un mouton moyen «il faut débourser plus de 35 000 DA», dira un homme dun certain âge. Compte tenu de ces prix, plusieurs familles ont préféré acheter leur «sacrifice» au bled où les prix sont relativement moins chers.
http://www.elwatan.com/regions/centre/alger/alger-pue-le-mouton-31-10-2011-145529_148.php
Linstruction du ministère de lAgriculture, qui stipule que tout acheminement de bétail (pour cette occasion) doit avoir «le quitus» des services de la Gendarmerie nationale, nest pas respectée.
Alger est en train de devenir un grand marché de moutons à ciel ouvert. Les ovins sont présents dans plusieurs quartiers et créent une certaine ambiance chez les citadins. Bien que les prix donnent le tournis aux pères de famille, les enfants, eux, passent leur temps à dévorer du regard les moutons et attendent avec impatience le jour de lAïd.
Au-delà de ce scénario, force est de relever que les autorités de la wilaya dAlger affichent, cette année, une certaine indulgence quant à la traditionnelle interdiction de lintroduction du bétail en ville.
«Les petits revendeurs vendent plus cher, contrairement aux grands éleveurs venus de lintérieur du pays», a indiqué un citoyen rencontré à Douéra. Il soutient, toutefois, que les prix restent inabordables pour la majorité des travailleurs, notamment les petites bourses. «Le mouton le moins cher est à 20 000 DA, mais il est vraiment petit !», soutient-il. Pour prétendre acheter un mouton moyen «il faut débourser plus de 35 000 DA», dira un homme dun certain âge. Compte tenu de ces prix, plusieurs familles ont préféré acheter leur «sacrifice» au bled où les prix sont relativement moins chers.
http://www.elwatan.com/regions/centre/alger/alger-pue-le-mouton-31-10-2011-145529_148.php