L’heure de la grande confrontation publique approche. Le procès de Tariq Ramadan, prévenu de viol et de contrainte sexuelle commis avec cruauté, s’ouvrira le 15 mai à Genève dans une atmosphère assurément électrique. Et pour cause. L’islamologue, bientôt 61 ans, conteste totalement cette nuit de torture décrite par son accusatrice et contre-attaque en évoquant une tentatrice éconduite et rancunière. Pour cette Suissesse, âgée de 57 ans,, ce sera la première apparition – forcément difficile – sous les feux des projecteurs.