l'ampleur du phénomène de cette religiosité bâtis sur l'imbécilité et la violence qui grandis en banlieue est aussi bien sur a mettre sur le dos de la France et plus généralement de l'Europe et de son laxisme quasi religieux
ce laxisme , le délégitiment des valeurs morale ,le relativisme culturel , toute cette culture de guimauve et de joli sentiment qui fait qu'un peuple va jusqu'à accepter qu'on lui crache continuellement dessus et même à renier sa propre identité , tous ça nous promet le chaos et la décadence
Soubresauts, remous, perversions et dissensions aussi nan

? tu vas un peu loin quand même.
il y a un paradoxe. dès le concordat mis en place au XVIIIème siècle par Napoléon le régime indique que la liberté religieuse est garantie. dès la révolution de 1789, dans la déclaration des droits de l'homme et du citoyen, il est indiqué que "nul ne peut être inquiété pour ses opinions, même religieuses" (cf
ici). l'on pense naturellement à la religion catholique que l'on essaye de ménager. ensuite, Napoléon décide de mettre en place le concordat, met sous tutelle le clergé par la mise en place d'une autorisation de sortie de territoire pour les prêtres et d'une autorisation préalable à toute réunion. parallèlement, Napoléon fait de l'Etat l'unique propriétaire et gestionnaire des églises et paroisses. En résulte, une fronde avec les prêtres réfractaires farouchement opposés à cette mise sous tutelle de l'Eglise chrétienne qui jusque là était placée sous la tutelle du Vatican. par la suite, on favorisera la construction d'églises pour éloigner le spectre de la protestation dans une France qui s'industrialise et revendique le droit à un meilleur traitement. S'en suit la loi de 1905, farouchement pourfendue par l'Eglise catholique.
Cependant, paradoxalement, la constitution défend la liberté de culte ainsi que la CEDH pourvu qu'il n'y a pas entrave aux bonnes moeurs et à l'ordre public. On recule de plusieurs pas en avant quand Sarkozy, croyant aux idées proches de l'idiot born again christian GW Bush , devant le pape Benoît XVI parle de "laïcité positive" en affirmant, je cite, "nous devons tenir ensemble, les deux bouts de la chaîne : assumer les racines chrétiennes de la France, et même valoriser, tout en défendant la laïcité, enfin parvenue à maturité". Est-ce que "maturité" signifie mise à l'écart des autres religions et à commencer par l'Islam ? Sans doute ...