Mon cher journal, seconde édition
- Initiateur de la discussion Schtrouf
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A
AncienMembre
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slt toi!
tous mes efforts ne mènent nuls part! je ne fais que ramer et là, je suis à bout de souffle...... je n'arrête pas de me dire que je dois accepter la situation comme elle et ne plus rien espérer, mais au fond de moi (par fierté mal placé ou autre) je n'arrive pas à m'y résoudre!
mon corps en subit les conséquences car je n'arrive pas à gérer autrement ma frustration! il y a pire sur terre, j'en ai conscience, j'aimerai juste avoir ma part un jour....
j'aurais besoin que l'on me
tous mes efforts ne mènent nuls part! je ne fais que ramer et là, je suis à bout de souffle...... je n'arrête pas de me dire que je dois accepter la situation comme elle et ne plus rien espérer, mais au fond de moi (par fierté mal placé ou autre) je n'arrive pas à m'y résoudre!
mon corps en subit les conséquences car je n'arrive pas à gérer autrement ma frustration! il y a pire sur terre, j'en ai conscience, j'aimerai juste avoir ma part un jour....
j'aurais besoin que l'on me
didadoune
VIB
Tu peux tout accomplir dans la vie si tu as le courage de le rêver, l’intelligence d’en faire un projet réaliste, et la volonté de voir ce projet mené à bien.slt toi!
tous mes efforts ne mènent nuls part! je ne fais que ramer et là, je suis à bout de souffle...... je n'arrête pas de me dire que je dois accepter la situation comme elle et ne plus rien espérer, mais au fond de moi (par fierté mal placé ou autre) je n'arrive pas à m'y résoudre!
mon corps en subit les conséquences car je n'arrive pas à gérer autrement ma frustration! il y a pire sur terre, j'en ai conscience, j'aimerai juste avoir ma part un jour....
j'aurais besoin que l'on me
Sidney A. Friedman
courage ne baisse pas les bras
odejiste
à ta mémoire S.B personne ne te remplacera...
Mon Cher Journal
C'est lundi, j'ai pas la flamme de bosser, j'ai beaucoup de pression, j ai jamais senti que je suis incapable et aussi feignant que pendant ces temps là. des fois je me reconnais pas.
Ai-je pris une fausse route ? où une malchance me poursuis ?
Je suis conscient que je ne vis que c'est qui m est destiné sinon je vais trop chialer !
c'est une impasse dans ma vie que j espère vivement qu'elle s'achève au plus vite possible.
Une date assez spéciale dans ma vie approche, elle me hante l esprit aussi comme chaque année, je dois la commémorer comme il le faut aussi.
C'est lundi, j'ai pas la flamme de bosser, j'ai beaucoup de pression, j ai jamais senti que je suis incapable et aussi feignant que pendant ces temps là. des fois je me reconnais pas.
Ai-je pris une fausse route ? où une malchance me poursuis ?
Je suis conscient que je ne vis que c'est qui m est destiné sinon je vais trop chialer !
c'est une impasse dans ma vie que j espère vivement qu'elle s'achève au plus vite possible.
Une date assez spéciale dans ma vie approche, elle me hante l esprit aussi comme chaque année, je dois la commémorer comme il le faut aussi.
didadoune
VIB
Courage soi fort et ne forge jamais ton opinion d'après les autres
et attention à ne pas être trop dure avec toi même non plus...
odejiste
à ta mémoire S.B personne ne te remplacera...
Courage soi fort et ne forge jamais ton opinion d'après les autres
Tkt je tiens le coup je céderai pas.
Journal,
Blasée, éreintée, désenchantée, désabusée...
Censée me mettre psychologiquement pour ce foutu entretien, entrevue inespérée, le genre d'opportunité qui te tombe au coin de la gueule un beau matin. Et pourtant, je ne ressens rien, amorphe. Ni l'exaltation, ni adrénaline, ni envie de relever ce "nouveau challenge", ni envie de convaincre.
Convaincre, voilà encore et toujours,m'affubler de factices qualités en usant de tous les buzz words tant chers à mon c****** d'interlocuteur " adaptable", "relationnel", "réactive", "autonome"," gestion du stress", " force de proposition"... ah oui et "flexible", important la flexibilité. Ce qui te permet d'etre corvéable à souhait tout en gardant le sourire. Adaptable à l'esclavagisme. Toujours.
Puis faire des courbettes, des tas de ronds de jambe, arborer le sourire jeune louve qui raye le plancher mal ciré, et plein de gestuelles grotesques. Garder son sourire toujours aussi figé en se prenant en pleine face le sexisme le plus primaire " Vous etes mariée? Vous avez des enfants? Non, c'est dans vos projets à moyen terme? Parce que vous comprenez, hein..." Merci Ducon, il y a bien longtemps que j'ai compris n'etre qu'un esclavage aséxué.
Excisée par l'entreprise, bla anesthésie....
J'ai pas encore fait ma manucure ni mon brushing, je reviens vers toi ASAP.
Blasée, éreintée, désenchantée, désabusée...
Censée me mettre psychologiquement pour ce foutu entretien, entrevue inespérée, le genre d'opportunité qui te tombe au coin de la gueule un beau matin. Et pourtant, je ne ressens rien, amorphe. Ni l'exaltation, ni adrénaline, ni envie de relever ce "nouveau challenge", ni envie de convaincre.
Convaincre, voilà encore et toujours,m'affubler de factices qualités en usant de tous les buzz words tant chers à mon c****** d'interlocuteur " adaptable", "relationnel", "réactive", "autonome"," gestion du stress", " force de proposition"... ah oui et "flexible", important la flexibilité. Ce qui te permet d'etre corvéable à souhait tout en gardant le sourire. Adaptable à l'esclavagisme. Toujours.
Puis faire des courbettes, des tas de ronds de jambe, arborer le sourire jeune louve qui raye le plancher mal ciré, et plein de gestuelles grotesques. Garder son sourire toujours aussi figé en se prenant en pleine face le sexisme le plus primaire " Vous etes mariée? Vous avez des enfants? Non, c'est dans vos projets à moyen terme? Parce que vous comprenez, hein..." Merci Ducon, il y a bien longtemps que j'ai compris n'etre qu'un esclavage aséxué.
Excisée par l'entreprise, bla anesthésie....
J'ai pas encore fait ma manucure ni mon brushing, je reviens vers toi ASAP.
Dernière édition:
odejiste
à ta mémoire S.B personne ne te remplacera...
Mon cher journal
Aujourd’hui c’est comme c’était hier, c’était un dimanche je recevais un émail de ta cousine, elle m’annonce que tu n’es plus là.
Eh oui, la fille que j’aimais à rejoins le bon Dieu, ça fait trois ans déjà, je me rappelle des moindres détails… c’était trop dur d’assimiler les choses, pour moi et pour toute ta famille.
Trois ans déjà comme c’était aujourd’hui, je me rappelle le jour où j’ai récupéré tes affaires personnelles, le jour où j’ai lu ton journal intime, dans chaque page, chaque ligne j’ai senti combien notre amour était intense, combien tu étais comblée et satisfaite et surtout heureuse même dans nos chamailleries.
Trois ans déjà, tu m’as préparé une surprise, tu as acheté nos bagues d’alliance où tu as sculpté nôtre première lettre de nos prénoms comme un attachement officieux entre nous, tu as oublié que nos âmes ont était déjà liées.
Je me rappelle du jour où je t’ai demandée si tu m’aimes, suite une à dispute très intense, j’ai resté bouche bée quand tu m’as répondu, s’ils ouvrent mon cœur ils vont te trouver dedans.
Trois ans déjà comme c’était hier, j’arrive toujours pas à lire nos échanges qu’on a effectué quand tu n’étais pas au Maroc, c’est notre patrimoine, c’était des emails quotidien pour nous comme la prière on se réveille avec et on couche avec, j’ai pas encore le courage d’ouvrir c’est plaie qui se pansera pas…
Malgré que notre relation était courte mais c’était la plus intense, la plus belle que j’ai vécu.
C’était comme aujourd’hui le 11 septembre 2011, tu n’es plus sur terre mais tu es vivante avec nous dans notre âme, chez moi, chez ta petite famille.
Allah yerhmek Sarah.
Aujourd’hui c’est comme c’était hier, c’était un dimanche je recevais un émail de ta cousine, elle m’annonce que tu n’es plus là.
Eh oui, la fille que j’aimais à rejoins le bon Dieu, ça fait trois ans déjà, je me rappelle des moindres détails… c’était trop dur d’assimiler les choses, pour moi et pour toute ta famille.
Trois ans déjà comme c’était aujourd’hui, je me rappelle le jour où j’ai récupéré tes affaires personnelles, le jour où j’ai lu ton journal intime, dans chaque page, chaque ligne j’ai senti combien notre amour était intense, combien tu étais comblée et satisfaite et surtout heureuse même dans nos chamailleries.
Trois ans déjà, tu m’as préparé une surprise, tu as acheté nos bagues d’alliance où tu as sculpté nôtre première lettre de nos prénoms comme un attachement officieux entre nous, tu as oublié que nos âmes ont était déjà liées.
Je me rappelle du jour où je t’ai demandée si tu m’aimes, suite une à dispute très intense, j’ai resté bouche bée quand tu m’as répondu, s’ils ouvrent mon cœur ils vont te trouver dedans.
Trois ans déjà comme c’était hier, j’arrive toujours pas à lire nos échanges qu’on a effectué quand tu n’étais pas au Maroc, c’est notre patrimoine, c’était des emails quotidien pour nous comme la prière on se réveille avec et on couche avec, j’ai pas encore le courage d’ouvrir c’est plaie qui se pansera pas…
Malgré que notre relation était courte mais c’était la plus intense, la plus belle que j’ai vécu.
C’était comme aujourd’hui le 11 septembre 2011, tu n’es plus sur terre mais tu es vivante avec nous dans notre âme, chez moi, chez ta petite famille.
Allah yerhmek Sarah.
Cher Journal,
ça m'arrive de ces temps que je n'en peux plus, je n'arrive plus à continuer, j'ai n'ai plus la force de sourire, ni de voir la vie en blanc, mon cœur saigne d'un sang noir de frustration, de colère et d'insatisfaction... J'arrive plus à le raisonner, ni de lui montrer qu'il suffoque en vain, que le soleil brille chaque matin et que la brise matinale souffle toujours sur mon visage pour l'adoucir... Le pis, c sans aucune cause... je ne connais même pas la cause de mes maux mais peut être c à force de vouloir l'endurcir qu'il s'est brisé ...
Je n'arrive pas à percevoir la blancheur au milieu de la nuit, j'attendais l'aube depuis si longtemps et je commence à geler de froid, je me suis tellement habituée à ce froid que la chaleur ne peux plus me réconforter ...
je n'arrive pas à trouver la logique, ni l'équation mathématique de cette vie... j'ai le temps, la jeunesse, l'argent et je laisse passer ma chance d'en profiter, j'attends que le temps passe sans avancer ni m'amuser ... Je n'arrive pas à vivre l'instant et je n'arrive pas à me rappeler le passé ni me projeter dans le futur ... sans espoir, sans souvenir, sans joie de vivre, je survis ... mais je ne cesse pas d'avoir la volonté de vivre
Peut être que je pense trop, qu'il suffit de ne pas penser pour être heureux ....
ça m'arrive de ces temps que je n'en peux plus, je n'arrive plus à continuer, j'ai n'ai plus la force de sourire, ni de voir la vie en blanc, mon cœur saigne d'un sang noir de frustration, de colère et d'insatisfaction... J'arrive plus à le raisonner, ni de lui montrer qu'il suffoque en vain, que le soleil brille chaque matin et que la brise matinale souffle toujours sur mon visage pour l'adoucir... Le pis, c sans aucune cause... je ne connais même pas la cause de mes maux mais peut être c à force de vouloir l'endurcir qu'il s'est brisé ...
Je n'arrive pas à percevoir la blancheur au milieu de la nuit, j'attendais l'aube depuis si longtemps et je commence à geler de froid, je me suis tellement habituée à ce froid que la chaleur ne peux plus me réconforter ...
je n'arrive pas à trouver la logique, ni l'équation mathématique de cette vie... j'ai le temps, la jeunesse, l'argent et je laisse passer ma chance d'en profiter, j'attends que le temps passe sans avancer ni m'amuser ... Je n'arrive pas à vivre l'instant et je n'arrive pas à me rappeler le passé ni me projeter dans le futur ... sans espoir, sans souvenir, sans joie de vivre, je survis ... mais je ne cesse pas d'avoir la volonté de vivre
Peut être que je pense trop, qu'il suffit de ne pas penser pour être heureux ....
Mon cher journal,
Je sais que je ne devrais pas me plaindre et qu'il y a des situations bien pires dans la vie mais à 31 ans, il y a tant de choses que j'aimerais changer...
Je vois que le temps passe bien plus vite que je n'aurais imaginé...
Je n'aurais pas imaginer ma vie ainsi, sans enfant, sans mari.
Peut-être que je ne vivrai jamais ces moments de bonheur, une vie de famille.
Je vois autour de moi, tout le monde faire sa vie, devenir adulte.
Et puis, cette relation si bizarre que j'entretiens avec ma mère.
Il y a aussi, le divorce de mes parents qu'à 13 ans j'aurais aimé ne pas vivre.
Et puis, ce manque d'affection et d'attention, une vie sociale bien vide...
On dit que les expériences nous font avancer alors pourquoi ça me rend si triste...
Tant de blessures
Je sais que je ne devrais pas me plaindre et qu'il y a des situations bien pires dans la vie mais à 31 ans, il y a tant de choses que j'aimerais changer...
Je vois que le temps passe bien plus vite que je n'aurais imaginé...
Je n'aurais pas imaginer ma vie ainsi, sans enfant, sans mari.
Peut-être que je ne vivrai jamais ces moments de bonheur, une vie de famille.
Je vois autour de moi, tout le monde faire sa vie, devenir adulte.
Et puis, cette relation si bizarre que j'entretiens avec ma mère.
Il y a aussi, le divorce de mes parents qu'à 13 ans j'aurais aimé ne pas vivre.
Et puis, ce manque d'affection et d'attention, une vie sociale bien vide...
On dit que les expériences nous font avancer alors pourquoi ça me rend si triste...
Tant de blessures
A
AncienMembre
Non connecté
hé slt toi ^^
les jours se suivent et se ressemblent. il faut tjs sourire et prétendre que c'est ok. supporter patiemment dans l'espoir qu'un jour les choses changeront, mais le temps passe et rien ne change. on subit l'ingratitude des autres et on attend.
...
les jours se suivent et se ressemblent. il faut tjs sourire et prétendre que c'est ok. supporter patiemment dans l'espoir qu'un jour les choses changeront, mais le temps passe et rien ne change. on subit l'ingratitude des autres et on attend.
...
Salut les enfoirés...
P'tain c'est grave: je suis heureux...
J'ai un peu honte hein? normalement le Journal c'est fait pour raconter son mal-être: genre la fissure anale d'@Ebion qui met des mois à cicatriser etc.
Ben non: tout va bien...
Evidemment je ne suis pas marié àDrianke et à Umraojaan mais ça va...
Pourvu que ça dure...
P'tain c'est grave: je suis heureux...
J'ai un peu honte hein? normalement le Journal c'est fait pour raconter son mal-être: genre la fissure anale d'@Ebion qui met des mois à cicatriser etc.
Ben non: tout va bien...
Evidemment je ne suis pas marié àDrianke et à Umraojaan mais ça va...
Pourvu que ça dure...
Salut les enfoirés...
P'tain c'est grave: je suis heureux...
J'ai un peu honte hein? normalement le Journal c'est fait pour raconter son mal-être: genre la fissure anale d'@Ebion qui met des mois à cicatriser etc.
Ben non: tout va bien...
Evidemment je ne suis pas marié àDrianke et à Umraojaan mais ça va...
Pourvu que ça dure...
rassure-nous: avant d'être heureux, t'étais malheureux quand même ?
Pas trop finalement... je suis doué pour le bonheur dans un monde où pour être pris au sérieux il faut montrer ses plaies...rassure-nous: avant d'être heureux, t'étais malheureux quand même ?
Sinon ça va toi?
Juste merci a tt ceux qui osent le dire ici...
Je ne commencerai pas je risquerais de m'accaparer ttes les pages a moi toute seule...mais on sait jamais... un jour peut être...j'exterioriserai enfin tout ça à travers ce journal....et poserai un peu de ce bagage parfois si lourd...
Je ne commencerai pas je risquerais de m'accaparer ttes les pages a moi toute seule...mais on sait jamais... un jour peut être...j'exterioriserai enfin tout ça à travers ce journal....et poserai un peu de ce bagage parfois si lourd...
Cher Journal,
j'ai toujours détesté ce côté de moi ... j'ai toujours voulu le combattre, l'ignorer ou le suffoquer ... j'ai tout fait pour y arriver ... mais peut-on changer la nature des gens? je ne sais le dire ... il me faut plus que la volonté pour y arriver et en y repensant je ne suis pas sûre de vouloir éradiquer cette partie de moi ...
Devenir fort? peut être que ça se forge au fil de temps par l'expérience, par la vie ...
je suis et je reste indécise, je crains le changement, néanmoins je le veux ... On dit souvent qui n'avance pas recule... stagner est une sorte de recul aussi ... les idées, les pensées, le monde est en mouvement continue ... si on arrive pas à suivre, on reste sur la touche ... cependant, tant que je n'arrive pas à trouver d'objectif et d'intérêt à la vie, je ne peux me convaincre de changer ... le temps presse certes, mais je laisserai au destin ce temps pour me donner les réponses...
j'ai toujours détesté ce côté de moi ... j'ai toujours voulu le combattre, l'ignorer ou le suffoquer ... j'ai tout fait pour y arriver ... mais peut-on changer la nature des gens? je ne sais le dire ... il me faut plus que la volonté pour y arriver et en y repensant je ne suis pas sûre de vouloir éradiquer cette partie de moi ...
Devenir fort? peut être que ça se forge au fil de temps par l'expérience, par la vie ...
je suis et je reste indécise, je crains le changement, néanmoins je le veux ... On dit souvent qui n'avance pas recule... stagner est une sorte de recul aussi ... les idées, les pensées, le monde est en mouvement continue ... si on arrive pas à suivre, on reste sur la touche ... cependant, tant que je n'arrive pas à trouver d'objectif et d'intérêt à la vie, je ne peux me convaincre de changer ... le temps presse certes, mais je laisserai au destin ce temps pour me donner les réponses...
Cher Journal, (2)
J'avais cru un certain temps que mes souvenirs s'enterre aux terres de l'oubli ... mon incapacité à me rappeler certains détails ou certaines choses m'ont convaincu de ma rupture avec le passé ! Contrairement à cela, je me suis aperçu que l'intelligence humaine n'a pas de limite ... en un flash de temps je me suis rappelée d'une histoire que j'ai lu il y a fort longtemps et j'ai trouvé le contexte adéquat pour l'évoquer et l'utiliser comme argument dans une certaine situation ...
Peut être que l'histoire n'avait pas un grand intérêt mais ça m'a permet de défendre ma cause ...
et voilà que ma mémoire ne me trahit pas cette fois et me pousse à m'étonner sur la complexité et la beauté de la création ! Sobhanna allah !
ps : l'histoire est une sorte de dilemme; dans un petit village, il y avait un berger qui vend du lait, une femme qui porte le lait dans un pot au village et les villageois qui achètent le lait. Un jour d'un beau temps, la femme portait le lait comme tous les jours et par hasard?, il y avait un aigle au dessus d'elle qui a capturé un serpent, le serpent a fait tombé qlq goutte de son venin, les gouttes était tombées au milieu du pot ... tous les gens qui ont bu le lait ont subit une mort soudaine causé par le venin.
Dans cette histoire qui est le fautif? est ce le berger qui n'a pas couvert le pot ou la femme qui ramène la pot ou les villageois (ou l'aigle/serpent?) ?
J'avais cru un certain temps que mes souvenirs s'enterre aux terres de l'oubli ... mon incapacité à me rappeler certains détails ou certaines choses m'ont convaincu de ma rupture avec le passé ! Contrairement à cela, je me suis aperçu que l'intelligence humaine n'a pas de limite ... en un flash de temps je me suis rappelée d'une histoire que j'ai lu il y a fort longtemps et j'ai trouvé le contexte adéquat pour l'évoquer et l'utiliser comme argument dans une certaine situation ...
Peut être que l'histoire n'avait pas un grand intérêt mais ça m'a permet de défendre ma cause ...
et voilà que ma mémoire ne me trahit pas cette fois et me pousse à m'étonner sur la complexité et la beauté de la création ! Sobhanna allah !
ps : l'histoire est une sorte de dilemme; dans un petit village, il y avait un berger qui vend du lait, une femme qui porte le lait dans un pot au village et les villageois qui achètent le lait. Un jour d'un beau temps, la femme portait le lait comme tous les jours et par hasard?, il y avait un aigle au dessus d'elle qui a capturé un serpent, le serpent a fait tombé qlq goutte de son venin, les gouttes était tombées au milieu du pot ... tous les gens qui ont bu le lait ont subit une mort soudaine causé par le venin.
Dans cette histoire qui est le fautif? est ce le berger qui n'a pas couvert le pot ou la femme qui ramène la pot ou les villageois (ou l'aigle/serpent?) ?
merci à ma plume qui libère mon esprit de ses maux et noircit cette page virtuelle de mes mots,
spectatrice d'une vie, qui n'est autre que la mienne, comment se l'approprier?
quand j'ai l'impression que tout va si vite, trop vite, emportée par la foule, je perd pieds,
j'aimerai me dégager de ce brouhaha, dans une matrix ou le silence me bercera plus qu'il m'angoissera.
dans le regard les yeux d'un enfant, j'envie cette douceur, cette innocence, cette vie qui n'est pas encore gâchée...
un capital d'Esperance, quand je me résume à un amas de déchéance,
dure auto critique je l'espère au fond de moi, comprends que je n'arrive à mettre le pied à l'étrier,
je me suis laissé tomber, plus de force, plus d'envie, plus d'espoir
spectatrice d'une vie, qui n'est autre que la mienne, comment se l'approprier?
quand j'ai l'impression que tout va si vite, trop vite, emportée par la foule, je perd pieds,
j'aimerai me dégager de ce brouhaha, dans une matrix ou le silence me bercera plus qu'il m'angoissera.
dans le regard les yeux d'un enfant, j'envie cette douceur, cette innocence, cette vie qui n'est pas encore gâchée...
un capital d'Esperance, quand je me résume à un amas de déchéance,
dure auto critique je l'espère au fond de moi, comprends que je n'arrive à mettre le pied à l'étrier,
je me suis laissé tomber, plus de force, plus d'envie, plus d'espoir
Ma prière nocturne...
Ce marécage urbain, ces ondes sonores nocturnes m’amusent et me dérangent.
J’entends le bruit du roulement d’un chariot non lubrifié, cela ressemble plutôt au chant d’une flute mal maitrisée. De nouvelles vibrations dansent dans la cuisine ; plus je m’approche de la source, moins le son se propage. La brise sonore est consumée par l’effroi de mon corps.
J'avance à pas de velours, suspectant le spectre de se cacher dans la matrice, d’user de ses malices. Je pose mon oreille sur le mur et je pense à « L » et son stéthoscope aux oreilles. Je caresse ses vagues insondables et pense à ses deux noisettes et leur flamme, embellis par un tapis doré d’une pureté biblique, des fils de safran jaune d’une insouciance angélique; un corps élancé, divin, d’un sublime qui abîme. Les cordes de sa jalousie étouffantes, me reprochant ces moments de voir d’autres arcs que ses ivoires.
Le mur commence à s’onduler sous ma main. Il perd sa platitude et me fait perdre ma plénitude. Je ferme les yeux pour mieux l’apercevoir, je restitue les couleurs basiques, j’esquisse des objets à la surface de ma cornée en vert, en rouge et en mauve amer. Le « Jaune d’or », noble et pudique, se voile derrière les dunes, tel un croissant de lune, au-delà de mes lamentations au pied de ce mur.
Ce marécage urbain, ces ondes sonores nocturnes m’amusent et me dérangent.
J’entends le bruit du roulement d’un chariot non lubrifié, cela ressemble plutôt au chant d’une flute mal maitrisée. De nouvelles vibrations dansent dans la cuisine ; plus je m’approche de la source, moins le son se propage. La brise sonore est consumée par l’effroi de mon corps.
J'avance à pas de velours, suspectant le spectre de se cacher dans la matrice, d’user de ses malices. Je pose mon oreille sur le mur et je pense à « L » et son stéthoscope aux oreilles. Je caresse ses vagues insondables et pense à ses deux noisettes et leur flamme, embellis par un tapis doré d’une pureté biblique, des fils de safran jaune d’une insouciance angélique; un corps élancé, divin, d’un sublime qui abîme. Les cordes de sa jalousie étouffantes, me reprochant ces moments de voir d’autres arcs que ses ivoires.
Le mur commence à s’onduler sous ma main. Il perd sa platitude et me fait perdre ma plénitude. Je ferme les yeux pour mieux l’apercevoir, je restitue les couleurs basiques, j’esquisse des objets à la surface de ma cornée en vert, en rouge et en mauve amer. Le « Jaune d’or », noble et pudique, se voile derrière les dunes, tel un croissant de lune, au-delà de mes lamentations au pied de ce mur.
Salam,
Je trouve que tu écris très bien, c'est très poétique. Même si je sens de la tristesse dans ce message et inchallah que tout ira bien à l'avenir.
Fraternellement.
A
AncienMembre
Non connecté
hello toi!
c'est un jour sans aujourd'hui.... si je devais imager ma situation, je suis comme la personne dans son canoë qui se retrouve suspendu sur un rocher et qui pagaie dans le vide et après un mouvement brusque s'écrase misérable au fond du précipice
enfin soit... el hamdullah!
c'est un jour sans aujourd'hui.... si je devais imager ma situation, je suis comme la personne dans son canoë qui se retrouve suspendu sur un rocher et qui pagaie dans le vide et après un mouvement brusque s'écrase misérable au fond du précipice
enfin soit... el hamdullah!
Allah ysar lik l2omour ma petite evilcow ! on est là tu sais ...hello toi!
c'est un jour sans aujourd'hui.... si je devais imager ma situation, je suis comme la personne dans son canoë qui se retrouve suspendu sur un rocher et qui pagaie dans le vide et après un mouvement brusque s'écrase misérable au fond du précipice
enfin soit... el hamdullah!
Cher journal,
j’ai l'habitude de n'écrire que mes malheurs et me lamenter sur mon sort ! mais bizarrement aujourd'hui je me sens très heureuse et joyeuse! une joie que je ne peux la comprendre ni l’appréhender ... Je n'arrive pas à expliquer tant de chose dans cette vie mais surtout cette joie inexprimable qui nous habite et nous berce dans un monde magique ... je savoure ces petits instants en sachant qu'après je retournerai à mon ancien moi, j'ai commencé même à mettre certaines théorie ... supposer que mon âme sœur là où elle est, elle doit être heureuse et que cette connexion m'influence au point de la sentir et sentir tout ses sentiments ... Car sinon, je ne vois pas encore la vraie cause caché derrière cette joie passagère ...
j’ai l'habitude de n'écrire que mes malheurs et me lamenter sur mon sort ! mais bizarrement aujourd'hui je me sens très heureuse et joyeuse! une joie que je ne peux la comprendre ni l’appréhender ... Je n'arrive pas à expliquer tant de chose dans cette vie mais surtout cette joie inexprimable qui nous habite et nous berce dans un monde magique ... je savoure ces petits instants en sachant qu'après je retournerai à mon ancien moi, j'ai commencé même à mettre certaines théorie ... supposer que mon âme sœur là où elle est, elle doit être heureuse et que cette connexion m'influence au point de la sentir et sentir tout ses sentiments ... Car sinon, je ne vois pas encore la vraie cause caché derrière cette joie passagère ...
Dernière édition:
A
AncienMembre
Non connecté
relis ma dernière interventionQue des déprimés ici
pour une fois je suis pas déprimées 
relis ma dernière intervention
Hamdoullilah tête de lilotte.
Alhamdolilah ! il y a toujours des hauts et des bas dans cette vie mais on ne pleure que qu'on est chagriné... rare où on parle de notre bonheur ...
A
AncienMembre
Non connecté
Que des déprimés ici
ouai et alors tu as un problème tête de salamandre
gare à toi petit
A
AncienMembre
Non connecté
qu'est-ce que tu en sais que nous avons de belle vie! (ok! on ne vit pas la guerre! la famine et la maladie) mais hooo c'est leur problème
pas le nôtre que c'est ignoble ce que je viens d'écrire
J'ai changé.
J'ai changé et c'est bien.
Plus intransigeante, moins "gentille", plus dure, moins victime.
Une carapace ? Surement..... Mais qu'est ce que ça protège ! ^^
Deux vies qui n'ont plus rien à se dire.......
J'ai changé et c'est bien.
Plus intransigeante, moins "gentille", plus dure, moins victime.
Une carapace ? Surement..... Mais qu'est ce que ça protège ! ^^
Deux vies qui n'ont plus rien à se dire.......
A
AnvienMembre
Non connecté
Mon cher journal,
Je crois que tout est possible du moins je ferai tout pour.
Il me reste un an pour tout préparer ensuite à moi le Monde.
Pour le reste, on avance et je crois que... Enfin tu le sais.
Je crois que tout est possible du moins je ferai tout pour.
Il me reste un an pour tout préparer ensuite à moi le Monde.
Pour le reste, on avance et je crois que... Enfin tu le sais.