le régime politique du maroc : est il la première URGENCE du peuple marocain ?
les vraies Urgences sont la santé; l'économie développer la richesse , l'éductaion ..
Un peuple actif, instruit acquiert une indépendance intellectuelle qui lui permet de façon naturelle de choisir la vraie voie, celle de l'interêt général .. et non une population gangrénée par l'analphabetisme prête à suivre n'importe quel prophéte
donc la république attendra .. le développement économique et social du peuple d'abord ..un pueple instruit saura plus à même quoi choisir comme régime .. n'aura nul besoin d'une nadia Yassine pour lui ce qui sera bon pour lui
Si le peuple ne s’intéresse pas à la politique de son monde, ce sont les sales politiciens qui vont s’occuper de cette politique et exploiter le pays et ses richesses (humaines et naturelles) de la plus sale des manières.
Ce qui est dit en haut, est c’est ce qui se passe effectivement au Maroc. Pour mettre fin à cette situation, il faut un gouvernement et un parlement qui vont avoir un pouvoir réel et pas une illusion du pouvoir comme c’est le cas sous le règne du système actuel.
Ce gouvernement et ce parlement choisis par et pour le peuple, vont être les premiers responsables devant le peuple marocain. S’ils font du bon travail, c’est bien. Sinon, ils vont être retirés de leurs fonctions, sans parler des poursuites judiciaires.
Cela fait des longues années (55 ans) que tous les pouvoirs sont entre les mains du roi. La situation n’a pas connu de réels changements. La pauvreté, le chômage, la crise de logements, l’analphabétisme, sont toujours des problèmes à lesquels le système royal n’a pas apporté de réelles solutions. Au lieu de s’améliorer la situation ne fait que s’empirer et d’autres problèmes sociaux se sont ajoutés : le terrorisme, le suicide, l’immolation par le feu, l’émigration clandestine, la prostitution, le trafique des drogues.
Voila ce qu’on a eu comme résultat de ces 55 ans dans lesquels tous les pouvoirs sont monopolisés par le roi qui reste la source des problèmes et le premier responsable de la situation actuelle et que nul n’a le droit de tirer de doigt à cause de cette sacralité lui offerte par ce cadre institutionnel qui règne encore le Maroc d’aujourd’hui.