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VIB
Alger : Il n’y aura pas d’observateurs de l'UE, pour superviser l'élection présidentielle du 17 avril prochain, selon une décision de la commission européenne.
Dans une lettre adressée à Ramtane Lamamra, Bruxelles a expliqué que la présence d’observateurs européens à un scrutin, est une mission qui se prépare au moins, six mois à l’avance, or l’invitation algérienne, aux observateurs européens a été, inexplicablement tardive.
En effet, rapporte le journal El Watan, la diplomatie algérienne n'a saisi les institutions de Bruxelles que vers la fin du mois de janvier dernier.
"Il fallait envoyer l'invitation à Bruxelles au moins six mois avant l'élection parce qu'il y a toute une procédure à suivre et une méthodologie rigoureuse présidant à l'envoi d'une mission d'observation", explique une source européenne, citée par le quotidien algérien.
Le journal commentant ce refus européen, a considéré que Bruxelles refusant de cautionner, dixit, ‘‘une présidentielle fermée", s’est réfugiée derrière cet argument.
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Dans une lettre adressée à Ramtane Lamamra, Bruxelles a expliqué que la présence d’observateurs européens à un scrutin, est une mission qui se prépare au moins, six mois à l’avance, or l’invitation algérienne, aux observateurs européens a été, inexplicablement tardive.
En effet, rapporte le journal El Watan, la diplomatie algérienne n'a saisi les institutions de Bruxelles que vers la fin du mois de janvier dernier.
"Il fallait envoyer l'invitation à Bruxelles au moins six mois avant l'élection parce qu'il y a toute une procédure à suivre et une méthodologie rigoureuse présidant à l'envoi d'une mission d'observation", explique une source européenne, citée par le quotidien algérien.
Le journal commentant ce refus européen, a considéré que Bruxelles refusant de cautionner, dixit, ‘‘une présidentielle fermée", s’est réfugiée derrière cet argument.
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