Comment paris prépare le rapatriement des djihadistes français

belgika

Vis et meurs entre les 2 fais de ton mieux
VIB
Le camp d'Al-Hol, poudrière jihadiste dans l'est de la Syrie



Altercations avec les gardes, violentes querelles et surenchère dans la radicalisation.


Avec ses milliers de femmes et enfants étrangers affiliés au groupe Etat islamique (EI), le camp de déplacés d'Al-Hol constitue une poudrière jihadiste dans l'est de la Syrie.
 

belgika

Vis et meurs entre les 2 fais de ton mieux
VIB
Le "califat" de l'EI s'est écroulé mais il laisse derrière lui des milliers de partisans du groupe ultraradical: des Syriens et des étrangers venus de France, de Tunisie ou de Russie, certains en prison, d'autres parqués dans des camps de déplacés gérés par les Kurdes de Syrie.



Rien qu'à Al-Hol, plus de 9.000 femmes et enfants étrangers s'entassent sous haute surveillance dans une enclave qui leur est réservée, séparée du reste du camp par une clôture grillagée.



Les étrangers sont mis à part car ils sont étroitement associés à l'EI et jugés responsables de la situation dramatique dans laquelle se retrouvent les Syriens, qui ne cachent pas leur ressentiment à leur égard.



Les journalistes ne sont pas toujours les bienvenus.



Vêtues de niqab noirs, certaines femmes étrangères fusillent du regard.


L'une menace de frapper un journaliste de l'AFP qui l'a filmée.
 

belgika

Vis et meurs entre les 2 fais de ton mieux
VIB
Les tensions sont aussi palpables entre elles, certaines "soeurs" se livrant à une surenchère religieuse, confient des déplacées.



"On n'a pas les mêmes mentalités, elles veulent imposer leur vision de l'islam.


Elles disent qu'on est des mécréantes", lâche Vanessa, Française originaire de Guyane.


Convertie, elle dit avoir débarqué en Syrie en 2013 avec son mari, mort au combat depuis, et leurs enfants.



Les Tunisiennes en particulier "sont un peu à l'extrême dans l'islam", assure cette femme longiligne de 36 ans aux mains noueuses.



- "Croyances extrêmes" -



Inquiètes du "danger" que pourraient représenter ces milliers d'étrangers, les autorités kurdes réclament leur rapatriement.


"Les femmes et les enfants" ont besoin d'être "rééduqués et réintégrés dans leurs sociétés d'origine", sous peine de devenir "de futurs terroristes", plaide un responsable, Abdel Karim Omar.



Dans l'ex-califat de l'EI en Syrie et en Irak, un temps aussi vaste que la Grande-Bretagne, exécutions sommaires et endoctrinement à l'école étaient de mise.



Une Belge de 24 ans, arrivée en Syrie en 2013, confirme les tensions dans le camp, expliquant que des Russes ou Tunisiennes ont "renié" l'EI pour adopter "des croyances très extrêmes".



Elles "me font peur", souffle-t-elle.


Ces femmes pensent que "le fait de parler aux militaires, de leur demander +Je peux aller au souk?+, ça va faire de nous des mécréants".



Par conséquent, elles considèrent "licite" de s'approprier "nos biens" ou "de nous brûler les tentes", poursuit-elle.


Des tensions existent aussi dans le secteur réservé aux Syriens et aux Irakiens.



Il y a plusieurs jours, une altercation entre des déplacés a dégénéré.

La police kurde, responsable de la sécurité, est intervenue.

Des déplacés se sont rassemblés et "ont lancé des cailloux sur nos camarades", rapporte un policier, sous couvert d'anonymat.



Nabil al-Hassan, responsable de la communication du camp, assure toutefois que "la situation sécuritaire est sous contrôle".


La surpopulation du camp, qui abrite plus de 70.000 personnes, suscite des frictions, surtout lors des distributions d'aides ou de tentes, reconnaît-il.


- "On a persévéré" -


Lamia, une Syrienne originaire de Minbej (nord), ville tenue par l'EI avant d'être conquise par la force antijihadistes arabo-kurde, demeure attachée au groupe.


"On est resté avec l'Etat (islamique) jusqu'à maintenant.

On aime l'Etat; où il allait, on le suivait.


On a persévéré", confie cette femme de 21 ans, son ventre rond dévoilant sa grossesse.


Son premier mari est mort au combat, le deuxième est en prison. "Je demande juste à rentrer dans ma ville", plaide-t-elle.


A l'entrée du carré réservé aux étrangers, plusieurs femmes sont agglutinées au portail grillagé, rappelant au gardien que c'est leur tour d'aller au marché.


Il y a des Algériennes et des Ukrainiennes.

Des enfants qui crient en français, d'autres aux traits asiatiques, d'autres encore qui viennent des îles caribéennes Trinité et Tobago.
Les étrangères ne peuvent aller au marché qu'escortées par un garde kurde.


Celles qui reviennent ont des chariots chargés d'oeufs, de pommes de terre, de couches, d'un réchaud à gaz.


Elles sont méticuleusement fouillées.

Dans un sac à main, les gardes trouvent un portable et un papier froissé sur lequel est griffonné un numéro.


"C'est pas à moi, c'est à mon amie", se défend faiblement la Tunisienne.


Portables et bijoux de trop grande valeur sont systématiquement confisqués et placés dans des consignes.


"Procédures de sécurité" pour éviter les contacts avec l'extérieur, mais aussi la contrebande, justifie M. Hassan.


Un peu plus tard, dans un autre sac, les gardiens trouvent une bague et une chaîne en or.

Une garde kurde les confisque.


Mais l'étrangère n'a pas dit son dernier mot.

Ses mains agrippent résolument celles de la garde, essayant de récupérer ses bijoux.


"Emmenez-là en cellule", lance la gardienne. La femme affiliée à l'EI crie à son tour en s'agrippant à la clôture.


https://www.rtl.be/info/monde/inter...jihadiste-dans-l-est-de-la-syrie-1112410.aspx
 
A

AncienMembre

Non connecté
Les tensions sont aussi palpables entre elles, certaines "soeurs" se livrant à une surenchère religieuse, confient des déplacées.



"On n'a pas les mêmes mentalités, elles veulent imposer leur vision de l'islam.


Elles disent qu'on est des mécréantes", lâche Vanessa, Française originaire de Guyane.


Convertie, elle dit avoir débarqué en Syrie en 2013 avec son mari, mort au combat depuis, et leurs enfants.



Les Tunisiennes en particulier "sont un peu à l'extrême dans l'islam", assure cette femme longiligne de 36 ans aux mains noueuses.



- "Croyances extrêmes" -



Inquiètes du "danger" que pourraient représenter ces milliers d'étrangers, les autorités kurdes réclament leur rapatriement.


"Les femmes et les enfants" ont besoin d'être "rééduqués et réintégrés dans leurs sociétés d'origine", sous peine de devenir "de futurs terroristes", plaide un responsable, Abdel Karim Omar.



Dans l'ex-califat de l'EI en Syrie et en Irak, un temps aussi vaste que la Grande-Bretagne, exécutions sommaires et endoctrinement à l'école étaient de mise.



Une Belge de 24 ans, arrivée en Syrie en 2013, confirme les tensions dans le camp, expliquant que des Russes ou Tunisiennes ont "renié" l'EI pour adopter "des croyances très extrêmes".



Elles "me font peur", souffle-t-elle.


Ces femmes pensent que "le fait de parler aux militaires, de leur demander +Je peux aller au souk?+, ça va faire de nous des mécréants".



Par conséquent, elles considèrent "licite" de s'approprier "nos biens" ou "de nous brûler les tentes", poursuit-elle.


Des tensions existent aussi dans le secteur réservé aux Syriens et aux Irakiens.



Il y a plusieurs jours, une altercation entre des déplacés a dégénéré.

La police kurde, responsable de la sécurité, est intervenue.

Des déplacés se sont rassemblés et "ont lancé des cailloux sur nos camarades", rapporte un policier, sous couvert d'anonymat.



Nabil al-Hassan, responsable de la communication du camp, assure toutefois que "la situation sécuritaire est sous contrôle".


La surpopulation du camp, qui abrite plus de 70.000 personnes, suscite des frictions, surtout lors des distributions d'aides ou de tentes, reconnaît-il.


- "On a persévéré" -


Lamia, une Syrienne originaire de Minbej (nord), ville tenue par l'EI avant d'être conquise par la force antijihadistes arabo-kurde, demeure attachée au groupe.


"On est resté avec l'Etat (islamique) jusqu'à maintenant.

On aime l'Etat; où il allait, on le suivait.


On a persévéré", confie cette femme de 21 ans, son ventre rond dévoilant sa grossesse.


Son premier mari est mort au combat, le deuxième est en prison. "Je demande juste à rentrer dans ma ville", plaide-t-elle.


A l'entrée du carré réservé aux étrangers, plusieurs femmes sont agglutinées au portail grillagé, rappelant au gardien que c'est leur tour d'aller au marché.


Il y a des Algériennes et des Ukrainiennes.

Des enfants qui crient en français, d'autres aux traits asiatiques, d'autres encore qui viennent des îles caribéennes Trinité et Tobago.
Les étrangères ne peuvent aller au marché qu'escortées par un garde kurde.


Celles qui reviennent ont des chariots chargés d'oeufs, de pommes de terre, de couches, d'un réchaud à gaz.


Elles sont méticuleusement fouillées.

Dans un sac à main, les gardes trouvent un portable et un papier froissé sur lequel est griffonné un numéro.


"C'est pas à moi, c'est à mon amie", se défend faiblement la Tunisienne.


Portables et bijoux de trop grande valeur sont systématiquement confisqués et placés dans des consignes.


"Procédures de sécurité" pour éviter les contacts avec l'extérieur, mais aussi la contrebande, justifie M. Hassan.


Un peu plus tard, dans un autre sac, les gardiens trouvent une bague et une chaîne en or.

Une garde kurde les confisque.


Mais l'étrangère n'a pas dit son dernier mot.

Ses mains agrippent résolument celles de la garde, essayant de récupérer ses bijoux.


"Emmenez-là en cellule", lance la gardienne. La femme affiliée à l'EI crie à son tour en s'agrippant à la clôture.


https://www.rtl.be/info/monde/inter...jihadiste-dans-l-est-de-la-syrie-1112410.aspx

:confused:
 
A

AncienMembre

Non connecté
Ces gosses ne sont pas des terroristes en puissance mais si ils reviennent avec leurs mères, ils seront élevés dans la haine et seront des bombes a retardement. Ils doivent rentrer chez eux slmt si ils sont suivis très attentivement et cela tt au long de leur vie ou du moins jusqu’à leur age adulte. Ils doivent également ne plus avoir de contact avec leurs parents terroristes.
Il y a certains enfants qui sont tellement endoctrinés qu’ils ont la haine d’autrui en eux et il faudra bcp de temps pour les remettre ds la société. Ça demande du temps et de l’argent mais je penses pas que l’Europe puisse faire qq. chose face à ça pour le moment.


Visionnez si vous pouvez le magnifique film "INCENDIES" fait d'après une pièce de théâtre de Wajdi Mouawad.
Ce film dit tout. Il est saisissant. Il se passe je crois au Liban mais peu importe, il est symboliquement valable pour tous les lieux où la guerre civile, le terrorisme ont traumatisé les esprits des enfants.
 
Ces gosses ne sont pas des terroristes en puissance mais si ils reviennent avec leurs mères, ils seront élevés dans la haine et seront des bombes a retardement. Ils doivent rentrer chez eux slmt si ils sont suivis très attentivement et cela tt au long de leur vie ou du moins jusqu’à leur age adulte. Ils doivent également ne plus avoir de contact avec leurs parents terroristes.
Il y a certains enfants qui sont tellement endoctrinés qu’ils ont la haine d’autrui en eux et il faudra bcp de temps pour les remettre ds la société. Ça demande du temps et de l’argent mais je penses pas que l’Europe puisse faire qq. chose face à ça pour le moment.

Tu sais, même pour les mères et les pères, il faut faire du cas par cas. Nous sommes face à des personnes endoctrinées (processus sectaire).

S'il est évident que certaines personnes seront irratrapables et que donc la prison à vie - ou un "enfermement" psychiatrique à vie - sera la seule solution, il me semble justement dangereux de les laisser dans des camps aux conditions inhumaines et dégradantes. On ne fait qu'aggraver la situation, les enrager, les laisser en proie à des personnes véritablement dangereuses qui prennent le lead dans ces camps...

Un peu d'Histoire ne ferait pas de mal. Nous avons connu des défis plus grands, et même s'il a fallu bien évidemment prendre des dispositifs adaptés, les situations ont pu être gérées.
Nous avons même pu laisser tranquillement vivre, sans jamais se faire condamner des terroristes qui ont pratiqué les pires actes de tortures et de barabarie pour s'emparer de pays. C'est toute l'Histoire de la colonisation.

Que préconisez-vous? Une extermination de toutes ces personnes? Créer une île prison pour tous ces "présupposés" terroristes"?

Il est justement important de réagir vite et très vite.
 
Tu sais, même pour les mères et les pères, il faut faire du cas par cas. Nous sommes face à des personnes endoctrinées (processus sectaire).

S'il est évident que certaines personnes seront irratrapables et que donc la prison à vie - ou un "enfermement" psychiatrique à vie - sera la seule solution, il me semble justement dangereux de les laisser dans des camps aux conditions inhumaines et dégradantes. On ne fait qu'aggraver la situation, les enrager, les laisser en proie à des personnes véritablement dangereuses qui prennent le lead dans ces camps...

Un peu d'Histoire ne ferait pas de mal. Nous avons connu des défis plus grands, et même s'il a fallu bien évidemment prendre des dispositifs adaptés, les situations ont pu être gérées.
Nous avons même pu laisser tranquillement vivre, sans jamais se faire condamner des terroristes qui ont pratiqué les pires actes de tortures et de barabarie pour s'emparer de pays. C'est toute l'Histoire de la colonisation.

Que préconisez-vous? Une extermination de toutes ces personnes? Créer une île prison pour tous ces "présupposés" terroristes"?

Il est justement important de réagir vite et très vite.

Endoctriné ou non, tout ceux et celles qui sont partis rejoindre daesh, savaient pertinement que ce n’etait pas pour faire de l’humanitaire. Il y avait assez d’alerte dans le monde entier concernant ce groupe de terroristes.

Ces gens là doivent tous etre jugé par un tribunal dans les pays où ils ont ete arreté et où ils ont commis leurs crimes. L’irak et la syrie doivent bien sur etre aidé par les pays où sont originaires ces gens. Cela me fait marrer qu’un integriste implore des pays de koufar car il est belge de le sauver alors que cette meme personne voudrait tous nous voir six pieds sous terre. Ils sont en terre d’Islam ds ces pays, qu’ils y restent et qu’ils y soient enterrés. Ils ont voulu faire l’hijra, ils ont cas y rester.

Je préconise une grande prison comme guatanamo mais un tribunal islamique doivent les condamner. Ils crachent sur la démocratie et les lois quo n’emanent pas de Dieu. Pk ils devraient avoir droit à un jugement équitable ?

Recemment un terroriste a pleurniché envers la belgique pcq il est belge et il voulait absolument l’aide de la belgique alors que ce gars avait du sang sur les mains. Une petite esuipe de belge est parti l’interrogé et supervisé l’audience. Il a été pendu.
 
Endoctriné ou non, tout ceux et celles qui sont partis rejoindre daesh, savaient pertinement que ce n’etait pas pour faire de l’humanitaire. Il y avait assez d’alerte dans le monde entier concernant ce groupe de terroristes.

Ces gens là doivent tous etre jugé par un tribunal dans les pays où ils ont ete arreté et où ils ont commis leurs crimes. L’irak et la syrie doivent bien sur etre aidé par les pays où sont originaires ces gens. Cela me fait marrer qu’un integriste implore des pays de koufar car il est belge de le sauver alors que cette meme personne voudrait tous nous voir six pieds sous terre. Ils sont en terre d’Islam ds ces pays, qu’ils y restent et qu’ils y soient enterrés. Ils ont voulu faire l’hijra, ils ont cas y rester.

Je préconise une grande prison comme guatanamo mais un tribunal islamique doivent les condamner. Ils crachent sur la démocratie et les lois quo n’emanent pas de Dieu. Pk ils devraient avoir droit à un jugement équitable ?

Recemment un terroriste a pleurniché envers la belgique pcq il est belge et il voulait absolument l’aide de la belgique alors que ce gars avait du sang sur les mains. Une petite esuipe de belge est parti l’interrogé et supervisé l’audience. Il a été pendu.

Cela ne fait jamais grandir que de se comporter ainsi. As-ton gazé tous les anciens nazis et collabos?

Je suis pour le droit à un procès équitable, cela ne se fait clairement pas en quelques minutes comme c'est le cas actuellement.

En fait, ce que tu veux, c'est leur mort! Triste mentalité!

L'abolition de la peine de mort a été une énorme avancée pour la France, lire de tels propos m'insurgent.

Tu es pleine de préjugés, tu ne connais pas ces personnes, ce qui les a mené là-bas, ce qu'ils y ont fait... Chaque cas est différent.

Je sais très bien que certains ne sont pas des enfants de coeur et que ce sont des dangers. Mais, ce n'est pas le cas de tous.

Ta vision est très caricaturale. Un peu de lecture pour ceux qui ne veulent pas rester figés dans des idées reçues :


 
Dernière édition:
A

AncienMembre

Non connecté
merci j'ai lu le premier article, intéressant en effet.

il semble qu'il concerne surtout des jeunes signalés comme radicalisés par précaution, qui profèrent pour s'affirmer des slogans pro Daesh, surtout pour choquer, mais qui ne seraient jamais passé à l'acte violent.

par contre les véritables terroristes passés à l'action de meurtre de masse (seul coulibaly est cité mais ce serait le cas de tous ceux impliqués dans les attentats de PAris et bruxelles) soient bien dès l'adolescence des délinquants multirécidivistes, avec un gros passé de crimes violents, qui se tournent en dernier ressort de leur course effrenée vers la mort, vers le djihadisme.
 
merci j'ai lu le premier article, intéressant en effet.

il semble qu'il concerne surtout des jeunes signalés comme radicalisés par précaution, qui profèrent pour s'affirmer des slogans pro Daesh, surtout pour choquer, mais qui ne seraient jamais passé à l'acte violent.

par contre les véritables terroristes passés à l'action de meurtre de masse (seul coulibaly est cité mais ce serait le cas de tous ceux impliqués dans les attentats de PAris et bruxelles) soient bien dès l'adolescence des délinquants multirécidivistes, avec un gros passé de crimes violents, qui se tournent en dernier ressort de leur course effrenée vers la mort, vers le djihadisme.

Je t'en prie. Je suis désolée, il y a pas mal d'articles intéressants sur Le Monde Diplomatique mais ils sont réservés aux abonnés.

Pour ton dernier paragraphe, c'est incontestable, c'est d'ailleurs pour ces profils la violence qui les a rassemblés vers cette idéologie mortifère, et non le salafisme comme certains aiment à le penser.

Maintenant, ces profils ne représentent pas tous les profils et tous ne sont pas d'anciens délinquants violents. C'est bien pour cela que la solution n'est pas si simple et simpliste que de tous les emprisonner à vie, et avec leurs enfants:confused:.
 

Felicitee

L'essentiel est invisible pour les yeux
Je t'en prie. Je suis désolée, il y a pas mal d'articles intéressants sur Le Monde Diplomatique mais ils sont réservés aux abonnés.

Pour ton dernier paragraphe, c'est incontestable, c'est d'ailleurs pour ces profils la violence qui les a rassemblés vers cette idéologie mortifère, et non le salafisme comme certains aiment à le penser.

Maintenant, ces profils ne représentent pas tous les profils et tous ne sont pas d'anciens délinquants violents. C'est bien pour cela que la solution n'est pas si simple et simpliste que de tous les emprisonner à vie, et avec leurs enfants:confused:.
Oui je suis de ton avis aussi, même si c'est extrêmement compliqué et je vais faire hurler certains. J'ai vu des reportages de parents et de familles de jeunes qui sont partis et ça a pas l'air si simple. Je me rappelle un jeune Marocain de France sa petite soeur était partie en Syrie à 16 ans. Il était parti la rechercher, il l'avait retrouvée mais n'avait pas réussi à la ramener, car elle était terrorisée. Ensuite ce jeune monsieur s'était engagé dans la prévention. Je n'oublierai jamais son regard si bouleversant. Après je sais pas si sa petite soeur est devenue un monstre radicalise, mais quand elle est partie elle était encore une enfant. Est elle morte?

Oui ils ont commis des atrocités mais comment savoir qui a fait quoi, c'est la m....
Des pédophiles et meurtriers ont aussi droit à des procès et eux aussi l'idéal serait de les tuer.
Un procès est-ce vraiment faisable pour toutes ces personnes? La plupart mériteraient de crever comme des rats, ils ont tant fait de mal et commis des atrocités. Mais je suis fondamentalement contre la peine de mort et la torture même pour ceux qui le méritent. Cette situation est tellement complexe, mais déjà si on peut sauver les enfants c'est le principal. Après se soucier du sort des jihadistes alors que des milliers de victimes crèvent dans des camps de réfugiés, y compris des enfants, c'est assez surréaliste aussi. Ça me dérange aussi que les pays occidentaux dont certains de ces jihadistes proviennent s'en lavent les mains et laissent des pays dévastés régler le problème.
 

belgika

Vis et meurs entre les 2 fais de ton mieux
VIB
Condamnée pour djihadisme en Irak, elle implore la France de lui "laisser une chance"




(Belga) Djamila Boutoutaou, une Française condamnée à la perpétuité en Irak pour appartenance au groupe djihadiste État islamique, implore la France de "lui laisser une chance", dans une lettre adressée à sa mère et dont l'AFP a obtenu copie vendredi.

"C'est tellement difficile, j'ai besoin d'aide, sortez-moi d'ici.

J'accepte d'être en prison en France si vraiment vous me pensez dangereuse (j'ai envie de vous montrer le contraire, vous prouver que je suis une personne tout à fait normale)", écrit-elle dans son courrier manuscrit daté du 5 mars et tamponné par la Croix-Rouge française, qui l'a fait parvenir à sa mère Saïda.

Originaires de la métropole lilloise, Djamila Boutoutaou et son époux Mohammed Nassereddine étaient partis en 2016 pour les territoires contrôlés par l'organisation Etat islamique (EI).

Après la mort de son mari et de son fils aîné, tués dans les combats, elle a été arrêtée avec sa fille et jugée en 2018 à Bagdad.

Privée de son avocat français lors de son procès, elle avait assuré avoir rejoint le groupe djihadiste contre son gré, dupée par son époux.

"Quand je l'ai épousé, il était chanteur de rap, c'est en arrivant en Turquie que j'ai découvert que mon mari était un djihadiste", avait affirmé la jeune femme née en 1989.

"Je te jure qu'il m'a trahi, tu me connais bien, j'aurais jamais fait ça, je ne suis pas folle.

Même en France, je n'étais pas libre de faire ce que je voulais", écrit-elle.

"J'ai envie de vivre une nouvelle vie, apprendre de nouvelles choses, voir de nouvelles choses, j'ai envie d'être une femme libre sans que personne ne décide de ma vie", poursuit Djamila Boutoutaou.

Puis détaille: "J'ai tellement envie de marcher libre dans la rue, avec les vêtements que je veux, m'inscrire à la salle de sport, cuisiner, faire de bons gâteaux, faire de bons petits plats..."

"J'ai envie de crier +Je veux être libre+. Pitié, aidez-moi, que faire ?

Qu'est-ce que vous voulez de moi ? (...)

Ca fait maintenant un an et sept mois que je suis en prison en Irak avec ma fille de trois ans et demi, je vais envoyer ma fille, après, je n'aurai plus de raisons de vivre", ajoute-t-elle.

L'enfant a été rapatriée le 27 mars en France alors que Saïda implorait depuis plusieurs mois le gouvernement de la rapatrier. "J'avais envie d'écrire un courrier au gouvernement (...) mais j'ai eu droit qu'à une seule feuille.

J'ai envie de dire à la France: Laissez-moi une chance, vous prouver mon innocence et laissez-moi la possibilité de devenir une femme libre", écrit encore la détenue dans ce courrier également transmis vendredi par sa mère au président Emmanuel Macron.

Plus de 600 étrangers, quasiment tous des femmes, ont été condamnés en Irak en 2018 pour appartenance au groupe Etat islamique (EI), selon la justice irakienne.

Parmi eux, trois Français -deux femmes et un homme- ont été condamnés à la prison à vie. (Belga)




https://www.rtl.be/info/monde/inter...rance-de-lui-laisser-une-chance--1115967.aspx
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Neuf enfants et deux femmes djihadistes de retour en France, dont des membres de la famille Clain


Deux femmes djihadistes et neuf enfants les accompagnant ont atterri ce mardi 24 septembre au matin à l’aéroport de Roissy, de retour de Turquie où ils avaient été arrêtés, a appris l’AFP de sources concordantes, confirmant une information de France-Inter.

L’une des deux mères de famille françaises soupçonnées d’appartenir au groupe Etat islamique pourrait être Jennifer Clain, la nièce des frères Fabien et Jean-Michel Clain, qui ont revendiqué au nom de l’EI les attentats du 13 novembre 2015 en France, ont indiqué ces sources.

Pour « la filiation, il reste à effectuer des vérifications mais c’est l’orientation », a déclaré une source proche du dossier. Les neuf enfants, âgés de 3 à 13 ans, ont été confiés par la justice à l’Aide sociale à l’enfance, selon une source proche.......
..


 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Il est clair qu'ils auront besoin d'une prise en charge pédo-psychiatrique ces enfants....

Les tout petiots sont "sauvables" mais au-dessus de 10 ans, ça risque de poser de gros problèmes. Ils ont vu des horreurs, appris à accomplir ces mêmes horreurs...

Y'a un paquet de fumiers qu'il faudrait stérilser dans ce Monde et pas que chez les jihadistes....


les parents ne mérite pas d'être parent faut les stériliser ses gens là,emmener des enfants en pleine guerre et leurs apprendre à détester les autres,tous les enfants de là bas veulent partir et eux ils les emmènent en plein conflits
 
Haut