Quelle est cette brise, pardon, cette bourrasque qui fouette nos chers bladinautes ?
Prenez des filles, des garçons, mélangez-les. Ils sont esseulés, parfois solitaire, célibataire, en quête d'un amour qu'ils peinent à rencontrer, mettez y un soupçon de phéromones, d'hormones mâle et femelle, vous avez le bladi de ces derniers temps.
A l'image d'une société en proie à une quête identitaire, on y retrouve toutes les déclinaisons de la sensibilité humaine : paradoxes, coups bas (ou hauts), vengeance, jalousie, manipulation, sexe, amours, trahisons, mensonges.
Les MPs fusent, les allusions tendancieuses à peine voilées et les appels (du pied ?) s'assimilant à des rites de parades nuptiales sont foison avec une pudeur délurée, des constitutions de couples qui se font et se refont, se défont (ainsi font font font) une endogamie dragatoire à lalimite de la ***-sanguinité. On mange, on se lève, on dort, on courtise bladi On vit bladiement.
Somme toute un microcosme bien singulier fruit des paradoxes de notre soi disant ***-ture et une vie bladicentrée avec ses joies, ses peines, ses excès (de langage), ses émois, etc ...
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