Le PN et sa victime se choisissent. Le PN car il a identifié une faille d'estime. La victime, parce qu'elle le voit comme pygmalion qui résoudra ses controverses psychiques.
La réalité c'est qu'une victime de PN est autant à accuser qu'un PN. La différence est que le PN est incurable et difficilement accessible à la cure psychanalytique. La victime, un peu plus même si parfois, les rôles sont inversés. Effet miroir oblige. On voir en l'autre ce qu'on est.
Mais bon, ces histoires de PN, on dirait que c la mode des nanas qui n'acceptent pas de se faire lourder. Et généralement, ce sont les mecs qui morflent mais eux, contrairement aux nanas, ils se plaignent pas d'avoir des sorcières comme femmes. Les femmes vivent bien mieux les séparations par le fait qu'elles verbalisent à qui veut les entendre (la preuve, ce fil de discussion). Ce qui est rarement le cas des hommes qui sont un peu plus fiers et n'entendent pas tjrs partager leurs états d'âmes. On les attend forts, virils, en érection à la demande (EOD), infaillibles alors ils se présentent comme tel car pour la gente féminine, un homme faible n'est très généralement pas un homme mais ... une femme (construction mentale basique très courue chez les Maghrébins). Ou encore des femmes enfants qui sont encore dans les jupons de leur mère et squattent les psy, rokyas (1, 2, 3), cercles de discussions. Svt les victimes sont des personnes dépendantes à tendance bipolaire avec versant dépressif.
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