Tu me confortes du coup
Elles les choisissent. Une amie qui est dans ces trucs psy me disait "
les inconscients se parlent". On retrouve souvent le même profil de "victime" qui consent limite à l'être. Comme si le statut victimaire les rassurait pour se construire une espèce de carapace de protection d'elles mêmes. Elles sont svt entravées à plusieurs niveaux. Parfois avec des personnalités aux limites (on parle de personnalité
borderline). Les PN sont svt des hommes avec des professions valorisées dans la société même s'il n'y a pas de profil type. C'est la manifestation extrême du rapport dominant dominé. Du prédateur et de sa proie. On peut dire ainsi que le PN est resté dans un état animal de survie mais le plus alarmant n'est pas tant le narcissisme mais la perversité de la personnalité. Elle supporte mal le temps qui passe le temps, la faiblesse, est froide à la douleur de l'autre, indifférente pour ne pas dire suscitatrice.
Le PN se glorifie de l'estime de l'autre déjà amenuisée parce que lui même, au fond de lui, a une idée dévalorisée de lui même. Il a connu svt une mère distante, économe en affection. Son narcissisme ne s'est pas ou mal construit dans la prime enfance où il est normal car l'enfant en construction est dépendant affectivement et physiquement.
Le PN est une victime passée à un moment T-n lointain. La victime du PN, elle aussi, est en quasi mésestime sur toutes les dimensions de la construction. Mais au delà, ce qui caractérise hautement le PN, c'est son incapacité à se forger une relation d'objet qui découle sur un imago grandiose. L'empathie, l'altérité ne sont utilisés que très peu voire pas du tout ou juste le temps d'atteindre un objectif de soumission pour alimenter son narcissisme mal construit.
Sinon, pour la duperie, "
on est tjrs le c...on de qqn" rassure toi
++