Pourquoi personne ne veut d'une femme qui fume ou qui boit?

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Aboubakri
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Ce que je fais dans mon sujet c'est illustrer par l'histoire de l'alcoolo, les mécanisme biologiquent qui déterminent les choix des gens basiques.
Donc ton titre est incorrect car tu parles des personnes basiques et non des hommes plus profonds qui derrière la femme alcoolisée verront une potentielle épouse formidable : )

Ton titre est essentialiste, à ce titre c'est une insulte aux hommes.
 
Quel mécanisme biologique?
Exemple ce qui te pousse à mettre une photo qui te plait et que tu penses qu'elle va plaire en avatar. Pourquoi ce choix?
Car tu as comme beaucoup le besoin instinctif de plaire, d’être désirable et importante aux yeux des autres, pour cela tu dois entre autre etre reconnaissable (identité) et inconsciemment ou de manière totalement consciente tu fais un choix qui découle de cette logique, ici le choix de ton avatar auquel tu souhaite etre amalgamée.
 
Exemple ce qui te pousse à mettre une photo qui te plait et que tu penses qu'elle va plaire en avatar. Pourquoi ce choix?
Car tu as comme beaucoup le besoin instinctif de plaire, d’être désirable et importante aux yeux des autres, pour cela tu dois entre autre etre reconnaissable (identité) et inconsciemment ou de manière totalement consciente tu fais un choix qui découle de cette logique, ici le choix de ton avatar auquel tu souhaite etre amalgamée.
Tu mélanges entre biologie et psychologie
 
Tu divagues, notre culture influence largement notre profil psychologique !

En Turquie et dans d'autres pays orientaux une femme qui fume est tout à fait "normale" tandis qu'une femme se maquillant est marginalisée! (dans les milieux tradi)
Mais tout cela est in fine déterminé par des instincts, des pulsions, des hormones, des besoins physiologiques.
 
Il est possible de le faire mais pas à travèrs notre psychologie qui n'est que le produit de notre biologie et l'environnement dans le quel cet amas de cellules évolue.

Tu admets enfin que l'environnement influence notre psychologie. Cet homme que tu décris dans ton message initial est donc resté au même niveau que celui qui vient de naître et n'a pas encore eu l'opportunité de se développer c'est ça ?
 
Tu admets enfin que l'environnement influence notre psychologie. Cet homme que tu décris dans ton message initial est donc resté au même niveau que celui qui vient de naître et n'a pas encore eu l'opportunité de se développer c'est ça ?
Pas la psychologie mais notre comportement qui lui est lié à la biologie si la personne ne s'en est pas émancipé.
 
Bien entendu il y a aussi beaucoup de femmes intelligentes bien éduquées et bien conseillées qui refusent de vivre avec un homme dont la faiblesse et la situation morale est tellement catastrophiques qu'il accepte de dépenser sa santé et son argent pour du poison.
Ce thread ne s'adresse pas aux croyants (sinon je l'aurais posté ailleurs) mais à tout le monde afin d'expliquer les mécanismes basiques qui produisent le blocage envers ce genre de femmes.
Un homme lamda est attiré par une femme qui répond aux critères biologiques suivants:
La femme doit absolument pouvoir donner l'impression qu'elle est en bonne santé, qu'elle est pleine de vitalité, qu'elle est capable de porter des enfants et les mettre au monde en bonne santé, elle doit démontrer aux yeux de l'homme qu'elle possède un stock de gène de qualité. Il est clair que tout cela se fait de manière inconsciente, que c'est du domaine du biologique, après vient se qu'on nomme la culture et qui traduit et sublime tous ces comportements basiques et instinctifs en quelque chose qui semble plus "romantique".
Voila pourquoi une femme droguée au tabac, alcool ou autres révulse ou est méprisée, car le mec ne peut pas inconsciemment se projeter avec qu'elle, il ne la voit pas tout simplement comme une future mère. Au mieux elle sera une de ces femmes que l'on "essaye" avec qui on s'entraine, on s'amuse au pire elle ne sera pas calculer, tout cela à cause de l'image de "non future mère" qu'elle renvoie.
Ton expérience doit être limitée car il y a quelques marocains mariés à des femmes qui fument et boivent...
 
Pas la psychologie mais notre comportement qui lui est lié à sa biologie si la personne ne s'en est pas émancipé.
Notre comportement est lié à des orientations psychologiques qui elles sont en rapport avec notre culture.
In fine, tu parles des hommes n'utilisant que peu leur cerveau : )


tu ne peux pas me contredire, c'est aussi prouvé dans la sounna :

Omar ibn ul-Khattâb (radhiyallâhu'anh) raconte ainsi :
"Avant la venue de l'islam, nous autres n'avions pas de considération pour les femmes. Puis, lorsque vint l'islam et que Dieu évoqua leurs droits, nous nous mîmes, à cause de cela, à comprendre qu'elles avaient des droits sur nous. Néanmoins nous ne leur permettions pas de se mêler de nos affaires" (al-Bukhârî 5505). Omar parle là des règles apportées par l'islam. Cependant, quand il dut émigrer à Médine – où le Prophète allait vivre 10 ans encore –, il se retrouva au contact des musulmans de là-bas. Et un changement, cette fois de coutume ('urf), l'attendait là-bas ; il raconte : "Chez nous autres les qurayshites, c'étaient nous, les hommes, qui menions les femmes ("naghlib un-nissâ'"). Mais les Ansâr étaient un peuple où c'étaient les femmes qui menaient les hommes ("taghlibuhum nissâ'uhum"). Quand nous nous installâmes (à Médine), nos femmes se mirent à prendre cette façon d'être des femmes ansarites" (al-Bukhârî 4895). "Ainsi, alors que j'étais en train de (réfléchir à) une affaire que j'exerçais, ma femme me dit : "Si tu faisais ainsi et ainsi !" Je lui dis alors : "Qu'as-tu avec ce qui se trouve ici ? De quoi y a-t-il à entrer dans quelque chose que je veux faire ?"" (al-Bukhârî 4629). "Elle me répondit alors" (4795) ; "elle me tint des propos vifs" (5505). "Je n'appréciai pas qu'elle me réponde, raconte Omar. Elle me dit alors : "Et pourquoi n'apprécies-tu pas qu'on te réponde, alors que les épouses du Prophète lui répondent" (4895) ; "Ta fille répond au Prophète au point que celui-ci reste mécontent la journée"" (al-Bukhârî 4629).
 
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