Quand l'homme moderne invente contre la religion

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Un musulman ne fait pas la religion, la religion ne fait pas Dieu.
Un bouddhiste ne fait pas la religion etc....

Y a des chrétiens qui agissent comme des démons, des musulmans aussi etc...

Mais le principe du Bouddhisme interdit d'enlever la vie. Pareil pour le christianisme et le judaisme (les 10 commandements).

Maintenant, ce que les gens font de la religion et des croyances, on n'y peut rien mais on ne peut pas condamner tous les gens qui pratiquent une religion sous le prétexte que quelques uns l'ont dénaturé. c'est trop simpliste.

Par exemple, un Pape catholique avait décrété que l'interdiction de meurtre ne s'appliquait pas en cas de guerre... c'est pratiquement une hérésie. Et des exemple comme ça, il y en a partout, mais pas une seule guerre n'a été fait au nom du bouddhisme...

Oussama Ben Laden n'est pas l'Islam... il a sa propre définition qu'il met en pratique. Rien ne dit qu'il est dans le vrai ou dans le faux.

je signale au passage qu'un chretien s'il suit exactement les enseignements du Christ est non violent egalement.
il doit meme chercher à aimer son agresseur.

un exemple : les Amish
 
...l'homme a "inventé" des histoire abracadabrante sur les religions, nous faisant passé pour des attardé mental,...

c'est quoi exactement ta religion?

ah! oui je me souviens c'est un nom un peu long ...

ou plutot c'est le nom de l'idole que tu adore "foutrlebordelaveclèhaditistes"

enchanté je suis musulman ! (moi j'adore allah)
 
Ok ! pourquoi donc tué cet homme alors ? il avait des détracteurs.
"Cet homme"? Tu veux parler de Galilée?
L'Inquisition était une institution qui jugeait les hérésies. Elle avait son code, ses lois. Et des peines bien définies associées aux "infractions" constatées et jugées comme telles.
Galilée a dû "abjuré". S'il ne l'avait pas fait, la peine associée aurait été la mort. Il l'a fait, sa peine a été aménagée, d'autant plus que le pape l'avait à la bonne.

L'homme reste l'homme. Pétri de subjectivité. Et les membres de l'inquisition n'étaient que des hommes. Même s'ils s'estimaient guidés par dieu... Et il y avait certainement des détracteurs parmis eux.
Je ne pense pas qu'il faille chercher plus loin et compliqué ce cas. L'église (à travers sa hiérarchie, je ne parle pas de l'église en tant que communauté des croyants chrétiens) n'était pas encore prête.
 
Le besoin religieux dans un sens large est en effet naturel. Certains ne le ressentent pas, mais aucune société n'a pu subsister sans religions. L'URSS avait sa propre religion communiste.

Alors que l'honnêteté intellectuelle exige que nous admettions notre ignorance sur certains problèmes ultimes, psychologiquement c'est un peu trop difficile de supporter cette absence de réponses - d'où la création de mythes.

Donc selon toi l'athéisme serait la seul et unique "bonne" culture ?
 
c'est quoi exactement ta religion?

ah! oui je me souviens c'est un nom un peu long ...

ou plutot c'est le nom de l'idole que tu adore "foutrlebordelaveclèhaditistes"

enchanté je suis musulman ! (moi j'adore allah)

Moi aussi ! j'adore Allah et sont coran ! les blabla douteux du genre hadiths je ne connais pas et j'en veut franchement pas surtout quand il contredisent le coran, mais votre adoration pour les imams et les savants sont franchement plus forte que les principes du coran.
 
"Cet homme"? Tu veux parler de Galilée?
L'Inquisition était une institution qui jugeait les hérésies. Elle avait son code, ses lois. Et des peines bien définies associées aux "infractions" constatées et jugées comme telles.
Galilée a dû "abjuré". S'il ne l'avait pas fait, la peine associée aurait été la mort. Il l'a fait, sa peine a été aménagée, d'autant plus que le pape l'avait à la bonne.

L'homme reste l'homme. Pétri de subjectivité. Et les membres de l'inquisition n'étaient que des hommes. Même s'ils s'estimaient guidés par dieu... Et il y avait certainement des détracteurs parmis eux.
Je ne pense pas qu'il faille chercher plus loin et compliqué ce cas. L'église (à travers sa hiérarchie, je ne parle pas de l'église en tant que communauté des croyants chrétiens) n'était pas encore prête.

Non je parle de clement VI ! lol j'aurais pensée que tu l'avais compris désolé godless.
 
Je pense qu'on est plusieurs alhamdoulilah !

Et les pires sont ceux qui le font au nom de la "Religion" ...

Comme ceux qui soutiennent les (faussent) paroles du prophète et laisse tomber la lecture du coran, ou le lisent mais avec l'interprétation des savants sous prétexte que :

Comme ils sont savants il savent mieux que tous le monde...

Alors que le Coran n'a jamais crédité ceci.
 
Donc selon toi l'athéisme serait la seul et unique "bonne" culture ?

yope breakbeat.

Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise culture, si la religion permet à des gens de s'épanouir c'est une bonne culture pour eux, si l'athéisme permet à des gens de s'épanouir alors c'est une bonne culture pour eux.
l'important n'est pas vraiment ce qu'on pense mais plus le résultat de cette pensé sur notre vie (d'un point de vue totalement individuel ).

Tu connais ma position sur les religions, mais si des gens s'épanouissent dedans alors tant mieux pour eux.

+ 1 avec birdman le fait religieux etant une constante chez l'homme la religion doit etre considéré comme une chose naturelle chez l'espèce humaine.
 
+ 1 avec birdman le fait religieux etant une constante chez l'homme la religion doit etre considéré comme une chose naturelle chez l'espèce humaine.


C'est pire que ça: c'est l'associationnisme qui est naturel en l'homme. Il faut des efforts soutenus pour maintenir un monothéisme de type islam. Les gens ont trop tendance à vénérer de petites divinités (des saints, des anges, des ancêtres, etc.) qui sont proches d'eux et qui leur ressemblent. Le monothéisme, c'est surtout un truc de philosophes et de prophètes un peu trop idéalistes.
 
yope breakbeat.

Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise culture, si la religion permet à des gens de s'épanouir c'est une bonne culture pour eux, si l'athéisme permet à des gens de s'épanouir alors c'est une bonne culture pour eux.
l'important n'est pas vraiment ce qu'on pense mais plus le résultat de cette pensé sur notre vie (d'un point de vue totalement individuel ).

Entièrement d'accord !

Tu connais ma position sur les religions, mais si des gens s'épanouissent dedans alors tant mieux pour eux.

+ 1 avec birdman le fait religieux etant une constante chez l'homme la religion doit etre considéré comme une chose naturelle chez l'espèce humaine.

Donc l'athéisme est aussi naturel !
 
C'est pire que ça: c'est l'associationnisme qui est naturel en l'homme. Il faut des efforts soutenus pour maintenir un monothéisme de type islam. Les gens ont trop tendance à vénérer de petites divinités (des saints, des anges, des ancêtres, etc.) qui sont proches d'eux et qui leur ressemblent. Le monothéisme, c'est surtout un truc de philosophes et de prophètes un peu trop idéalistes.

Idéaliste ? le polythéisme est idéaliste !

Si un Dieu me plait pas je j'invente un autres Dieu pour me protéger du Dieu qui me plait pas...
 
Le polythéisme n'est pas idéaliste... il correspond aux exigences profondes du coeur.

Les prophètes du monothéisme, eux, qui font de l'idolâtrie un crime impardonnable, se méprennent lourdement sur la nature humaine. Ils croient que le polythéisme est une construction purement sociale, un simple vêtement, alors qu'en fait, il est quelque chose de bien plus radical (de radix, radicis: racine).
 
L'athéisme est naturel pour certaines personnes. Le Dantec, par exemple, un biologiste du début du 20ème siècle, confie qu'il n'a jamais ressenti de foi ou de besoin de croire. Mais en général, l'athéisme répugne à un cerveau humain. Et c'est pour cela que dans toutes les sociétés sur la planète, il y a eu des religions.

Je ne sais pas trop ce que pensait un athée qui vivait en Israël au premier millénaire avant notre ère.

Il remarquait peut-être que les sacrifices des prêtres n'étaient pas corrélés avec la prospérité matérielle.

Il remarquait peut-être aussi que les biens et les maux n'étaient pas distribués suivant les mérites de chacun. C'est le problème du mal.

Et puis, pouvait-il se dire, à quoi ça rime de vénérer un être que personne ne voit?

Donc même à cette époque l'athéisme avait en principe de bons arguments.

Dans le livre de Job, le héros subit toutes sortes de malheur en dépit de son comportement irréprochable. Pourtant, aucun acteur du récit n'en conclut que Dieu n'existe pas. C'est comme si cette idée ne leur effleurait pas l'esprit!! C'est difficile de savoir ce qui se passait dans la tête des gens à cette époque. Peut-être que les auteurs de Job n'ont pas parlé d'athéisme parce que cela leur aurait paru trop blasphématoire.

Ce qui caractérise la situation en Occident aujourd'hui, c'est essentiellement deux choses: 1) les religions ont renoncé à se servir du pouvoir étatique pour maintenir leur domination`2) il y a une grande concurrence sur le marché des croyances. Plusieurs religions se disputent l'adhésion des fidèles, et les athées aussi ont des choses à dire. Mais «la» religion se porte bien dans notre société. Elle se porte juste moins bien dans les institutions du savoir.
 
L'athéisme est naturel pour certaines personnes. Le Dantec, par exemple, un biologiste du début du 20ème siècle, confie qu'il n'a jamais ressenti de foi ou de besoin de croire. Mais en général, l'athéisme répugne à un cerveau humain. Et c'est pour cela que dans toutes les sociétés sur la planète, il y a eu des religions.

Je ne sais pas trop ce que pensait un athée qui vivait en Israël au premier millénaire avant notre ère.

Il remarquait peut-être que les sacrifices des prêtres n'étaient pas corrélés avec la prospérité matérielle.

Il remarquait peut-être aussi que les biens et les maux n'étaient pas distribués suivant les mérites de chacun. C'est le problème du mal.

Et puis, pouvait-il se dire, à quoi ça rime de vénérer un être que personne ne voit?

Donc même à cette époque l'athéisme avait en principe de bons arguments.

Dans le livre de Job, le héros subit toutes sortes de malheur en dépit de son comportement irréprochable. Pourtant, aucun acteur du récit n'en conclut que Dieu n'existe pas. C'est comme si cette idée ne leur effleurait pas l'esprit!! C'est difficile de savoir ce qui se passait dans la tête des gens à cette époque. Peut-être que les auteurs de Job n'ont pas parlé d'athéisme parce que cela leur aurait paru trop blasphématoire.

Ce qui caractérise la situation en Occident aujourd'hui, c'est essentiellement deux choses: 1) les religions ont renoncé à se servir du pouvoir étatique pour maintenir leur domination`2) il y a une grande concurrence sur le marché des croyances. Plusieurs religions se disputent l'adhésion des fidèles, et les athées aussi ont des choses à dire. Mais «la» religion se porte bien dans notre société. Elle se porte juste moins bien dans les institutions du savoir.
"Cela peut sembler étonnant que d’annoncer qu’il existerait une raison physiologique et ontologique au besoin de croire. La thèse de Freud s’appuie sur le fait suivant:

L'inachèvement physiologique biologique de l’être humain. Une particularité fondamentale du petit humain, comme beaucoup de mammifères, est de venir au monde: inachevé. En effet, si nous le comparons avec un poussin, celui-ci est d’emblée capable de marcher, trouver sa nourriture et la picorer, et peut différencier de suite le vol d’un pigeon ou d’un faucon et se cacher, etc. Le petit humain poursuit sa maturation pendant un long temps, en une sorte de grossesse externe, non plus dans un utérus mais dans l’enveloppement procuré par les soins vitaux.

Cet état produit une première phase de dépendance, que l’on pourrait qualifier de physiologique (besoins vitaux, protection, etc.), dépendance qui a son envers lorsque les oins tardent ou manquent, les états de détresse du nouveau-né (lié au fait qu’il est totalement incapable de satisfaire à ses besoins).

En même temps, on observe la création d’un nouvel état, psychique celui-ci, celui de la satisfaction hallucinatoire du désir: dans l’attente du soin dont il a l’expérience, des représentations peuvent venir en différer la réalisation, mais dans un état particulier, une sorte d’hallucination. (Nous verrons plus loin le destin de ce processus).

Ces états premiers de la vie de chaque individu ont un destin, avec le développement d’un autre type de nourriture (non plus physiologique mais psychique: affection, parole, jeu, connaissances, etc.), ce qui produit, non plus une dépendance physique, mais une dépendance psychique, qui, dans un premier temps, s’exprime dans la relation aux parents. Cette dépendance a un envers, celui de la croyance en la toute-puissance des parents, qui seront plus tard représentés comme des Géants (ils le furent physiquement), des Grandes Déesses et des Dieux, ou, encore, des Magiciens (car l’ont croit qu’ils savent tout et tout faire). Cette toute-puissance a aussi son avantage, celui de se sentir protégé et aimé. Cette période va perdurer, déposant dans nos psychés ce que nous nommons la croyance en une toute-puissance (infantile) du geste et du mot, dont nous avons vu une manifestation avec Faust : c’est dire qu’elle ne nous lâche pas, et que d’ailleurs, nous y tenons.

Notons enfin que cette toute-puissance a pour particularité d’agir au niveau des liens de causalité (nous y reviendrons) : en effet, lorsqu’une causalité échappe à notre entendement, ce sont des liens da causalité magiques qui viennent offrit une explication."


Extrait tiré de:
http://www.psychanalyse.lu/articles/BernatFreudReligion.htm

Je t'invite à cette lecture (peut-être te l'ai-je déjà proposée, je ne m'en souviens plus. ;)) subjective mais Ô combien pertinente. Du moins, c'est mon avis.
 
Donc l'athéisme est aussi naturel !

mouèpe, aussi loin que je me souvienne je n'ai jamais ressentit dieu et je n'ai jamais eu de sensibilité à cette notion ( faut dire aussi que mes parents ne sont pas croyant j'ai donc pas baigné dans un univers religieux ). à contrario une de mes sœurs a toujours été plus encline à la croyance en dieu pourtant on fut élevé dans le même environnement "neutre".

donc pour moi les deux relèves du naturel et en partit de l'inné ( surtout la foi ou la non foi ), même si pour moi l'athéisme relève aussi un peu de l'anomalie face à l'océan de croyant. ^^
 
Le polythéisme n'est pas idéaliste... il correspond aux exigences profondes du coeur.

Explique toi donc !

Les prophètes du monothéisme, eux, qui font de l'idolâtrie un crime impardonnable, se méprennent lourdement sur la nature humaine. Ils croient que le polythéisme est une construction purement sociale, un simple vêtement, alors qu'en fait, il est quelque chose de bien plus radical (de radix, radicis: racine).

En effet c'est vrai ! mais cela est une traitrise que de donner du mérite a ce qui n'en n'a pas ! des statuts qui n'ont rien crée et rien inventé du tous.
 
"Cela peut sembler étonnant que d’annoncer qu’il existerait une raison physiologique et ontologique au besoin de croire. La thèse de Freud s’appuie sur le fait suivant:

L'inachèvement physiologique biologique de l’être humain. Une particularité fondamentale du petit humain, comme beaucoup de mammifères, est de venir au monde: inachevé. En effet, si nous le comparons avec un poussin, celui-ci est d’emblée capable de marcher, trouver sa nourriture et la picorer, et peut différencier de suite le vol d’un pigeon ou d’un faucon et se cacher, etc. Le petit humain poursuit sa maturation pendant un long temps, en une sorte de grossesse externe, non plus dans un utérus mais dans l’enveloppement procuré par les soins vitaux.

Cet état produit une première phase de dépendance, que l’on pourrait qualifier de physiologique (besoins vitaux, protection, etc.), dépendance qui a son envers lorsque les oins tardent ou manquent, les états de détresse du nouveau-né (lié au fait qu’il est totalement incapable de satisfaire à ses besoins).

En même temps, on observe la création d’un nouvel état, psychique celui-ci, celui de la satisfaction hallucinatoire du désir: dans l’attente du soin dont il a l’expérience, des représentations peuvent venir en différer la réalisation, mais dans un état particulier, une sorte d’hallucination. (Nous verrons plus loin le destin de ce processus).

Ces états premiers de la vie de chaque individu ont un destin, avec le développement d’un autre type de nourriture (non plus physiologique mais psychique: affection, parole, jeu, connaissances, etc.), ce qui produit, non plus une dépendance physique, mais une dépendance psychique, qui, dans un premier temps, s’exprime dans la relation aux parents. Cette dépendance a un envers, celui de la croyance en la toute-puissance des parents, qui seront plus tard représentés comme des Géants (ils le furent physiquement), des Grandes Déesses et des Dieux, ou, encore, des Magiciens (car l’ont croit qu’ils savent tout et tout faire). Cette toute-puissance a aussi son avantage, celui de se sentir protégé et aimé. Cette période va perdurer, déposant dans nos psychés ce que nous nommons la croyance en une toute-puissance (infantile) du geste et du mot, dont nous avons vu une manifestation avec Faust : c’est dire qu’elle ne nous lâche pas, et que d’ailleurs, nous y tenons.

Notons enfin que cette toute-puissance a pour particularité d’agir au niveau des liens de causalité (nous y reviendrons) : en effet, lorsqu’une causalité échappe à notre entendement, ce sont des liens da causalité magiques qui viennent offrit une explication."


Extrait tiré de:
http://www.psychanalyse.lu/articles/BernatFreudReligion.htm

Je t'invite à cette lecture (peut-être te l'ai-je déjà proposée, je ne m'en souviens plus. ;)) subjective mais Ô combien pertinente. Du moins, c'est mon avis.

Si je suis le raisonement de Freud les parent n'existe pas...

Enfin bref ! si je devait m'inventé un Dieu pourquoi m'inventerait-je un Dieu qui me menace de l'enfer même en tant que croyant ? n'est ce pas contradictoire avec la thèse de Freud ?

La définition de Freud ici est quelque peut "dirigé" je peut dire la même chose pour l'athéisme !

"la peur que procure la présence Divine, l'omnipotence de pouvoir nous punir pousse a renier ce Dieu qui nous oblige a suivre un code de vie qui ne nous convient pas forcément ! En effet, une personne par exemple qui vie de manière dite profane ne pourra pas vivre la "conscience tranquille" en croyant en ce Dieu qui condamne ce mode de vie, de ce fait le sujet ce "rassure" en rejetant l'idée que un Dieu est pu crée des religions (qui sont la cause de sont trouble psychotique) ou carrément rejeter Dieu, en adoptant une attitude "je m'en foutiste" envers Dieu (Dieu ? moi je n'y pensent pas !) pour évité de faire face a ce qui nous chagrine.Le sentiment d'indépendance de Dieu (le fait que on peut vivre sans croire en lui) fait croitre ce sentiment que au final "on a vraiment pas besoin de lui il ne nous punie même pas ici bas malgré ce que je fait et comment je vie" suite a cela le sentiment devient encore plus fort ! et on obtient un athéisme qui ce perpétue de génération en génération".

Avant toutes chose j'aimerais dire que je suis juste un illustre inconnu...^^
 
mouèpe, aussi loin que je me souvienne je n'ai jamais ressentit dieu et je n'ai jamais eu de sensibilité à cette notion ( faut dire aussi que mes parents ne sont pas croyant j'ai donc pas baigné dans un univers religieux ). à contrario une de mes sœurs a toujours été plus encline à la croyance en dieu pourtant on fut élevé dans le même environnement "neutre".

Les convictions c'est ça ! quand on ne croit pas on ne croit pas ! et quand on croit on croit ! je dirait plutôt que on conçois.

donc pour moi les deux relèves du naturel et en partit de l'inné ( surtout la foi ou la non foi ), même si pour moi l'athéisme relève aussi un peu de l'anomalie face à l'océan de croyant. ^^

Honnêtement je sais pas ou tu habite mais si tu habite la France tu te trompe lourdement en disant que il y a un océan de croyants...
 
Le polythéisme correspond aux exigences profondes du coeur, puisque le cerveau humain a besoin de se sentir en sécurité dans l'univers et d'avoir le sentiment (illusoire) de contrôler la situation. Donc il s'adresse à des êtres supérieurs qui, selon lui, contrôlent les forces de la nature et il essaie de les convaincre par des rites de lui accorder leur aide.

- Mais un seul dieu peut faire tout ça, me diras-tu!

C'est vrai en théorie, mais en fait un dieu infini, parfait, saint, séparé de l'univers est perçu par le cerveau comme trop distant, trop éloigné, pour le réconforter. C'est alors que, tout naturellement, il tombe dans le shirk en s'inventant des intermédiaire (culte des saints dans le catholicisme ou dans l'islam, polythéisme hindou, etc.).
 
Si je suis le raisonement de Freud les parent n'existe pas...

Enfin bref ! si je devait m'inventé un Dieu pourquoi m'inventerait-je un Dieu qui me menace de l'enfer même en tant que croyant ? n'est ce pas contradictoire avec la thèse de Freud ?

La définition de Freud ici est quelque peut "dirigé" je peut dire la même chose pour l'athéisme !

"la peur que procure la présence Divine, l'omnipotence de pouvoir nous punir pousse a renier ce Dieu qui nous oblige a suivre un code de vie qui ne nous convient pas forcément ! En effet, une personne par exemple qui vie de manière dite profane ne pourra pas vivre la "conscience tranquille" en croyant en ce Dieu qui condamne ce mode de vie, de ce fait le sujet ce "rassure" en rejetant l'idée que un Dieu est pu crée des religions (qui sont la cause de sont trouble psychotique) ou carrément rejeter Dieu, en adoptant une attitude "je m'en foutiste" envers Dieu (Dieu ? moi je n'y pensent pas !) pour évité de faire face a ce qui nous chagrine.Le sentiment d'indépendance de Dieu (le fait que on peut vivre sans croire en lui) fait croitre ce sentiment que au final "on a vraiment pas besoin de lui il ne nous punie même pas ici bas malgré ce que je fait et comment je vie" suite a cela le sentiment devient encore plus fort ! et on obtient un athéisme qui ce perpétue de génération en génération".

Avant toutes chose j'aimerais dire que je suis juste un illustre inconnu...^^

L'idée d'enfer existe parce qu'elle répond à un besoin SOCIAL aux yeux des prophètes qui l'ont inventé. Ceux-ci voulaient réguler le comportement des gens par des menaces et des promesses irréfutables.
 
Honnêtement je sais pas ou tu habite mais si tu habite la France tu te trompe lourdement en disant que il y a un océan de croyants...

je parlais a l'échelle mondial, je vis en France mais la France n'est qu'un petit pays dans le monde. Un pays qui affiche un nombre d'athée aux environ de 35% c'est assez rare surtout quand France même si il y a une tradition laïque ont ne peux pas parler de persécution contre les religions, à l'inverse de la chine et des anciennes républiques socialistes qui elles aussi affichent des gros scores mais qui s'explique par des répressions ancienne ou actuel.
 
à Thales59,

Ben tu sais, la proportion de vrais athées (c'est-à-dire ceux qui ne croient en rien de transcendant, et non ceux qui sont croyants sans se reconnaître dans une religion en particulier) varie beaucoup d'une enquête à l'autre. Ça me surprendrait beaucoup si ne serait-ce qu'une seule société se retrouvait avec une majorité de vrais athées. Cela serait gênant pour mes idées sur la religion, qui me viennent de la psychologie évolutionniste, de l'histoire et de l'anthropologie...

Il faut dire que la «croyance» est bien plus difficile à mesurer que des phénomènes physiques. Ce n'est pas pour rien qu'on oppose science molle à science dure!!

La forme de la question, l'attitude de l'enquêteur, les techniques d'échantillonnage, voire des événements de l'actualité*, peuvent influer sur les résultats.


* Comme les récentes bourdes de l'Église catholique
 
Le polythéisme correspond aux exigences profondes du coeur, puisque le cerveau humain a besoin de se sentir en sécurité dans l'univers et d'avoir le sentiment (illusoire) de contrôler la situation. Donc il s'adresse à des êtres supérieurs qui, selon lui, contrôlent les forces de la nature et il essaie de les convaincre par des rites de lui accorder leur aide.

- Mais un seul dieu peut faire tout ça, me diras-tu!

C'est vrai en théorie, mais en fait un dieu infini, parfait, saint, séparé de l'univers est perçu par le cerveau comme trop distant, trop éloigné, pour le réconforter. C'est alors que, tout naturellement, il tombe dans le shirk en s'inventant des intermédiaire (culte des saints dans le catholicisme ou dans l'islam, polythéisme hindou, etc.).

Tu te contredit sévère dans le même texte ! tu prétend que Dieu a était inventé pour ce rassuré des contrôle de situation alors que en religion on t'apprend tous le contraire ! quand une ******* doit arrivé elle arrivera et quand un bonheur arrivera il arrivera pendant ta vie et tes choix personnel ! il faudra juste savoir quand...

Et d'un autres côtés tu prétend que on ne peut voué a un culte a ce Dieu si "éloigné" en le vouant au saint et tous ceci comme intermédiaire alors que Dieu nous la formellement interdit...ce qui est contraire a ton exposé sur le polythéisme ! et d'ailleurs dans la réalité on constate que en effet tu a raison ! les croyants adore souvent autres chose que Dieu ce qui signifie que le polythéisme serait naturellement faux et le monothéisme naturellement authentique (car l'homme fait malgré tous l'inverse de ce que le monothéisme lui demande)...
 
L'idée d'enfer existe parce qu'elle répond à un besoin SOCIAL aux yeux des prophètes qui l'ont inventé. Ceux-ci voulaient réguler le comportement des gens par des menaces et des promesses irréfutables.

L'enfer na nullement était inventé par les prophète ! sinon prouve le !

Loin de l'enfer ! la peine de mort suffit a refroidir les comportement extreme ! et encore ! avec toutes les menaces de l'enfer et de la peine de mort on tombe sur des types qui en on rien a secoué...
 
je parlais a l'échelle mondial, je vis en France mais la France n'est qu'un petit pays dans le monde. Un pays qui affiche un nombre d'athée aux environ de 35% c'est assez rare surtout quand France même si il y a une tradition laïque ont ne peux pas parler de persécution contre les religions, à l'inverse de la chine et des anciennes républiques socialistes qui elles aussi affichent des gros scores mais qui s'explique par des répressions ancienne ou actuel.

A l'echelle mondial il ya beaucoup de croyant mais parlons nous des même croyants ?

En inde par exemple et en thailand les croyants sont (je le pense) majoritairement polythéiste.

Sinon tu parle de quel "score" ? athée ou croyant en parlant de la chine.
 
à Thales59,

Ben tu sais, la proportion de vrais athées (c'est-à-dire ceux qui ne croient en rien de transcendant, et non ceux qui sont croyants sans se reconnaître dans une religion en particulier) varie beaucoup d'une enquête à l'autre. Ça me surprendrait beaucoup si ne serait-ce qu'une seule société se retrouvait avec une majorité de vrais athées. Cela serait gênant pour mes idées sur la religion, qui me viennent de la psychologie évolutionniste, de l'histoire et de l'anthropologie...

Il faut dire que la «croyance» est bien plus difficile à mesurer que des phénomènes physiques. Ce n'est pas pour rien qu'on oppose science molle à science dure!!

La forme de la question, l'attitude de l'enquêteur, les techniques d'échantillonnage, voire des événements de l'actualité*, peuvent influer sur les résultats.


* Comme les récentes bourdes de l'Église catholique

Tu te trompe lourdement birdman ! les athées sont peut être mal vue par des haute sphére mais les athées on toujours affiché leur athéisme avec une fierté semblable au croyants.

Si tu prétend que les athées sont des croyant "pour faire genre" alors tu prétend que la stupidité de la religion vient d'une forme d'athéisme faux ***...

J'ai rien contre toi mais je croit que tu idéalise trop le monde selon tes envies.
 
L'enfer na nullement était inventé par les prophète ! sinon prouve le !

Loin de l'enfer ! la peine de mort suffit a refroidir les comportement extreme ! et encore ! avec toutes les menaces de l'enfer et de la peine de mort on tombe sur des types qui en on rien a secoué...


Je te parle de la fonction sociale du concept de l'enfer (régulation du comportement et des croyances, elle-même subordonnée à la cohésion sociale). Ça existe peut-être «objectivement», mais on peut expliquer la genèse du concept d'enfer sans référence à son existence effective.
 
Tu te contredit sévère dans le même texte ! tu prétend que Dieu a était inventé pour ce rassuré des contrôle de situation alors que en religion on t'apprend tous le contraire ! quand une ******* doit arrivé elle arrivera et quand un bonheur arrivera il arrivera pendant ta vie et tes choix personnel ! il faudra juste savoir quand...

Et d'un autres côtés tu prétend que on ne peut voué a un culte a ce Dieu si "éloigné" en le vouant au saint et tous ceci comme intermédiaire alors que Dieu nous la formellement interdit...ce qui est contraire a ton exposé sur le polythéisme ! et d'ailleurs dans la réalité on constate que en effet tu a raison ! les croyants adore souvent autres chose que Dieu ce qui signifie que le polythéisme serait naturellement faux et le monothéisme naturellement authentique (car l'homme fait malgré tous l'inverse de ce que le monothéisme lui demande)...

La «contradiction» disparaît pourvu qu'on remarque que les grands prophètes du monothéisme (Moïse, Isaïe, Jésus, Muhammad) étaient des croyants plus «purs» que les gens ordinaires, mais qu'ils pensaient à tort que leur forme de croyance pouvait être universalisée simplement par la prédication et la persuasion. Je ne doute pas de la «pureté» de la foi des prophètes, mais je doute de leur analyse du coeur humain, de ses besoins et inclinations. Aujourd'hui les sciences humaines ont fait d'énormes progrès, et une personne ordinaire comme moi connaît mieux la nature humaine que les prophètes la connaissaient.

Notons quand même que le christianisme est moins inhumain que le judaïsme ou l'islam, puisqu'il prêche l'incarnation.
 
La «contradiction» disparaît pourvu qu'on remarque que les grands prophètes du monothéisme (Moïse, Isaïe, Jésus, Muhammad) étaient des croyants plus «purs» que les gens ordinaires, mais qu'ils pensaient à tort que leur forme de croyance pouvait être universalisée simplement par la prédication et la persuasion. Je ne doute pas de la «pureté» de la foi des prophètes, mais je doute de leur analyse du coeur humain, de ses besoins et inclinations. Aujourd'hui les sciences humaines ont fait d'énormes progrès, et une personne ordinaire comme moi connaît mieux la nature humaine que les prophètes la connaissaient.

Notons quand même que le christianisme est moins inhumain que le judaïsme ou l'islam, puisqu'il prêche l'incarnation.

Change la face du monde et je te croirais.
 
Je ne dis pas que j'ai les qualités de meneur d'hommes d'un prophète!! Juste que mes connaissances de l'être humain comme objet d'étude dépassent les leurs.
 
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